Gio

Normal, on nous interdit d'apprendre des choses aux élèves. Ce serait ringard.

Arts pla(ts).

Au moment où je vous parle, je suis en train de remplir les bulletins du 2e trimestre pour mes élèves. Mes remarques, souvent insipides et vides de sens, se ressemblent tous les uns les autres car les élèves ont presque tous des bonnes notes, quel que soit leur niveau. (Sauf ceux qui le font vraiment exprès, et encore, ça descend rarement en dessous de 12...) J'ai été obligé car au premier trimestre la direction m'est indirectement tombée dessus au motif que mes notes et mes remarques étaient trop sévères, et qu'il était, paraît-il, impossible d'avoir des mauvaises notes dans ma discipline.

C'est free jazz.

Parfois, Contrepoints brille, d'autre fois Contrepoints ne craint pas le ridicule. La seconde attitude décrédibilise la première, et j'ai l'impression (peut-être à tort, je ne sais pas) que c'est de pire en pire. Et ce n'est même pas une question de diversité ou d'ouverture d'esprit : On peut proposer des points de vues très divers, sur de multiples sujets, de mille manière différentes, tout en restant toujours sur des articles de qualités. Contrepoints ne me semble pas (plus ?) assez exigeant. Et je connais d'autres liborgiens qui partagent mon point de vue...

J'ai vu ça tout à l'heure aussi. Ça me semble sans intérêt. Autant l'article que le commentaire.

Pour ne prendre que la politique de concurrence, Hayek (mais pas que lui), n'a t-il pas dit qu'il fallait un cadre juridique et réglementaire pour s'assurer du bon fonctionnement de la concurrence ?

C'est une manière d'interpréter le programme.

Un appareil photo est un filtre.

Dans les faits, c'est quoi une mesure d'inspiration néolibérale ?

C'est quoi le néolibéralisme ?

On pourrait parfaitement écrire un bouquin libéral ayant le programme que j'ai cité pour table des matières.

Ce que je fais à l'ÉdNat n'a pas tellement de rapport avec ce dont nous parlons ici...

Non, plus simplement que les régulations et les déséquilibres existent et qu'on peut les analyser. Ensuite le normatif, c'est autre chose...quelles sont les sources des régulations ou des déséquilibres, là bien sûr il y a débat.

Pyrénées En-Vau calanque, Cassis (Bouches-du-Rhône) Champagny en Vanoise Porto (Corse) Lac d'Annecy 42 Reasons To Never Visit France

Tout dépend comment tu interprètes le truc. Le "monde aux ressources limitées" ne fait pas nécessairement référence aux thèses décroissante et à la finitude de la planète, mais tout simplement à la rareté des biens, sans laquelle l'économie n'aurait aucun sens. "Comment répartir les revenus et la richesse ?" c'est une question, pas une réponse. La distribution des richesses par le libéralisme, c'est aussi une forme de répartition des revenus et de la richesse. Idem pour "Quelles politiques conjoncturelles ?", ce n'est qu'une question. "Aucune" est l'une des réponses possibles. Que les marchés soient "imparfaitement concurrentiels" est un fait. Que le budget de l'État "agisse" sur l'économie est aussi un fait. Voir comment ces marchés fonctionnent, voir comment le budget de l'État agit sur l'économie, ce n'est guère qu'analyser des faits. On peut expliquer "pourquoi la puissance publique intervient-elle dans la régulation des économies" sans nécessairement le justifier.

Réalisme socialiste.

Quel livre ?

« Martin, sexe faible » : glaçante inversion des rôles

Faites voir alors.

C'était l'article qui brassait du vent ou bien il dénonçait le brassage de vent ? (Le cas échéant, envoie.)

Un Instagram de Fleur Pellerin oblige le musée d’Orsay à modifier son règlement