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free jazz

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Tout ce qui a été posté par free jazz

  1. free jazz

    Supa Playlist!

    + 1 pour Ali Farka Touré, c'est une légende Autre groove de chez Soul Jazz Records Cedric Im Brooks & The Sound Dimension
  2. Ah non, pas les seconds justement. Ceux-là troublent l'ordre public et entravent la liberté de circuler, il faut donc les nettoyer au kärcher, comme les punks à chiens. A mon sens il mérite surtout qu'on lui décerne un Darwin award à titre posthume. Note que les camés qui savent comment se droguer meurent rarement d'une overdose d'héroïne, mais plutôt du mode de vie zombifié lié à la dépendance à ce produit, de la crasse, des carences, d'une embrouille violente, des maladies opportunes, etc.
  3. En revanche je suis agréablement surpris que mon approche rejoigne celle de Martin Masse, notamment la critique de l'idéologiquement correct. Comme quoi on peut être un homosexuel notoire, libertarien et garder du bon sens. Encore que je ne partage pas sa définition du conservatisme, il ne se rend pas compte à quel point sa position le rapproche de Burke, ni son optimisme sur la disparition de ces problèmes dans une "société libertarienne". http://www.quebecois…rg/980704-2.htm
  4. Oui et la vente aussi, avec toutefois une répression plus sévère des crimes et des violences comme je le disais plus haut, car la société française, avec sa belle diversité, est beaucoup moins normée et consensuelle que les social-démocraties flamandes post-protestantes ou nordiques. Concernant l'engorgement des prisons, on dirait que notre ministre de la justice socialiste Christiane Taubira a trouvé la solution : faire davantage de bisous aux délinquants, ne pas trop les stigmatiser, grâce à une politique clémente et compréhensive. http://tempsreel.nou…e-a-droite.html
  5. Dans les faits, la police ne rentre plus dans les grosses cités où le deal a pris une ampleur industrielle, sauf opération médiatique ponctuelle avec des moyens paramilitaires. On compte au moins une grosse cité de ce genre à chaque sortie de périph autour de Paris. Et je peux t'assurer que les dealers ne consomment pas, c'est du pur business, organisé à l'échelle de tout un quartier. Dans les faits, les politiciens ont donc acté la défaite de la guerre contre le trafic, la politique de la droite en la matière étant de se rabattre sur une répression des consommateurs pour faire du chiffre et produire chaque année un joli graphique montrant que la délinquance baisse. Et la politique de la gauche consiste à acheter la paix sociale en laissant tranquille sa clientèle à coups de grands discours angéliques. Par conséquent, je maintiens que le statu quo est préférable à une légalisation contrôlée et encadrée par l'Etat, qui générerait davantage d'effets pervers, économiquement, moralement et socialement nuisibles.
  6. Oui, la légalisation contrôlée du type SEITA conduirait vite à énormément d'effets pervers (pensons à l'arsenal anti-terroriste tabac), et l'alourdissement de la règlementation n'irait pas du tout dans le sens d'une diminution des activités ciminelles, comme le prétendent les verts et autres tenants des salles de shoot payées aux frais du contribuable. Là encore, le statu quo me semble préférable à ce genre de légalisation.
  7. Si je ne me trompe, les coffee shop en Hollande sont justement un bon exemple d'activité tolérée et donc dépénalisée, mais pas légalisée, au sens où ils n'ont pas un statut légal encadré par une législation particulière - en tout cas jusqu'à une période récente, à cause des abus commis par les hordes de touristes français et belges. Et comme vous pouvez le constater sur leurs sites internet, le prix de l'herbe dans les coffee shop est souvent supérieur à celui du marché noir, mais c'est justifié par le service, la sécurisation de la transaction, et la montée en qualité impliquant davantage de sélection et de labélisation des produits.
  8. Oui, la seule réserve que j'ai sur ce sujet est que le pendant de la dépénalisation des drogues implique une répression accrue des violences commises par les bandes de dealers de rues, dans les quartiers, les zones de non-droit, et des junkies qui troublent l'ordre public ou entravent la liberté de circuler. Sur un plan technique en revanche, je ne suis pas du tout convaincu que la dépénalisation entraîne une baisse des prix, surtout si l'Etat prélève une TVA au passage, car il se produirait alors une montée en qualité et en gamme de labélisation, coût supplémentaire qui serait répercuté sur le consommateur, par rapport à la vente de produits clandestins plus ou moins frelatés sur le marché noir. C'est pourquoi je ne crois pas du tout à la théorie selon laquelle la dépénalisation mettrait fin aux activités criminelles des mafias.
