DiabloSwing Posté 27 mai 2005 Signaler Posté 27 mai 2005 Bon désolé je me sers de ce forum comme défouloir et ce post n'est certainement ni original, ni bien construit, il embrase trop d'idées à la fois qui mériteraient un bouquin entier mais avouez que dans cette atmosphère de haine, on peut se sentir un peu opprimé…pour moi en tout cas c'est ça. Libéraux, nous sommes roulés dans la boue ! Voici depuis quelques mois déjà que journalistes et politiciens, main dans la main, se disputent sur le vote du référendum pour la constitution européenne. Ils ne sont pas d'accord sur le choix, ni sur la méthode employé, mais ont affiché leur ennemi commun, certains vont voter oui, d'autres non, mais la finalité reste la même "freiner le libéralisme". C'est avec dégoût, et limite au bord de la dépression que j'écris ces quelques lignes, car si déjà l'entreprise de falsification du libéralisme (©& ® & tm Eskoh, 2005) a bel et bien marché, les jours se suivent et se ressemblent, et cette campagne du oui/non s'apparente de plus en plus à une mascarade anti-libérale d'où les libéraux authentiques sont absents. Seule l'idéologie patronale via le MEDEF milite pour le oui. Pour mieux obtenir des subventions, des quotas protecteurs, et des arrangements avec les copains-coquins sans doute. Mais ce sont sans doute les seuls hormis un Madelin bien esseulé pour qui le libéralisme est un joli prête-nom pour leurs aspirations. Comme le dit Bastiat c'est un bourgeon de communisme, les subventions. La bande à Arlette n'en a cure. Les autres quant à eux crachent leur haine. On se croirait dans 1984 et sa fameuse minute de la haine. Tout les arguments y passent de jour en jour, contradictoire ou non. On savait que le diable était libéral. Finalement je crois que le libéralisme est autre chose d'encore pire un antéchrist sans doute, le pire tueur de toute l'humanité que même le communisme et le nazo-fascisme ne font pas le poids , bref c'est la Théorie de l'Esclavage expliquée aux patrons. Tour à tour, examinons les expressions employées afin de diaboliser le libéralisme "sauvage" "ultra" "néo" "fasho" "extrêmiste" "jungle" "loi du plus fort" "darwinisme social" "freiner" "anti social" "destructeur" "incontrôlé" "assassin" "ravageur". Bref il est accusé de tout les maux de l'humanité. Pas mal pour une philosophie humaniste. Quand on a dépouillé le libéralisme de toute sa puissance philosophique, il ne reste que de l'utilitarisme démagogique, des patrons qui ne voient que le petit bout de leur lorgnette et qui veulent compresser les coûts. Alors forcément pour le peuple français habitué depuis des lustres à s'opposer instinctivement au patronat (sur ce point là Marx a marqué les esprits plus que dans les autres pays), l'équation libéralisme = théorie patronale est vivace. Le débat est dès lors réduit à peau de chagrin. Moi qui vais voter non parce que je me sais libéral et cohérent, je constate que les plus cohérents sont les anti-libéraux qui vont voter oui, de Chirac à Hollande. Ils me convaincraient presque de voter oui. Bon peut être pas quand même. Les anti-libéraux du non (je vous rappelle qu'avec les anti-libéraux je vous parle de 98% de la classe politicienne n'est-ce pas les socialistes cachottiers qui lisent ce forum sans s'y inscrire et participer au débat) eux militent contre le libéralisme tout en votant contre le traité constitutionnel qui placerait la France et ses idées que le monde lui envie en position de force. Ils n'ont pas lu cette constitution qui laisse la part belle au social (dont le mot revient maintes fois), qui ne définis pas clairement le droit de propriété , et dont la liberté (je ne fais pas de différence entre libérté économique et liberté des moeurs, pour moi tout ça relève de la liberté d'action et de contracter) n'est pas spécialement mis en valeur. Et s'en gargarisent de ne pas l'avoir lu. Le culte de l'ignorance en somme. Moins on en sait mieux