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Tout ce qui a été posté par (V)

  1. (V)

    Liberland

    j'ai demandé la citoyenneté, ça relève de toute façon plus du gag qu'autre chose pour l'instant. Indépendamment du contexte géopolitique, les chances de survie sont liées à la façon de communiquer et de faire exister ce projet. mais si ses protagonistes le prennent eux-mêmes à la blague et se contentent de palabrer pour pondre une constitution, la traduire et la faire liker et retweeter, bon... Première étape, un vrai gros squat, et commencer à construire en dur, vivre réellement sur place. Installer des serveurs ? et développer une économie locale non basée sur la drogue et la prostitution (avec les libertariens, on ne sait jamais...) Bâtir une sorte de grande université libre et financer par l'octroi de bourses des études à des profils prometteurs et/ou défavorisés venant du monde entier. 200 jeunes engagés dans un parcours d'excellence (avec tous nos profs libertariens de renoms, rien de fou là dedans) sur la durée d'un master par exemple, et commencer à négocier des partenariats avec d'autres universités prestigieuses. Mettre en avant les profils de personnalités "respectables" que l'on fera habiter sur place (et non les "hippies" dont je ferais peut-être partie qui seront là juste pour le gros squat). Bref, une sorte de nation philanthropique basée sur le fric (à la George Soros), difficile de déloger ça, c'est un plan réalisable. Mais ça implique de se bouger le cul grave et de ne pas se contenter de déclaration à base de tweets et de statuts facebook, de titre pompeux d'ambassadeurs qui n'en sont pas vraiment et qui ne foutent rien si ce n'est se présenter comme tel sur le web. Donc oui le projet ne semble pas très bien parti, mais comme tout projet il dépend de l'envie et de l'énergie de ceux qui le portent et l'incarnent...
  2. (V)

    Liberland

    Concerts, discours, buvette rien de fou, mais le terrain devrait bien être occupé le 4 juillet
  3. (V)

