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Tout ce qui a été posté par WBell
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J'avais un Asus en 2009 qui avait présenté le soucis lors de l'ajout d'une barrette de RAM. Un truc auquel je n'avais pas fait attention à l'époque : dans le BIOS, il y avait un mode qui permettrait d'activer l'ECC pour un banc mémoire et pas l'autre (en fait le calcul de correction d'erreurs sur la barrette). Je me souviens qu'en mettant les deux à la même valeur, le problème était passé. (Bon après, le GPU a grillé au mois de juillet, mais ça, c'est un autre problème).
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Il y avait eu une discussion à ce sujet sur l'ancien forum de dropbox. Ils utilisent un système de delta pour envoyer les fichiers modifiés. Si tu cryptes un document, le système de delta ne marche plus, leur uploader envoit alors l'intégralité du fichier. Si TrueCrypt est là pour crypter les 2GB d'un coup, ça fait beaucoup de données à uploader. Truecrypt peut faire du cryptage par fichier ?
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Aaaah, les joies de parkdisk.exe
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Je pense qu'en plus, son profil te plairait (http://www.perejacquesbernard.org/2biographie.html). Il est diplômé d'araméen et d'études rabbiniques, docteur en Histoire et pensée religieuse. Malgré ses connaissances encyclopédiques, il a pas mal d'humour, et un coté "vieux loup de mer". Si j'arrive à les retrouver, je te passerais les scans des polys de sa formation sur l'histoire des religions (judéo-christianité). C'était un cours en 4 ans, proposé aux scientifiques entre autres (dans mon cas, la formation info). Par contre, vu l'ancienneté et les déménagements, je ne suis pas sur de les retrouver avant un moment…
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Si tu passes près de la Catho de Lille, tu devrais pouvoir assister en auditeur libre aux cours du père Jacques Bernard sur l'histoire antique des religions. Il aborde ce sujet, notamment.
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poney te dira que ça doit être des flamands…
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J'ai encore un 8088 chez mes parents qui boote (un clone chinois de la machine d'IBM). Avec le vieux bouton "turbo", pour passer de 4,86 Mhz à… 10 Mhz
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"Bonjour, nous c'est orange sur noir. Je vois donc que vous n'avez pas les qualifications requises. Désolé".
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Paypal bloque l'utilisation de leur service aux particuliers argentins qui voudraient l'utiliser pour réaliser des transactions : http://thenextweb.com/la/2012/09/13/paypal-set-suspend-domestic-transactions-argentina/
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De ce que je comprends du PIB : PIB = 1 euro gagné par le privé + 1 euro dépensé par le public. (Parce que oui, dans l'approche administrative, quand le public brûle 1 euro, en fait, c'est gagné). Don, dans cette définition, le PIB peut augmenter quand le privé gagne de l'argent, ou quand le public en dépense plus ! Donc en fait, le PIB peut augmenter, mais le pays peut quand même aller à la catastrophe (puisque l'euro dépensé par le public a été pris au privé). Au final : - 1€ gagné par le privé = il a fallu rendre le service au client qui correspond à cet euro + y intégrer la marge pour faire vivre l'entreprise (salaires, coûts fixes, etc…) - 1€ dans les mains du public = il a juste suffi de le prendre au privé, et de le dépenser plus ou moins intelligement C'est pourquoi, pour la même somme, le privé est plus efficace pour le public. Et que compter la dépense public comme gain de richesse dans le PIB, c'est une belle fumisterie.
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De ce que j'ai vu des pilules pour hommes, les modèles testés jusqu'à présent on le gros défaut des faire chuter la libido masculine, et de faire déprimer les sujets à moyen terme.
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Dans un sac de femme, tu peux trouver : - une ampoule électrique - un sac de fromage râpé - un tournevis - un pain coupé (entier) - un autre sac C'est du vécu.
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Quel pays choisir pour s'expatrier ?
WBell a répondu à un sujet de Barem dans Politique, droit et questions de société
Sais pas, mais tu peux porter un torque, à Mada -
Tout à fait. Je m'impatiente de voir sortir un écran de type eInk 14" ou plus, couleur. Pas besoin de faire lecteur de vidéo, de musique ou autre fanfreluche, je veux juste lire des BDs et des magazines.
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Là, je reconnais que ma phrase aurait pu ^^etre mieux tournée. Ce n'était pas ses 26 ans qui m'avaient marqués, c'était ses travaux.
