Aller au contenu

(V)

Habitué
  • Compteur de contenus

    3 082
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    1

Tout ce qui a été posté par (V)

  1. (V)

    Droâdezanimos ?

    Ne cherche pas à tout classer. Tu es moi et je suis toi. La granulité fondamentale de l'univers induit une continuité entre toute chose par delà le nominalisme. L'humain n'est qu'un nom. La vie n'est qu'un nom. Ce qui est véritablement ne peut être nommé. Le rasoir d'Okham tranche la vérité en deux. - Je livre à domicile -
  2. (V)

    Droâdezanimos ?

    Après, ne pas être d'accord est une chose, prolonger le débat sans tout tourner en dérision en est une autre. Et puis, cette logique binaire exclusive est obsolète : que deux partis ne soit pas d'accord ne veut pas dire que l'un ou l'autre a tort, et encore moins que l'un ou l'autre a raison. Si l'évolution se niche au coeur de l'ultime question "qu'est-ce que l'humain", la singularité nous fermera tous le claquet. On va juste garder les rennes faire le boulot jusqu'au 26, après on les remet en liberté
  3. (V)

    Droâdezanimos ?

    Sauf si tu prends le temps d'y réfléchir un peu plus longuement, sans t'arrêter à ce sophisme éculé - on a déjà consacré 69 pages à ce sujet mais c'est un peu comme si on reprenait le débat de zéro j'ai l'impression ?
  4. (V)

    Droâdezanimos ?

