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Bisounours

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Tout ce qui a été posté par Bisounours

  1. J'ai lu que la limitation à 80 km/h était revue en Haute Marne. Est-ce à dire que ça va être étendu partout en France, adapté à chaque situation ? Ou bien c'est pipeau ? https://www.20minutes.fr/france/2525283-20190524-fin-limitation-80-kmh-haute-marne-pourrait-etre-premier-departement-retablir-90-kmh-certains-troncons https://www.francetvinfo.fr/societe/securite-routiere/limitation-de-la-vitesse-a-80-km-h/pourquoi-l-assouplissement-de-la-limitation-a-80-km-h-est-une-annonce-en-trompe-l-oeil_3447521.html
  2. Merki, c'est bien ce qu'il me semblait, j'ai fait la modif
  3. un peu comme un trompe-l'œil ? mais est-ce que c'est un trompe-saveur ?
  4. ben c'est une attaque de colis, tu pinailles
  5. Dites-moi, les intellos intelligents, vous vous reconnaitrez... Y a pas un truc qui cloche dans cet énoncé que j'ai chopé sur wikibéral ? Je dubite... Un juge est désireux de faire avouer deux complices dans une affaire criminelle. Les deux complices sont enfermés dans des salles séparées et ne peuvent pas communiquer entre eux. Pour les faire parler, le juge décide de leur proposer un marché. Si aucun n'avoue, ils iront chacun deux ans en prison. Si les deux avouent, ils iront chacun cinq ans en prison. Si l'un avoue et que l'autre reste silencieux, alors ce dernier ira en prison dix ans et l'autre sera libéré. La meilleure solution pour les deux criminels est de refuser d'avouer. Ainsi, ils écoperont chacun de deux ans de prison. Cette solution est un optimum de Pareto, une solution dans laquelle on ne peut pas améliorer la satisfaction d'un agent sans réduire celle d'un autre. Cependant, l'équilibre de Nash, à savoir la solution du dilemme, n'est pas un optimum de Pareto, que l'on pourrait grossièrement qualifier d'intérêt général. En effet, chacun des prisonniers se dira que, si l'autre parle, il écopera de dix ans s'il ne dit rien et de cinq ans s'il parle. Si l'autre se tait, il sera libre s'il le dénonce, tandis qu'il écopera de deux ans s'il se tait. Faisant le même raisonnement, ils se tairont tous les deux, et écoperont de cinq ans, là où ils auraient pu n'avoir que deux ans de prison s'ils avaient coopéré.
  6. Ce sont mon expérience et mon vécu professionnels.Je me suis rendu compte très concrètement que tous les dispositifs supposés aider les pauvres et assimilés, mal-comprenants et autres cas soc' vaguement handicapés, ne faisaient que les enfoncer encore plus dans la merde en les maintenant dans un statut de victimes et d'assistés et/ou de profiteurs et parasites du système. Mais permettaient de faire vivre une secouée de fonctionnaires occupés à tamponner, agrafer, photocopier, établir des listings et faire chier lesdits assistés avec le sentiment de les aider. Toute cette énergie et ce pognon foutus en l'air pour des résultats absolument nuls sur le long terme, ça m'a filé une bonne crise de foi socialiste qui m'a retourné le moral et fait réfléchir. Pourquoi ce ne serait pas identique dans des tas de domaines autres que le logement, comme la santé, l'éducation, le travail ? Donc on va dire pragmatisme et empirisme pour ce qui me concerne : si une théorie ne peut pas trouver son application irl, n'a pas été prouvée et attestée avec succès, poubelle. Je suis tout sauf une intello, je suis bassement terre-à-terre. Oui, je sais, c'est sale. Mais j'essaie toutefois de ne pas mourir idiote et je tente de saisir quelques concepts pour m'expliquer ce que j'ai constaté, on a sa fierté. Autrement, je suis bassement individualiste et je n'ai jamais supporté la hiérarchie, ce qui m'a joué de sacrés tours dans mon boulot, ça doit y faire pour les fondamentaux, non ?
  7. Au milieu de mon environnement soc-dém mou vaguement macroniste, ou socialisant, je pensais naïvement avoir une alliée, ou du moins quelqu'un avec qui échanger en ayant un peu le même langage, puisque du style à pourfendre les mouvements anti-vaccins, anti-amazon, anti-monsanto, anti-libre échange, les féministes hard core et autres vendeurs d'apocalypse. Ça partait plutôt bien, et rafraîchissant en tout cas. Un peu de rationnel, quoi. Et puis hier, paf, désillusion, déception, discussion venue je sais pas trop comment autour du logement... tous les poncifs y sont passés, pas un n'y a échappé. Je suis tristesse. - loyer trop cher (par rapport à quoi ? elle est où la moyenne ?) - des proprios louent des merdes la peau des fesses (oui, pourquoi ?) - en limiter les montants car ces salauds cherchent du profit outrancier (par rapport à quoi ?) - je déteste le profit (mais tu es commerçante...) - faire du logement social supplémentaire (explication des dispositifs) Et à côté de ça, discours sur l'État qui fait chier en réglementant tout... Franchement, j'en viens à préférer le small talk à base de météo (encore que c'est risqué...)
  8. Les Juifs et les Chinois prétendument riches. Sympa comme ambiance dans ces coins.
  9. Je comprends pas, désolée. Où est le problème de chercher à répondre aux besoins en tant que structure publique ou para-publique ?
  10. Ça commence à évoluer, les nouveaux programmes ont prévu cette nouvelle donne liée à l'instabilité familiale. Parent isolé ou personne seule. En tout cas, vers chez moi, c'est le cas. Les femmes ayant maintenant souvent un travail, forcément, ça incite davantage à se séparer lorsque la situation n'est plus vivable, souvent au départ des enfants qui faisaient le ciment un peu fissuré du couple.
  11. je vois pas trop la diff entre une personne décisionnaire et un tuteur, si tu veux. Dans la mesure où celui-ci est supposé décider en lieu et place de la personne qu'il représente. La seule différence est que c'est toi qui désignes cette bonne âme quand tu as toute ta tête, mais en l'absence de tes volontés écrites pour des choses précises, tu as donc entièrement confiance dans ses choix. Ce qu'on peut supposer être le cas pour l'épouse Lambert, à moins d'être dans une émission genre "crime machin".
  12. Si tu déclares ta femme, ça revient à dire qu'elle te réprésente, ce qui est le cas en l'espèce puisqu'elle a la tutelle de son mari, mais visiblement, ça ne signifie pas qu'elle plaide dans son intérêt. Quelle différence donc ?
  13. Ben si, mais dans certaines conditions, dans le respect des droits de chacun. En dehors de ce type de situations exceptionnelles, on peut rompre un contrat de mariage civil, ça s'appelle le divorce. Ici, le souci c'est que l'un des époux n'a pas la capacité de s'exprimer et on voit mal comment son épouse pourrait à la fois être à l'origine de la demande pour des raisons factuelles genre rupture de la vie commune et en même temps représenter les intérêts de son époux.
  14. Je soupçonne personne. Les parents sont engagés dans le respect du droit à la vie de par leurs convictions religieuses, c'est leur droit. L'épouse est engagée à l'inverse, et représente la parole de son époux qu'elle a été hélas la seule à entendre. Cette triste histoire en est arrivée là médiatiquement à cause des premiers fortement impliqués dans le mouvement pro-life, ils ont su jouer de cette influence-là. Il y a plus d'un millier de patients dans cet état de conscience minimale à un cheveu de l'état végétatif, faudra m'expliquer pourquoi on en entend pas parler. Au-delà de la science, qui a évalué et ré évalué l'état de conscience de VL, les convictions intimes des hommes se reflètent logiquement dans les décisions de justice contradictoires depuis plus d'une décennie. Et prouvent par là même que la décision est impossible à prendre sereinement et encore moins par les différents tribunaux. La seule conclusion que j'en tire c'est que ce pauvre VL n'a rien à foutre dans un service hospitalier où il végète entre deux décisions de justice à cause de sa famille qui se déchire. Sa place est comme les autres personnes comme lui, soit en MAS, soit à domicile avec une palanquée d'accompagnements, jusqu'à ce que son corps lâche à cause d'une infection.
  15. Bisounours

