Aller au contenu

Révolution Bleue = Fn ?


Invité Aurel

Messages recommandés

Invité Aurel
Posté

Sur le blog de Liberté Bleue, je lis ceci :

JMLP doit dévoiler lors du défilé annuel du 1er mai la stratégie qu'il compte adopter pour les échéances électorales de l'année prochaine. J'ai déjà pu l'affirmer : la Révolution bleue n'a pas vocation à faire concurrence aux partis politiques et ne se limite d'ailleurs pas aux élections de 2007. Néanmoins, la Révolution bleue, par le biais de tous ceux qui se reconnaissent dans ces thèmes, évidemment observe la vie politique de notre pays afin de donner son avis. Pour ma part, bien que m'inscrivant dans une tendance de droite libérale et malgré les nombreux points de désaccord avec le FN, je considère celui-ci comme étant un parti tout à fait respectable et je préfère, hors tactique électoraliste, voter généralement pour un candidat du FN que pour un candidat de l'UMP ou du PS (et a fortiori communiste ou trotskiste) dont on connaît pour notre plus grand malheur, leur incompétence chronique. Le FN fait partie aujourd'hui des 2 ou 3 plus grandes formations politiques et est de plus en plus incontournable. Il est donc logique de s'y intéresser et de prêter une oreille attentive aux déclarations de JMLP ce 1er mai.

En attendant, je vous invite à lire ou à relire quelques textes traitant du Front National dont je partage sensiblement ce qui est écrit : […]

Signé : Gil Albert Li

Notre Albert Li national ou un usurpateur ?

Choisissez votre camp…

Posté

J'ai pensé un moment qu'Albert Li avait définitement pété les plombs mais d'après:

http://lechamplibre.blogs.com/lechamplibre…lepen_que.html:

Il y a ensuite la politique de l'extrême droite (Jean-Marie Lepen). Là encore, elle n'a jamais été mise en oeuvre en France (encore que, dans des temps troublés… ). Mais là encore, il n'y a vraiment rien d'enthousiasmant dans une politique qui consiste pour l'essentiel à regarder comme responsables de nos problèmes les gens qui sont d'origine, de culture, de religion différentes de celles de la majorité des français. Cela rappelle de mauvais souvenirs et c'est parfaitement stupide. Une fois qu'on aura expulsé/persécuté/exterminé les arabes, les noirs, les juifs, les homos, les musulmans, les protestants, les scientologues, les libéraux, etc… on se sera certes passé un peu les nerfs (sur des innocents, "un point de détail" comme dit l'autre), mais les problèmes non résolus subsisteront. On s'attaquera alors à qui ?
Posté

A ce jour, si on nous refaisait le coup du choix ump/fn au second tour, je voterais probablement blanc. Et encore, c'est parce que vous êtes là et que je vois encore un espoir dans notre système oligarchiste pseudo-démocrate. Sinon, plus ça va et moins je voterais.

Posté
A ce jour, si on nous refaisait le coup du choix ump/fn au second tour, je voterais probablement blanc. Et encore, c'est parce que vous êtes là et que je vois encore un espoir dans notre système oligarchiste pseudo-démocrate. Sinon, plus ça va et moins je voterais.

Encore que pour un libéral, voter ump n'est pas (n'était pas à l'époque avec le ralliement de Madelin) si pire que cela. Mais le coup du choix ps/fn mettra définitivement en lumière les voix des libéraux français: les votes blancs :icon_up: .

Posté
Encore que pour un libéral, voter ump n'est pas (n'était pas à l'époque avec le ralliement de Madelin) si pire que cela. Mais le coup du choix ps/fn mettra définitivement en lumière les voix des libéraux français: les votes blancs :icon_up: .

Vu les têtes à claques du ps aujourd'hui, moi aussi. Mais tout le monde ne vient pas de la droite. Dans l'état actuel des choses, ps/ump je vote blanc aussi. Mais du temps de Jospin, j'aurais peut-être voté ps. Maintenant même s'il revient ça ne change plus grand chose.

