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tout38

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Tout ce qui a été posté par tout38

  1. Joli plat, mais personnellement je les aurais faites gratinées . Vive les quenelles de Lyon!
  2. Tout est dit dans cet excellent message. Merci de l'avoir écrit. Il y en a plus qu'assez de des réglementations abusives des entraves à la liberté d'entreprendre et des lois limitant la liberté d'expression. Les libéraux doivent être et demeurer à la pointe de la défense les libertés. D'autant que ce serait un bon moyen de briser les clichés. Les libéraux ne sont pas de sales égoïstes puisqu'ils sont prêts à se battre pour défendre ce qu'il a de plus en important pour les hommes: la liberté. De quoi rendre le libéralisme plus populaire et élargir son audience .
  3. Bonne année à tous. Puisse 2014 nous apporter la santé et le bonheur. Puisse-t-elle aussi débarrasser la France et (ne soyons pas chiche) le monde du socialisme
  4. La Shoah est une atrocité sans nom et il en convient d'en parler, mais il serait bon de mieux contextualiser les choses. Par exemple, dans l'Education Nationale, aucun manuel d'histoire et très peu d'enseignants (on se demande pourquoi) ne rappellent que le national-socialisme combine le pire de l'extrême-droite, le racisme, l'antisémitisme et le nationalisme belliqueux avec le pire de la gauche, le socialisme: donc l'étatisme, le collectivisme... Quant aux crimes du communisme, il n'est pas étonnant qu'ils ne suscitent pas de grand élan émotionnel vu que l'on en parle quasiment jamais
  5. Merci pour le lien. J'avais déjà vu cette photo sur d'autres sites, mais quel plaisir de voir ce prétentieux se décrédibiliser ainsi . J'ai l'impression que notre fabuleux ministre de l'intérieur a raté son coup. Cette grandiose histoire de "quenelles" est en train de lui revenir en pleine figure tel un boomerang mal lancé.
  6. Libre à toi de penser cela. Mais je ne vois pas en quoi la démarche de Bertez mérite le mépris . Je ne partage pas ses sympathies pour des olibrius tel que l'ultra-keynésien Jacques Sapir et je ne suis pas d'accord avec certaines de ses idées. Mais son parcours personnel m'inspire une grande sympathie. Un ancien patron de presse qui a rompu avec le "système".
  7. Pour ceux qui souhaitent élever le débat, je suggère de lire le très bon article de Bruno Bertez publié sur le "Blog à Lupus": http://leblogalupus.com/2013/12/30/politique-friction-du-lundi-30-decembre-2013-nouvelle-quenelle-dans-lenvironnement-socialiste-par-bruno-bertez/
  8. Tant mieux. L'immense majorité des dirigeants de l'UMPS et plus largement de la classe politique française est en dessous de tout. Il n'y a donc aucune raison de leur accorder le moindre crédit et si les citoyens s'en détournent massivement, c'est un bon début.
  9. Ah bon les famines organisées en Ukraine n'ont pas eu pour but d'exterminer la population locale. Elle avait certes commis le crime atroce de s'opposer à la collectivisation et parfois même de revendiquer l'existence d'un Etat ukrainien indépendant, mais elle l'a payé très cher et pour moi 5 millions de morts (estimation "basse"), cela relève bel et bien d'une extermination de masse. Preuve que nazisme n'a pas le monopole des crimes de masse. De même, l'extermination de deux millions (au moins là encore) de Cambodgiens par les charmants Khmers rouges ne me parait pas moins criminels sous prétexte que ce sont des Cambodgiens qui ont tué d'autres Cambodgiens. Le même constat prévaudrait d'ailleurs pour les Vendéens et autres victimes de la Terreur révolutionnaire. Au passage, le bilan aurait probablement était beaucoup plus lourd si les Colonnes infernales avaient disposaient des technologies et instruments idoines. Quant aux Arméniens, s'ils n'ont pas été victimes d'un génocide organisé, c'est à y perdre son latin...
  10. Sur ce point, tu as raison. En revanche, le massacre des Arméniens après la Première Guerre mondiale ne s'apparentait-il pas également au massacre d'une ethnie ?
