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[HS] Quand même (le blitz de 40, qu'est-ce si ce n'est du bombardement à grande échelle)... D'ailleurs, les bombardements anglais en Allemagne ont aussi une visée revancharde (cf. l'Air Marshall Harris : « Les Nazis sont entrés dans cette guerre avec l'illusion enfantine qu'ils allaient bombarder tout le monde, mais que personne ne les bombarderait. À Rotterdam, Londres, Varsovie, et dans une cinquantaine d'autres endroits, ils ont mis leur théorie naïve en application. Qui sème le vent récolte la tempête. »). [/HS]

Les caesar, ce n'est pas vraiment '80s (entre autres).

Peut-être un symbole crypto-brassicole en lien avec l'Oktoberfest.

Là, il n'y a plus l'excuse de la jeunesse par contre.

Il faut que jeunesse se passe.

En deux mots plutôt : tarés dégénérés.

Réflexion en cours (donc décousue) : Ou Ran (ou Le Château de l'araignée), pour rester dans les adaptations shakespeariennes. Mais, dans le cas de ces deux adaptations (et je suppose qu'il s'agit aussi du cas de Romeo + Juliet), il n'y a pas prétention à se substituer à l'œuvre originale et/ou faire passer un message politique dans l'air du temps qui étouffe le reste (prétention accompagnée d'attaques en règles à base de "fachos, racistes, réacs" visant les mécontents attachés à l'œuvre originale, que se soient pour de bonnes ou mauvaises raisons : préférences esthétiques, attachement à la fidélité au message initial, nostalgie, whatever). Note : je ne dis pas que les adaptations, du fait d'un nouveau contexte, ne peuvent inclure un message absent dans l'œuvre initiale. Néanmoins, si ces adaptations "passent" (voire sont considérées comme des chefs-d'œuvre dans certains cas), c'est que 1/ le matériau de base est universel (e.g. l'amour impossible de Roméo et Juliette est parfaitement contextualisable dans un ghetto new-yorkais des années 50) et 2/ s'il y a un message supplémentaire, il ne se substitue pas au matériau de base (un message anti-raciste peut venir se greffer au matériau de base (e.g. l'amour impossible entre une portoricaine et un Américain d'origine polonaise, irlandaise ou italienne) sans le dénaturer).

"Enfin" ?

Dans la continuité du petit dernier aussi, je trouve (Disharmonium - Undreamable Abysses), et pas seulement pour les thèmes abordés (qui ne peuvent que te parler ).

Mais qui sont ces gens ? Edit : Ah, une minustre semble-t-il...

Ah non, désolé.

Québec, tout est dit.

This. Ce n'est pas la première fois que ce scandale remonte à la surface d'ailleurs. Rien de nouveau donc.

!= Police Nationale. Bienvenue sinon !

Pharoah Sanders, saxophoniste de jazz... Dave Sherman il y a quelques temps déjà sinon, bassiste et vieux briscard de la scène doom.

"C'est celui qui dit qui l'est", "nan, c'est toi", "ah nan, je l'ai dit avant". Bon, dites, y a marqué [Sérieux] en haut. On a compris le fond, on peut avancer maintenant.

La première partie de la phrase me semble exacte. Le reste, gros doute (concernant les tirs depuis des sous-marins pour certains ICBM, les frappes nucléaires tactiques tirées depuis des véhicules, etc. Bref, tous les cas où le "pas de tir" est mobile et plus ou moins discret). ? Source ? Ca me semble sacrément optimiste comme affirmation...

Nonon, c'était bien un article traitant de la petite phrase de Hayek.

Il y avait bien un article de CP mais impossible de mettre la main dessus...

Y a des exceptions, des unités disciplinaires peuvent, parfois, s'illustrer : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Bataillons_d'infanterie_légère_d'Afrique (Siège de Mazagran).

Ça dépend des milieux, mais ça existe toujours dans certaines sous-scènes musicales : - occultisme/magie du chaos/néo-paganisme du côté industriel/post-industriel (voir du côté Psychic TV/Coil pour les grands anciens) ou du côté du cousin neofolk (Death in June, le Current 93 des débuts) ; - occultisme/satanisme (sous ses différents aspects, du plus kitsch, grand-spectacle visant à choquer le badaud, au plus orthodoxe)/néopaganisme du côté du black-metal (même si moins marqué qu'à la grande époque des années 90). Dans les deux cas, avec des sous-variantes d'extrêmes-droites. Ah, et ces différentes "spiritualités" s'avèrent assez poreuses (exemple, côté black metal : Louis Cachet qui passe du satanisme au neo-paganisme).

What ? Ca devient une invasion...

Certes, mais disons que c'est plus marquant quand on se pose en défenseur de la culture française.

Pour s'assurer de la pérennité de la culture et des traditions françaises, écrire dans un français correct, non constellé de fautes, serait un bon début.

Comment ça ? Conserver les modifications mais les cacher ? Si c'est ça, aller dans l'onglet Révision (ou l'équivalent anglais). Dans la partie Suivi, il y a un menu déroulant (le plus haut) qui laisse la possibilité : - d'afficher les Marques simples (afficher toutes les modifs en version simplifiée) ; - d'afficher Toutes les marques (afficher toutes les modifs) ; - de n'afficher Aucune marque (présente la version du doc si on valide toutes les modifications) ; - d'afficher la version Original (comme son nom l'indique : présente la version du doc sans modification). Dans ton cas, si je comprends bien ta demande, il faudra sélectionner une des deux dernières options. S'il s'agit plutôt de valider (ou de refuser) toutes les modifications apportées au doc, toujours dans Révision, il y a la possibilité de faire tout ça d'un coup côté partie Modifications.