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Tout ce qui a été posté par Ultimex

  1. Me suis refait les deux d'affilé pour la peine mais rien à faire... Pas de déchets ou de temps morts sur Illmatic, les prods claquent dans le genre jazzy/minimaliste (sans surprise, quand on voit la (dream) team de producteurs : Preemo, Large Pro, Q-Tip, Pete Rock... La seule surprise ? Que ça ne sonne pas plus onctueux/fauteuil en cuir/whisky & cigare) et l'ensemble sonne homogène malgré le nombre de personnes impliquées. Concernant It Was Written ? Les prods signées Trackmasters sont un peu trop passe-partout ou faciles à mon goût voire bien nases dans le pire des cas (Watch Dem Niggas ou Affirmative Action), le feat. de Dr. Dre est atroce (après, j'avoue, rien à faire, ses prods (celles de Dre), passées Straight Outta Compton (note, pas encore testé les autres NWA), je n'arrive pas, trop synthétoc à mon goût). Reste le travail de Preemo, du Live Squad et de Havoc (bon sang, The Set Up). Pas un mauvais album, donc, à mon goût, mais trop hétérogène en termes d'ambiance ou de qualité pour faire le poids face à Illmatic.
  2. Je pense qu'il faut plutôt aller chercher du côté de King Diamond voire Kiss et Alice Cooper pour le visuel (ce bon vieux shock-rock dans le cas de ces deux derniers). Ou alors, côté black metal de cirque, type Dimmu, Cradle et consort (quoi, qui a dit Immortal ?).
  3. Ultimex

    Jazz et variations

    Pochette prog-moche compensée par cette jolie reprise de Mal Waldron (qui joue sur cet album d'Embryo) en version psyché cool : L'original :
  4. Ah, ce fil de vieux rageux. C'est là où l'on (je m'inclus dedans) voit qu'on s'approche gentiment du stade "vieux con". Parce que bon, soyons honnête, se plaindre de la décadence musicale de notre temps, c'est une vieille rengaine qui traverse les âges. Bref, je suppose que 1/ nous sommes coupables de cherry-picking (parce que se focaliser sur les merdes actuelles alors qu'il existe plein de scènes musicales de qualité disponibles à un simple click de chez soi, c'est juste malhonnête) ; 2/ c'est aussi un moyen bien commode de réévaluer à la hausse sa propre médiocrité (l'équivalent en littérature, c'est de taper sur Marc Lévy pour rendre acceptable sa collection de romans de Christine Angot bien en évidence, là, dans la bibliothèque du salon "parce que tu voîîîîs, elle, au moins, elle a été publié chez Gallimard pour son premier roman, tu vois, et çââââ, çâââ n'est pas rien". (Note : d'ailleurs, le point 2 marche mieux avec le point 1). Dans les faits, je ne suis pas complétement en désaccord avec le constat qu'il y a une chute de la qualité dans le divertissement "grand public" (au XIXème, Dostoïevski et Balzac ne sont que de "vulgaires feuilletonistes" ; dans les années 60, 2001, l'Odyssée de l'espace ou Apocalypse Now ne se cantonnent pas aux salles d'art et d'essais, etc.). Mais bon, retour au point 2 (ça me fait plaisir d'être élitiste à peu de frais) et même au point 1 (pour qui sait chercher, surtout à l'âge d'internet...). Allez, ciao les nuls, je vais me refaire la totale de Belios avec les textes de Gustave Grimberg, ça c'était de vrais artistes avec de belles paroles, pas comme les comiques d'aujourd'hui ou comme du Drime Theateur ou du Inefectede Meuchroum.
  5. Ultimex

    Jazz et variations

    Spéciale kassdédi aux fans du premier Nas (le monde est à vous) ou du deuxième Jeru the Damaja (fiers comme des papes).
  6. Sinon, du swedeath bordelais (sauf erreur), bien sympathique aux premières écoutes. https://ironflesh.bandcamp.com/album/limb-after-limb
  7. Contrefaçon italienne de Death, période Human (avec basse qui glougloutte gentiment derrière, changements de rythmes réguliers, etc. Gros feeling techno-death du début des 90's qui fait plaisir) : Un bon fix donc, à voir si ça tient sur la longueur. Sinon, le p'tit dernier de Darkthrone :
  8. Ultimex

    Nécrologies

    L'artiste Pierre Soulages.
  9. Ultimex

    Jazz et variations

  10. Y a déjà eu des conflits (qui ne disaient pas tout-à-fait leur nom) : https://en.wikipedia.org/wiki/Sino-Soviet_border_conflict
  11. [HS] Quand même (le blitz de 40, qu'est-ce si ce n'est du bombardement à grande échelle)... D'ailleurs, les bombardements anglais en Allemagne ont aussi une visée revancharde (cf. l'Air Marshall Harris : « Les Nazis sont entrés dans cette guerre avec l'illusion enfantine qu'ils allaient bombarder tout le monde, mais que personne ne les bombarderait. À Rotterdam, Londres, Varsovie, et dans une cinquantaine d'autres endroits, ils ont mis leur théorie naïve en application. Qui sème le vent récolte la tempête. »). [/HS]
  12. Les caesar, ce n'est pas vraiment '80s (entre autres).
  13. Ultimex

    Aujourd'hui, en France

    Peut-être un symbole crypto-brassicole en lien avec l'Oktoberfest.
  14. Là, il n'y a plus l'excuse de la jeunesse par contre.
  15. Il faut que jeunesse se passe.
  16. Ultimex

    Aujourd'hui, en France

    En deux mots plutôt : tarés dégénérés.
  17. Réflexion en cours (donc décousue) : Ou Ran (ou Le Château de l'araignée), pour rester dans les adaptations shakespeariennes. Mais, dans le cas de ces deux adaptations (et je suppose qu'il s'agit aussi du cas de Romeo + Juliet), il n'y a pas prétention à se substituer à l'œuvre originale et/ou faire passer un message politique dans l'air du temps qui étouffe le reste (prétention accompagnée d'attaques en règles à base de "fachos, racistes, réacs" visant les mécontents attachés à l'œuvre originale, que se soient pour de bonnes ou mauvaises raisons : préférences esthétiques, attachement à la fidélité au message initial, nostalgie, whatever). Note : je ne dis pas que les adaptations, du fait d'un nouveau contexte, ne peuvent inclure un message absent dans l'œuvre initiale. Néanmoins, si ces adaptations "passent" (voire sont considérées comme des chefs-d'œuvre dans certains cas), c'est que 1/ le matériau de base est universel (e.g. l'amour impossible de Roméo et Juliette est parfaitement contextualisable dans un ghetto new-yorkais des années 50) et 2/ s'il y a un message supplémentaire, il ne se substitue pas au matériau de base (un message anti-raciste peut venir se greffer au matériau de base (e.g. l'amour impossible entre une portoricaine et un Américain d'origine polonaise, irlandaise ou italienne) sans le dénaturer).
  18. Dans la continuité du petit dernier aussi, je trouve (Disharmonium - Undreamable Abysses), et pas seulement pour les thèmes abordés (qui ne peuvent que te parler ).
  19. Ultimex

    Actualité Covid-19

    Mais qui sont ces gens ? Edit : Ah, une minustre semble-t-il...
  20. Ah non, désolé.
  21. Québec, tout est dit.
  22. This. Ce n'est pas la première fois que ce scandale remonte à la surface d'ailleurs. Rien de nouveau donc.
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