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NoName

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Tout ce qui a été posté par NoName

  1. Comment ils avaient fait au Chili?
  2. Faut les noms! Yen a avec les noms?
  3. Un lien du DL en une seule archive ?
  4. Tant que ça réclamait l'isonomie, c'était compatible. Maintenant ça réclame surtout des privilèges et ça geint sur la méchanceté de la société. Idiot ou incompatible donc, et les 0,64% de féministes ne demandant pas de droits spéciaux et ne se battant pas contre des moulins à vent pour le plaisir de se trouver une cause, en effet, ils se sont paumés.
  5. T'as dit que le féminisme n'était pas misandre. C'est vrai, il n'est pas misandre dans les 0,64% dont tu fait partie. Le reste demande des privilèges. Vu que les 0,64% dont tu fait partie sont perdus dans un océan de gogolitude, je pense que c'est plutôt vous qui vous êtes égarés. Moi j'ai dit que le féministe était misandre, pas incompatible Ce qu'il y'a de bien dans le féminisme est déjà mieux expliqué chez les libéraux et en fait déjà partie, le reste est idiot ou incompatible avec le libéralisme. Et encore une fois, en Occident, les femmes ont les même droits que les hommes. Et je ne comprends pas pourquoi il faudrait faire des revendications catégorielles. C'est le meilleure moyen de passer d'un mouvement défendant l'isonomie à un mouvement de recherche et de défense des privilèges.
  6. C'est toi qui la regarde trop.
  7. Mieux défendu par le libéralisme. "Mon corps, mes choix". Homme, femme, trans, martien ou posthumain.
  8. Personne ne se dit libéral à la télé.
  9. Donc le féminisme selon Philiber Té, c'est 0,64% des cohortes féministe et le reste, mmmh, c'est des féministes aussi mais pas LE féminisme. M'voyez ?
  10. Ha oui, des putains de revendications comme "Toute blague sur les femmes est mysogine, à la guillotine !!!" ou "Mettez des -e à la fin des adjectifs" ou "Si vous êtes un homme aps d'accord avec une femme, vous faites du mansplaining".
  11. C'est un droit déjà acquis. Et une revendication libérale défendue de manière plus cohérente. Si, l'égalité en droit est atteint en Occident pour les femmes. Et ce ne sont pas des choses acquises parce qui'l y'a des gens qui sont cons, de la même manière qu'il y'en aura toujours, malgré tout, pour penser pouvoir connaître des gens simplement sur la couleur de leur peau. C'est une minorité incompressible de gogols. Si le but des antiracistes ou des féministes est d’éradiquer absolument toute injustice ou tout préjugé sur les femmes de la planète, alors elles vont pouvoir se lever tôt. Quand à tes polémiques sur avortement et tout ça, ça ne concerne pas le féminisme mais c'est pas grave. La question de l'avortement, c'est avant tout une question sur la nature de l'acte, le voile, sur l'aspect volontaire de cette démarche et la prostitution, sur l'aspect "exploitatif" de cette pratique. ça arriverait à des hommes, la controverse serait la même.
  12. Saut lacantique.
  13. C'est le cas en occident, et de loin. Et les féministes qui font des choses bien ne sont pas en occident. Et là encore, de toute façon ce que demandent les féministes non occidentales est déjà défendu de manière plus complète par le libéralisme, donc le féminisme ne sert que dans l'action politique mais est théoriquement dépassé. Quand au reste, le féminisme non politique en occident, c'est ou idiot ou obvious, et quand quelque chose est obvious, je ne lui donne pas de nom. Et l’action politique des féministes dans la mise à mal des privilèges masculin est déjà réussie en Occident aussi il n'y a rien à revendiquer politiquement. les dernières revendications politiques des féministes en Occident c'est de la course aux privilèges.
  14. Parce que ce n'est jamais le cas ? L'égalité en droit ne fait certes pas tout mais c'est la seule revendication à avoir politiquement, et c'est déjà réussi. Le féminisme en tant que force politique c'est de la recherche de privilège et rien d'autre. Et quand au reste, comme dirait JIM16, les trucs que demandent qu'exigent les féministes au niveau social, c'est généralement des conneries ou des postures esthétiques, et quand c'est bien c'est tellement obvious que c'est pas la peine de donner un nom à ça. Si tu ne garde jamais les gosses, que tu ne fais jamais la cuisine ou le ménage et que tu te comprote comme un trou du cul, t'es pas un homme, t'es une petite crotte.
