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On est en France, il y a une nomenclature pour tout, par exemple : https://www.ameli.fr/etablissement/exercice-professionnel/nomenclatures-codage J'imagine qu'ils ont confondu le code D5GDJUEYD678E976D68E9HDGYE (peut-être Covid19) avec D5GDJUEYU678E976D68E9HDGYE (peut-être ampoules aux pieds) ... "Ah les cons ! C'est pourtant évident, pas foutus de recopier un petit code", M/Mme J-C. v D., chef de bureau au Ministère de la Santé

Un édito du Temps qui fait plaisir, dans un certain sens : https://www.letemps.ch/suisse/liberte-cherie-tant-redoutee

Bon, je reviens après la bataille, mais tout pareil que @poney :-)

Pas vraiment, pour un original numérique, on sait normalement remonter la chaine de production du document. Pour une copie fidèle aussi. C'est pas le cas, et ça se "voit" qu'un doc a été numérisé.

Ce qui permet la recherche instantanée, c'est la numérisation, pas de débat là dessus. Par contre, l'archivage a une vocation probatoire (ou patrimoniale mais pas l'objet ici), et si la numérisation n'est pas faite dans les règles de l'art, point de salut. "Archivage" n'est pas substituable à "Stockage" ou "Historisation". Ici, l'amélioration de la recherche relève en somme des techniques de GED en gros. Mon point était sur l'archivage mixte, c'est-à-dire gérer ensemble des corpus pour partie électronique et pour partie papier. C'est le mal car c'est asses complexe d'avoir une continuité entre les deux ensembles, donc ça aboutit souvent à des soucis de vocation probatoire. Nope, car ce sont des originaux numériques dans ce cas, bien souvent signés électroniquement d'ailleurs. Il n'y a pas toute la problématique de démat qui consiste à transformer du physique en numérique. Dans le cas contraire, si ce sont des documents papier scannés, si ce n'est pas fait selon les règles de l'art, ils n'ont pas la force probante d'originaux, vaut mieux donc garder le papier qui reste l'original. Si c'est fait proprement, la copie devient "copie fidèle", et le plus important, c'est que la charge de la preuve est renversée au tribunal.

Je ne suis pas d'accord : pour décider, il n'est pas nécessaire d'être expert. Il faut par contre avoir un bon esprit analytique, s'entourer d'experts, et être capable de poser les bonnes questions (c'est-à-dire challenger les experts sur leur réflexion). Pour cotoyer pas mal de décideurs (et pour une partie d'entre eux, des bons) dans des secteurs d'activité très variés, la plupart ne sauraient pas répondre à cette question de factorisation, et ça n'a aucune importance : par contre, ils sauront poser la question "comment est-ce que ça va évoluer à telle, telle et telle échelle de temps ?". Sur la base d'une ou plusieurs réponses qui leur auront été faites, ils prendront leur décision, informée au mieux avec ce dont ils disposent comme éléments. C'est d'autant plus important de ne pas tomber dans ce piège que ton décideur, il aura what mille paramètres à prendre en compte dans sa décision. C'est finalement très récent cette mathématisation du monde. Me semble que l'important, c'est surtout d'être capable de poser les bonnes questions.

J'abonde abondamment sur ce point. Le problème, c'est pas la démat, c'est la copie fidèle. Et là, avoir une copie fidèle qui permette de détruire l'original, c'est pas une mince affaire. Ca se fait, mais pas à la portée du particulier. Pour ceux qui veulent s'amuser, c'est la norme NF Z42-026 en France. La jurisprudence est encore à faire sur ces sujets, mais en gros, un particulier qui scanne lui même un document puis détruit l'original détruit en fait sa preuve, et ne se retrouve plus qu'avec un élément d'un faisceau de preuve. Par exemple, je ne serais pas étonné qu'un organisme compréhensif comme la CNAV demande des originaux de bulletins de paie pour faire valoir ses droits à la retraite, pour peu que ça existe encore le moment venu. Bref, pour bosser dans le domaine, perso, je garde tout en papier (l'archivage mixte, c'est le mal...)

Tu ne peux pas obtenir un compte lithuanien, mais lorsque le Brexit aura lieu, a priori, ils transfèreront tous les comptes des clients UE vers leur structure lithuanienne qui a une licence bancaire UE. Source : https://blog.revolut.com/how-we-protected-our-customers-from-brexit/

Je me demande si un bête compte Revolut et/ou N26 peut être un premier niveau de protection ? Revolut est un établissement UK actuellement, lithuanien je crois d'ici au Brexit, et N26 est allemande. Vous en dites quoi ?

A priori, le transport des patients ne se fait qu'en salle basse, le haut est pour le reste du personnel accompagnant (logisticien, électricien...)

Est-ce que tu penses que ça puisse relever de quelque chose de conscient ? Je travaille quotidiennement avec des personnels du secteur public, dans des Ministères ou des agences de l'État, mais également avec le secteur hospitalier. Globalement, les gens ne me semblent pas machiavéliques à ce point... Autant je les vois bien bidonner un peu les chiffres de ci de là localement (et de manière limitée car il faudrait pas que leur responsabilité individuelle puisse être engagée), autant je suis plus perplexe sur quelque chose d'une telle ampleur.

Oui voilà c'est un peu l'idée d'une gestion pilotée avec des ETF. C'est vraiment si tu ne veux pas te casser la tête parce qu'en plus, tu peux avoir des versements réguliers donc tu as même pas à te poser la question chaque mois : ils te prélèvent automatiquement, et font l'allocation pour correspondre au profil. Mais ça coute quelques points de performance du coup. Perso, j'y suis pas allé, je gère mon ETF World tout seul, ça me prend 3min par mois, ça suffit ^^ Et AV = Assurance-vie pardon !