Posté

Je commence à en avoir marre de ces types qui se disent libéraux et qui nous salissent avec leur obsession notoire de l'immigration. Ca me fatigue tellement que je n'ai plus du tout envie de lutter contre eux, tout a été dit sur le sujet : un libéral anti-immigrationiste, et a fortiori anti-immigré n'est bien sûr pas du tout libéral.

Point final.

Posté
Je commence à en avoir marre de ces types qui se disent libéraux et qui nous salissent avec leur obsession notoire de l'immigration. Ca me fatigue tellement que je n'ai plus du tout envie de lutter contre eux, tout a été dit sur le sujet : un libéral anti-immigrationiste, et a fortiori anti-immigré n'est bien sûr pas du tout libéral.

Point final.

:icon_up:

Posté

Moi, je n'ai rien contre l'immigration choisie, comme elle se pratique dans de nombreux pays. Ce n'est pas parce que les immigrés "piquent le travail des français", mais parce qu'avec le système actuel et la "générosité" de l'Etat, donner des papiers à tout ceux qui le demande reviendrai à subventionner la misère du monde sur le dos du contribuable.

Dans l'absolu, je suis pour une absence d'aides sociale et une immigration libre. En l'état actuel des choses, je souhaite bon courage à tous les clandestins qui font vivre en partie ce pays sans rien demander à personne et qui vivent dans la crainte de se faire expulser, mais ceux à qui on donne des papiers qui leur permettront de toucher des aides, il me semble nécessaire qu'on s'assure un minimum qu'ils auront la possibilité de vivre de leur travail et non des aides de l'Etat.

Posté

Le FN d'aujourd'hui est à peine plus radical que la droite d'il y a quelques années (vu son traitement médiatique). Comme il n'y a plus que ça et les socialistes de droite, c'est encore eux les mieux représentatifs de la "droite". Pourquoi on devrait éviter de les écouter eux et pas les autres ?

Invité Thierry
Posté
Je commence à en avoir marre de ces types qui se disent libéraux et qui nous salissent avec leur obsession notoire de l'immigration. Ca me fatigue tellement que je n'ai plus du tout envie de lutter contre eux, tout a été dit sur le sujet : un libéral anti-immigrationiste, et a fortiori anti-immigré n'est bien sûr pas du tout libéral.

Point final.

Disons qu'actuellement on parle d'immigration pour parler des problèmes issus de l'immigration. Evidement un libéral ne va pas s'opposer à un immigré, tant que cet immigré ne porte pas atteinte aux libertés des individus.

Posté
Disons qu'actuellement on parle d'immigration pour parler des problèmes issus de l'immigration. Evidement un libéral ne va pas s'opposer à un immigré, tant que cet immigré ne porte pas atteinte aux libertés des individus.

Ces "problèmes" se répartissent en deux catégories :

- ceux qui existaient déjà et existeront toujours même sans immigration : délinquance (vols, trafics divers et variés, etc..) , phénomènes des "bandes" (voir les bandes de loubards des années 70 qui avaient des jean's très serrés, etc…), et tout ce qui relève de la criminalité (réelle, ou imaginaire car provoquée par l'Etat mais c'est un autre problème)

- une série de problèmes littéralement inventés de toutes pièces, comme les affaires du voile islamique (qui concernent au plus haut une trentaine de jeunes filles, ce qui déboule sur un ou deux cas d'exclusions de l'école, pour des millions d'élèves recensés), les histoires liées aux mosquées et à l'islamisation de la France (qui compterait, m'a-t-on dit, 5 millions de musulmans), les affaires où l'on s'aperçoit que quelques tocards sont allés faire les débiles en Irak, etc…

Bref : deux types de problèmes, les uns qui n'ont rien à voir avec l'immigration, les autres qui sont clairement exagérés si ce n'est parfois inventés de toutes pièces.

Au final : il n'y a donc pas de débat pour toute personne un tant soit peu sérieuse intellectuellement.