  15. Pour paragrapher Lancelot, pourquoi être féministe quand on est libéral ? Tout ce qu'il y'a de bien dans le féminisme est expliqué en mieux chez les libéraux, le reste c'est de la recherche de privilège et du victimisme faisant du sexe mâle le grand satan responsables de toutes leurs frustrations et tous leurs échecs. Une manière de désigner les hommes sous le vocable "patriarcat" aussi idiote que "le capital apatride" ou "le parti de l'étranger", un gigantesque fourre-tout fondamentalement misandre aprce que réduisant les hommes à leur unique conditoin masculline. Si les féministes s'occupaient de race au lieu de sexe, ça serait des racistes bas du front.
  16. Si. Non négociable. A une époque ça en l'était pas, aujourd'hui c'est inévitable. Une femme intelligente et occidentale, à l'heure d'aujourd'hui, n'est pas féministe.
  17. Commentaire sur Contrepoints, à propos de l'article de Lulu: J'essaye de répondre mais je sais même pas par où commencer.
  18. Le discours peut être, les actes, il va falloir les prouver. Je ne doute pas qu'il y'en ait eu, mais on est, me semble t'il, très très loin de la persécution systématique.
  19. Peut être en partie. S'il y'a scission du PS entre aile socialiste et aile sociale démocrate il aura eu à moitié raison (il disait que l'arrivée d'un réformiste comme Valls allait mettre à mal l'intégrité du PS).
  20. Contre un opj alors ça doit être le cas non?
  21. A ce propos, la recension de The Machinery of Freedom par Copeau est absolument excellente, bravo à lui.
  22. David Friedman répond à cette question en plusieurs dizaines de pages, la justice, la loi et la police étant les élément qu'il détaille le plus d'après me souvenirs. C'est très détaillé. Donc oui, dans Vers une société sans Etat, il apporte pas mal de pistes. Friedman est quelqu'un qui réfléchit de manière très terre à terre (je trouve) et essaye de répondre aux border cases avant qu'on les lui pose (et si tel cas X, et si tel cas plus compliqué X², et si on rajoute un facteur plus compliqué Y, etc...). Le genre de question que tu pose est typiquement celle à laquelle il répond. Les objections sur la corruption (et l'argent en général) s'appliquent déjà dans un système monopolistique d'état, la différence là, c'est que si ils se font attraper 1) ils en payent les conséquences, 2) le risque est plus faible car les professionnels du droit commenteront très certainement les décisions de leurs compères et une décision irrationnelle torpillera la réputation de celui-ci. Je dirais même que c'est plus encore le cas dans une société étatique, ou, pour peu que tu serre les bonnes paluche, tu taille les lois sur mesure pour toi. Et là, par contre, les "contribuables" ne peuvent pas esquiver en allant voir ailleurs, il faut s'exiler. Pour les peines coercitives, je pense que tout le monde ne sera pas d'accord et c'est là qu'apparaît aussi l'intérêt d'un système concurrentiel. ceux qui sont contre la peine de mort et ceux qui sont pour prendront chacun de leur côté des juridictions correspondant à leurs idées. Pour la législation correcte, mouais je suis pas sur de comprendre, mais de fait, j'imagine mal des gens prendre des systèmes de lois avec lesquels ils seront aps d'accord eux-même. J'imagine mal comment un truc pareil (par exemple un système de loi avec de la redistribution) pourrait tenir sachant que ceux qui seront pas d'accord se barreront et ceux qui le seront seront content... "Sauf si les meurtriers influencent tout ce beau monde avec de l'argent..." L'argent c'est pas magique. Même avec des gros paquets de fric au bout, la plupart des gens ne veulent pas de meurtrier en liberté près de chez eux. Et même s'ils créent leur propres agences, personne ne voudra jamais avoir affaire à eux. On peut d'ailleurs très bien imaginer que les autres tribunaux considèrent, en mesure de rétorsion, comme criminelle toute personne cliente de cette agence de protection (pour complicité de meurtre ou association de malfaiteur par exemple), ou bien déclare qu'elle refusera systématiquement toute extradition pour eux, interdise à ses clients d'avoir des contacts avec eux, etc... Pour le reste, si le tribunal du coupable et de la victime n'est pas le même, alors il y'aura de toute façon concertation à faire sur la peine à appliquer (encore développé dans Vers une société sans Etat) et ce n'est dans l'intérêt d'aucune agence de protection de prendre des décisions stupides comme condamner quelqu'un à mort pour avoir fumer un joint ou punir le meurtre avec des travaux d'intérêt généraux. Bref, lis le (il doit être facilement téléchargeable en français), il y répond. Et comme il le précise bien, lui même et plusieurs fois, ce n'est qu'une réponse possible à la manière dont la justice pourrait s'organiser.
  23. Tiens, ça me rappelle un truc:
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