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Tout ce qui a été posté par Gio
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J'ai déjà démontré pourquoi avec des arguments qui n'ont été réfutés par personne ici. J'attends les tiens.
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Bien sûr que c'est une question d'économie politique, personne n'a jamais soutenu le contraire. Mais la question (ou plutôt sa formulation) ne prend pas parti en elle-même pour une école d'économie politique.
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Eh bien cela fait que si l'on se tient au sens des mots, la formulation de la question n'est pas nécessairement propagandiste en elle-même. Je veux bien admettre que la formulation vise probablement à influer le type de réponse (c'est même pour ça que j'ai posté ce programme), mais ce que je dis c'est qu'elle ne la détermine pas automatiquement ou obligatoirement.
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Les distorsions de sens de mots ne changent pas leur sens. Le fait que bien des gens distordent le sens du mot libéralisme ne change pas son sens réel.
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Les dénomination correcte de quoi ?
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Ce n'est pas parce que tu répètes dix fois autoritairement la même chose que je vais être d'accord avec ça. Je ne suis pas d'accord et je ne vais pas encore répéter les mêmes arguments une énième fois. Tu vas dans mon sens en évoquant simplement ce distingo. Quand bien même cela serait vrai (que c'est équivalent pour tous les gens qui s'intéressent à l'éco, ce dont je me permet de douter) le seul fait qu'il y ait ce distingo (même si c'est que pour les libéraux) montre bien, et ne change donc rien au fait, qu'on peut interpréter et traiter la question sans nécessairement faire de la propagande étatiste. Si la formulation avait été : Comment redistribuer les revenus et la richesse ? là évidemment je n'aurais pas soulevé l'équivoque de la formulation. Et je te rappelle, ou je t'informe, que je ne parle pas, et n'ai jamais parlé, de la manière dont "la plupart des gens" interpréterons potentiellement la formulation, je parle des possibilités d'interprétations qui existent en réalité. Que la plupart des gens aient des biais interventionnistes qui leurs fassent confondre répartition et redistribution, ou libéralisme et caca boudin, je m'en moque complètement, cela ne change pas le sens réel des mots.
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Ces analogies n'auraient de sens que si les richesses se produisaient et circulaient indépendamment de toute action humaine.
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Elle l'attire si on a déjà des idées interventionnistes...
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Eh bien je ne suis pas d'accord. Sauf à faire une procès d'intention, on peut l'interpréter sans nécessairement impliquer l'interventionnisme. Bin si justement, c'est la question. C'est de ça qu'on parle depuis le début. La question n'a jamais été de sonder les intentions des rédacteurs du programme, qui ne sont d'ailleurs même pas dissimulées. (Cf. les extraits de légifrance postés par Corned Beef.) La question est de savoir si les questions sont biaisées de sorte que des idées politiques soient déjà contenues dans la formulation. Ce à quoi je dis : tout dépend comment tu interprètes les questions. Et puisque tu reconnais avec moi qu'on peut les interpréter et y répondre sans a priori politique, alors tu es d'accord avec moi. End of the story. Bien sûr mais telles qu'elle sont formulées, elles ne sont pas toutes nécessairement biaisées.
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Le commerce et le gouvernement considérés relativement l'un à l'autre — Condillac
Gio a répondu à un sujet de Gio dans Lectures et culture
Ce n'était pas de l'ancien français au sens strict, c'était juste une ancienne manière d'écrire les choses. (Voir par là le texte original.) Mais pour te répondre, je me serais bien passé de ce boulot de "traduction". C'est précisément parce que j'avais pas envie de lire le texte comme ça que je l'ai "traduit". -
Bien sûr que je la vois. So what ?
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Oui on peut faire ce procès d'intention, peut-être avec raison. Cependant, il n'en reste pas moins qu'on peut faire une réponse exacte, comme tu le dis toi-même. Mais quand on se place dans une posture scientifique, on évite les procès d'intention.
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Désolé, mais je comprends pas le raisonnement qui consiste à dire qu'il faut pas étudier certains aspects de la réalité parce que ça pourrait susciter chez certaines personnes des idées normatives déplaisantes. Rien que de normal, puisque c'est nous qui produisons, faisons circuler et consommons les richesses.
