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Tout ce qui a été posté par Demetra
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Parti Libéral (ex-Parti Libertarien)
Demetra a répondu à un sujet de Alchimi dans Politique, droit et questions de société
On fait quoi pour eux ? On fait quoi sur ce sujet ? Bref on parle de quoi à part du nom ? -
Parti Libéral (ex-Parti Libertarien)
Demetra a répondu à un sujet de Alchimi dans Politique, droit et questions de société
moi j'aime bien le nom "Les Indépendants", mon amour pour Constant ça ? bon plus sérieusement, ce fil ok, mais à part tergiverser sur le nom, on fait quoi ? -
En France, au premier tour des élections syndicales ne peuvent se présenter que des personnes syndiquées. Au second tour le scrutin est ouvert à tous. Flashy propose de l'ouvrir dès le premier tour à tour le monde. Oui oui j'ai bien compris et je suis d'accord avec ça. Mais de manière plus générale, couper les subventions des syndicats pour qu'ils retrouvent leur place et leur rôle me semble une bonne chose à faire aussi. Leur but n'est pas de faire de la politique avec notre argent. Mais de défendre les intérêts des salariés auprès des entreprises avec l'argent de leurs seuls adhérents.
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oh oui putain ! ?
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je vais suivre ce débat qui me semble intéressant et essentiel. de ce que j'ai compris de vos diverses explications, Macron veut rendre le législatif plus rapide, c'est dans l'air du temps d'aller toujours plus vite, sauf que ça va à l'encontre même des principes de la politique, qui se veut un temps long, parce que la réflexion demande du temps non ? En se précipitant, ça leur laisse beaucoup de temps pour légiférer des lois liberticides toujours plus nombreuses. Avoir la tête dans le guidon, ne pas prendre le recul nécessaire à l'analyse de la situation dans son ensemble et ses répercutions, me semble en effet plus que dangereux pour nos libertés.
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J'ai trouvé un début de piste pour convaincre les partisans du public : Il faut que je trouve le coût de ces interventions dans le public et les comparer à celles du privé pour prouver qu'un système privé est réellement plus efficace et moins coûteux. Cette info vaut son pesant de cacahuètes ! Si les établissements privés sont 'moins chers' de 20%, peut-on l’extrapoler au coût d'une santé privée pour le contribuable ?
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Pour faire plaisir à @Lameador et pour intégrer une dose de libéralisme 'acceptable', on pourrait proposer un nouveau contrat de travail, en plus de tous ceux existants, laissant aux employeurs et aux salariés la liberté d'en définir les termes. Ainsi ceux voulant la sécurité iront vers les contrats existants et ceux voulant la liberté iront vers le nouveau contrat, qui n'impose rien ? On abolit pas le Code du Travail, mais on autorise ceux qui le souhaitent à ne pas le respecter. Par contre j'ignore la technicité d'une telle chose à mettre en place.
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Je ne sais pas ce qu'il en est de l'état des études scientifiques sur le sujet, mais pour l'avoir vécu, je parle donc de mon seul ressenti, j'ai tendance à dire que porter un enfant, lui donner la vie, le nourrir au sein, s'en occuper, l'aimer, c'est un sentiment très primitif et instinctif. Néanmoins je vais nuancer. S'il y a bien des comportements genrés culturellement, les rôles peuvent s'inverser. Une femme peut ne pas ressentir c'est 'instinct maternel' alors que des hommes vivront la grossesse, l'accouchement et l'amour de son enfant de manière très intense. Je ne dirais donc pas que c'est des foutaises l'instinct maternel. Mais que une femme ou un homme peuvent le ressentir ou non. Probablement que c'est plus présent chez les femmes, car par principe c'est encore elles qui portent et donnent la vie, mais ce n'est peut être pas négligeable auprès des hommes. Je sais pas si j'ai été très claire ?
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Que ce soit mère ou père au foyer, c'est pareil et c'est compliqué. Et j'ai tendance à croire que tant que tu le vis pas, tu peux pas vraiment savoir à quoi tu t'attends. Comme un premier enfant tu me diras. C'est toujours un peu l'inconnu. Si c'était à refaire je le referais (mère au foyer) mais il me tarde quand même de reprendre le boulot. C'est une expérience à vivre comme une autre je dirais.
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La création d'emploi, c'est le fait de permettre à une entreprise de travailler 7j/7, H24 si ça lui chante. Je ne suis pas contre que les gens volontaires travaillent autant qu'ils le souhaitent, mais dans le cas de la France pas sûre que dire on enlève le SMIC, les 35h et le repos hebdo soit très bien vue, mais je suis d'accord sur le principe.