  11. Mea culpa. Tu as raison, le mieux c'est que le gouvernement ferme sa grande bouche et laisse les historiens faire leur travail en paix
  12. Oui, mais les dénoncer et les interdire, ce n'est pas la même chose. Un gouvernement intelligent, c'est-à-dire aux antipodes des nullités de l'UMPS, chercherait à convaincre les Français de l'inanité, voire de la nocivité de certaines thèses. Ce qui suppose de savoir faire de la pédagogie et d'être capable d'argumenter. La censure et la répression ne font que renforcer les opposants dans leurs convictions et contribuent en outre à les rendre sympathiques à un vaste public .
  13. + 1 Tes analyses sont très pertinentes, même s'il serait impossible de les formuler dans un média institutionnel sans s'exposer aux pires représailles... La France de 2013 est-elle encore une terre de liberté ? Le positionnement extrémiste de certains membres du CRIF et d'autres organisations communautaires radicales risque de se retourner contre la communauté juive qui ne mérite vraiment pas cela. J'espère que les fans de Dieudonné comprendront que ce ne sont pas les juifs les coupables dans cette lamentable histoire. Mais des mouvements qui s'expriment abusivement en leur nom. Quant à la classe politique et à ses larbins des médias mainstream, on dirait qu'ils font tout pour dresser les communautés les unes contre les autres. Le but recherché est-il de faire diversion dans l'espoir de faire oublier l'explosion du chômage et de la dette et/ou de profiter d'un contexte de plus en plus délétère pour imposer de nouvelles lois liberticides ? En tous les cas, le climat actuel n'est pas bon. Puissent les habitants de ce pays ne pas tomber dans le piège qui leur est tendu. Si vous êtes en colère, retournez-vous contre les vrais responsables de l'actuel désastre et non contre de pauvres gens comme vous, qu'ils soient juifs, musulmans, chrétiens, agnostiques, athées... La seule solution si vous voulez sauver ce pays, c'est de dégager du pouvoir l'UMPS et ses satellites, de ne pas céder aux sirènes des démagos du FDG et du FN et de vous prendre en main. Le libéralisme constitue la seule alternative pour sauver la France de la tyrannie, de la ruine et de la guerre civile
  14. Donc, nos positions ne sont finalement pas si éloignées
  15. Sur le second point, j'ai sans doute mal interprété tes propos et je te prie de m'en excuser. En revanche, même si la France n'a jamais été soviétique, elle n'a pas été totalement épargnée par le communisme. Pour mémoire, de nombreux crimes ont été commis par les résistants communistes en 1944-1945. Je ne parle pas de "l'épuration légale", mais de l'épuration sauvage totalement arbitraire et souvent injuste. Deux articles intéressants sur cette douloureuse question: http://www.rue89.com/2010/04/14/un-monument-en-france-pour-des-fusilles-allemands-147350 Philippe Bourdrel L’épuration sauvage 1944-1945 Perrin 2002 / 3.66 € - 24 ffr. / 571 pages ISBN : 2262017506 Imprimer "Fruit de la réédition d’un ouvrage initialement paru en deux tomes en 1988 et 1991, L’épuration sauvage de Philippe Bourdrel nous revient sous une forme augmentée et enrichie de nouvelles archives régionales. Lors de sa parution, ce livre s’était surtout signalé par l’imbroglio judiciaire qui avait alors accompagné sa diffusion. Retirée de la vente à la suite de la plainte pour diffamation du fils d’un F.T.P. incriminé par l’auteur, cette étude était du coup passée plus inaperçue qu’elle ne le méritait, bien qu’elle vînt, en contrepoint de L’épuration française de Peter Novick ou de L’épuration d’Herbert Lottman, éclairer un phénomène capital pour la compréhension de la France de la Libération : l’épuration illégale, menée anarchiquement et hors de toute justice autorisée. L’ampleur de cette épuration sauvage comme la diversité de ses formes donnent toute la mesure de son importance historique. En effet, les 791 condamnations à mort légalement prononcées et mises à effet font pâle figure au regard des 10 000 à 15 000 exécutions sommaires qui émaillèrent la Libération, les procès officiels ne pèsent guère face aux innombrables sévices, attentats et autres fusillades tenant lieu de seul jugement prononcé arbitrairement et en toute impunité. Bourdrel insiste à raison sur le climat de guerre civile dans la guerre qui a précédé et préparé ce climat insurrectionnel qui se répandit de toutes les exactions possibles. Si cette terreur sourde s’abattit sur toute la France et prit partout le même