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Tout ce qui a été posté par Yozz
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Bien évidemment. Je ne verserais certes pas une larme, mais me réjouir comme ça, je ne ferais pas non plus, car oui c'est de mauvais goût. Ce n'est pas grave, juste de mauvais goût.
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On peut aussi se demander s'il faut tourner le volant de la même manière sur une Ferrari ou sur un 40 pieds, c'est plutôt ça que je me demande
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Merci pour les réponses aux autres questions :-)Mais sur ce point-ci: si tel est le cas, comment ça se fait qu'on arrive à la conclusion simple "glucides pas bien" alors qu'un reality check rapide semble montrer que c'est beaucoup plus multi-factoriel que ça, comme tu l'indiques très bien toi-même? Ça me rend perplexe.
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Trololo?
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Je crois volontiers à l'aspect fatigue, l'ayant moi-même constaté à l'occasion, mais c'est lié à quoi? J'ai encore l'image du glucide source d'énergie, c'est la difficulté à digérer qui fatigue ou bien? Aussi, l'objection (qui est plutôt une demande d'éclaircissement en fait, j'ai lu les 25 premières pages et puis j'ai eu la flemee de continuer, et pas regardé les vidéos)demeure: si chez l'un ça fait grossir et ça fatigue, l'autre pas mais l'empêche de se concentrer etc., comment sait-on que c'est vraiment les glucides? Et si on le sait, qu'est-ce qui explique les différences? (Je pense que la génétique doit en effet avoir un rôle non négligeable, mais y at-il d'autres facteurs identifiés?)
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Je ne vais pas m'avancer trop loin ici parce qu'à un moment on touche à la foi et n'étant pas croyant je vais finir par être dépassé. Mais je dirais que ce n'est pas parce que tout ce que tu vis ne résonne pas avec ce que tu crois que rien ne le fait. Et je crois que même en capillotractant beaucoup, il est beaucoup de moments, même non triviaux, où la religion est d'une inspiration limitée. Enfin bon, soit le coaching ne prétend pas être holiste non plus
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C'était une boutade sur la pompe entourant les présidents en France. Bien qu'avec Flamby c'est plus de la pompe mais de la charentaise.
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Ca me paraît au minimum vraisemblable.
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C'est aussi illégitime oui. Exactement pareil faut pas déconner. Ca ne bousille pas ta vie sexuelle déjà pour commencer, et le trauma, si et quand il existe est autrement plus limité.
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Faut redescendre sur terre. Les grandes lignes de l'alimentation dans nos pays (et en particulier la présence trop abondante de féculents) sont établies depuis la seconde guerre mondiale au moins. On n'a pas vu une explosion de la mortalité en proportion. L'obésité on peut peut-être discuter. Sans compter que je connais des bouffeurs de pâtes qui ne font que peu de sport. S'il paraît que ce qui est décrit dans ce fil a l'air sérieux, il est tout aussi sérieux de prendre en compte le fait que les phénomènes sont complexes et pas univoquement "trop de glucides->trop gros->trop mort".
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C'est pas ce que vous avez?
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Méprisant est un bien grand mot, mais disons que je trouve ça un peu pauvre comme position - et aujourd'hui je ne connais que des athées qui prétendent ça dans mon entourage (et un de mes amis proches est dignitaire de l'opus dei donc bon). Un catholique conséquent fait tout dans sa vie comme un catholique. Mais ça ne lui dit pas s'il fait mieux de faire médecine ou droit, comment gérer le stress d'un projet chaotique. Même les religions qui avaient des prescrits très détaillés pour plein de choses (je pense aussi au judaïsme) ne s'adressent pas à ça. Parce que la religion est une vision du monde et une explication, pas une pragmatique (et ceci n'est absolument pas une critique, au contraire).
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+1 Y compris parmi des gens qui ne sont pas vraiment ectomorphes pour autant. A entendre les arguments (qui pour le peu que j'en puisse juger ont l'air sérieux) contre les glucides, j'ai l'impression que 99% de la population devrait être obèse et mourir à 40 ans, quod non.
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Conceptuellement, oui. Maintenant, une monarchie parlementaire à la Belge a tous les défauts d'une démocratie de base.
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+1 Par contre je n'arrive pas à trancher ce qui permet le plus de corruption, démocratie ou monarchie? J'ai l'impression que c'est très variable en fonction des arrangements institutionnels, et n'arrive pas à déterminer le moins mauvais.
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Si j'ai bien compris ça, mais ce que je dis c'est que l'un n'exclut pas du tout l'autre. Chez des gens à fond dans la pratique religieuse, le coaching vient les aider pour l'un ou l'autre point concret. Parce que la religion n'a pas nécessairement vocation à s'occuper de tout, et certainement pas du très particulier. La religion vise au général. Le coaching au très particulier, l'individuel. En des temps éloignés, des gens avaient des mentors, tout en accordant une grande place à la religion. A l'extrême limite, et en prenant avec beaucoup de pincettes, le coaching se rapproche plus de ça. Le coaching s'occupe de trucs dont la religion ne s'occupe pour la plupart pas, ou alors à la marge. (+ toutes les différences de méthode). Il n'y a que chez des neuneus rednecks que "What would Jesus do" est vraiment pris au sérieux. La religion n'a guère à dire sur le monde professionel par exemple. Contrairement aux fantasmes de certains athées, la religion n'est pas "totalitaire" dans ses domaines d'application. Qu'elle disparaisse ou se renforce n'a donc aucun lien avec les causes du succès du coaching.