c'est. Rien de tel pour faire passer des idées socialistes. Que dis-je…, pour bourrer le crâne. A titre personnel je dirais qu'on s'enfonce de jour en jour dans une espèce de fascisme larvé, ou le droit d'expression se réduit à sa plus simple expression, ou le simple fait de se déclarer libéral te vaut d'être traité de tout les noms. Je ne dis pas qu'il n'y a point de libéraux qui injurient les socialistes, mais ceux-là font preuve d'une incohérence vis à vis de la philosophie qui les inspire, que je peine à les traiter de libéraux. Même si on a les idées et l'histoire du 20ème siècle avec nous. Restons courtois sinon c'en est fini du libéralisme. Les français sont dans une grande proportion depuis 30 ans enfoncés dans une sinistrose qui les rend pessimistes (le Gaullisme économique, descendant spirituel du Colbertisme a tout autant enrichi la France qu'il ne l'a programmée pour se fragiliser à la moindre crise pétrolière) , et de fait attirés par les idées totalitaires le socialisme en première ligne, mais qui cache les conséquences de telle politique en réinterprétant à leur sauce les événements politiques et économiques. Il en résulte une inversion des valeurs (la liberté c'est le mal !), des débats tronqués, quand ils ne sont pas censurés. Il n'y a qu'à voir comment la crise argentine, les trains anglais, l'électricité californienne, l'économie russe des années 90, les délocalisations, l'obésité, le trou de la sécu, la sinistrose française sont traités : La crise argentine ; les coupables : c'est le libéralisme et le FMI. Les trains anglais ; les coupables : c'est le libéralisme et ses privatisations. L'électricité californienne ; les coupables : c'est le libéralisme et ses privatisations (bis) l'économie russe des années 90 ; les coupables : c'est le libéralisme et sa mafia (ben tiens le libéralisme est une théorie de la justification de la mafia c'est nouveau) Les délocalisations ; les coupables : c'est le libéralisme et sa concurrence déloyale (ben tiens c'est de la faute au libéralisme si la France est aussi endormie et atone économiquement parlant…s'il y a bien un pays socialiste qui organise la pénurie de travail et offre des boulots niveau CAP pour des bac + 5 c'est bien ce pays !) L'obésité ; les coupables : c'est le libéralisme et la société de consommation qui nous pousse à bouffer (ben tiens on t'oblige chez toi à bouffer… et le libre-arbitre connais pas ?) Le trou de la sécu ; les coupables : c'est le libéralisme et les gens sont moins généreux (ben tiens on leur pompe plus d'argent qu'ailleurs pour payer d'avantage de gens, et sont encore moins bien remboursés au fil du temps…) La sinistrose française ; les coupables : c'est le libéralisme et le tournant capitaliste depuis 1983 (ben tiens que peuvent de maigres mesures à moitié libérales, contrôlées par l'Etat et ses énarques (Vivendi, France Télécom, EDF, La Poste). Même quand tout sera privatisé, vu le code du travail, les pesanteurs administratives, les impôts écrasants (55 % du PIB hé oui messieurs les socialistes cessez de faire l'autruche), le mercantilisme affiché des politiciens qui fourrent leur nez partout (prix dans les grandes surfaces avec Sarkozy), qui se mêlent de toutes les affaire politico-industrielles (dernièrement avec les quotas pour le textile), etc. Quasiment toute la population garde un schéma mondediplomaticien, avec des nuances toutefois, chacun y allant de son constructivisme personnel : "je suis pour la privatisation de la SNCF mais pas celle de EDF à cause du nucléaire" (ben tiens et Tchernobyl c'était privé peut-être ?) "Je suis contre ces fainéants qui gagnent le RMI mais pour la défense des services publics dans la Creuse" (ben tiens et vous croyez que cet individu est philosophiquement libéral parce qu'il peste contre des rmistes ?). L'hystérie anti-libérale garde un énorme pouvoir dans ce pays. "Je veux une baisse de la TVA pour ma profession car