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NoName

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Tout ce qui a été posté par NoName

  1. Ah oui je m'en doute. Mais écrire pour savoir qu'est-ce qu'ils t'offrent en échange de tes impôts.
  2. Ecrit une lettre au présiflan ou au Sinistre des Finances, voir s'ils peuvent répondre.
  3. Envoie moi un MP quand tu passe, je te payerais une pinte
  4. Normal, moi je bois au L-Bee habituellement. La serveuse est bien roulée et ils passent souvent les Red Hot
  5. J'y suis pas à Reims, j'y reste rarement le week-end. En plus, j'évite de trop boire depuis ma rentrée en grande pompe où j'était tellement bourré que je suis parti avec les clefs de mon frangin qui a dormi sur le pallier, et puis j'ai personne avec qui boire Mais je veux bien l'adresse de ton bar
  6. Bah rien, je suis étudiant. (plus sérieusement, j'ai traduit essayé de traduire un article sur Snowden un bon bout de la soirée, et là je suis supposé préparer une biblio).
  7. Mais qu'est ce que c'est mort ce soir !
  8. Sers toi dans le fil de propositions pour l'avatar de JIM16
  9. http://reason.com/archives/2013/11/07/president-obama-pardon-edward-snowden Président Obama: graciez Edward Snowden Le lanceur d'alerte de demande peut-être pas vôtre indulgence, mais il devrait l'avoir. Ronald Bailey le 7 Novembre 2013 La semaine dernière; le magazine allemand Der Spiegel publia "Un Manifeste pour la Vérité", où Snowden exposait les raisons qui l'avaient poussé a révéler les programmes de surveillance de la National Security Agency. Dans son manifeste, Snowden explique que de tels programmes "ne sont pas seulement une menace pour la vie privée" mais "menacent également la liberté d'expression et la société ouverte". Il ajoute plus loin que "la société ne peut contrôler et comprendre ces problèmes qu'à travers un débat ouvert, respectueux et avisé ? (=informed)". En Juin, le Président Barack Obama affirmait qu'il "appelait de ses voeux (=welcomed this debate) ce débat" sur la surveillance gouvernementale. Mais les révélations de Snowden sont la seule raison pour laquelle le Président, le Congrès et la population ont "ce débat". (Grâce à Snowden, principalement, le Congrès est en train d'envisager une nouvelle législation permettant de contenir et démanteler certains des aspects les plus anticonstitutionnels des activités de la NSA). Déjà, les hommes qui avaient supervisés les programmes d'espionnage de la NSA -le Directeur du National Intelligence James Clapper, le directeur de la NSA Keith Alexander et le Deputy NSA Director John Inglis- avaient eu le culot de qualifier Snowden de "traître". L'administration Obama a entamé une procédure (=filed criminal charges) contre le lanceur d'alerte pour violation de l'Espionage Act et pour vol de propriété gouvernementale (=theft of government property). Légalement, l'espionnage est le transfert de secrets d'Etat pour le compte d'un pays étranger. Mais Snowden n'a ni vendu, ni tiré profit de ses révélations, et il n'aurait apparemment emporté aucun des document de la NSA avec lui en Chine ou en Russie. "L'ironie est évidente" écrivit en Juin le journaliste Glenn Greenwald. Les même personnes qui ont mis sur pied un programme de surveillance généralisé pour espionner chaque personne sur le globe, dont leurs propres citoyens, accusent désormais "d'espionnage" la personne qui l'a révélé. Les chefs des agences qui dirigèrent et supervisèrent ce vaste programme d'écoute domestique illégal et sans mandat (=warrantless) sous l'administration Bush ont, quant à eux, bénéficiés d'une amnistie générale pour leurs activités en 2008. Obama vota d'ailleurs en faveur de cette immunité rétroactive. Le manifeste de Snwoden n'était pas un appel à la clémence, mais certains commentateurs le considèrent comme tel. N'y pensez pas, rétorque le chief congressional à l'origine du programme de surveillance domestique de la NSA. Durant une émission de la CBS "Face the Nation", le Président de la Senate Intelligence commitee Dianne feinstein (D-Calif) affirme "Je pense que la réponse, c'est aucune pitié (=I think the answer is no clemency)". Son homologue à la Chambre des Représentants, le républicain Mike Rogers, qualifia la clémence de "terrible idée" et déclara que Snowden "devait revenir et faire ses aveux (= own up)". Sur l'émission "The Week" d'ABC, le conseiller de la Maison Blanche Dan Pfeiffer dit que Snowden "devrait revenir aux Etats-Unis et faire face à la justice". Mais qu'arriverait t'il si Snowden "faisait face à la justice" dans l'Amérique du 21e siècle ? Dans l'édito (=op-ed) du Washington Post, Daniel Ellsberg -qui avait révélé l'affaire des Papiers du Pentagone- note que lorsqu'il fut arrêté pour révélations non-autorisées (=unauthorized disclosures), il fut libéré sous caution (=released on his own recognizance) le jour même. Dans l'Amérique contemporaine, pense Ellsberg, Snowden serait contraint au secret (=held incommunicado) et "très certainement placé en isolement complet" Snowden aurait-il put faire part de ses inquiétudes à ses supérieurs ou au Congrès ? Non, répond Michael German, un senior policy counsel à l'Union américaine pour les libertés civiles. "le Congrès fit passer l'Intelligence Community Whistleblower Protection Act en 1998," écrit German, "mais ce n'est ni plus ni moins