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Tout ce qui a été posté par NoName
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Parti de la Liberté, pas mal.
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Je pense qu'elle permettrait de pousser les éléments les plus favorables aux réformes à s'avancer et les plus opposés à partir. Et les opportunistes, eux, pourront toujours être dirigés d'une manière ou d'une autre. Et je reste intimement persuadé que la lutte contre les privilèges passe avant la baisse générale des impôts, parce que si on ne lutte pas contre les privilèges, les baisses d'impôts se feront là encore à l'avantage des privilégiés, qui auront tout intérêt à ce que le manège continue.
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Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2
NoName a répondu à un sujet de Mathieu_D dans La Taverne
Elle est de gauche. par conséquent, nul ne peut douter de la pureté de ses intentions. Par conséquent, elle n'est pas raciste, même si elle déteste une certaine catégorie de la population. Oui, c'est de la doublepensée. -
Modernité Et Modèle Impérial
NoName a répondu à un sujet de Patrick Smets dans Politique, droit et questions de société
Je ne crois pas. La naissance du principe de nation est précisément une réaction face aux guerres de religions, notamment en France. Là ou avant, on avait l'idée d'unir les peuples selon leur religion, maintenant on suit une logique nationale. C'est sous les guerres de religion que Henri de Navarre décide de se convertir pour devenir Henri de France, et parmi ses partisans, on retrouve catholiques et protestants qui suivent l'idée que le fait que le Roi soit Français est une condition supérieure au fait qu'il soit catholique, comme le Primat des gaules qui s'était rallié à Henri IV plutôt qu'au Cardinal espagnol (je crois). Cependant, on trouve déjà des accents nationalistes en France à partir de la fin de la guerre de Cent Ans. -
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Ça me fait penser à Pulp Libéralisme de Daniel Tourre, qui disait que libéral et ses affiliés étaient devenus des synonymes de "pas glop/méchant/mauvais" : "Houlala, le temps est vraiment néo-libéral ce soir mon chéri".
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J'aime beaucoup la photo de Frabrice Rousselot utilisée par BFM. Derrière lui, y'a écrit: "Tutoyer le président c'est être plus proche de l'information". Ha ha. LOL.
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T'as raison, j'ai mal formulé: ils seront les premiers à défendre l'absence de baisse d'impôts pour les autres, parce que l'Etat c'est l'instrument de la solidarité qui empêche les gens de crever dans la rue et qu'il a besoin de beaucoup de pognon pour mener à bien sa mission. Mais ils se gardent malgré tout de payer ces impôts autant qu'ils le pourraient. A moins que je me soit mal exprimé.
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Il n'y a pas non plus de privilèges juste. Pourtant, on débat duquel des deux est le moins pire: pour moi c'est l'inégalité de droits, parce que je pense que la courses aux privilège est l'un des premiers moteurs de la croissance de l'Etat et du clientélisme, c'est à dire de la corruption de minorités actives qui chercheront à diriger la tête. Si tous le monde paye la même proportion d'impôt, je pense que l'on casse cette logique de savoir "qui paye suffisamment d'impôt ou pas assez" et plutôt arriver à "combien d'impôts sont en trop ?" L'étendre à tout le pays, oui, si ça devait arriver, je met ma main à couper que les journalistes seraient les premiers à demander la hausse d'impôts pour les autres.
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Voilà comment un libertarien pur et dur en viens à défendre l'inégalité de droit, la corruption par l'Etat et le clientélisme. Il me semble bien plus urgent de casser la logique clientéliste de la politique de ce pays que de baisser les impôts, même si on peut tout à fait faire les deux en même temps. Mais laisser cette niche au journaliste c'est leur dire "Continuez les gars, de toute manière, tant que tout le monde ne sera pas aussi bien loti que vous, vous pourrez continuer à bénéficier des avantages de votre situation alors même que vous avez toujours pris parti pour le camps de ceux qui augmentaient les impôts pour tout le monde, sauf vous". Et l'égalité devant l'impôt, c'est pas de l'égalitarisme, c'est précisément ce que j'appellerais l'absence de privilèges.
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Eh bien ? Je ne vois pas trop ou tu veux en venir. Y'a plein de gens qui aiment pas les journalistes. Je pense que faire en campagne en disant qu'on va ramener les journalistes sur le terrain de la réalité en arrêtant de leur distribuer des bonbons pourrait marcher.
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Si on a LePen - Hollande aux prochaines présidentielles, je suis pas sur que ça soit Hollande qui passe.
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Images fun et leurs interminables commentaires
NoName a répondu à un sujet de Librekom dans La Taverne
Nouvel avatar de JIM16: -
le FN est le troisième parti de France alors même que les journalistes leurs sont massivement opposés. Donc rien en prouve qu'il faille se les mettre dans la poche pour arriver jusqu'au trône. Ensuite, je vois pas en quoi la fonction publique n'existe plus. Tu arrive au pouvoir, tu peux changer unilatéralement les conditions de travail des fonctionnaires, mais tu peux utiliser cette loterie pour épurer la FP grâce aux volontaires. Tout ceux qui sont prêt, dès le départ, à revoir leurs zakissociaux s'il le faut prouvent par là qu'ils ne seront pas bloqués sur leurs positions. Au contraire, ceux qui refusent d'y renoncer malgré tout en se disant que l'Etat va de toute façon revenir sur ses positions seront virés. C'est une méthode je pense efficace. Pas populaire du tout, mais efficace.
