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Tout ce qui a été posté par (V)
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On trouve beaucoup de charlatans et d'escrocs dans le monde du coaching et du développement personnel, notamment parce que ce domaine et les appellations ne sont pas contrôlés... Mais on oublie que la pire des escroqueries est précisément d'accorder une reconnaissance "officielle" ou universitaire à un domaine, lavant du même coup tous les escrocs de tout soupçon. Vraiment, les pires escrocs de notre société, c'est à l'université que je les ai rencontrés, se cachant derrière des titres pompeux de professeurs, de docteurs, de directeurs... 90% sont des trous du cul, des idiots, des ignares, des gens mauvais et malfaisants, sacrifiant la vérité ou l'avancée des étudiants à leur propre petit profit, fric ou publicité. L'obtention d'un diplôme ne protège pas de la bêtise. Tout ceux qui ont un peu poussé les études universitaires savent très bien que tout cela n'est qu'un mascarade. Il faut vraiment s'aveugler soi-même pour oser croire que son mémoire ou sa thèse a une quelconque valeur. ça ne sert qu'à impressionner ceux qui n'ont pu aller à l'université. ou à se reconnaître entre ceux qui ont pu y aller. c'est une forme de code. mais fondamentalement ça ne t'apprend rien de plus ni n'apprend rien aux autres. Sérieusement, qui oserait soutenir ici que l'université est encore le temple de la raison, de l'intelligence, de la culture, de la quête de vérité ? Qui oserait soutenir ici que les travaux universitaires contemporains ont la moindre valeur de ce point de vue là ? Il y a quelques exceptions, bien sûr, mais plus personne n'est capable de les distinguer de la masse indistincte de la production littéraire de nos universitaires. Tous écrivent, noircissent des pages, que plus personne ne lit, qu'eux mêmes ne relisent plus, ce n'est plus que de la merde, c'est mal écrit, c'est débile, c'est pédant, c'est dire des choses simples de façon tarabiscotée, c'est inutile. La plus vaste escroquerie de notre société, c'est l'université comme passage obligé pour "avoir le droit de parler" et le culte des diplômes. 95% de nos plus éminents professeurs sont en réalité bons à jeter, ce sont des parasites. L'université est composée à 95% de charlatans, légalement et socialement protégés par leurs diplômes. Ils ont droit de citer, on les écoute respectueusement même quand ils n'ont rien à dire. Dans le monde du coaching je suis certain qu'on est loin des 95%... Et d'ailleurs c'est normal : le coach justifie son titre et sa position de par l'aide réelle qu'il apporte à ses coachés, qui sont prêts à le payer, ou qui décide de le virer. Alors que les professeurs ne sont pas mis sur la sellette, aussi mauvais soient-ils les étudiants ne peuvent exiger de les renvoyer... Bref, c'est bien la loi du marché libre qui s'applique dans le coaching, et qui donc écrème naturellement le domaine, offrant aux meilleurs la possibilité de percer. la pire des choses qui puisse arriver (et qui est en train d'arriver) c'est la tentative de main mise de l'université sur le coaching, avec la création d'absurdes "diplômes de coaching" (exemple paris 8), très chers bien sûr...
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certaines personnes pensent qu'on ne change jamais vraiment, que personne ne peut changer, qu'on est "ce qu'on est". Ce sont souvent des personnes un peu frustrées, mal à l'aise, qui s'inventent une sorte de justification pour refuser le moindre effort, la moindre ouverture, la moindre tentative. Les personnes épanouies, qui réussissent, qui s'éclatent, qui profitent de ce que le monde peut leur offrir de meilleur...n'ont pas toujours été ainsi, et en sont souvent arrivées là...en changeant précisément ! En réalité il est possible de changer profondément, pas en "forçant" les traits d'un personnage que l'on voudrait être, et donc qu'on ne ferait que caricaturer... Mais en intervenant en profondeur, à un certain niveau de conscience (ou en état de conscience modifié) notamment à travers l'hypnose, la PNL, ou même le yoga... Ce sont des outils bien connus de la plupart des coachs. Cela dit la seule compréhension à un niveau "intellectuel", verbal, des processus et mécanismes de décisions, de relations interpersonnelles, etc. (par exemple l'étude de l'analyse transactionnelle) suffit déjà dans l'immense majorité des cas pour produire une grande transformation. Ta vraie nature n'est jamais ta vraie nature. C'est le conditionnement dont tu as fait l'objet depuis tout petit, par tes parents, l'école, différentes institutions... Si tout va bien pour toi tant mieux, ce conditionnement t'est peut-être profitable. Si tu sens qu'il y a "quelque chose qui cloche", comme un manque, un problème, un décalage entre toi et les autres ou même la "réalité", alors ta "vraie nature" est loin d'être ta vraie nature, et un coaching peut justement te permettre de la révéler.