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Tu ne connais pas du tout le domaine dont tu parles. L'interaction, l'IHM, c'est des règles scientifiques, construites sur un siècle, avec des lois validées empiriquement depuis autant de temps. On a la loi de Fitts, la loi de Hick, les 2/3 Power Law, règles biophysiques (il est impossible de déplacer une main sur la table d'un mouvement de moins de 0,2 mm), la boucle de rétroaction oeil-cerveau-main est de 240 millisecondes. Etc… Faire des études scientifiques, en interaction, ça coute très cher. Les grosses boites payent, parce qu'elles ont besoin de différencier leur produit des concurrents. On récupère rarement dans le domaine la documentation scientifique de leurs expériences (ou alors elles implémentent dans un produit des recherches réalisées dans un labo). Tu donnes l'exemple du Pointeur de souris accéléré sous X (http://www.x.org/wiki/Development/Documentation/PointerAcceleration). La mise à disposition de son code par Simon Thum date de 2008 (http://www.phoronix.com/scan.php?page=news_item&px=NjY1Ng). Avant, c'était daubé. Chez MS, l'accélération souris existe depuis 2001, et elle est documenté depuis la même date. Ça existe depuis OSX 10.1 chez Apple (là, on n'a pas les détails de l'implémentation). J'ai montré dans une expé que leur implémentation est d'ailleurs buggué à un endroit. Pour Thum, il a fait des choix techniques dont on ne connait pas la raison. Pourquoi a-t-il cappé les périphériques à 100 Hz ? (les souris reportent leurs infos à 128 Hz). Quels sont les choix qui ont amenés la construction de ses courbes polynomiales ? Quelles expériences reproductibles ? Tu dis que le gars de chez MS a une crédibilité de 0. Pour détailler quand je voulais dire qu'il était bon en info, voilà ce sur quoi il travaillait (entre autres) : - un ordinateur ne sait pas dire où commence et fini un geste libre effectué dans l'espace. - l’être humaine ne sait pas dire quelle heuristique il utilise pour dire quand un geste commence et fini (même s'il sait en reconnaitre un). - aucune interface gestuelle actuelle ne sait reconnaitre un geste continu (Kinect, WiiMote et tout le reste, c'est modal, il faut appuyer sur un bouton pour annoncer le début du geste, ou se synchroniser sur un geste avec un top donné par la machine). - ces interfaces sont très utiles dans un grand nombre de cas (un professeur qui s'anime devant une classe, fait des gestes, et voudrait passer au transparent suivant, juste avec une webcam qui suit ses gestes. Un sourd-muet qui voudrait voir la langue des signes interprétées dynamiquement. Un batman sur un porte-avion qui fait des gestes de guidages pour un avion en difficulté, et qui aimerait voir une machine reprendre les gestes pour les retranscrire en audio ou vidéo. Un sportif qui s'entraine devant caméra pour affiner toujours plus son geste, etc…). - le type en question travaillait sur un algo intelligent pour deviner quelle info utiliser pour dire "le geste commence là" (dérivée deuxième de la vitesse - il faut une caméra haute vitesse pour ne pas avoir de bruit ? contraction musculaire - lisible par EMG, ce n'est pas forcément précis, etc.) Pour tout ça, encore une fois il faut faire passer des dizaines et des dizaines de cobayes, pour avoir des jeux de données exploitables. Quand aux liens que tu donnes quand aux problèmes des GUI (mac entre autre), l'utilisateur ne réalise pas qu'il profite des processus qu'il critique. Pourquoi les boutons "replier, maximiser, fermer" ont une taille différente sur l'interface Aero ? La loi de Fitts permet de mesurer la performance en bits/secondes face à la taille d'une cible. Si tu augmentes la taille de la cible à atteindre avec une souris, tu diminues la difficulté neuro-musculaire de la tache à accomplir. La barre des menus en haut de l'écran du Mac ? Ça permet de profiter d'une cible de hauteur infinie dans l'espace moteur, etc… A chaque nouvelle innovation en interaction, il faut mitiger le gain en performance apporté face au cout cognitif nécessaire à son apprentissage et au dés-apprentissage des techniques précédentes. Là où je suis d'accord avec toi, mais j'ai l'impression que tu rejettes tout en bloc sans faire le détail : une interface comme Metro est faite pour le tactile. Pas pour les claviers/souris. Si le département marketing veut forcer ça pour tout le monde y compris le desktop souris/clavier, c'est une grosse faute en interaction. Tu montres un screenshot de MS Bob. En IHM, c'est l'exemple même d'interface à ne pas faire. Pareil pour le trombone de Word.