    Matos & autres

    euh... ça veut dire qu'à partir de là, les acheteurs n'auront plus accès à google, mais pas de rétroactivité, donc ? c'est possible techniquement ?
  16. Tu pousses le bouchon, là... Pourquoi lui prêter de mauvaises intentions ? Pour ma part, je persiste à penser qu'elle n'a fait que défendre le point de vue de son époux, sûrement mon côté naïf. Et je maintiens qu'au jour d'aujourdhui, elle n'est pas contrainte dans sa vie privée par la présence de son époux. Par ailleurs, si le mariage religieux est un engagement à vie pour les croyants, pour les autres il est juste un contrat civil établi en mairie, et à ce titre, comme tout contrat, il est résiliable.
  17. C'est la femme qui est tuteur il me semble. Et si elle est favorable à l'euthanasie selon les volontés de son mari, ce n'est pas la MAS qu'elle va défendre. Un problème avec ses beaux parents ah bon tu crois ?
  18. Bigame, comme tu y vas... je pense pas à un autre mariage. Juste que de fait il y a zéro vie conjugale. Pour le divorce je sais pas tiens...
  19. Si il est encore en service hospitalier c'est peut-être du fait des multiples procédures qui laissent son avenir instable. Car logiquement il relève d'une M.A.S maison d'accueil spécialisée pour personnes en état végétatif. Qui fait donc tout pour le confort du patient en termes de nursing, stimulation et autres gestes de soins. Rien à voir avec les soins palliatifs qui accompagnent les personnes en fin de vie à brève échéance. Or il n'est pas en fin de vie mais en vie pourrie de chez pourrie et peut-être pour très longtemps. Chais pas si c'est mieux. Pour ses parents oui visiblement. Pas pour son épouse qui a fait part des souhaits de son mari mais sans témoins ni preuves.
  20. C'est d'ailleurs la même racine. Végétal, végéter... Euh...
  21. Oui bien sûr. Sur le papier. Mais en termes de vie conjugale c'est un peu léger. Tout dépend de son engagement personnel.
  22. Ouais, faut pas déconner non plus, hein, et pourquoi pas comme certains y pensent, un droit des arbres ? Je te cause de comm d'humain, même les personnes atteintes du locked-in syndrome communiquent un chouïa. Et puis de toute façon, nous n'avons pas connaissance précisément de ses ressentis, donc on blablate un peu avec nos a priori. Et je précise donc que je ne suis pas spécialement attirée par l'idée de mettre un terme à son état de vivant, loin de là. ban oui, elle a donc inventé ça pour se débarrasser de lui, alors que de fait, elle l'est déjà, non ?
  23. On oublie un peu facilement que l'épouse a affirmé qu'il lui avait confié ne pas souhaiter être maintenu en vie dans ce cas de figure. La soupçonner de mentir, c'est aller un peu loin.
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