visage, il apparaît que son intensité varie selon les régions et atteint un niveau particulièrement dramatique au sud d’une ligne reliant l’estuaire de la Gironde à la capitale des Gaules. Le Limousin fut le théâtre privilégié de ce jeu de pancrace intestin. Déboussolée par l’affaissement de l’autorité de Vichy au profit de maquis engagés dans une lutte d’influence sans merci, terriblement éprouvée par des colonnes nazies itinérantes et ivres de sauvagerie, la région paya un lourd tribut à cette épuration sauvage et devint une sorte de «champ clos de la violence». Les motivations de ces actes sont peu ou prou de même extrace. Derrière la rhétorique de la défense de la liberté, elle est certes une arme politique redoutablement efficace dans un contexte de guerre civile. Pour autant, du Nord au Sud, elle dissimule un nombre incalculable de règlements de compte, de vengeances personnelles assouvies dans le plus grand désordre au nom d’un idéal politique. Le Parti communiste, plus enclin à prendre ses ordres à Moscou que d’en recevoir du gouvernement du général de Gaulle, tint un rôle particulièrement coupable dans l’attisement des passions, préalable, selon lui, à l’enclenchement d’un processus révolutionnaire. L’identité et l’appartenance sociale des victimes désignées ou choisies au hasard furent donc pour la plupart sans surprise : les «ennemis de classe», bourgeois, prêtres et infortunés possédants désignés comme collaborationnistes ou pétainistes ; les résistants gaullistes ou issus de la droite, dangereux concurrents ; les élites locales, socialistes et radicales, accusées d’avoir trahi la révolution que le Front populaire était censé inaugurer. À la fois séquelle de l’Occupation et revers de la Libération, l’épuration sauvage a terriblement assombri la page des années d’immédiat après-guerre comme elle a durablement meurtri la mémoire de ses victimes, souvent injustement frappées, et de leurs descendants. L’importance de cet épisode de l’histoire de France, plus grande encore dans certaines régions, a pourtant longtemps été minimisée par les historiens et le populaire. L’ouvrage de Philippe Bourdrel, loin d’être un simple inventaire régional de ce phénomène, lui donne tout son relief et lui confère enfin sa juste place dans l’histoire des années noires." Jérôme Cotillon ( Mis en ligne le 25/01/2003 ) En outre, en 1947, quand le président du Conseil socialiste (enfin SFIO comme on disait à l'époque) a chassé les communistes du gouvernement, ces braves gens étaient soupçonnés de préparer un coup d'Etat et d'instaurer un régime totalitaire calqué sur le délicieux système soviétique. Des enquêtes menées par les services secrets et la police le laissent en tous les cas entendre clairement (références "Le livre noir du communisme" de Stéphane Courtois. Enfin, comme je l'ai déjà dit, plus de 10000 Français sont morts au goulag et on n'en parle absolument JAMAIS. Sinon, désolé pour ce HS. Je me suis éloigné de Dieudonné, de ses propos sulfureux et des quenelles. Mais certaines choses méritaient d'être rappelées...
  16. Les communistes n'ont pas crée de camps d'extermination, mais les goulags de la période stalinienne s'apparentaient quand même pas mal à des camps de la mort lente pour reprendre les mots de Soljenitsyne. En outre, quand tu dis que leurs meurtres ont été plus étalés dans le temps, ce n'est pas toujours vrai. D'une part, la période de la guerre civile qui a suivi la Révolution d'Octobre a été extrêmement meurtrière: plusieurs millions de morts. Et d'autre part, la grande famine de 1932-1933 a tué au moins 5 millions de personnes d'après les principales études réalisées à ce sujet. Or ladite famine n'a rien d'un "accident" provoqué uniquement par de mauvaises récoltes, elle a été largement organisée par les autorités soviétiques qui voyaient là un excellent moyen de briser la résistance des paysans à la collectivisation et également d'en finir avec la nationalisme ukrainien toujours vivace jusqu'à cette époque tragique. En outre, pour revenir à la barbarie nazie, celle-ci n'est devenue industrielle qu'à partir du déclenchement de la Seconde Guerre mondiale. Avant 1939, voire même avant 1941, elle était encore assez artisanale. Quant à la discrétion, tu as raison. Les Soviétiques ont été des experts en la matière. Mais à ma connaissance, les nazis ne se sont pas vantés non plus d'exterminer des millions de juifs dans leurs camps. Les criminels par essence sont des gens plutôt discrets!