    Leurs opposants feraient bien d'y réfléchir tout aussi longuement. On ne peut à la fois croire en la théorie de l'évolution et penser que le débat sur le droit des animaux est clos, il y a là une profonde contradiction - mais pas facile à capter en effet -
  5. pas mal ^^ ...Je pense que tu es un programme de la matrice dont le but est de générer des propos rationnellement fous...
  6. Oui, et c'est pareil pour moi, j'apprécie également bien plus les vo que des traductions maladroites, lourdes, trop littérales -ou pas assez, il faut doser- voire truffées de fautes. Et pour marquer mon dernier commentaire dans ce non débat, voici en guise de mise en abîme la preuve que ça claque bien souvent carrément plus en anglais qu'en français : yeah argh
  7. Hank Rearden, (le) 21 Déc 2014 - 20:40, a écrit : Ils ont juste le cerveau vermoulu par 40 ans de pensée économique et sociale à la française. C'est bien ça le paradoxe : être persuadé d'être rebelle en étant aussi consensuel
  8. C'est fort probable. Et c'est exactement pour cette raison que j'en parle : à défaut de cerner totalement le sujet, savoir au moins un petit peu mieux de quoi je parle. Mais j'avoue que tes réactions me donnent envie d'en savoir plus sur toi : quelles angoisses tentes-tu de cacher par de tels mécanismes de défense ? ça a l'air dingue. Ce genre de névrose me fascine.
  9. Par exemple, penses-tu fun d'utiliser cette image sur ce fil ? J'aurais pu en rire mais tu ne dois pas très bien en comprendre le principe. Dans notre cas il ne s'agit pas de retenir une et une seule hypothèse parmi celles proposées, elles ne sont pas nécessairement exclusives les unes des autres. Reprenons : parmi tout ce qui peut provoquer de l'amusement à l'hilarité, le fait d'être capable de décoder une blague dans une langue qui n'est pas la sienne, indépendamment de la blague en elle-même, est déjà pour certains une source de satisfaction amenant d'autant plus facilement au rire ou au sourire. Et dans ce cas précisément cette satisfaction est probablement le pendant positif d'une angoisse liée à l'exigence de conformité à une norme ou un statut social (réel, fantasmé ou espéré, bref, un soulagement ou un dépassement) On pourrait disserter sur le choix d'avoir écrit Occam avec deux C
  10. Par exemple je trouve très drôle de discuter de l'humour avec tant de sérieux et presque un peu d'agressivité ^^ ...c'est un peu se moquer de ce fil
  11. On se moque non de Chaplin mais du personnage, donc de l'homme qu'il imite, d'un homme qui peut exister. Ce qui est incongru, quand on a moins de 5 ans ? Rien. Sauf le décalage par rapport à des normes sociales suffisamment intériorisées par mimétisme, conditionnement et peur de la punition. On parle donc bien de "tourner en ridicule" (définition de moquer) les comportements et attitudes qui ne correspondent pas à cette norme, à la fois comme moyen et conséquence de l'inculquer convenablement. Moquer a d'ailleurs un autre sens très intéressant, lorsque par civilité on pousse trop loin la politesse (rire à une blague pas drôle ?) C'est le terme "moquer" qu'il faudrait peut-être mieux (re)définir entre nous.
  12. Exemple de configuration intéressante : 1. Seul à une telle conférence, un membre de lib.org subirait probablement en silence, en levant deux trois les yeux au ciel et en rigolant intérieurement à l'idée de rapporter certains passages aux autres membres sur le forum. 2. Mais en présence d'autres membres reconnus de lib.org assistant également à cette conf, le premier cité ci-dessus marquerait probablement plus volontiers sa réception des propos anti-espécistes par des rires ou sourires, exprimées non pas parce que le propos en lui-même déclenche le rire mais bien pour sa signification vis-à-vis d'autres personnes pouvant le voir rire. Et cela pourra aller jusqu'à un fou rire tout à fait sincère, ce n'est pas ça qui est en cause. C'est l'idée d'orgueil dans le déclenchement du rire. Il est d'ailleurs intéressant de noter que la première expression du rire chez l'enfant est un rire dit "de moquerie" ou "de supériorité", notamment quand l'adulte "ne fait pas comme il faut" (cuillère qui va dans l'oeil ou le nez et pas dans la bouche...), que ce soit volontaire ou non. On observe quasiment partout, jusque dans les milieux prétendument les plus éduqués, ce rire de supériorité, le besoin de stigmatiser celui "qui ne fait pas comme il faut", qui se trompe ou qui ne maîtrise pas les codes. C'est de la pure violence symbolique et c'est elle qui structure et maintient toute la société. Le côté insupportable de la chose, c'est que les plus virulents pour se moquer sont précisément ceux qui craignent le plus d'être pris pour cible de ces moqueries, et qui cherchent à diriger ce flux inévitable vers un malheureux qui n'a pas les moyens de se défendre, qui ne comprend parfois même pas ce qui se joue. Une forme de diversion, en somme. Et mon hypothèses c'est que c'est de cet orgueil étrangement lié à la libération d'un stress, d'une angoisse sociale de "ne pas bien faire" que se construit probablement l'essentiel des phénomènes dit humoristiques. Jusqu'au fait de rire à une blague "marrante" dans notre langue natale, devenue hilarante dans une langue étrangère. Et cela même en étant seul (fierté inconsciente de comprendre la blague en question), même si c'est plus rare et plus ténu, et que l'effet est décuplé en groupe, en société.