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le coaching c'est un peu comme la religion, la politique politicienne ou toute autre connerie de ce genre : il faut "y croire" au moins un petit peu pour que ça marche. Quelqu'un qui se dit que c'est du bidon, qui a une réaction épidermique à la seule prononciation du mot "coaching", qui n'assume pas l'idée d'être coaché, qui n'est pas vraiment volontaire dans la démarche de faire appel à un coach...opposera une certaine résistance, n'arrivera pas à "rentrer dedans"... mais beaucoup peuvent aussi être surpris. A la lecture de ce fil je vois à quel point certains préjugés sont ancrés. le coach n'a rien d'un gourou, et ceux qui font appel à un coach ne sont pas "faibles" ou ne manquent pas de volonté. en fait il faut au contraire une certaine force, un certain courage ou une certaine honnêteté pour reconnaître qu'on peut profiter d'une aide extérieure pour s'améliorer sur un plan complètement négligé dans notre éducation de merde : le bien-être, la spiritualité, être en phase avec ce que l'on fait et ce que l'on pense au plus profond de soi, être en phase avec les autres, la reconnaissance et la défense des valeurs qui nous importent vraiment... une certaine idée de la liberté un coach peut très bien utiliser la technique du coup de pied au cul. ou celle de la baffe dans la gueule. cela dit le coaching ne vise pas toujours à "dynamiser" le coaché, parfois il faut au contraire le tempérer, le ralentir, le recentrer sur l'essentiel
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j'en fait des cauchemars depuis la nuit dernière, mon dieu mais qu'est-ce que c'est???
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ok, la fonction recherche ne m'a pas permis de le trouver ps : la fonction amazon ne semble pas fonctionner non plus...
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"Depuis deux mille ans, les communautés montagneuses d’une vaste région d’Asie du Sud-Est refusent obstinément leur intégration à l’État. Zomia : c’est le nom de cette zone d’insoumission qui n’apparaît sur aucune carte, où les fugitifs – environ 100 millions de personnes –, se sont réfugiés pour échapper au contrôle des gouvernements des plaines. Traités comme des « barbares » par les États qui cherchaient à les soumettre, ces peuples nomades ont mis en place des stratégies de résistance parfois surprenantes pour échapper à l’État, synonyme de travail forcé, d’impôt, de conscription. Privilégiant des modèles politiques d’auto-organisation comme alternative au Léviathan étatique, certains sont allés jusqu’à choisir d’abandonner l’écriture pour éviter la consignation, synonyme d’appropriation de leur mémoire et de leur identité. Poursuivant les intuitions et travaux de Pierre Clastres et Michel Foucault, l’auteur nous propose une étonnante contre-histoire de la modernité. Car Zomia met au défi les délimitations géographiques traditionnelles et les évidences politiques, et pose des questions essentielles : que signifie la « civilisation » ? Que peut-on apprendre des peuples qui ont voulu y échapper ? Quelle est la nature des relations entre États, territoire, populations, frontières ? Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, la disparition de la rebelle Zomia paraît inéluctable. Mais son histoire nous rappelle que la « civilisation » peut être synonyme d’oppression, et que le sens de l’histoire n’est aussi pas univoque qu’on le croit." Pas encore lu, peut-être que certains ici ont déjà un avis
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Question Sur Le Libertarianisme
(V) a répondu à un sujet de Barem dans Philosophie, éthique et histoire
J'ai beau avoir lu les premières réponses apportées, les échanges qui ont suivi, je ne comprend toujours pas la question. Tu veux dire : être libertarien pur jus tout en reconnaissant une forme d'exploitation dans certains types de transactions apparemment "libres" (cad = dans le strict respect de la propriété privée de chacune des parties) ? Par exemple : un multimilliardaire propose quelques billets à un clodo pour qu'il s'arrache lui-même toutes ses dents. ce qu'il accepte de faire, librement, car il estime gagner - du moins ne pas perdre - au change.. Cela peut donc se faire dans le strict respect de la liberté/propriété de chaque, mais, intuitivement, on sent bien qu'il y a "quelque chose qui cloche" - c'est ce que tu veux dire ? -
Question Sur Le Libertarianisme
(V) a répondu à un sujet de Barem dans Philosophie, éthique et histoire
Je trouve qu'il est souvent plus difficile de lire un auteur avec lequel on est fondamentalement d'accord, qu'un auteur auquel on s'oppose a priori. Dans le premier cas, on peut certes trouver de bons arguments, de bonnes formules qui nous confortent dans nos idées et nous permettent de mieux les défendre, mais on peut aussi avoir l'étrange sensation de ne rien apprendre, de ne pas véritablement "ouvrir son horizon"... à un moment on tourne en rond. Lire quelqu'un qui défend des thèses contraires aux nôtres stimule la réflexion, excite, réveille la passion ! bon.. cela dit tu as raison... marx est vraiment trop chiant... mais je ne connais pas les pluvieux dimanches de novembre à dunkerque ^^ -
Question Sur Le Libertarianisme
(V) a répondu à un sujet de Barem dans Philosophie, éthique et histoire
la plupart des jeunes se déclarant fièrement marxistes ont généralement lu le manifeste... pas plus. pas sûr non plus qu'ils aient bien tout compris. -
ah, oui, les gels douche sous vitrine cadenassée, et plutôt d'autres produits comme lames de rasoir sous antivol, ainsi que des crèmes pour les femmes et autres produits de beauté, peut-être plus onéreux. c'est quand même hallucinant. surtout que le phénomène est bien localisé par quartier..