  17. D'accord avec la proximité "spatio-temporelle moindre pour certains phénomènes. Mais l'expérience soviétique ne remonte pas à plusieurs siècles, elle est même plus récente que le nazisme. En outre, même si elle n'a pas frappé directement la France, une dizaine de milliers de Français sont quand même morts au goulag d'après "Le manuel du goulag" de Jacques Rossi, un Français rescapé des camps soviétiques. Un témoin visiblement gênant si l'on se souvient du traitement infect qui lui était réservé sur les rares plateaux télévisés ("Marche du siècle en 1999...) où il fut invité à la suite de la parution de son livre... La Shoah est un drame atroce et il est choquant de le nier. Mais dans le même esprit, cela ne te choque pas que le communisme, idéologie qui a fait des dizaine de millions de morts continuent à bénéficier d'une énorme mansuétude dans notre pays. Contrairement à beaucoup de gens dans ce pays, je ne réclame aucune sanction contre quiconque. Donc, je souhaite que les communismes puissent continuer à librement défendre leur infâme doctrine et même à nier son caractère mortifère. En revanche, je trouve choquant que d'innombrables rues de nos villes continuent à porter des noms de criminels communistes (Lénine...), que des dizaines de milliers de communes restent gérer par des tenants de cette belle idéologie, que la France compte parmi les pays qui ont refusé de voter la la recommandation de la Résolution 1481 du Conseil de l'Europe sur la «Condamnation des crimes commis au nom du communisme»... Pour conclure, en dehors d'une poignée d'illuminés et de fanatiques, plus personne ne nie que le nazisme fut une saloperie sans nom. En revanche, la mémoire des victimes du communisme continue à être allégrement piétinée et moi cela me choque...
  18. tout38

    Bar du football

    Triste pour ce grand champion. Bon courage à sa famille et à ses amis. En espérant qu'il parvienne à s'en sortir...
  19. C'était une façon de parler. Je sais que les modestes contributeurs comme moi ne peuvent prétendre à certains privilèges réservés au "gratin" du forum
  20. Excellent message. La Shoah fut un crime atroce, mais pourquoi en parler autant alors qu'on ne parle quasiment jamais du génocide arménien, des victimes de l'esclavagisme, des martyrs du communisme... Pour m'en tenir à ce dernier, je ne vois pas vraiment pas en quoi il fut plus humain que le nazisme. J'incite les sceptiques à relire "l'archipel du goulag" de Soljenitsyne ou les "récits de la Kolyma" de Chalamov pour s'en convaincre. Du reste, Hitler détestait certes les bolcheviques, mais il admirait leur savoir-faire en matière de répression et il s'est inspiré du système concentrationnaire soviétique pour développer les camps nazis. Il n'y a certes pas eu de chambres à gaz en URSS, mais combien d'autres traitements inhumains. Il n'y a certes pas eu de génocide de race, mais il y eu un génocide de classe comme l'a dit Stéphane Courtois. L'élimination de personnes en raison de leur origine sociale, la bourgeoisie au sens très large puisque les koulaks par exemple étaient seulement des paysans un peu moins pauvres que les autres ou de leur naissance dans le cas des nobles est une barbarie sans nom. Que dire aussi de l'extermination de la quasi totalité du clergé orthodoxe et de nombreux croyants pour avoir simplement cherché à perpétuer une pratique religieuse séculaire dans le pays. Que dire aussi des cinq à sept millions d'Ukrainiens morts dans des souffrances atroces lors de la grande famine des années 1930. Que dire encore de Staline et de ses sbires fixant des quotas de déportés et de fusillés pour chaque groupe de population car frapper les citoyens au hasard permettait d'entretenir un climat de terreur permanent dans le pays. On me rétorquera qu'après la mort de Staline, les choses se sont calmées. Certes, mais l'entreprise de dressage de la population achevée, il n'était d'une part plus nécessaire de maintenir les citoyens dans la Terreur. La perpétuation du système concentrationnaire et le développement des structures psychiatriques car il faut vraiment être fou pour rejeter un système aussi merveilleux que le socialisme, suffisaient largement à convaincre les masses de demeurer soumises.... Et d'autre part les dirigeants du parti avaient été trop échaudés par les purges