Posté
Ces "problèmes" se répartissent en deux catégories :

- ceux qui existaient déjà et existeront toujours même sans immigration : délinquance (vols, trafics divers et variés, etc..) , phénomènes des "bandes" (voir les bandes de loubards des années 70 qui avaient des jean's très serrés, etc…), et tout ce qui relève de la criminalité (réelle, ou imaginaire car provoquée par l'Etat mais c'est un autre problème)

- une série de problèmes littéralement inventés de toutes pièces, comme les affaires du voile islamique (qui concernent au plus haut une trentaine de jeunes filles, ce qui déboule sur un ou deux cas d'exclusions de l'école, pour des millions d'élèves recensés), les histoires liées aux mosquées et à l'islamisation de la France (qui compterait, m'a-t-on dit, 5 millions de musulmans), les affaires où l'on s'aperçoit que quelques tocards sont allés faire les débiles en Irak, etc…

Bref : deux types de problèmes, les uns qui n'ont rien à voir avec l'immigration, les autres qui sont clairement exagérés si ce n'est parfois inventés de toutes pièces.

Au final : il n'y a donc pas de débat pour toute personne un tant soit peu sérieuse intellectuellement.

+1

Dans les années 70, il y avait d'une part la délinquance des loubards héritiers des blousons noirs des sixties et d'autre part celle des immigrés de l'époque à savoir maghrébins mais surtout portugais et dans une moindre mesure espagnols. Ceux qui ont connu Meaux à cette époque savent de quoi je parle, on se tirait dessus à la 22 Lr depuis les balcons des cités de Beauval et de La Pierre Collinet. Ceci dit, mon dernier billet sur " Harald… " montre que le problème de la délinquance ne date pas d'aujourd'hui et que ce n'était pas mieux hier, loin de là.

En ce qui concerne l'affaire du voile, il ne faut pas oublier qu'elle fut initiée par un quarteron de profs notoirement gauchistes qui entendaient par là fustiger le religion plutôt que de stigmatiser une minorité particulière. Le traitement par la droite, qui ne voulait pas rester en reste, de cette affaire en a changé substantiellement la nature. Quant au nombre de mosquées digne de ce nom, il est tellement ridicule en terre de France qu'il n'y a pas lieu de débattre, à moins bienentendu que le liberté de culte ne soit plus de mise chez nous.

Posté

Pas besoin de chercher midi à 14 heures pour savoir pourquoi les français surtout les jeunes haissent le libéralisme, quand on entend des ( CENSURE ) pareils qui font les louanges d'un certain borgne de Saint Cloud !

Posté
+1

Dans les années 70, il y avait d'une part la délinquance des loubards héritiers des blousons noirs des sixties et d'autre part celle des immigrés de l'époque à savoir maghrébins mais surtout portugais et dans une moindre mesure espagnols. Ceux qui ont connu Meaux à cette époque savent de quoi je parle, on se tirait dessus à la 22 Lr depuis les balcons des cités de Beauval et de La Pierre Collinet. Ceci dit, mon dernier billet sur " Harald… " montre que le problème de la délinquance ne date pas d'aujourd'hui et que ce n'était pas mieux hier, loin de là.

C'est drôle mais à moi qui suis de Meaux, on m'a toujours raconté que les quartiers étaient beacoup plus vivables à cette époque, et beaucoup plus convivials. Comme quoi.

Posté
C'est drôle mais à moi qui suis de Meaux, on m'a toujours raconté que les quartiers étaient beacoup plus vivables à cette époque, et beaucoup plus convivials. Comme quoi.

Je crois que c'est l'acceptation de la violence par la société française qui a évolué. Dans les années 70 les castagnes de sortie de bal étaient monnaie courante et ne faisaient que rarement l'objet d'un entrefilet dans les journaux. Les rencontres musclées entre bandes n'étaient pas si rares et cela n'émeuvait que peu de monde. Les ratonnades n'étaient pas non plus aussi rares qu'on veut bien le croire, les campagnes électorales débouchaient souvent sur des empoignades musclées entre communistes et militants de droite. On sortait alors l'attirail habituel: manches de pioches, matraques, nerfs de boeuf,…

De nos jours qu'un gamin s'avise de chercher noise à un autre dans la cour de récré et la machine se met en branle. Les instits y vont de leur couplet citoyen sur la nécessité de réprimer cette hideuse violence, les parents peuvent être convoqués et il arrive parfois que le psychologue scolaire soit de la partie.