je suis restaurateur, mais il faut taxer davantage les chinois". L'incohérence des idées est un vain mot. Le plus petit dénominateur commun à l'ensemble de ces idées c'est le clientélisme politicien, et par là même la défense des intérêt catégoriels, qui pousse les gens à se sentir dépendants (et esclaves volontaires) les uns des autres (Bastiat once again). Leur parler de briser cette chaîne, que dis-je cette toile d'araignée et ça y est ils ont des sueurs froides : "oh mais tu es ultra ultralibéral toi". Je suis fiché. Pas moyen de discuter. Le libéralisme c'est mal et ça saute tellement aux yeux de tout le monde, qu'il est inutile de réfléchir. Un mauvais slogan mais qui sonne bien à l'oreille vaut mieux qu'une réflexion libérale mûrement assaisonnée mais qui vous plombe l'atmosphère. Me voici complice des chinois. A suivre dans un autre épisode, les aventures du petit libéral honteux, Dr So le jour VS Mr Lib la nuit. Comment fera-t-il rééllement son coming out ? Le dira-t-il a ses parents qui risquent de devenir verts ? (s'ils ont pas viré au rouge depuis longtemps) Et ses collègues de travail, lui pourriront-ils la vie pour ses idées digne de Hitler ? Ses meilleurs amis découvriront-ils dans son appart sa littérature subsersive ? Assumera-t-il un jour ses idées libérales et pire même libertariennes ? Mais rappellez vous comme le dis Jean François Khan de Marianne, la pensée unique c'est le libéralisme.
Lapin kulta Posté 27 mai 2005 Signaler Posté 27 mai 2005 Bon désolé je me sers de ce forum comme défouloir et ce post n'est certainement ni original, ni bien construit, il embrase trop d'idées à la fois qui mériteraientun bouquin entier mais avouez que dans cette atmosphère de haine, on peut se sentir un peu opprimé…pour moi en tout cas c'est ça. Libéraux, nous sommes roulés dans la boue ! Voici depuis quelques mois déjà que journalistes et politiciens, main dans la main, se disputent sur le vote du référendum pour la constitution européenne. Ils ne sont pas d'accord sur le choix, ni sur la méthode employé, mais ont affiché leur ennemi commun, certains vont voter oui, d'autres non, mais la finalité reste la même "freiner le libéralisme". C'est avec dégoût, et limite au bord de la dépression que j'écris ces quelques lignes, car si déjà l'entreprise de falsification du libéralisme (©& ® & tm Eskoh, 2005) a bel et bien marché, les jours se suivent et se ressemblent, et cette campagne du oui/non s'apparente de plus en plus à une mascarade anti-libérale d'où les libéraux authentiques sont absents. Seule l'idéologie patronale via le MEDEF milite pour le oui. Pour mieux obtenir des subventions, des quotas protecteurs, et des arrangements avec les copains-coquins sans doute. Mais ce sont sans doute les seuls hormis un Madelin bien esseulé pour qui le libéralisme est un joli prête-nom pour leurs aspirations. Comme le dit Bastiat c'est un bourgeon de communisme, les subventions. La bande à Arlette n'en a cure. Les autres quant à eux crachent leur haine. On se croirait dans 1984 et sa fameuse minute de la haine. Tout les arguments y passent de jour en jour, contradictoire ou non. On savait que le diable était libéral. Finalement je crois que le libéralisme est autre chose d'encore pire un antéchrist sans doute, le pire tueur de toute l'humanité que même le communisme et le nazo-fascisme ne font pas le poids , bref c'est la Théorie de l'Esclavage expliquée aux patrons. Tour à tour, examinons les expressions employées afin de diaboliser le libéralisme "sauvage" "ultra" "néo" "fasho" "extrêmiste" "jungle" "loi du plus fort" "darwinisme social" "freiner" "anti social" "destructeur" "incontrôlé" "assassin" "ravageur". Bref il est accusé de tout les maux de l'humanité. Pas mal pour une philosophie humaniste. Quand on a dépouillé le libéralisme de toute sa puissance philosophique, il ne reste que de l'utilitarisme démagogique, des patrons qui ne voient que le