  13. Bien sûr que la politesse explique aussi bien des choses, toutefois mon expérience me fait dire que pas seulement. Et cela dépend aussi du monde présent. Seul il va de soi que mon hypothèse ne tient pas comme seule explicative. Mais certaines réactions exagérées au sein d'un groupe donné ne sont pas explicables par la seule politesse, encore moins par le caractère humoristique nul à chier du propos tenu. Puisqu'il s'agit de prendre en compte plusieurs hypothèses, pourquoi celle que je formule est-elle si vite rejetée ?
  14. mais non mon ptit bonhomme, le prend pas pour toi de cette façon c'est marrant de voir comme certains se sentent piqués en tout cas lors d'un prochain rassemblement où divers propos sont exprimées en anglais, sois attentif et tu devrais constater que la majorité (pas toi, hein, pas toi mais une grande majorité de mystérieux "autres") ne cherchent pas seulement à réagir ou à communiquer par réel besoin ou intérêt quant au contenu mais bien pour montrer (peut-être à toi ce coup-ci, ou aux autres, donc) qu'ils pigent, qu'ils savent, qu'ils sont à l'aise... Bref, leur interlocuteur anglophone n'est alors plus que leur faire-valoir. Et cela peut s'observer pour des choses basiques, comme un étranger demandant l'heure ou son chemin (tu vas voir ceux qui s'empressent de leur répondre en y mettant des formes excessives, alors qu'ils n'auraient même pas marmonné un début de réponse à des Français), ou un serveur dans un pub pouvant tout aussi bien - et préférant probablement - dialoguer en Français mais soudain certains tiennent à échanger avec lui d'insupportables banalités en anglais. Comme pour se prouver quelque chose, oui, à eux-mêmes ou à d'autres.
  15. ok, mais si tits "sonne bien" pour une oreille française, sonne-t-il aussi bien pour un anglophone ? Je pense qu'une part de l'émotion que produit la blague est liée au plaisir de décoder cette blague - autant la référence qui constitue le coeur du gag que le seul langage dans laquelle elle est exprimée. Si la blague était en thaïlandais, les rares personnes lisant le thaïlandais de passage sur le forum prendrait un plaisir d'autant plus grand en la découvrant, et même si la blague est nulle ils forceraient inconsciemment un sourire, pour confirmer leur bonne compréhension non de la blague mais avant tout du thaïlandais. Voilà pourquoi les blagues en anglais font tellement rire ou au moins sourire les Français : parce qu'ils ont un grave problème avec cette langue, et avec les langues en général. Il suffit d'assister à une conférence avec un intervenant s'exprimant en anglais : à la moindre boutade même pas drôle, l'immense majorité qui guettait le moment où il fallait rire le fait soudainement d'une façon disproportionnée, comme pour montrer aux autres que s'ils sont bien en train de rire, c'est qu'ils ont bien tout compris, qu'ils sont bien dans le coup. Enfin bref Humour et orgueil sont irrémédiablement liés.
  16. oooook j'étais loin en effet...
  17. c'est bien vrai, on doit en effet être à quasiment 1 par personne (les cas de malformations ano-rectales étant tout de même très rares)
  18. J'ai beau retourner le truc dans tous les sens, ça... n'en a aucun ?
  19. Bien vu. Cela dit lib.org n'est a priori pas consacré à l'accompagnement et mise en relation des start-upers, disons que teamizy et d'autres plateformes me permettent de m'étendre un peu plus. Sachant qu'il y a pas mal de dév sur ce forum mon souhait était surtout d'en profiter pour combiner "affinités libérales" et compétences techniques
  20. (Pour quelqu'un comme moi qui parle aussi bien le php que le chinois, il m'a fallu 2 soirées de ce genre pour créer le squelette du site et les premiers formulaires en intégrant une petite API et sans renvoyer à aucune bdd pour le moment, bref, j'ai ramé, alors que j'ai déjà vu un mec me faire ça sous les yeux le temps que j'avale un café ! Le mec en question est d'ailleurs en Chine aujourd'hui, et a appris le chinois, comme quoi il doit y avoir un lien avec le php ^^)
  21. l'approche « si vous vous ennuyez, j’ai une idée » n'est pas très racoleuse c'est clair ^^ l'idée est plutôt d'avoir un peu de temps à soi, non pas à consacrer à un "travail" supplémentaire mais bien voir ça comme un sideproject expérimental avec des perspectives de développement intéressantes. En terme de dispo, je pense vraiment qu'il faudrait à peine quelques heures à quelqu'un qui parle le php comme je parle le français pour finaliser le prototype. Evidemment, quelques heures ça veut souvent dire en réalité quelques soirées, de 21h à pas d'heure... Mais très clairement, 3h par soir jusqu'à dimanche prochain = on a un proto web, on commence à récolter des données (ce serait parfait de pouvoir surfer sur la période de noël, la période commerciale suivante étant à l'approche de la Saint Valentin 14 février 2015) et en parallèle on peaufine l'interface utilisateur, les fonctionnalités...
  22. Aucun inquiétude, même si on se découvre tous complètement parano au début d'un nouveau projet L'idée j'en parle dans certains cercles depuis deux ans déjà, elle a beaucoup évolué depuis grâce à ça d'ailleurs, et certains membres de lib.org sont dans la confidence. J'en discuterai volontiers avec toi autour d'un verre (à Paris ou ailleurs, selon mes opportunités de déplacements)
×
×
  • Créer...