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kolb

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Tout ce qui a été posté par kolb

  1. Une question subsidiaire traverse l'esprit de lucre que nombreux d'entre nous ne partage pas: quel effet sur la monnaie, pas sur sa valeur réelle, l'unification nord-coréenne pourrait avoir? Le seule précedent est celui du DDR?
  2. Je me suis toujours interrogé sur ce mystère: comment un produit, somme toute banal, a pu occuper une si grande place dans les rayons? Une histoire du yaourt serait à écrire. Pourtant l'idée sur son gaspillage était lancée en France.
  3. Bien que le concept de surconsommation soit un fourre-tout, l'exemple du yaourt est intéressant: comme 1 sur 4 pots est jetté il n'en resulterait pas qu'une diminution de l'achat changerait la proportion! Et même si cela était le cas les distorssions de prix provoqueraient une incitation à en produire davantage! Quant à les offrir en cadeau aux pays pauvres, car souvent le sous-endendu est là, transporter des millions de tonnes d'un produit périssable coûterait une fortune! C'est donc bien un raisonnement circulaire! A no-brainer?
  4. Encore une fois la prise de risque est utilisée comme argument pour corroborer la validité de l'action risquée! C'est le moyen le plus rapide pour tomber dans l'arbitraire!
  5. Dans certains pays européens des forums de type libéral ont été fermés, après une évolution hélas! similaire au nôtre!
  6. En plus tu menaces? Le mot plonker voulant dire, d'après le dictionnaire informatique: mettre sur une liste PLONKER, définiton du mot PLONKER, Désigne le fait d'inscrire une personne dans un kill file.
  7. Cela est incompréhensible chez la plupart des pays de tradition libérale: la leur est la culture de droit de la preuve irréfutable, du habeas corpus. Plus prosaiquement il est stupide de parler des policiers comme s'ils étaient des abstractions, des monstres prêts à détruire tout citoyen sur leur passage!
  8. Ses propos ressemblent aux trois: suggérer de ne pas s'exprimer sur le forum est déjà une preuve! Se réjouir que certains n'ont plus mis les pieds une autre! Qu'est-il arrivé à notre forum Libéral?
  9. Je pense que la Chine peut très facilement absorber cette population. Je prennais comme hypothése de départ l'inévitabilité de la ré-unification et l'éventuelle opposition chinoise à cela!
  10. Les bolshéviques sont des anti-américains!
  11. Je ne comprend absolument pas de quoi tu parles quand tu dis toquards? Si tu as le temps reprends la lecture de notre cher Hayek "La route de la servitude" pour une parallèle nazisme-bolchevisme puisque le deuxième terme te convient! Du sang froid : la première citation semble ne pas être pour moi!
  12. Et cela prouve? En tout cas ma syntaxe ne t'as pas empêchée de comprendre que je sais que tu aimerais faire taire certains! Un forum nazi te conviendrait certainement mieux!
  13. Du coup cela prouve l'intérêt de la Chine de stopper à "vider" la CDN, qui aurait comme effet de-facto une ré-unification!
  14. Ne confonds-tu pas tes 30000 contributions au forum avec la qualité de celles-ci n'en parlons pas du fait que afin d'atteindre ce résultat une tolérance que tu suggère m'être refusée, t'a été accordée! Tu penses vraiment qu'il t'est atteignable 40 messages par jour en étant sain d'esprit?
  15. L'huile de lin mauvais goût? Une amertume dont le palais s'habitue! Celui de marque Vigean je le garde dans le frigo et j'en prends une demi-cuillere à café.
  16. Pas si certain que la Chine veut un pays plus libre et qui donc s'approcherait ainsi plus de la réunification!
  17. Pour la ville d'Amiens avec 135000 habitants cela represente un événement équivalent à un séisme! Cependant l'abbération ne doit pas correspondre à une habitude banale! PS.Je reviens sur le forum après une absence et je constate qu'entre temps fils de p… est admis! C'est un signe de non-bisounours ou bien signe d'une pénétration des populations carcérales du forum?
  18. La formule sur le manque total de determination génétique suppose une forme de vie ethereale, c'est une belle incantation! L'existence des grandes villes, en millions d'habitants, sans ce genre d'attaques est une preuve du contraire!
  19. Dans une guerre le but est de anihiler l'ennemi d'ou la confusion quant aux événements. La police moderne doit assurer la protection des biens et des personnes cela, en effet, est un concept quelque peu nouveau pour eux!
  20. Il fallait remarquer les attaques dont Valls faisait l'objet pour le désigner comme de droite! Il s'avère que des "incidents" ont lieu depuis quelque semaines déjà dans la petite ville d'Amiens. Je me demande comment cela peut-être interpreté: des centaines de policies empêchent d'autres incidents de se produire, ou passent donc les auteurs, par quel miracle l'ordre revient?
  21. En même temps le terme de guerilla a une connotation par trop castriste-léniniste qui semble très bien convenir aux parties! En réalité les phénomènes n'ont plus rien à voir ni avec la désobéissance civile, ni avec une émancipation quelconque. Faute de pouvoir dire ce que c'est on devrait au moins désigner ce qui n'est pas!
  22. Le moindre sourire de Kim fait naître des espoirs: les communistes sont aussi des humains! Très intéressant à suivre une eventuelle future ré-unification.