petit bout de leur lorgnette et qui veulent compresser les coûts. Alors forcément pour le peuple français habitué depuis des lustres à s'opposer instinctivement au patronat (sur ce point là Marx a marqué les esprits plus que dans les autres pays), l'équation libéralisme = théorie patronale est vivace. Le débat est dès lors réduit à peau de chagrin. Moi qui vais voter non parce que je me sais libéral et cohérent, je constate que les plus cohérents sont les anti-libéraux qui vont voter oui, de Chirac à Hollande. Ils me convaincraient presque de voter oui. Bon peut être pas quand même. Les anti-libéraux du non (je vous rappelle qu'avec les anti-libéraux je vous parle de 98% de la classe politicienne n'est-ce pas les socialistes cachottiers qui lisent ce forum sans s'y inscrire et participer au débat) eux militent contre le libéralisme tout en votant contre le traité constitutionnel qui placerait la France et ses idées que le monde lui envie en position de force. Ils n'ont pas lu cette constitution qui laisse la part belle au social (dont le mot revient maintes fois), qui ne définis pas clairement le droit de propriété , et dont la liberté (je ne fais pas de différence entre libérté économique et liberté des moeurs, pour moi tout ça relève de la liberté d'action et de contracter) n'est pas spécialement mis en valeur. Et s'en gargarisent de ne pas l'avoir lu. Le culte de l'ignorance en somme. Moins on en sait mieux c'est. Rien de tel pour faire passer des idées socialistes. Que dis-je…, pour bourrer le crâne. A titre personnel je dirais qu'on s'enfonce de jour en jour dans une espèce de fascisme larvé, ou le droit d'expression se réduit à sa plus simple expression, ou le simple fait de se déclarer libéral te vaut d'être traité de tout les noms. Je ne dis pas qu'il n'y a point de libéraux qui injurient les socialistes, mais ceux-là font preuve d'une incohérence vis à vis de la philosophie qui les inspire, que je peine à les traiter de libéraux. Même si on a les idées et l'histoire du 20ème siècle avec nous. Restons courtois sinon c'en est fini du libéralisme. Les français sont dans une grande proportion depuis 30 ans enfoncés dans une sinistrose qui les rend pessimistes (le Gaullisme économique, descendant spirituel du Colbertisme a tout autant enrichi la France qu'il ne l'a programmée pour se fragiliser à la moindre crise pétrolière) , et de fait attirés par les idées totalitaires le socialisme en première ligne, mais qui cache les conséquences de telle politique en réinterprétant à leur sauce les événements politiques et économiques. Il en résulte une inversion des valeurs (la liberté c'est le mal !), des débats tronqués, quand ils ne sont pas censurés. Il n'y a qu'à voir comment la crise argentine, les trains anglais, l'électricité californienne, l'économie russe des années 90, les délocalisations, l'obésité, le trou de la sécu, la sinistrose française sont traités : La crise argentine ; les coupables : c'est le libéralisme et le FMI. Les trains anglais ; les coupables : c'est le libéralisme et ses privatisations. L'électricité californienne ; les coupables : c'est le libéralisme et ses privatisations (bis) l'économie russe des années 90 ; les coupables : c'est le libéralisme et sa mafia (ben tiens le libéralisme est une théorie de la justification de la mafia c'est nouveau) Les délocalisations ; les coupables : c'est le libéralisme et sa concurrence déloyale (ben tiens c'est de la faute au libéralisme si la France est aussi endormie et atone économiquement parlant…s'il y a bien un pays socialiste qui organise la pénurie de travail et offre des boulots niveau CAP pour des bac + 5 c'est bien ce pays !) L'obésité ; les coupables : c'est le libéralisme et la société de consommation qui nous pousse à bouffer (ben tiens on t'oblige chez toi à bouffer… et le libre-arbitre connais pas ?) Le trou de la sécu ; les coupables : c'est le libéralisme et les gens sont