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Je comprends pas. C'est comme si tu disais que la question : "Les dinosaures ont-ils existés ?" est mauvaise sous prétexte que des gens peuvent répondre "non". Nul besoin de personnifier le marché, puisque le marché ce sont des personnes. En produisant, en échangeant, en contractant, etc, (dans le cadre des droits de propriété) on répartit les richesses.
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Non. "L'art plastique" je sais pas ce que c'est.
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Pas nécessairement. Pourquoi "par défaut" ?
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Le commerce et le gouvernement considérés relativement l'un à l'autre — Condillac
Gio a répondu à un sujet de Gio dans Lectures et culture
Comme je l'ai dit, c'est moi qui ai tout fait au niveau du contenu. Lulu se contente d'imprimer et de relier. -
Le commerce et le gouvernement considérés relativement l'un à l'autre — Condillac
Gio a répondu à un sujet de Gio dans Lectures et culture
Physiquement, non. Mais en terme de service oui. -
Parce que tu cherches absolument des propositions normatives. Tu veux faire de la politique, mais l'économie c'est avant tout de l'analyse. Si on met de côté les procès d'intentions, reconnaître l'imperfection du marché n'est pas nécessairement une "excuse" pour la moindre proposition normative, mais peut simplement être la reconnaissance d'une réalité pour l'analyser, tout simplement. Voir comment les choses fonctionnent. Analyser le fonctionnement de la réalité n'implique pas nécessairement de normes. Tout au plus, cela permet de voir quels moyens sont adaptés à quels fins.
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Le commerce et le gouvernement considérés relativement l'un à l'autre — Condillac
Gio a répondu à un sujet de Gio dans Lectures et culture
lulu.com (Une plateforme d'auto-édition parmi d'autres.) "Broché" c'est la reliure. (Broché = les pages sont assemblées et collées sur la tranche.) -
Le commerce et le gouvernement considérés relativement l'un à l'autre — Condillac
Gio a répondu à un sujet de Gio dans Lectures et culture
Zéro. A partir du moment où tu en commandes un, il y en a un qui est fabriqué. Je sais plus, c'était il y a plus d'un an que j'ai fait ça, et c'était assez décomposé, j'ai pas fait tout d'une traite... Comme ça je dirais entre un mois et demi et trois mois... -
Le commerce et le gouvernement considérés relativement l'un à l'autre — Condillac
Gio a répondu à un sujet de Gio dans Lectures et culture
Ah ! Du coup j'aurais peut-être mieux fait de remplacer tout les "bleds". J'avais commencé à le faire au départ, puis je me suis rétracté dans le doute. Il apparaît sur la 4e de couverture et à l'intérieur du livre. Je vois pas ce que cela aurait apporté de mettre le nom complet sur la couverture. Gné ? Rien à voir. Ce que tu montres là c'est des scan des vieilles éditions qui datent peut-être du XIXe siècle, voir plus ancien. Genre photocopies de Gallica, avec vieille orthographe, vieille mise en page, vieille typo et pour peu que le truc soit mal scanné, la qualité sera bien perrave. C'est des boîtes américaines qui font ça avec tout ce qui est dans le domaine public, je possède ça pour les œuvres complètes de Bastiat. Aucun rapport avec ce que j'ai fait, c'est une réédition complète, j'ai pris le texte, j'ai corrigé l'orthographe, j'ai fait la mise en page, j'ai fait des choix typographiques, j'ai adapté ça à la taille du livre poche et standard contemporains, etc, etc. A ma connaissance, je suis le seul à avoir fait ça pour ce livre depuis probablement plus d'un siècle. De plus, le livre que tu mets en lien, c'est un volume des œuvres complètes, pas juste le traité d'économie. Et puis...regarde le prix. -
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J'attire votre attention sur le fait qu'un libéral peut parfaitement reconnaître que le marché est imparfait. Reconnaître que les marchés ou que la concurrence sont imparfaits n'impliquent pas que celui qui le reconnaît est étatiste. Car penser que le marché est imparfait est une chose ; penser que l'intervention de l'État peut résoudre cette imperfection en est une autre.
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Là évidemment, il n'y a pas d'équivoque... Pour les deux autres que tu as cité, ça se discute encore.