  23. Ce n'est pas parce que le Contrepoint a généralement raison, qu'il doit se tromper cette fois-ci. La réussite de New-York avec Bill Bratton et autres états prouvent que oui cela marche! Pour l'instant la méthode bisounou donne "nouveaux affrontements (terme respectable) entre la police et les jeunes" (le bien et le mal à choisir). C'est un peu comme partout en Europe ou on découvre qu'il n'y a pas une relation soutenue entre les extrêmes et la crise.
  24. The Economist's conundrum: Free exchange, Historysis Can conquests centuries ago explain the democratic deficit in the Arab world today? Apr 7th 2012 | from the print edition THE popular unrest that swept north Africa and the Middle East in 2011 has injected fresh life into an old debate: can democracy come to the Arab world? There is no doubt the region suffers from a democratic deficit. Arab League states account for almost a third of the world’s autocracies, according to a democracy index constructed by the Economist Intelligence Unit, a sister company of The Economist. The challenge is understanding why. Popular theories include those that cite Arab or Islamic culture, the corrosive impact of regional conflict, or the curse of oil wealth. But research* by Eric Chaney, an economist at Harvard University, offers another explanation with deep institutional roots. Expect the theory to get a mixed reception: it is a brave economist who ventures into the specialist domain of Arabists. Mr Chaney’s attention was caught by the fact the “Arab” democratic deficit extends beyond the modern Arab world. In fact, it is almost perfectly conterminous with lands conquered by Muslim dynasties in the centuries after the death of the Prophet Muhammad. The caliphs who succeeded Muhammad as leaders of the Islamic world greatly expanded Muslim territory. At its greatest extent, their armies reached south to Somalia, north to Iberia and eastern Anatolia, and east to modern Tajikistan, close to the border with China. Mr Chaney’s hypothesis is that this boundary helps explain democratic shortfalls today. ReprintsMr Chaney identifies countries at least half of whose present-day land mass was conquered by Muslim armies by the year 1100 and which thereafter remained under Islamic rule. (Those countries, like Spain, whose Islamic institutions were soon displaced are excluded.) Mr Chaney then uses a common measure of democratisation known as a “polity IV” score to test various narratives of Arab political stagnation. He normalises the score so that zero corresponds to “strongly autocratic” institutions (like Saudi Arabia) while 1 represents a strong democracy (like America). Islamic culture is a common scapegoat for the Arab democratic deficit: some scholars single out the subservient status of women or low levels of education for special criticism. In aggregate, Muslim-majority countries are indeed about 0.3 polity points less democratic than the rest of the world. But this overall gap is misleading. By dividing the Muslim world into conquered countries and those spared conquest, Mr Chaney finds that the democratic deficit remains for the former group but vanishes for the latter. Conquered non-Arab states like Uzbekistan look like those in the Arab League whereas non-conquered Muslim states like Albania and Indonesia do not. Others have argued that the Arab-Israeli conflict is an obstacle to democratic transitions in the Arab world. Yet Mr Chaney’s results persist when the Arab states closest to Israel are excluded from his analysis (the results should change if a particular factor is independently constricting democracy within the excluded group). Oil, too, is often faulted for strengthening anti-democratic regimes. Mr Chaney does indeed find evidence that oil wealth may retard democratic development but conquest continues to predict a democratic deficit whether or not “fuel-endowed” countries are excluded from the sample. Mr Chaney speculates that conquest altered society, casting an autocratic shadow across the centuries. Rulers came to rely on slave armies, freeing them from dependence on civil institutions. Religious leaders co-operated with the army to design a system that proved enduringly hostile to alternative centres of power. Lands brought to Islam by conversion maintained some civil institutions. In unconquered Europe, meanwhile, monarchs relied on the nobility to raise manpower and money for war. That gave the nobles enough leverage to check absolutism. Across the conquered world civil society remains institutionally impoverished, says Mr Chaney: the share of government in GDP is seven percentage points higher in conquered states than in other Muslim states, for example. The importance of desert geography is another explanation for Arab autocracy. In a 2010 paper Stephen Haber of Stanford University and Victor Menaldo of the University of Washington argue that desert institutions inhibit democracy. Moderate rainfall breeds settled agriculture, they reckon, fostering urbanisation, trade and state-building. Arid land undermined the development of the modern state, a necessary if not sufficient condition for democratisation. There is a close relationship between desert terrain and conquest: camel-borne Arab armies were well-equipped to travel and fight over desert. But Mr Chaney reckons that the legacy of conquest is more important than rainfall. There is no statistically significant relationship between aridity and autocracy outside the conquered world. Mr Chaney does identify some conquered countries with rainfall levels similar to those of unconquered Muslim states. Within this overlapping sample, the conquest states again align with the democratic deficit. Iran is autocratic; Mongolia, with a similar level of rainfall, is not. No slave to history Even if Mr Chaney is right, history is not destiny: the Arab world can escape its autocratic past. Education levels in Arab-conquered countries have nearly converged to those in the non-conquest Muslim world. This may drive popular dissatisfaction with limited economic opportunities and increase pressure for political change. But a long-standing poverty of civil institutions is nonetheless an obstacle to democratic transition. Change may be in the offing, but the past must be uprooted first. * “Democratic Change in the Arab World, Past and Present” by Eric Chaney. Prepared for the Brookings Panel on Economic Activity, March 2012
  25. Dire que tout est relatif, c'est énoncer une règle. C'est ce qui fait BHL et clique. Vilmer me semble plus favorable à un monde avec une seule hyper puissance. Après le 11 septembre la guerre contre le terrorisme, considérée comme impossible car on ne lutte pas contre une idée, les éliminations d'assassins est rendue possible et en accord avec le jus bellum.
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