qu'un piège. Il établit une procédure de rapports internes entre les agences grâce à the Inspector General to the congressional intelligence committees, mais ne fournit aucune protection contre les représailles qui en découlent. Le rapport en interne à travers l'ICWPA ne fait qu'identifier les lanceurs d'alertes, les exposant alors aux représailles". German cite le cas d'un ancien employé de la NSA, Thomas Drake, who sought to take his concerns and deficient electronic spying programs up the chain of command. A la demande de ses supérieurs, l'administration Obama entama une procédure contre Drake pour dix violations de l'Espionage Act, et menaça de le jeter en prison jusqu'à la fin de ses jours. L'affaire est finalement tombée à l'eau, mais seulement après dix ans de poursuites judiciaires. Le Président Obama affirmait en Juin que les programmes d'espionnage de la NSA était "strictement supervisée par les trois branches du gouvernement". Mais comme le montre la répression de Drake, ce sont les lanceurs d'alertes, et non les soi-disant superviseurs, qui essayent de poser quelques limites à ces programmes d'espionnage domestique anticonstitutionnels. Peut-il vraiment y'avoir une "stricte supervision" quand le directeur du National Intelligence s'autorise à mentir effrontément à un sénateur durant une déclaration au Congrès, affirmant que le NSA ne collectaient pas de données téléphoniques sur presque chaque Américain ? Plus récemment, à la fois le président et le chef de la Senate Intelligence commitee, la sénatrice Dianne feinstein, ont reconnus qu'ils ignoraient que la NSA avait mis sur écoute les téléphone des leaders de pays alliés. A une récente conférence du Cato Institute sur la surveillance de la NSA, le républicain Justin Amash (R-Mich) décrivit comment les agents of our surveillance state essayent de maintenir les élus dans l'ignorance pour ce qui est de leurs activités. Même la Foreign Intelligence Surveillance Court, qui est sensée superviser les activités de la NSA, a reconnue dans un rapport/verdict (=opinion) -désormais déclassifié- que l'agence lui avait menti à propos de l'étendue de son programme d'espionnage domestique. Supervision très stricte, en effet. Comme Snowden avait justement conclu "les citoyens doivent combattre la suppression d'informations de cette importance (=suppression of information on matters of vital public importance). Dire la vérité n'est pas un crime". Si nous arrivons à stopper la marche vers le "turnkey totalitarian state" contre lequel l'ancien cadre de la NSA, William Binney, nous mettait en garde il y'à environ un an, se serait en grande partie grâce aux révélations de Snowden. M. Le Président, graciez Edward Snowden maintenant. Nous lui donnerons des médailles plus tard. Les passages en rouge sont soit ceux que je ne peux pas traduire, soit ceux dont la traduction devrait être vérifiée. J'ai laissé les noms des commissions, etc... en anglais, car je n'ai trouvé de traduction françaises que pour certaines d'entre elles. En espérant que ça puisse vous aider quand même.
  10. Oh oh oh c'est génial ce truc.
  11. Je traduis mais il faudra au moins une relecture de quelqu'un de plus calé que moi.
  12. Dans l'aube, quelques radars vandalisés récemment. Rien de bien méchant, mais parfois, il suffit juste d'une étincelle... ça serait la meilleure des choses. ils referaient tout tout seul et ils se rendraient compte que c'est mieux quand c'est eux.
  13. Tiens, Sanksion va chercher son pain Vincent Andrès m'avait filé le lien mais impossible de retrouver la vidéo
  14. Impossible. Il n'a qu'un seul hémisphère (le gauche évidemment) qui baigne dans le formol, comme son idole Lénine.
  15. Bienvenue Bob
  16. 1) Mon bro est bien plus doué que moi, s'il dit que c'est compiqué pour lui, aucune chance que j'y arrive 2) Je te montre une photo de mes deux mains 3) Ça m'ammène à penser qu'effectivement, la seule chose à faire c'est de ne rien faire.
  17. C'est l'heure d'appeler Super Lucilio !
  18. J'en ai des brouettées pleines tous les ans, je sais jamais quoi en foutre (à part les manger). Le gars qui a inventé le phoneblock avait fabriquer un pressoir mais mon bro m'a dit que le mécanisme devait être assez pointilleux à monter. Du coup, je peux rien en faire Mais si ça se vend, du coup...
  19. NoName

    Alcools

    Z'êtes vraiment tarés. Cependant, une liste participative des meilleures bières et les appréciations de chacun ça serait drôle. Et extrêmement fourni aussi.
  20. Bravo, bois un coup pour fêter ça
  21. NoName

    Liens à la con

    Un site qu'il est bien http://lestagieaireditele.tumblr.com/ J'en cherche un qui compile les fôtes d'ortograffe de l'AFP
  22. T'as écrit "inculte en cuisine", je me permet de faire le pleurnicheur et de prendre ça comme une insulte. Sinon merci pour les recettes de champis T'aurais des recettes pour du riz espagnol ?
  23. Arf, y'en avoit pas savoir avant que tu le dise. Ça donne quoi le riz sans amidon, du riz collant ? Déjà on va éviter les insultes. Ensuite, chez moi, on mange très peu de riz, en fait, pratiquement jamais. Et je suis le premier à y toucher un peu. Alors je demande un minimum d'indulgence de la part du jury. SInon, il paraît que t'aimes les champignons: une bonne recette pour des morilles ?
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