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non mais celle-là est juste ouf!!! ^^ ça me fait penser dans certains franprix, dans le XXe par exemple, les gels douche, shampoings, mousse à raser ou déos sont sous anti-vol !!!! mais là, cibler en fonction de... la couleur... c'est à hurler (de rire!)
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Vos Titres Et Références Incontournables De Fiction, Roman D'anticipation...
(V) a répondu à un sujet de (V) dans La Taverne
ça semble bien coller avec ce que je cherchais, et avec des titres pareils ! je les note en haut de ma liste Et que pensez-vous de ces auteurs, connaissez-vous leur oeuvre ? ballard bordage (évoqué plus haut par Lancelot) lehman poul anderson françois coupry et tant qu'on y est damasio, que je n'ai pas encore trop approché... ? -
Vos Titres Et Références Incontournables De Fiction, Roman D'anticipation...
(V) a répondu à un sujet de (V) dans La Taverne
Nous autres, sur ma liste et "un bonheur insoutenable", auquel fait référence un certain Copeau je crois ? des choses intéressantes dans globalia, mais ce rufin me fait l'effet d'un plagieur éhonté et globalia reprend d'ailleurs tellement d’éléments de 1984 et le meilleur des mondes... c'en est presque dérangeant... et Le Parfum d'Adam ne copiait-il pas également Etat d'urgence de chrichton ? -
Vos Titres Et Références Incontournables De Fiction, Roman D'anticipation...
(V) a répondu à un sujet de (V) dans La Taverne
j'ai lu des dizaines et des dizaines de nouvelles d'azimov, et quelques uns de ses romans, mais je ne suis jamais rentré à fond dans fondation. A vrai dire le principe de fondation heurte mon intuition libérale, ou disons "anti-historiciste"... je manque quelque chose ? -
Vos Titres Et Références Incontournables De Fiction, Roman D'anticipation...
(V) a répondu à un sujet de (V) dans La Taverne
je note peux-tu m'en dire plus? le bouquin se focalise sur la guerre et la bombe A, ou s'agit-il davantage de l'organisation d'une communauté, le maitien du "groupe"? c'est surtout la question des relations humaines plus que les délires technoscientifiques qui m'intéresse dans la SF -
Vos Titres Et Références Incontournables De Fiction, Roman D'anticipation...
(V) a répondu à un sujet de (V) dans La Taverne
excellent toutes ces références pourquoi pas, je le mets sur ma liste -
Vos Titres Et Références Incontournables De Fiction, Roman D'anticipation...
(V) a posté un sujet dans La Taverne
Quels sont vos titres et réfs incontournables de romans, nouvelles, contes, récits, recueils, anthologies... de SF et anticipations ? et vos dernières découvertes enthousiasmantes ? quelques pépites secrètes ? -
http://www.kazunderworld.com/
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passer + de temps sur liberaux.org !
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et tes posts aussi ? Tu es d'origine étrangère ?
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dommage pour le coeur, ils auraient pu faire une vraie structure qui tient (là la base ne peut pas tenir, par exemple on aurait pu mettre un petit T à l'envers ou 2 "S" l'un sur l'autre...) ^^
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Salut, le site est très bien fait, très intéressant. Tu mets en préambule l'article 2 de la DDHC : peux-tu expliquer tout aussi simplement que le reste des articles ce qu'est le droit "naturel" ? Celui qui ne reconnait aucun droit du point de vue de la nature (fut-elle celle de l'homme) peut-il quand même adhérer aux idées libertariennes ?
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génial ! c'est une idée qui avait déjà circulé si j'ai bonne mémoire, un grand bravo pour toutes tes initiatives Pat' ! plutôt "1001 nuits" j'ai l'impression si c'est pour convaincre madame michu les thèmes pourraient être reformulés pour les rendre plus fun, sex ou provoc !
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Ce qui est rare est cher. Réellement ?
un sujet a répondu à (V) dans Philosophie, éthique et histoire
C'est un syllogisme un peu particulier car l'une de ses prémisses est erronée, conduisant dès lors à une conclusion erronée : on parle alors de paralogisme. La prémisse érronée est : "tout ce qui est rare est cher" > en réalité, tout ce qui est rare n'est pas forcément cher*. * edit : comme le montre bien Hank Rearden plus haut -
Le PLD appelle à voter Sarkozy
(V) a répondu à un sujet de Plutonium dans Politique, droit et questions de société
non, pas que : il faut les deux, la forme doit servir le fond. Le problème c'est que beaucoup, en privilégiant le fond, en viennent à négliger la forme. Certains voient même la simple maîtrise des rudiments de la communication comme une forme de manipulation ou de trahison. Beaucoup de libéraux, avec un minimum de technique, pourraient devenir encore plus captivants.