    Liberland

    Je voudrais bien contribuer au "développement" du Liberland, mais un premier contact me redirige simplement vers les groupes de traductions pour des conneries du genre constitution et blablabla. Un peu déçu de ce projet dont les protagonistes semblent s'attacher davantage à la visibilité sur le web et moins à se qui peut se construire réellement sur place, je suis quand même tenté pour aller voir ce qui va se passer le 4 juillet. D'autres libéraux motivés ? (Pour un départ groupé, que ce soit en avion, car, voiture...)
  4. On dirait Hollande... (celui de droite, quand il vient de se faire souffler la noix)
  5. tout dépend le job, s'il s'agit d'une relève ou de respecter une heure annoncée publiquement... Mais le concept "arriver à l'heure" est d'une bêtise absolue. En tant qu'entrepreneur je n'ai pas "d'heures", car je bosse tout le temps. Toute la nuit quand il le faut, et le week-end évidemment. Ce qui me permet aussi d'écrire un message sur liberaux.org à 2h de l'après-m en pleine semaine, quand on m'aurait certainement réprimandé dans d'autres circonstances... par contre il est fort probable qu'à 2h du mat' je sois toujours en train de bosser sur une propale. Arriver à l'heure au travail c'est la chose la moins sensée du monde, sur laquelle semble pourtant bâti tout notre système. Par exemple, un fonctionnaire qui n'a rien à faire, hé bien qu'il reste chez lui, qu'il arrive au taf à 11h, au moins il évitera de faire chier ceux qui ont vraiment à faire en évitant de provoquer davantage de bouchons sur la route. Mais non, il faut "pointer", et on est "bien vu" quand on arrive à l'heure... Quel monde de cons. Ah oui, il faut se raser aussi... et mettre une cravate. Et se faire des bigoudis. Si on se mettait à raisonner en termes de projets et d'efficacité, et non d'habitudes et de conventions périmées...
  6. en fait il faut voir comment en faire une source de fric et pas seulement de dépense, en plus d'être du fun. mais avant d'avoir un brevet d'Etat para... et n'est pas Jeb Corliss qui veut... mais cameraman avec un binome qui fait du tandem, c'est jouable. même si c'est pas du base, ça fait la nique à tous les employés en open space
  7. disons que ça ! c'est le véritable open space
  8. Et quand tu seras à l'aise avec l'analyse de texte, lis Tocqueville pour commencer, L'ancien régime et la révolution par exemple.
  9. Tu as mal compris. Essaye de relire et vois ça comme un bon entraînement pour l'analyse de texte
  10. Ce que je pense sincèrement, c'est que le parti libertarien fera son petit bonhomme de chemin tant qu'il ne représentera aucune menace pour l'ordre en place. Il permettra d'attirer tous ceux qui ne trouvaient écho dans les partis traditionnels, une bonne façon de les repérer et d'évaluer leur extrémisme. A partir de là : - soit les libertariens ne représentent aucune menace, leur extrémisme intellectuel les enferme dans des débats abscons qui feraient rirent ceux qui les entendraient. On peut même leur accorder quelques places ci et là dans des conseils municipaux, voire, un jour, un député. - soit leur extrémisme intellectuel les pousse à tenter quelque chose de possible, comme une grève massive de l'impôt ou un fort abstentionnisme (privant ainsi le pouvoir de ressource ou de légitimité), dans ce cas il s'agira de les discréditer, et neutraliser les plus virulents. - soit leur extrémisme trouve une forme active : maniement des armes à feu principalement, la menace devient réelle, il ne s'agit plus seulement de les discréditer mais les neutraliser voire les détruire. La seule stratégie "démocratique" possible pour de véritables extrémistes est donc l'engagement sur le très long terme : long à tel point que leurs idées finissent par se confondre avec celles de la société et du pouvoir. Tout finit par concorder et les extrémistes peuvent alors occuper les fonctions de représentants du pouvoir (sans toutefois jamais toucher au pouvoir lui-même). Il ne s'agit donc pas de dire tout aussi naïvement non à la naïveté militante ou partisane : il faut juste savoir pour quoi on s'engage réellement, être au clair sur ses motifs et sur ce qu'il est réellement possible d'espérer. A partir de là, faire de la politique comme un simple passe-temps est tout à fait honorable, rencontrer des militantes sexy, jouer aux intrigues façon Talleyrand ou Richelieu, il y a vraiment de quoi se marrer oui.
  11. Le naïf est celui qui croit vraiment aux idées qu'il défend et qui croit qu'en rejoignant un parti il oeuvre réellement en vue de les réaliser. L'autre est bien le profiteur que tu décris, celui qui croit profiter de la sorte mais qui est ainsi manipulé, oeuvrant pour la perpétuation du système plus ou moins malgré lui. Et qui est donc bien naïf lui aussi. Oui, quand je dis "hisser", je dis surtout que ces personnes sont déjà placées au sommet des grandes formations établies nationalement : tout le reste n'est donc là que pour légitimer leur passage à un poste "clef" - qui n'a rien de clef puisqu'il ne s'agit toujours pas d'action politique mais de pure représentation. (Les citoyens qui s'en prennent aux membre visibles d'un gouvernement ou au président lui-même quant à la situation du pays sont vraiment des tartes, or c'est typiquement le cas du militant de base qui semble accroire en la possibilité d'action réelle d'un élu quel qu'il soit). C'est le pouvoir qui "permet de gagner l'élection" > qui choisit effectivement de placer telle ou telle personne à tel poste électif. Et cela tout en respectant une processus "démocratique" parfaitement rigoureux, pas besoin de truquer les urnes pour s'assurer que c'est bien tel candidat qui sera "démocratiquement" sélectionné.
  12. encore une fois mon p'tit loup, ça n'a rien à voir avec le PLD en particulier mais avec le système partitocratique. les nouveaux adhérents à un parti se classent en deux catégories et deux seulement : - Les gros naïfs, qui constituent la base militante trop vite déçue, mais nécessaire, sur laquelle pensent pouvoir se hisser... - ...ceux qui espèrent en profiter à titre personnel, en tant qu'élu, ou en tant que cadre du parti ou assigné à de (pseudo) responsabilités, pour les indemnités, et/ou pour la gloire ou le prestige social... et qui sont tout aussi naïfs que les premiers car ça n'arrivera probablement pas, ou de façon tellement rare que cela revient à jouer au loto. Et leur situation est pire que celle des premiers, car ils doivent tenir le même discours qu'eux tout en sachant que c'est un discours de gros naïfs, ce qui en fait des hypocrites - et en cela peut les griser tant qu'ils pensent manipuler les autres, jusqu'à ce qu'ils comprennent qu'un parti ne les traitera pas différemment de la première catégorie de naïfs et qu'ils se font donc tout autant manipuler eux-mêmes par le système en pensant précisément agir en manipulateurs. Toute cette masse de naïfs, tout parti confondu, ne sert qu'à hisser quelques personnes au sommet en donnant l'illusion qu'elles émergent d'un grand processus démocratique, ces personnes étant déjà placées - et plus ou moins à l'origine - des grandes formations établies nationalement. Les petites formations canalisent les courants marginaux, pour mieux les empêcher de s'imposer par une réelle subversion. Dans sa prétention à conquérir le pouvoir, un parti, quel qu’il soit, a ainsi pour visée détournée le maintien de ce pouvoir. Tout parti, quel qu'il soit, contribue donc au maintien du pouvoir. Les alternances de façade canalisent les mécontentement des citoyens, et les formations marginales permettent de mieux cerner les vrais contestataires, les surveiller, les modérer ou les exclure définitivement en les compromettant ou en les neutralisant. Certes, il se peut que quelques rares personnes ayant conscience de cette réalité adhérent quand même à un parti : mais dans ce cas, c'est seulement pour contribuer à cette grande illusion démocratique en connaissance de cause. Par exemple, une certaine élite privilégiée comprenant qu'il est dans son intérêt de maintenir cette illusion, pour maintenir leur situation privilégiée qui en découle. Toute autre raison est une fausse raison. En fait, il n'y a pas de raison. Ceux qui se mettent hors du jeu volontairement ne font pas le choix de l'inaction par rapport à ceux qui "agissent" en s'engageant dans un parti : ils savent simplement que l'action du militant est factice et participe du système, et qu'il est autant tenu qu'eux à l'impossibilité d'une réelle action politique. Cela dit, ce n'est pas parce que le militant est dans l'illusion qu'il faut le désillusionner. Au contraire, c'est une chance, car son existence sera animée d'espoir, d'émotions, de sensations... tant que la déception ne l'emporte pas sur les autres sentiments. Pour 10 euros c'est un bon deal en effet.
  13. on en a déjà parlé, et qu'ils soient amis n'excuse en rien cette intrusion, au contraire c'est justement le vrai problème - pour qui prétend lutter contre le népotisme. Et la description que tu en fais correspond tellement... Enfin bref, j'espère qu'Aurélien saura s'affranchir quand il le faudra, à trop rechercher la reconnaissance des politicards déjà en place il risque de couler avec eux quand il y aura vraiment une possibilité de les faire couler, ce à quoi est précisément sensé œuvrer le PLD (enfin, en théorie). La politique n'a décidément rien à voir avec la logique. Un monde de paradoxes et d'intrigants...
  14. comment un mec qui ne dit rien exprimerait-t-il la moindre idée que l'on pourrait qualifier de libérale ?? et la défendre "fermement" ??? croire qu'un politicard a des valeurs auxquelles il s'attache est assez naïf, mais admettons : le problème est que je ne peux même pas le traiter de menteur ou d'hypocrite puisqu'il NE DIT RIEN. Il enchaîne des mots pour construire des phrases sans queue ni tête, qui ont l'air de dire des choses parfois profondes mais qui ne résistent pas à 2,7 secondes d'analyse. Quelles sont ses valeurs selon toi ? Et comment les défend-il ?
  15. (V)