moins généreux (ben tiens on leur pompe plus d'argent qu'ailleurs pour payer d'avantage de gens, et sont encore moins bien remboursés au fil du temps…) La sinistrose française ; les coupables : c'est le libéralisme et le tournant capitaliste depuis 1983 (ben tiens que peuvent de maigres mesures à moitié libérales, contrôlées par l'Etat et ses énarques (Vivendi, France Télécom, EDF, La Poste). Même quand tout sera privatisé, vu le code du travail, les pesanteurs administratives, les impôts écrasants (55 % du PIB hé oui messieurs les socialistes cessez de faire l'autruche), le mercantilisme affiché des politiciens qui fourrent leur nez partout (prix dans les grandes surfaces avec Sarkozy), qui se mêlent de toutes les affaire politico-industrielles (dernièrement avec les quotas pour le textile), etc. Quasiment toute la population garde un schéma mondediplomaticien, avec des nuances toutefois, chacun y allant de son constructivisme personnel : "je suis pour la privatisation de la SNCF mais pas celle de EDF à cause du nucléaire" (ben tiens et Tchernobyl c'était privé peut-être ?) "Je suis contre ces fainéants qui gagnent le RMI mais pour la défense des services publics dans la Creuse" (ben tiens et vous croyez que cet individu est philosophiquement libéral parce qu'il peste contre des rmistes ?). L'hystérie anti-libérale garde un énorme pouvoir dans ce pays. "Je veux une baisse de la TVA pour ma profession car je suis restaurateur, mais il faut taxer davantage les chinois". L'incohérence des idées est un vain mot. Le plus petit dénominateur commun à l'ensemble de ces idées c'est le clientélisme politicien, et par là même la défense des intérêt catégoriels, qui pousse les gens à se sentir dépendants (et esclaves volontaires) les uns des autres (Bastiat once again). Leur parler de briser cette chaîne, que dis-je cette toile d'araignée et ça y est ils ont des sueurs froides : "oh mais tu es ultra ultralibéral toi". Je suis fiché. Pas moyen de discuter. Le libéralisme c'est mal et ça saute tellement aux yeux de tout le monde, qu'il est inutile de réfléchir. Un mauvais slogan mais qui sonne bien à l'oreille vaut mieux qu'une réflexion libérale mûrement assaisonnée mais qui vous plombe l'atmosphère. Me voici complice des chinois. A suivre dans un autre épisode, les aventures du petit libéral honteux, Dr So le jour VS Mr Lib la nuit. Comment fera-t-il rééllement son coming out ? Le dira-t-il a ses parents qui risquent de devenir verts ? (s'ils ont pas viré au rouge depuis longtemps) Et ses collègues de travail, lui pourriront-ils la vie pour ses idées digne de Hitler ? Ses meilleurs amis découvriront-ils dans son appart sa littérature subsersive ? Assumera-t-il un jour ses idées libérales et pire même libertariennes ? Mais rappellez vous comme le dis Jean François Khan de Marianne, la pensée unique c'est le libéralisme. <{POST_SNAPBACK}> La pensée unique c'est la connerie!
timburton Posté 27 mai 2005 Signaler Posté 27 mai 2005 Une phrase que les antilibéraux devraient méditer : "You can fool all the people some of the time and some of the people all the time - but you can't fool all the people all of the time (Abraham Lincoln)
DiabloSwing Posté 27 mai 2005 Auteur Signaler Posté 27 mai 2005 à Lapin Culta : on cite pas le texte du post précédent, encore moins quand il est très long (ça dépénalise les vieux pc du genre 500 mhz)
Patrick Smets Posté 27 mai 2005 Signaler Posté 27 mai 2005 pour le peuple français habitué depuis des lustresà s'opposer instinctivement au patronat (sur ce point là Marx a marqué les esprits plus que dans les autres pays Ca date d'avant Marx, mais peu importe. Tu as évidemment raison. Sors dans la rue, va boire une bière bien fraiche, regarde passer les filles, les hanches qui balancent leur poitrine gonflée par le désir de vivre, leurs yeux qui se détournent quand tu les regarde…. Hum J'aime ! Y a rien de mieux contre la sinistrose…..