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A court terme, plutôt un écrémage en profondeur. A très long terme, quand les français auront saisi leur intérêt de vivre en liberté, on pourra faire tomber le code du travail. Sauf que de cette manière, tu ne peux répondre à tous les cas particuliers et tous les besoins spécifiques, même en rajoutant à la pelle des statuts. Sans parler de la complexité du truc ... Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ...
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Je pense que quelque soit les appellations évoquées, un contrat reste un contrat et qu'il devrait être librement conclu entre l'employeur et le salarié, sans que l'Etat n'ait son mot à dire. Plutôt que de rajouter de vagues nouvelles options, et de nouvelles contraintes inutiles, le marché du travail devrait se démerder comme tu le dis si bien, en concluant des contrats de travail (on se fout pas mal des noms pompeux !).
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Je suis totalement pour redonner leurs autonomie et responsabilité aux communes. De même qu'aux départements, cela va dans le sens d'une société plus libérale. Cependant plutôt que de convaincre des maires à tout prix, ne serait-il pas plus 'simple' de convaincre les citoyens du bien fondé d'une gestion responsable des finances pour se faire élire maire et membres du conseil municipal ? On pourrait même imaginer que certaines communes mettent en place des assemblées citoyennes (par tirage au sort par exemple) plutôt que des conseils municipaux. L'idée étant que l'Etat ne doit pas imposer une organisation aux départements et communes. Concernant les investissements, je suis de l'avis de Tramp, une mairie devrait pouvoir les financer sur la durée d'un mandat, en gardant à l'idée que Rome ne s'est pas faite en un jour ... L'argument des écoles ne tient pas si l'on envisage de privatiser l'éducation (à quoi je suis pour évidemment !).
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Mon point de vue sur la fiscalité : - au niveau national : un impôt sur les revenus à taux unique de 10% (je ne suis pas contre un seuil minimal d'imposition afin de ne pas fragiliser les plus bas revenus et de couper l'herbe sous le pied aux opposants de cette mesure), - suppression de la TVA, de l'impôt sur les sociétés, des taxes, charges sociales et autres contributions, - au niveau local (communes et départements) : un impôt sur les revenus à taux unique de 5% maximum (par exemple : un département décide de prélever 3%, les communes ne devront pas excéder 2%) payé par tous (pas de seuil d'imposition donc), je suis pour une concurrence fiscale, mais contre l'imposition du capital (cela revient à payer deux fois !), - suppression du prélèvement à la source !
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Pourquoi ne pas proposer un contrat de travail unique qui regrouperait tous les contrats existants ? Dans un cadre plus ou moins prédéterminé (les clauses obligatoires), les employeurs et les salariés pourraient librement négocier les termes dudit contrat. Pour l'exemple, les clauses obligatoires pourraient être : - le temps de travail hebdomadaire (on peut éventuellement fixer un maximum à 40h, au-delà les heures supplémentaires seraient majorées), - le repos hebdomadaire (on peut éventuellement fixer 1 jour de repos obligatoire), - les jours fériés chômés ou non (on peut éventuellement fixer un minimum à x jours, * à savoir que je suis pour la suppression des jours fériés religieux, à l'exception de Noël qui relève plus du folklore selon moi *), - les congés payés ( ... fixer un minimum de 5 semaines, parce-que concrètement je doute que toucher à ce détail passe), - la rémunération (je ne suis pas contre la suppression du SMIC, mais je ne suis pas sûre que cela passe dans les premiers temps), - la durée du contrat (il pourrait être à durée déterminée ou non, sans justificatif nécessaire pour les contrats courts), - la rupture du contrat (elle doit pouvoir être unilatérale pour l'employeur comme le salarié, avec ou sans préavis, avec ou sans indemnisation, et je ne suis pas particulièrement pour fixer des minimum, * à savoir que je suis pour l'instauration d'une allocation de base, auxquels les démissionnaires et licenciés auront droit, mais je détaillerai ce point dans un autre sujet *) et bien d'autres clauses que j'oublie. Dans l'idée, cela permettrait de relâcher la pression sur les employeurs pour faciliter l'embauche tout en gardant un cadre plutôt rassurant pour les salariés. Dans cette optique, un salarié pourrait librement accepter par écrit (pour éviter tout problème) des conditions moins avantageuses que prévues par le Code du Travail (plus d'heures payées au tarif normal, salaire inférieur au SMIC, moins de congés payés, etc.). Le "problème des syndicats" n'en est pas un : supprimons les subventions !
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Ah super merci ! Je vais m'y inscrire !
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Voici une première compilation des idées (je remettrais ça proprement en forme quand j'aurais 5 minutes). A développer et compléter. Programme libéral par thématique.pdf