D'ailleurs, si tu veux vraiment pas t'ennuyer et que tu es ok pour sacrifier un peu de performance pour ne VRAIMENT plus avoir à y penser, ouvrir un compte chez Yomoni peut être une bonne approche. Possibilité d'aller sur de l'AV ou PEA sur le profil 10 (100% actions)

Bonne question, aucune idée ! Je me dis qu'il n'y a pas de raison. Le service clients est top, envoie leur un petit mail !

Attention d'ailleurs aux frais de transfert sur un PEA qui a encore des titres, parfois les banques se font vraiment plaisir c'est vite hors de prix (x€ par ligne à transférer + forfait pour le PEA en lui-même)

Linxea a de chouettes produits (Linxea Avenir et Linxea Spirit notamment).

C'est vrai mais déjà qu'en temps normal faut pas être pressé pour faire un transfert, alors en ce moment, ça doit pas être triste...

Les frais, c'est ce qui grève le plus la performance. Il me semble que je fermerai le vieux PEA pour partir sur un PEA chez Binck par ex avec ETF World, rentrée progressive et roule :-). J'aime pas Bourse Direct, l'interface est pourrie, Binck un peu mieux. Surtout que c'est un PEA par personne normalement. Un bon truc pour l'invest lazy : le site de l'épargnant 3.0, mine d'infos pour débuter : https://www.epargnant30.fr/debuter/

Tu serais livré des actions du sous-jacent ? J'avais à l'esprit qu'en cas de liquidation, tu avais la contrepartie en numéraire de la vente des actifs du fonds. Mais peut-être suis-je enduit d'erreur...

Merci à tous les deux, je suis en train de pousser pour avancer sur le dossiers, premiers retours réceptifs... Comme je le pensais, la partie applicative, c'est peanuts, faut voir les différents points soulevés. On verra ce qu'on peut faire avec ce qu'on a plutôt que ce qu'il serait idéal de faire si on avait... une authent unifiée...un référentiel à jour et maintenu...du temps... Merci encore !

Bonsoir à tous, J'ai lu aujourd'hui cette interview : https://www.lepoint.fr/sante/coronavirus-a-l-hopital-de-mulhouse-on-voit-les-collegues-qui-passent-a-leur-tour-en-reanimation-22-03-2020-2368238_40.php Cette phrase m'a interpelé : La répartition des patients est d'autant plus problématique qu'il n'existe pas en France d'outil permettant de savoir où il y a des places de réanimation libres. Les réanimateurs passent un temps fou au téléphone pour les trouver. Je pense pouvoir me débrouiller pour faire réaliser une appli simple pour gérer ça, avec une approche effectuale. Je bute sur 2 points, j'en appelle à l'intelligence collective (on verra si la partie collaborative coopérative volontaire qui va avec le libéralisme marche bien) : - comment peupler l'appli avec le plus d'établissements de France qui peuvent pratiquer de la réa ? - comment gérer la partie authent pour éviter que n'importe qui puisse indiquer n'importe quoi ? Pour le reste, l'appli en elle même est fonctionnellement simple. Un établissement, n places, une localisation, afficher les places les plus proches d'un point donné. J'ai des contacts aux DSI de l'INSERM et de l'APHP mais je crains d'être embarqué dans une marée de "c'est pas possible, faut une autorisation etc". J'ai l'espoir que si ça rend un service, ça prendra, directement auprès des personnes concernées, même si ça sera certainement pas parfait, sinon, ça sera pas une perte. SVP, me répondez pas que c'est pas possible : j'en suis convaincu, aidez moi à le rendre possible !

Zut, je peux pas éditer. Mais effectivement, les éditeurs te parlent d'IA, c'est magique gnagnagna... la réalité c'est que ça marche très bien mais c'est beaucoup plus prosaïque que ça. Ça n'a rien d'intelligent, c'est un robot qui va faire des actions à ta place, et c'est déjà vachement bien quand ça peut t'éviter des trucs répétitifs pénibles.

Oui, plusieurs, je bosse pour une PME et on a une équipe qui fait que ça. Les grands usages ce sont : - les interops quand l'un des deux systèmes n'a pas d'API par exemple. On a beaucoup fait ça pour interopérer des systèmes de gestion financière fermés avec des applis métier. - la migration de données, genre peupler un système à partir d'un input quelqu'il soit (excel, csv, bdd...). Ça c'est bien pratique quand quelqu'un récupère toutes les semaines une connerie de fichier Excel à ressaisir à la main dans une appli - du web scrapping : surveiller des pages web et récupérer le contenu en le structurant dans le SI. En gros, il faut imaginer que c'est un bidule à configurer qui va répliquer des tâches humaines (clic ici, copie ça, colle là, ajoute une colonne, ajoute 2 lettres à la fin, clic sur Valider). Tu fais ton design une fois et roule, c'est assez rapide à mettre en oeuvre en plus. Ce qui est pas mal c'est qu'il y a toujours un designer avec donc une fois que la brique de RPA est posée, moyennant un bout de formation, le client est autonome pour designer ses robots s'il a 2/3 neurones. Nous on bosse avec Kofax RPA et UIPath, ça marche bien. Il y en a d'autres, mais je n'ai pas de REX dessus. Je sais qu'une grande banque au Japon a totalement supprimé toute interop traditionnelle pour remplacer ça par 6000 robots en gros parce que c'est plus souple. Pas besoin de créer une API (ça fait bondir les développeurs mais c'est la réalité). Très développé dans la banque la RPA.

Vous avez pas de systèmes de RPA pour vous aider avec toutes les tâches humaines chronophages répétitives à la con ? C'est robuste et ça va relativement vite dans la mise en oeuvre...

Tu aurais des sources ? C'est important ! Merci !