DiabloSwing Posté 27 mai 2005 Auteur Signaler Posté 27 mai 2005 Oh mais c'est pas moi qui a la sinistrose, mais les mêmes gens qui pestent contre les patrons. Curieusement. (enfin c'est ce que je constate)
Toast Posté 27 mai 2005 Signaler Posté 27 mai 2005 Je trouve l'édito du dernier Challenges (édité par le Nouvel-Obs, donc plutôt de gauche) plein de bon sens. 15 ans après la chute de la suite d'abhération que constitue le communisme, on se retrouve encore avec un président de droite crachant sur le libéralisme et une bonne part de la population se foutant à chialer à la simple évocation du mot "concurrence". Rajoutez à cela une bonne couche d'ignorance profonde, l'extrême droite qui pour rebondir vampirise le libéralisme, et hop, vous aurez une petite idée de l'état du libéralisme en France. Le cas de ce pays est vraiment désespéré (et je m'en fous).
Antoninov Posté 27 mai 2005 Signaler Posté 27 mai 2005 Une phrase que les antilibéraux devraient méditer :"You can fool all the people some of the time and some of the people all the time - but you can't fool all the people all of the time (Abraham Lincoln) <{POST_SNAPBACK}> Prenez un chewing-gum… si si.
Ventura Posté 27 mai 2005 Signaler Posté 27 mai 2005 Le libéralisme est en passe de devenir pour le socialiste français ce que le juif était pour le nazillon allemand des années -30, c'est effectivement triste et inquiétant pour le maintien d'une forme de lucidité politique en France …
Legion Posté 27 mai 2005 Signaler Posté 27 mai 2005 Ah ça, en France on a des organes d'"informations" que le monde le Rwanda pré-génocidaire nous envie.
Sigma Posté 27 mai 2005 Signaler Posté 27 mai 2005 Ou il est Madelin dans la campagne européenne? Il aurait pu faire entendre un point de vue libéral.
Patrick Smets Posté 27 mai 2005 Signaler Posté 27 mai 2005 Il tient la position du missionnaire, les yeux fermés. (J'imagine que ses frais de campagne ne sont pas encore remboursés)
Toast Posté 27 mai 2005 Signaler Posté 27 mai 2005 Ou il est Madelin dans la campagne européenne?Il aurait pu faire entendre un point de vue libéral. <{POST_SNAPBACK}> Il n'est pas vraiment dans une position très avantageuse. Il apelle à voter OUI par fidélité à l'UMP tout en disant par derrière que le TCE ne ressemble à rien.
pankkake Posté 27 mai 2005 Signaler Posté 27 mai 2005 Pas mal du tout. Je peux le reprendre sur mon blog ?
DiabloSwing Posté 27 mai 2005 Auteur Signaler Posté 27 mai 2005 Merci ! Oui tu peux, en me citant et en corrigeant les fautes…si tu peux, je ne me suis pas vraiment relu, et pour cause j'ai écrit sous la colère.