staliniennes ayant conduit à l'élimination de près de la moitié des membres du parti pour prendre le risque qu'elles se reproduisent... Bref, il est très laid de nier ou même de minimiser la Shoah, mais d'autres drames de l'histoire mériteraient que l'on parle plus d'eux. J'ai évoqué les crimes du communisme car il s'agit d'une question que je connais bien et qui pour des raisons personnelles me touche particulièrement, mais cela peut s'appliquer aussi à d'autres tragédies historiques tel le génocide arménien précité... Mais ces commémorations nécessaires ne justifient en aucune manière d'adopter ou de conserver des lois mémorielles ou de réprimer l'expression d'opinions mêmes infâmes. Pour le reste, je n'ai pas de sympathie particulière pour Dieudonné et je comprends parfaitement que son "humour" puisse choquer. Mais cela ne justifie en rien le délire actuel. Si l'on en vient à pénaliser la quenelle, ce sera un nouveau très mauvais coup porté à la liberté d'expression. A ce rythme, la France ne sera bientôt plus qu'une URSS-bis
  21. Tout est dans le "quasiment"
  22. Tu me peux me tutoyer Le Jeune . Sur le forum, tous les participants sont égaux, même s'il faut attendre d'avoir atteint 100 messages pour accéder à certaines fonctions. Sinon, je te rassure "l'aménagement du territoire" ne rase pas seulement les élèves, il s'agit aussi d'un des pires sujets à traiter pour la plupart des profs. Ceux qui prennent leur pied en traitant cela sont généralement les plus assommants et souvent aussi les plus c.... Et tous les chapitres liés à l'environnement ou au développement durable sont également une infecte purge. De toute manière, l'histoire est une discipline bien plus intéressante et savante que la géographie créée à l'origine à des fins militaires, même si certains thèmes de géographie humaine valent le détour. Mais on se rapproche alors davantage d'autres savoirs tels que l'économie, la démographie, la sociologie... En ce qui concerne l'histoire, les anciens programmes de lycée étaient encore acceptables, mais probablement insuffisamment orientés. D'où les nouveaux programmes de première et terminale. Certaines questions sont absolument indigestes et terriblement difficiles à maîtriser pour de jeunes esprits du style "le socialisme et le mouvement ouvrier en Allemagne de la fin du XIXème à nos jours...". Meuh non, on ne cherche pas à bourrer le crâne des jeunes générations en leur vantant la grandeur du socialisme. En première, le programme d'histoire reste acceptable, mais celui de géographie comme tu peux le voir actuellement est une pure abomination. Outre l'aménagement du territoire, la gestion durable des milieux naturels, cela ne fait vraiment pas rêver . A bientôt pour de nouvelles et je l'espère fructueuses discussions.
  23. Non, je vais le faire. Merci du conseil
  24. Tu as parfaitement raison . Défendre de telles idées dans ma situation n'est pas sans risque, même si je me garde d'afficher trop ouvertement mes opinions politiques en salle des profs. En revanche, dès que j'entends des collègues raconter des conneries sur l'économie: la responsabilité de l'ultra-libéralisme, de la déréglementation, du recul de l'Etat ou de la baisse des dépenses publiques dans la crise actuelle et autres sophismes du même tonneau, je ne peux m'empêcher de mettre mon petit grain de sel libéral et de trahir du même coup l'infect valet du capitalisme qui sommeille au plus profond de ma vile personne. Toutefois, à en croire certains vieux collègues tout aussi mal-pensants, c'était bien pire avant. D'après eux, il y a encore trente ou quarante ans de cela, dans certains établissements dominés par les communistes et autres représentants du camp du bien, des expéditions punitives étaient régulièrement organisées à la sortie des cours pour châtier les esprits un peu trop déviants comme le mien. Charmant, non ? Mais la France n'a pas été surnommée "la fille ainée de l'Eglise communiste" par l'historien Stéphane Courtois pour rien. Aujourd'hui, le corps enseignant s'est considérablement amolli. On risque tout au plus d'essuyer quelques injures de la part des plus virulents et encore...
  25. D'une certaine manière, c'est aussi l'étape avant d'autres pillages, même si ceux-là sont parfaitement légaux
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