    Concours de cassos'

    un génie, une sorte de Hollande au niveau de la mairie
  16. (V)

    Concours de cassos'

    surtout qu'on se fiche éperdument de l'organisme ou de la couleur politique, d'autant plus au niveau local. Pour le coup il est très doué (en tant que politicien s'entend)
  17. Je ne comprends pas les doutes quant au libéralisme du PLD : le PLD est un parti, donc c'est une autre logique et surtout une autre pratique que les débats philosophiques. En fait, ça n'a même rien à voir. Un parti n'a rien à voir avec tout ça, le PLD comme n'importe quel autre. On ne s'engage pas au PLD parce qu'on adhère à son programme ou parce qu'il y a "libéral" dans le nom : on s'engage au PLD comme dans n'importe quel autre parti quand on est dans un état d'esprit politicard. Et dans cette perspective politicarde, ce qui me chagrine avec le PLD c'est que j'entends beaucoup trop le nom de Mariton. Jamais entendu un mec parler autant pour ne strictement rien dire, ce n'est même pas de la langue de bois, c'est du vide intersidéral, presque plus vide que Bayrou. Ce mec me donne le vertige. Il est l'incarnation de l'esprit politicard par excellence, et pour le coup je comprends que les libéraux ayant une appétence pour le débat philosophico-economico-canapé-lit cherchent à le fuir - donc à fuir le PLD, malheureusement.
  18. (V)

    Concours de cassos'

    on stigmatise les Grenoblois oui !!
  19. Toutes ces fonctionnalités, je trouve ça génial
  20. Bien vu http://www.monsieur-le-chien.fr/index.php?planche=648
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