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La dernière phrase de l'interview est absolument à encadrer: Le capitalisme de connivence et ses conséquences exposé en une phrase.
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Y'à un fil pour ça, espèce de pervers. Revenons à des choses saines:
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Pas parce qu'ils sont méchants, parce qu'ils ont défendus un système dont ils ont tirés profits sur le dos des autres sans assumer les conséquences de ce qu'ils défendaient de l'autre côté. Ce n'est pas la baisse des impôts que je déplore, mais son caractère de niche et de cadeau fiscal faite à un groupe de personnes qui tirent profit de cette situation mais qui, dans ses papiers, passe son temps à culpabiliser les français qui font comme eux en allant à l'étranger et approuve régulièrement les initiatives allant vers toujours plus d'Etat et de socialisme. L'autre solution, à part la suppression de la niche, c'est d'étendre ces avantages à absolument toute la population. Cependant, ça perd son caractère pédagogique si on le fait . D'abord, on vire les niches fiscales des journalistes, on leur coupe les subventions, et une fois qu'ils auront bien compris ce que c'est le socialisme pour les non-privilégiés, on leur baisse leurs impôts avec ceux des autres.
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J'ai ris putain, mais j'ai ris.
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J'y ai repensé, mais faudrait retrouver le fil pour que je relise les arguments pour et contre qui avaient été avancés. Là comme ça, je dirais que j'aurais du mal à me décider: - d'un côté, 1000 par jour ça fait peut-être beaucoup, ça serait aussi très impopulaire auprès des fonctionnaires, le côté aléatoire me semble un peu salaud sur le principe même s'il à le mérite d'être, du coup, parfaitement impartial. - mais dans le cas extrême ou l'on en serait réduit à ça pour faire passer des réductions budgétaires, comme dans certains pays, je pense que je pourrait être d'accord. Ça créé aussi une incitation à prendre les devants pour accompagner les changements, et puis ceux qui seront les plus arc-boutés sur leurs privilèges seront aussi ceux qui seront les plus susceptibles de sauter, surtout si on menace d'en faire une mesure limitée dans le temps. Il y'a encore plein d'autres choses auxquelles penser. Mais je dis ça à chaud, je pourrais changer d'avis. Dans l'absolu, je pense que cette décision n'est ni fondamentalement mauvaise, ni fondamentalement bonne. Simplement que dans des circonstances exceptionnelles comme il y'a eu en Grèce ou en Italie, je serais prêt à envisager cette éventualité. Oui, mais comme j'ai dit plus haut, on peut pas non plus virer tous les fonctionnaires comme ça. Proposer ce deal pourrait permettre d'éjecter un certains nombre des plus arc-boutés sur leurs privilèges et de garder les plus susceptibles d’accepter les réformes.
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C'est juste. Je reste néanmoins persuadé qu'on ne devrait pas faire l'économie d'un redressement des journalistes, d'une manière ou d'une autre, ne serait-ce que pour qu'un certain nombre d'entre eux comprennent vraiment ce qu'ils ont défendus si longtemps, comme les électeurs de gauche qui viennent récemment de comprendre ce pour quoi ils ont votés, y compris chez les niches électorales qui leurs sont totalement acquises comme les profs. Voyons, je doute que ce soit ce que voulait dire Patrick.
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Si, mais je sais pas m'en servir. En tout cas merci pour l'adresse.
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Moi aussi je pense ça. Et c'est aussi pour ça que je pense que ça peut payer dans l'opinion. Après, faut il leur taper dessus avant ou après, c'est toute la question. Mais si on peut convaincre ceux qui crachent au bassinet que les journalistes ont globalement défendus plus de taxes et d'état alors qu'ils se débrouillent pour en payer le moins possible et vivre sur leurs impôts, alors je pense que frapper avant, c'est une bonne idée. Néanmoins, ta remarque, comme celles de Patrick, est tout à fait pertinente.
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Quelqu'un ici utilise un dictaphone ? Des avis, des conseils de produits ?
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Je sais, mais ça ne change rien au fait que c'est une corruption déguisée. Les journaux, et par extension les journalistes, vivent largement du pognon des autres, et se débrouillent ensuite pour esquiver la tonte fiscale qu'ils s'évertuent à défendre. Leur couper leurs avantages, c'est les mettre le nez dans leur caca: "Vous avez voulu le socialisme, vous l'avez. Maintenant, mangez."
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Tututut, je suis loin d'être d'accord. Les journalistes sont très largement acquis à la cause étatiste, mais il se débrouillent pour esquiver les conséquences des causes qu'ils chérissent. Alors le message à leur envoyer c'est "le socialisme, c'est pas que pour les pauvres, bande d'hypocrites". Tant que les journalistes ne supporteront pas les conséquences de l'accroissement de l'Etat qu'ils défendent passivement, ils n'ont pas de raisons d'ouvrir les yeux sur la situation actuelle. Autre exemple: sous prétexte que les fonctionnaires sont mieux lotis que les salariés du privés, faudrait t'il donner à tous les salariés du privés les avantages des salariés du public ? J'en doute.
