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Ataraxie

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Tout ce qui a été posté par Ataraxie

  1. Chitah est brillant : son raisonnement est semblable aux gauchistes disant que "femme occidentale en décolleté" = "femme voilée" puisqu'elles subissent toutes deux les pressions de la "sociétè".
  2. Sérieusement Kosher, je trouve attristant que vous vous contentiez d'être perçu, par votre entourage gauchiste, comme un éternel dominé clientèle séculaire du parti socialiste. Si vous vous rebellez ils se diront que vous persistez seulement dans l'exercice de votre fausse conscience qui se corrige par la raison.
  3. Vous n'y êtes pas. Le libéralisme n'est "ni de droite, ni de gauche". Vous êtes aveuglé par des querelles de partis. Je vous plains.
  4. Tout le monde sera d'accord avec moi si je dis "l'extrême-droite est compatible avec le libéralisme", avant d'affirmer " mais dans la réalité, l'extrême-droite ne peut pas être autre chose que du socialisme de droite".
  5. Vous auriez dû leur apprendre que le libéralisme est de gauche. Voire mieux, qu'il incarne la vraie gauche.
  6. C'est de l'hygiénisme.
  7. Comme d'habitude, complaire à la gauche : les médias aussi se montrent plein d'égards vis-à-vis d'Hollande (surtout en comparaison de Sarkozy du temps de son mandat, fustigé sans relâche avec acharnement). Donc il s'agit d'acclamer la bureaucratie au détriment des hommes de caractère et qui ont du sens pratique pour gouverner ; je note.
  8. Si, ça a son importance : Sanksion décrit le cas particulier (par une analyse physionomique d'un chef d'Etat) découlant d'un phénomène général, à savoir le processus de décadence des élites. On part du fait divers pour remonter jusqu'au fait de société, si vous préférez.
  9. Parce que le chauvinisme implique l'évacuation de la moindre dimension politique (contrairement au nationalisme et au patriotisme) d'où son utilisation pour qualifier les événements sportifs.
  10. Le "patriotisme" a perdu de son éclat, et surtout de son sens, depuis l'abolition du service militaire obligatoire. Cette dégradation se retrouve dans l'usage du terme "chauvinisme" de fait un peu pitoyable.
  11. Je constate que personne n'a encore proposé de femme ! Il faut dénoncer d'urgence cette institution phallocrate et les réflexes de genre.
  12. Honnêtement, quel est le problème avec le "nationalisme" ? Ce n'est pas une honte à l'étranger d'être fier de son pays, voire de se dire "nationaliste". D'abord, on peut observer que ce n'est qu'un mot, pareillement au terme "patriotisme". Tout dépend de quelle façon nous les définissons. "Nationalisme", spontanément, nous inspire des sentiments désagréables (heures les plus sombres de notre histoire, "FN", "Droite", etc) qu'il vaut mieux canaliser. Donc ce qui chagrine dans le "nationalisme" est la statolâtrie ainsi qu'une identité basée sur des fondements raciaux. Il suffit de se désolidariser de ces éléments. Préférer le terme "patriotisme" revient à céder et à la gauche et au politiquement correct (une sorte d'euphémisme qu'il convient d'utiliser pour ne pas être amalgamé avec le méchant nationalisme). De même, si pour l'un la région (compatible avec le principe de subsidiarité et la perspective de décentralisation) passe avant la France, quel est le problème, dans la mesure où tout un chacun a un ordre de préférence (A moins que vous ne soyez un républicain ) ? De plus, le patriotisme ou le nationalisme permet de faire pièce aux détracteurs qui voient dans les libéraux des ressortissants de la super classe mondiale apatride.
  13. Un auteur comme Emile Faguet justifie bien le libéralisme par patriotisme. Bref, il n'y a pas lieu de se pincer le nez en pensant que le proclamé patriote s'écarte de l'orthodoxie libérale.
  14. Je crois que pour mieux cerner le sentiment d'insécurité il est nécessaire, à la façon de Knight, de faire la distinction entre "risque" (n'importe qui peut-être victime d'un acte délictueux, n'importe où, n'importe quand avec la conscience que, même s'il ne s'est effectivement rien passé, ce n'est qu'un répit) et "danger" (le bon sens nous commande d'éviter certains lieux, certains individus avec la garantie qu'il ne nous arrivera rien ainsi les vaches sont bien gardées). Le sentiment d'insécurité se situerait plutôt du côté du risque. Avec cette conceptualisation en tête, il devient parfaitement compréhensible que ce Français à l'étranger se sente en sécurité dans son quartier qui comptabilise un meurtre par semaine.
  15. Il me semble que vous péchez, justement, par excès d'optimisme. Car il faut entendre par "oui, les gens prennent conscience des réalités de la vie" : "les gens vont se tourner vers l'anarcho-capitalisme, par un libre examen de la Raison" ; alors qu'au contraire ce n'est pas une nécessité et que cela peut mener, par une cascade d'effets pervers, à une recherche de l'hédonisme sécuritaire, une hausse de la répression et une exigence de la réduction des libertés publiques (représentant un coût). Voir que manifester par millions dans la rue ne mène à rien peut encourager l'apathie voire le nihilisme. Constater que le policier peut se faire ennemi de foules paisibles peut cultiver le désespoir et non envisager une police privée.
  16. Eh bien, il faut réduire d'urgence le nombre d'établissements pénitentiaires en vue de réduire la criminalité !
  17. Je suis surpris par la réaction qui consiste à dire "ah, regardez ce peuple de droite qui découvre la police, les vexations et les GAV ; des naïfs qui ignoraient tout de la réalité en croyant à la justice de notre pays" alors qu'au contraire je trouve pas plutôt sain que certains individus croient a priori à l'égalité des droits et qu'ils n'étaient pas animés d'une suspicion à l'égard de la justice et de connaître toutes les ruses, à la façon des voyous, pour éviter les ennuis avec les policiers avant d'y être confrontés. Faut-il se réjouir de la hausse des désillusions ?
  18. Mais Chitah, tout le sait que la cause de la criminalité n'est autre que la prison ! Il suffit d'avoir fait un détour par l'université française pour le savoir.
  19. Ce n'était qu'un sentiment d'insécurité. Attention aux amalgames douteux. De même, je ne comprends pas Chitah qui stigmatise des zones de notre territoire.
  20. Après tout ce n'est qu'un mot, ce qui importe est de savoir ce qu'ils veulent dire en l'utilisant. Dans bien des cas, il est à entendre au sens de "quelque chose qui m'est désagréable, qui va à l'encontre de mes sentiments".
  21. Je ne vois toujours pas le rapport entre intégrer l'armée ou la police et "se sentir européen".
  22. Vous en dites plus sur vous-même que sur les motifs d'adhésion de ces individus.
  23. Il suffit seulement d'être de nationalité française pour intégrer l'armée ou la police. Qui vous dit qu'"être prêt à se battre voire à mourir au nom de ce pays" est le carburant pour mobiliser quelque individu ?
  24. Pour ne pas laisser les ingénieurs sur le carreau il faudrait aussi traiter des saints-simoniens de droite.
  25. Oui, c'est ça que je voulais dire par "portion non négligeable des informaticiens" : une autre partie peut très bien se diriger vers le marxisme de gauche (marxistes de droite et de gauche ont le progressisme en commun qui leur permet de s'adapter). De plus, on pourrait justifier leur adhésion au libertarianisme par leur propension à une relative indépendance et leur optimisme dû au plein-emploi dans ce secteur d'activité. Et je dis bien "constructivisme non étatique" qui n'est, a priori, pas incompatible avec le créneau libertarien.
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