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Une des sources de problèmes pour l'open source, c'est les contributions réalisées par les devs payés par une entreprise. Le travail peut être de grande qualité (c'est indépendant du problème, en fait), la boîte qui paye peut être RedHat, Mozilla, Novell, ou même MS quand ils contribuent du code. Le code contribué est une réelle avancée, mais la seule documentation technique disponible, c'est la doc de l'interfaçage avec les composants logiciels publiés. Toute la documentation du processus technique qui amène à cette solution restent internes à l'entreprise (les étude utilisateurs, les tech reports, les white papers restent interne à la boîte). Les deux raisons : propriété intellectuelle entremêlée, et documents pas forcément intéressant à lire. Au final, on a choix techniques qui ont été pris, mais dont on ne connait plus les raisons (qui étaient très certainement valables à l'époque). Pourquoi Xerox n'a pas utilisé de périphérique qui permettait un transfert entre un geste utilisateur et un pointeur à l'écran qui soit une sinusoide et non une sigmoide à paliers ? Mystère. Pourquoi quand Intel met à disposition des organismes de certifications la norme USB HCI (pour les périphériques), n'inclut-elle pas la possibilité pour les périphériques d'annoncer leurs capacités ? Sais pas. Et ainsi de suite. On a des choix d'implémentations qui ont été fait à une époque, dont l'origine se perd dans les limbes des entreprises les ayants commités.
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Je te quote dans le désordre, parce que je suis un libéral qui ne respecte rien. Je ne suis pas un pro-GUI chiadée avec un clickodrome dans tous les sens. Il y a des choses qui sont réalisées de manière beaucoup plus efficace avec une ligne de commande (quel que soit l'OS d'ailleurs), qui est un processus de travail 1D (et donc les tâches unidimensionnelles y sont plus adaptées : toutes les commandes que tu peux piper les unes derrière les autres, par exemple). Et là, c'est clair qu'Un*x gagne, tout simplement parce que le nombre de programmes bien codés dont le code est disponible, et qu'on peut alors optimiser écrase tous les autres. Une GUI, c'est bien pour les actions cognitives 2D, et pour les interfaces exploratoires (quand tu ouvres un soft, que tu sais ce que tu veux obtenir comme résultat, mais pas comment y arriver. Tu zieutes dans tous les menus et boutons jusqu'à trouver ce qui te correspond). D'ailleurs, quand tu deviens habitué et bon avec un soft, tu te reposes sur ses raccourcis clavier, qui est une manière de revenir à une tâche de travail 1D. Le nombre de Cas d'Utilisation étant exponentiel avec le nombre d'utilisateurs, tu es obligé de restreindre les fonctionnalités (et donc la puissance) d'une interface à un moment donné en ne mettant à disposition de l'utilisateur qu'un sous-ensemble de ces fonctionnalité. Encore une fois, sous Un*x, tu peux rentrer dans les fichiers de configs, dans le code, et y paramétrer à volonté ce que tu veux. Sous Windows (et une moindre mesure OSX), tu ne peux pas faire ça (personne n'a envie de tracer des binaires inconnus et d'utiliser une éditeur hexa pour changer des ressources medias dans les programmes des autres). Tu dois donc faire un choix, et, en partant un peu dans la direction de Pareto, présenter les 20% des actions/fonctionnalités que 80% des utilisateurs utilisent 80% du temps (et d'ailleurs gonfler les power-users les 20% du temps restants ). Problème : le turn-over des équipes interfaces/UX dans ces boîtes est très important. Par exemple, en 2008, à la conférence SIGCHI (équivalent du SIGGRAPH, mais pour l'interaction), je discute