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Il n'y a que dans l'esprit de quelques uns ici que le coaching remplace la religion. ce n'est ni sa prétention, ni son but, ni ne peut-il le faire. Tant et si bien que tant parmi les coaches que les coachés, on trouve autant de croyants divers que d'athées que d'agnostiques. Ce que je lis, c'est un peu comme si je disais "tchu, l'école enseigne des trucs, comme le fait l'Eglise. L'école est donc une religion sans métaphysique, qui ne sauve pas, mais vous permet de réussir. Réussir quoi ? comment ? pourquoi ? On s'en fout". Ce serait peut-être plus malin de conclure que sans métaphysique, on ne se trouve pas confronté à une religion, d'autant que personne ne prétend en faire une. En fait je suis assez sidéré par le fait qu'on voie la religion comme simplement un truc pour se sentir mieux. Personnellement, j'ai une meilleure opinion de la religion. Soit dit au passage, le quoi comment pourquoi, je l'ai déjà expliqué X fois, mais bon. Résoudre un problème par la maïeutique pour se sentir mieux. C'est un tout petit objectif modeste (qui me paraît très louable, mais n'empêche que c'est très circonscrit), il n'y a que vos projections qui en font un gros truc qui viserait à concurrencer la religion.
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Ben merci quand même!
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Ni de regard fidel à la Castro.
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Evidemment, je ne pense pas avoir prétendu le contraire Euh, la religion c'est avant tout une métaphysique et une question de sens. Quelqu'un qui vient se faire coacher ne vient pas chercher une métaphysique. J'entendais par là "se font coacher par un coach". Et je doute que beaucoup de gens s'adressent (aujourd'hui du moins) à leur curé pour les aider à gérer leurs relations au travail ou leur stress, pour donner deux exemples. Les domaines d'application peuvent se superposer mais ne sont pas identiques.
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Autre remarque dont chacun fait ce qu'il veut, le coaching est loin d'être un "get rich quick scheme", en tout cas en Belgique. Les seuls coaches qui en vivent à plein temps vivent essentiellement du coaching en entreprise. Le coaching individuel n'est pas très rémunérateur. Dans le même temps, je trouve interpellant de constater que l'équipe des profs de ma formation est constituée d'un ex-PDG, deux ex-DRH, un ex-directeur financier et deux ex-consultants. Qui ont tous renoncé à ces professions de leur plein gré, des fois qu'on en doute. Si je rapproche ça de la naissance de mon propre intérêt pour la question, je crois déceler que les fonctions managériales finissent par interpeller sur ce genre de choses et rendent réceptif à l'utilité du coaching et du cheminement individuel.
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Certes, mais les religions s'occupent de bien plus que de développement personnel, et ne conviennent pas nécessairement à tout le monde. Pour le prendre sous un angle purement cynique, c'est un autre marché. Bien que je connais des catholiques pratiquants qui se font coacher.
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C'est vrai, mais on peut en dire autant de beaucoup de métiers, et certainement autant de la plupart des domaines de connaissance. Demande à un économiste autrichien, un de l'école historique ou un marxiste ce qu'est l'économie, tu auras des réponses très différentes. Mutatis mutandis, pareil en philo. Si j'ai moi-même ouvert ce fil en taverne, c'est tout simplement parce qu'il n'a pas sa place dans la plupart des autres forums; ce n'est pas une question politique, philosophique ou économique par exemple. Mais la contradiction qui me chipote est la conjonction du dédain pour le truc (pourquoi pas) de la part de gens qui me disent en même temps ne pas savoir de quoi il s'agit. Je voulais savoir si c'était fondé sur autre chose qu'un a priori général, et il me semble que non. Ce qui n'est ni bien ni mal, mais satisfait ma curiosité à cet égard.
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D'un point de vue épistémo, disons que le point de départ est empirique, avec validation par la capacité à aider ou non à résoudre un problème. Il est clair qu'on n'est pas dans le pur logico-déductif, et que ce n'est pas falsifiable à la Popper. C'est pour ça que je parle de pratique et certainement pas de science. D'un autre côté, il y a des dérivations des travaux en neuro-sciences, donc on n'est pas dans la poudre de perlimpinpin non plus. Néanmoins, le but n'est pas qu'on sujet s'y reconnaisse, à la limite quand le coach utilise une grille de lecture, il ne la présente pas forcément au coaché (ça dépendra un peu du coaché), ce pourquoi je ne pense pas que parler d'effet Barnum a du sens.
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Au-delà de certains éléments que j'aime bien chez Hoppe, si on est autrichien en économie il y a beaucoup de bonnes choses dans ses écrits économiques.