Dardanus

Fabry est un poète de l'histoire…

Ils ne sont guère familiers avec la boule de cristal…

Je vois que personne n'est allé regarder l'article du wiki : vous auriez les réponses.

Vous ne pouvez pas créer la prospérité en décourageant l’épargne. Vous ne pouvez pas donner la force au faible en affaiblissant le fort. Vous ne pouvez pas aider le salarié en anéantissant l’employeur. Vous ne pouvez pas encourager la fraternité humaine en encourageant la lutte des classes. Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche. Vous ne pouvez pas éviter les ennuis en dépensant plus que vous gagnez. Vous ne pouvez pas forcer le caractère et le courage en décourageant l’initiative et l’indépendance. Vous ne pouvez pas aider les hommes continuellement en faisant à leur place ce qu’ils devraient faire eux-mêmes.

Une fausse citation de Lincoln qui traîne partout sur internet chez les libéraux prêts à tout gober quand cela va dans leur sens figurait depuis longtemps sur la notice du président qui était par ailleurs des plus réduites. Je suis en train de développer la biographie de Lincoln et j'en ai profité pour vérifier l'origine de la prétendue déclaration au congrès de 1860.

Ils ne cherchent pas la mort, ils la trouvent. N'est-ce pas merveilleux ?

Tout bon catholique aspire au martyr.

3 millions de juifs polonais c'est l'extermination de la communauté juive de Pologne. Donc oui, ce n'est pas tout à fait la même chose que 3 millions de Polonais massacrés car slaves (et non catholiques) donc sous-hommes au même titre que les 13 millions de soviétiques.

Les articles de h16 démontrent chaque jour la pertinence de la fameuse phrase de Will Rogers : «Il n’y a aucune peine à devenir humoriste quand il y a tout un gouvernement qui travaille pour vous.»

Les Anglais font tout à l'envers, c'est bien connu.

Début de la 2e série sur les entrepreneurs, centrée sur la IIIe république : pour commencer, Gustave Eiffel http://www.contrepoints.org/2016/04/10/245434-gustave-eiffel-lhomme-de-la-tour-etait-un-entrepreneur

Vous remarquerez que le sens de l'histoire c'est un truc de philosophes, pas d'historiens.

Le sens de l'histoire c'est Le Figaro confiant à un prof de lycée d'extrême gauche le soin de juger la valeur historique des Visiteurs 3.

En conclusion de la première série de portraits d'entrepreneurs et en attendant la seconde série : les Patrons du Second Empire, une collection qui m'a servi de source d'inspiration… http://www.contrepoints.org/2016/04/03/245146-les-patrons-du-second-empire

C'est filmé de l'extérieur : au spectateur d'essayer de comprendre qui est qui, qui fait quoi et pourquoi. C'est déroutant (très loin des films hollywoodiens actuels qui doivent être compris par le spectateur le plus dénué de cervelle), parfois très beau. Cela ne laisse pas indifférent mais à réserver aux esprits curieux et aux cinéphiles avertis.

Danse avec les loups n'est pas un film manichéen. Tous les Blancs ne sont pas mauvais : il y en a deux de gentils et ça tombe bien, ils vivent avec les Sioux et vont se mettre en couple. Tous les Indiens ne sont pas gentils : les Pawnees sont des méchants, ils lardent atrocement de flèches de gentils chiens et fricotent avec les Blancs après avoir tué sans raison un muletier (bon, si une bonne raison : celui-ci n'avait pas jeté sa boite de conserve vide dans la poubelle jaune prévu à cet effet), c'est tout dire. Mais attention, tous les Sioux sont des gentils et tous les Pawnees sont des méchants. N'est-ce pas la preuve de son absence de manichéisme ? En dehors du fait que les blancs sont représentés comme des détraqués, des brutes sans âme (même un loup qui joue un rôle dans l'histoire leur parait spirituellement supérieur), ce n'est pas plus un film manichéen que raciste. Zut, j'ai le sentiment d'avoir été légèrement ironique…

Attention d'éviter les majuscules : australien. Le mêle défaut se trouvait dans l'article du jour sur François Furet. Les anglo-saxons mettent des majuscules partout.

24e et dernier portrait d'entrepreneur de l'âge héroïque du patronat : le baron James de Rothschild http://www.contrepoints.org/2016/03/27/244268-james-de-rothschild-le-grand-baron-de-la-finance

Le portrait d'entrepreneur du dimanche : aujourd'hui Antoine Herzog père et fils, des bâtisseurs d'usine issus de cette Alsace, terre d'entreprise par excellence… http://www.contrepoints.org/2016/03/20/239691-antoine-herzog-pere-et-fils-des-batisseurs-dusines

Et on se moquait de moi quand je disais que sur ce forum on donnait des leçons de libéralisme aux libéraux du passé en les traitant de "socialiste". Les "vrais" libéraux du XIXe siècle ne ressemblaient pas exactement à l'image théologico-utopique du libéralisme que d'aucuns se font sur ce forum.

Les entrepreneurs : la suite. Aujourd'hui, les Japy qui régnaient sur le pays de Montbéliard. http://www.contrepoints.org/2016/03/13/240632-les-japy-lempire-horloger-des-rois-de-la-quincaillerie

La série sur les entrepreneurs continue : Jules et Léonce Chagot ou les limites du paternalisme http://www.contrepoints.org/2016/03/06/237779-jules-et-leonce-chagot-les-limites-du-paternalisme-patronal

Il y a visiblement une confusion entre grand acteur et grand acteur de composition (et qui sont peut-être davantage des comédiens). Selon ce critère les Gary Cooper et les James Stewart n'étaient pas de bons acteurs (bon, je sais, je parle de gens totalement inconnus des jeunes générations). Marlon Brando (la nullité la plus surestimée du siècle dernier) et consorts c'est les horreurs de l'Actor's studio : ils en font des tonnes ! Ils "pensent" intensément (ô combien) leur rôle. Di Caprio le joue tout simplement. Il appartient à l'espèce Gary Cooper : il est toujours lui, il est toujours bon. Mais pour ceux qui aiment des "performances" à la Tom Hanks c'est décevant. Et pourtant dans Attrape-moi si tu peux c'était un régal de voir Di Caprio et Hanks chacun dans leur jeu très différent. L'un est un acteur, l'autre est un comédien. Très bon tous les deux.

Il a toujours été vert, rien de neuf. C'est un très grand acteur, ce qu'il peut dire en dehors de son domaine de compétence importe peu et n'enlève rien à son talent.

la série sur les entrepreneurs de l'âge héroïque se poursuit avec Emile Martin, un aciériste à la pointe de l'innovation : http://www.contrepoints.org/2016/02/28/237192-emile-martin-un-acieriste-a-la-pointe-de-linnovation