avec un des gars de l'équipe Microsoft qui bosse sur MS Surface (la table, à l'époque, pas la tablette qui va sortir dans une paire de mois). Il est relativement jeune, 26 ans (et brute en info). Il m'explique que personne chez eux n'a de trace des papiers techniques expliquant les choix et directions prises à la sortie de WinXP (un des exemples, les fameuses courbes d'accélération souris). Certains des choix techniques sur les OS en production actuellement sont donc des conséquences de choix fait pour certains il y a 10 ans, et qu'on garde par rétro-compatibilité. A d'autres moments, les chefs d'équipes disent "on bazarde tout, on reprend à zéro". Et là, tu ne sais pas si le rejet des gens vient d'un réel problème d'interaction moisie (ça, ça m'étonnerais, les gens utilisent du Windows depuis 15 ans, mais on testé l'interface Métro pendant 2 mois), ou juste d'immobilisme cognitif. Dans 5 ans, il y aura des gens qui vont regarder de manière incrédule les utilisateurs de Windows qui auront gardé l'interface Aero, tout comme aujourd'hui les utilisateurs de Win7 me regardent ahuris quand je force l'interface de Windows Classic sur mon Win7 . Ce que je propose, c'est que l'interface soit évalué in the field pendant 1 an ou 2 ans, et qu'on en tire les conséquences. Et un truc aussi : les gens évaluent l'interface de Win8 avec un paradigme/clavier souris alors que le système de tiles n'y est pas du tout adapté (dans la taxonomie des interfaces, une souris est un périphérique indirect isométrique, alors que les tiles d'une interface tactile sont directes). L'erreur marketing stratégique de MS, c'est de vouloir imposer l'interface Metro tactile/mobilité aux utilisateurs classiques desktops clavier/souris. (Je pense que le choix marketing tient d'une vision "on veut reprendre l'avantage à tout prix sur Apple/Google, et on va y aller sans finesse, ça passe ou ça casse").
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@Gil_Grissom : différence de liturgie entre les catholiques et les protestants, entre autre.
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Bien tenté, mais en fait, c'est parce que le groupe qui a fait Hotel California, c'est Eagles
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Ça rejoint aussi une info que j'ai déjà défendue ici : les jeux-vidéos (volés ou non) comme passe temps pour la petite déliquescence (bien qu'on puisse include ça dans l'audiovisuel). Sinon, une vraie question : en presque vingt ans (même si ce n'est pas si loin), la médecine d'urgence et la gestion/récupération des blessés graves a augmenté en efficacité. Est-ce que ça n'a pas une incidence mécanique sur la baisse du nombre de meurtres ? (puisqu'un blessé grave récupéré in-extrémis et sauvé, ne sera plus considéré comme tué). Je l'ai déjà sorti, mais personne n'avait relevé : Chitah n'aime pas "Hotel California".
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Mais quand même avec ton couteau ?
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Théoriquement non, parce que l'argent qui vient de la BCE vers les banques de second rang, c'est de "l'euro BCE", pas de "l'euro second rang". L'argent qui vient de la BCE en échange des obligs, les banques ne peuvent rien en faire d'autre que de la compensation, du fond propre, ou du remboursement à la BCE (après un tour de roue, on réalise donc qu'à la fin, le serpent se mord la queue). Ici, la perversion n'est donc pas l'augmentation de la masse monétaire, mais la gestion de tout un flux pour revenir au point de départ (et donc il faut des fonctionnaires et des employés pour gérer ça, qui eux sont payés avec du vrai argent - euro second rang - en échange d'un travail improductif.