  9. Ce qui me dérange dans ce genre d'approche par trop positiviste, c'est qu'elle considère le flou juridique comme un vide urgent à combler par un examen législatif global, où le jeu des lobbies et des clientèles pèsera de tout son poids dans la loi : "Ce sont là des pis-aller, nécessaires en pratique, mais qui ne sauraient retarder l'examen législatif de la question. " Alors que je pense au contraire, et Bisounours me conforte dans cette opinion, que l'ambiguïté juridique profite aux libertés civiles, en donnant une plus grande lattitude à la jurisprudence de s'adapter aux cas particuliers.
  10. Un million, fichtre. Diantre. Tu souffres donc de macro-exagérite en plus de psittacisme. Le plus comique est que tu approuves les interventions de neuneu qui dit peu ou prou la même chose que moi ici et là :
  11. Vous continuez à parler de droit de vote, ce qui montre bien que dans cette perspective, il s'agit d'un problème démocratique d'égalité des conditions, comme s'il existait aujourd'hui une oppression de l'Etat à l'encontre des homosexuels. Comme d'autre minorités en concurrence pour obtenir des statuts catégoriels, voulez faire accroire que vous seriez persécutés, je peux le comprendre. Mais enfin comparer la situation actuelle à un appartheid, on peut se demander qui dresse des hommes de paille à la taille de moulins à vent. Et qui "perd les pédales", si je peux me permettre cette expression un peu suspecte d'homophobie.
  12. Commençons par abolir la législation anti-discrimination et sa police comportementale, les procès pour homophobie et autres chasses aux sorcières, après on en reparlera.
  13. Camarade tu te répètes, c'est du psittacisme à ce niveau.
  14. C'est ce que je disais ici : http://www.liberaux….post__p__843401 Protection, soin et amour sincère, études et meilleures universités payées d'un côté, contre couples hétéros tortionnaires nazis et pédophiles de l'autre : pour un peu, dans ce schéma paradisiaque, on dirait que favoriser les seconds ne peut être que l'opinion de dangereux hétérosexistes. Sus à l'infâme. Oui, c'est pour cette raison que légaliser reviendrait à reconnaître un droit à l'enfant, avec le renforcement de la police comportementale de la cage aux phobes et des groupes d'oppression. Or d'après ce qu'explique Bisounours il existe aujourd'hui une dépénalisation de fait, au cas par cas. C'est pourquoi il me paraît que le moindre mal réside dans le statu quo, si l'on veut rester fidèle à notre principe "dépénaliser et non légaliser". De plus comme je le disais, dans une société sans Etat, a fortiori au nanarkapistan oriental, il n'est pas du tout garanti que les homos ne soient pas davantage discriminés, sauf peut-être les riches et les gens du spectacle dont la fantaisie bénéficie souvent de mansuétude auprès du public lorsqu'elle est travestie de bonne conscience.
  15. Non, sauf dans la mythologie nanarcap. Là tu es en plein trip rousseauiste. Idem. Et au hasard : les lois, les coutumes, la communauté, la pression sociale…
  16. Si ta seule réponse aux questions que l'on a posées se résume au slogan "il est interdit d'interdire", avec le sous-entendu que ceux qui émettent des réserves sur la viabilité des familles homoparentales sont d'horribles oppresseurs, ça confirme justement que ton attitude est celle d'un consommateur de droits positifs.
  17. Ne fais pas l'entendu, je sais encore reconnaître des superstitieux qui se complaisent dans de la pseudo science pour justifier leurs lubies. D'ailleurs si le scientisme protégeait de la superstition ça se saurait. Pour autant je ne dénigre pas ce besoin de purisme, qui peut être utile au demeurant, mais il est comique d'y voir attaché autant de sensibilité et de ferveur. Pas humain, pré-humain des cavernes.
  18. Non, c'est ton attitude vigilante et ta position d'autodéfense qui te fait croire ça. J'ai essayé de montrer au contraire pourquoi il n'est pas possible d'avoir une solution systématique (hard cases make bad rule), je n'ai donc pas de réponse pratique clef en main. En revanche je récuse l'idée que les couples homos aient un droit à l'enfant, et c'est Bisounours qui exprime le mieux mon opinion.
  19. J'aime passer du temps à table, quand il y a plusieurs vins et des digestifs. Autant les gens qui bouffent trop rapidement sans prendre le temps d'apprécier sont pénibles, surtout quand les femmes commencent à débarrasser alors que tu en es à la moitié de ton steak et qu'on t'enlève le pain, le vin et le fromage comme dans un vulgaire resto chinois, autant ceux qui mettent une heure pour manger un plat sont exaspérants, surtout quand ce sont des pipelettes.
  20. Cette inflation de diètes new age ou préhistoriques n'a rien à voir avec de la science, on est plutôt dans le domaine du fétichisme et de la superstition du lifestyle. D'ailleurs même si j'ai tort, et qu'il y ait quelque fondement scientifique tangible à ces martingales, il est permis de sourire des puristes qui s'en revendiquent bec et ongles, en traquant le moindre écart.
  21. Je me suis trompé de fil, mais je l'ai trouvée dans cet article, que je te recommande, ça va beaucoup t'amuser.
  22. Une citation que je laisse méditer pour contribuer au débat.
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