Lapin kulta Posté 27 mai 2005 Signaler Posté 27 mai 2005 Une phrase que les antilibéraux devraient méditer : <{POST_SNAPBACK}> Cette phrase figure dans une des chansons de Bob non? "And now when you see the light, stand up fou youre rights……"
antietat Posté 27 mai 2005 Signaler Posté 27 mai 2005 Bon désolé je me sers de ce forum comme défouloir et ce post n'est certainement ni original, ni bien construit, il embrase trop d'idées à la fois qui mériteraientun bouquin entier mais avouez que dans cette atmosphère de haine, on peut se sentir un peu opprimé…pour moi en tout cas c'est ça. Libéraux, nous sommes roulés dans la boue ! Comme le dis Jean François Khan de Marianne, la pensée unique c'est le libéralisme. <{POST_SNAPBACK}> Dis toi bien une chose, tous les gugusses qui pondent ces arguments ont tous biberonnés au marxisme quand ils étaient plus jeunes. Qu'est ce que tu crois ?Qu'ils se sont volatilisés lors de l'écroulement du mur de Berlin ? Or ils trimbalent des casseroles autrement plus gênantes que celles qu'ils reprochent aux libéraux. Il faut leur rentrer dans le chou avec notamment cette tirade : "Après 1945 on a dénazifié l'Allemagne. On n'a pas encore démarxisé la France. Il est maintenant temps de s'y mettre. La seule chose que tu aies à faire ce n'est pas de te prononcer sur le libéralisme, dont tu ignores tout, mais de raser les murs, disparait espèce de rat totalitaire !" Tu peux envoyer ça tel quel à chaque fois que tu vois une adresse email associée à un article reprenant un des thémes que tu viens de dénoncer.
José Posté 27 mai 2005 Signaler Posté 27 mai 2005 Il faut leur rentrer dans le chou avec notamment cette tirade :"Après 1945 on a dénazifié l'Allemagne. On n'a pas encore démarxisé la France. Il est maintenant temps de s'y mettre. La seule chose que tu aies à faire ce n'est pas de te prononcer sur le libéralisme, dont tu ignores tout, mais de raser les murs, disparait espèce de rat totalitaire !" Très bon ça. Je le note et promets de m'en servir souvent.
antietat Posté 27 mai 2005 Signaler Posté 27 mai 2005 Très bon ça. Je le note et promets de m'en servir souvent. <{POST_SNAPBACK}> Merci. Il me revient une citation d'un révolutionnaire, Jérôme PETION, qui se suicidera pour ne pas être arrêté. Cela s'adressait à Robespierre qui n'était alors plus son ami. "Il faudra que Robespierre soit afin marqué du fer chaud destiné aux calomniateurs. Que signifient ces dénonciations perpétuelles contre les hommes qui ont toujours respirés pour la liberté ?" J'ai d'ailleurs l'intention, après modification, de l'inclure dans ma signature.
antietat Posté 27 mai 2005 Signaler Posté 27 mai 2005 Pas mal ta tirade antietat <{POST_SNAPBACK}> Ce qui m'a surtout fait réagir c'est que cela semblait t'affecter. Après la parution du "Livre noir sur le communisme" toute cette clique a marmonné quelques vagues excuses. Ils se sont tenus tranquilles quelques mois et maintenant ils s'imaginent que la page est tournée. Et ils renouent avec leurs bonnes vieilles habitudes de terrorisme et de matraquage intellectuel. Mais ce sont eux qui doivent rendre des comptes et il faut le leur rappeler à chaque fois qu'ils sont tentés de jouer au petit Vychinski.
antietat Posté 27 mai 2005 Signaler Posté 27 mai 2005 Ca mérite une petite place à côté de Ludwig <{POST_SNAPBACK}> A côté de Mises ! Je ne le mérite pas. Merci en tout cas.
Calembredaine Posté 28 mai 2005 Signaler Posté 28 mai 2005 Merci. Il me revient une citation d'un révolutionnaire, Jérôme PETION, qui se suicidera pour ne pas être arrêté. Cela s'adressait à Robespierre qui n'était alors plus son ami. "Il faudra que Robespierre soit afin marqué du fer chaud destiné aux calomniateurs. Que signifient ces dénonciations perpétuelles contre les hommes qui ont toujours respirés pour la liberté ?" J'ai d'ailleurs l'intention, après modification, de l'inclure dans ma signature. <{POST_SNAPBACK}> Je l'a trouve extraordinairement d'actualité! Si cela ne t'ennuie pas, j'en ferais volontiers ma signature également.
antietat Posté 28 mai 2005 Signaler Posté 28 mai 2005 Je l'a trouve extraordinairement d'actualité! Si cela ne t'ennuie pas, j'en ferais volontiers ma signature également. <{POST_SNAPBACK}> Mais vas y, je t'en prie.
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