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Normalement, "l'argent BCE" ne peut pas sortir du circuit BCE <=> banques de second rang, parce que ce n'est pas de l'argent de même nature que l'argent prêté pas les banques commerciales aux particuliers (même si les deux argents portent tous les deux le nom "euro". La BCE imprime autant d'euros qu'elle veut, elle les prête aux banques commerciales en échange de garanties de celles-ci déposée chez elle (bons du Trésor, etc… Si je me souviens bien, des actifs illiquides tels que des propriétés par exemple, même de valeur énorme, ne peuvent être déposées). Ça ne devrait pas être possible pour la BCE d'acheter des titres de dette d'Etat, parce que ça serait équivalent à sortir les "euros BCE" du circuit banques <-> BCE, et les mettre dans le circuit "normal" (puisqu'alors l'Etat utiliserait cet argent pour payer ses fonctionnaires, faisant grossir la masse d'euros dans le circuit banques commerciales <-> particuliers. Et là, inflation mécanique). En fait, tant qu'on interdit à la banque centrale de faire fuir son argent dans le circuit régulier, l'Etat ne peut pas enfler les gens sur la valeur de la monnaie. Ce que vas faire la BCE, pour "stériliser" cette somme, c'est qu'elle va "acheter" aux banques commerciales leur obligations d'Etats, qui vont arriver dans ses caisses, en échange d'une prime sur la valeur de cette obligation. Ainsi les banques se retrouvent avec un surplus de cash "BCE", utile pour réaliser leurs compensations entre elles, notamment. (La BCE n'est que ça, normalement, une caisse de compensation entre banques de second rang, qui se font plus ou moins confiance. Quand les banques ne réalisent plus leurs opérations monétaires entre elles par manque de confiance sur la crédibilité de la banque d'en face, le système se grippe). Le coup des "réserves de banque qui diminuent, alors elles prêtent moins" n'existe pas, c'est un truc que les journalistes sortent pour enfumer les gens (et s'enfumer eux-mêmes, par cette occasion ). Une banque ne manque jamais d'euros, puisqu'elle créé l'argent qu'elle veut, par l'opération du crédit (il n'existe pas de banque chez laquelle tu puisses aller qui te dira un jour "ah non monsieur, on vous refuse le prêt, on n'a plus d'euros"). Les banques prêtent moins car elles augmentent leurs exigences sur la qualité de ce qu'elles reçoivent en échange des crédits qu'elles offrent (ce qui est naturel, puisque tout le monde voit autour de lui que les choses empirent et se pourrissent). Ici, le vrai problème, c'est que c'est le politique qui fixe la qualité des collatéraux acceptés en échange des crédits accordés. Tout comme aux USA, quand l'Etat a fixé la quantité de prêts immobiliers à accorder aux foyers "pauvres" (donc l'Etat a fixé la qualité de ce que les banques recevaient en échange de leur argent. Comme il n'y avait aucun lien entre la qualité réelle des biens, hypothèques et autres que recevaient les banques face à l'argent créé, certaines banques ont créé les subprimes pour reporter sur d'autre ce risque de défaut. Comme tout le monde faisait pareil, une banque carafe et c'est pareil pour tout le monde. Donc l'Etat doit au final se porter garant, le fameux "too big to fail". En gros, on a créé de la richesse réelle, payé des gens avec des vrais salaires - le BTP ici - avec de l'argent dont on s'est rendu compte après qu'on a fabriqué. Le différentiel entre le prêt accordé et la valeur réelle des actifs donnés en échange). De même, la valeur enregistrée des obligations grecques, espagnoles, portugaises, irlandaises (et bientôt françaises) n'équivaut pas à ce que valent réellement ces obligations. Tu sais comme moi aujourd'hui que si tu as une obligation de l'Etat grec, qui t'assure que dans 3 ans ils te remboursent 100€ + 50€ de prime, tu ne verras jamais cet argent. Pourtant le politique force la BCE (entre autres) à considérer que cette oblig vaut bien potentiellement 150€. Dès lors, même si le système banques secondaires<->banque centrale n'est pas inflationniste par lui même (même si ce n'est pas du free-banking, ne nous leurrons pas), le contrôle de la BCE par le politique va lui imposer (par diverses contorsions, ça serait vraiment trop gros pour les opinions si un homme politique faisait une déclaration publique du style "maintenant, j'ai forcé la Banque Centrale à injecter 10 milliards d'€ dans l'économie") des comportements anti-économiques. Donc au final, c'est toi, moi, et ma fille de 13 mois qui allons payer. Edit : la deuxième conséquence de tout ça, c'est que la BCE, tout en "assainissant" les banques de second rang, se lardent d'obligations pourries. S'il y a un nouveau problème (au hasard, la Grèce fait à nouveau défaut), il n'y aura plus de sous. Et donc les Etats membres devront la renflouer, par construction légale de la structure.
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J'imagine que dans ton domaine c'est dur (impossible ?) de trouver une boite qui te propose une thèse CIFRE sur le domaine. Parfois ce qui est pas mal c'est de faire une co-tutelle avec un secteur médical ou un secteur police (expertise criminelle). Ça impose de trouver des liens (parfois très tenus) entre ton domaine et le domaine de cotutelle (et ces 2 domaines là, par exemple, permettent de lier "beaucoup" de choses qui paraissent irréconciliables de prime abord), mais ça permet de financer une thèse qui n'existerait pas sinon. (Par contre, j'imagine bien la t^^ete de ton sujet dans ce cas… "Des origines du commerce bantou et béninois dans la vente de drogue sur Paris Sud" - ou "Rééducation motrice et vaudou malinké" ).