Posté
Tu sais d'où viens ton avatar, à quelle période de l'histoire il se réfère ?

fue1CohnBendit.jpg

Crois-tu ?

La mine se trouve ici:

http://chantsdeluttes.free.fr/mai68/pages68/liste-affiches.html

Il y a aussi: 221nz.gif519ob.gif

Posté
Je sais, Harald, c'est ça que je voulais te faire dire…

Mai 68, le petit Harald avait 6 ans et en fin d'après-midi, il allait avec son papa et sa maman dans le quartier latin pour voir les barricades, les étudiants vociférer des conneries qu'il ne comprenait pas encore et parfois il pouvait voir la police arriver et les CRS en train de charger.

Posté
Je crois que c'est l'acceptation de la violence par la société française qui a évolué. Dans les années 70 les castagnes de sortie de bal étaient monnaie courante et ne faisaient que rarement l'objet d'un entrefilet dans les journaux. Les rencontres musclées entre bandes n'étaient pas si rares et cela n'émeuvait que peu de monde. Les ratonnades n'étaient pas non plus aussi rares qu'on veut bien le croire, les campagnes électorales débouchaient souvent sur des empoignades musclées entre communistes et militants de droite. On sortait alors l'attirail habituel: manches de pioches, matraques, nerfs de boeuf,…

De nos jours qu'un gamin s'avise de chercher noise à un autre dans la cour de récré et la machine se met en branle. Les instits y vont de leur couplet citoyen sur la nécessité de réprimer cette hideuse violence, les parents peuvent être convoqués et il arrive parfois que le psychologue scolaire soit de la partie.

Dis-moi si je me trompe, mais le nombre de crime n'a t-il pas été multiplié par 4 sur une longue période (en gros depuis 1960?)

En tout cas, c'est ce que j'ai souvent entendu.

Posté
De nos jours qu'un gamin s'avise de chercher noise à un autre dans la cour de récré et la machine se met en branle. Les instits y vont de leur couplet citoyen sur la nécessité de réprimer cette hideuse violence, les parents peuvent être convoqués et il arrive parfois que le psychologue scolaire soit de la partie.

En réalité, cela va même plus loin : les idéologues étatistes veulent substituer la prévention intégrale à la répression des délits réels et vérifiables. Sous prétexte de lutter contre la "tentation" répressive (fustigée comme étant l'équivalent de l'oppression - ce qui est faux), ils veulent un encadrement total du comportement individuel. Ce faisant, plus aucune distinction n'est faite entre le coupable et l'innocent: chacun est considéré comme un fautif potentiel. L'Etat préventif est la forme la plus vicieuse de l'Etat oppressif.

Il s'agit ni plus ni moins que de la résurgence laïcisée du millénarisme "purificateur" des anabaptistes, voulant extirper à jamais le péché de l'homme (thèse hautement hérétique), quitte évidemment à détruire sa nature (peccative, faillible) et le transformer en homme-boulon aux ordres d'un despote prétendant instaurer le Paradis dans le monde terrestre. C'est du néo-puritanisme, en somme.

Posté

Entre 1950 et 2002 la criminalité a certes explosé, je peux vous dire que c'est énorme. Je chercherais les chiffres, je les ai.

Posté
Dis-moi si je me trompe, mais le nombre de crime n'a t-il pas été multiplié par 4 sur une longue période (en gros depuis 1960?)

En tout cas, c'est ce que j'ai souvent entendu.

Je n'ai pas les chiffres en tête, mais il est clair que le nombre de crimes et délits a sérieusement augmenté. Ceci dit, il faut aussi considérer que depuis les années 50/60, les zones urbaines n'ont cessé de s'étoffer. En outre ce fut à cette période que des idéologues se mirent en tête de repenser la ville, jetant aux orties l'expérience urbaine accumulée au cours des siècles. Au lieu de créer la ville idéale ils ont créé le cauchemard des temps modernes en tuant tout ce qui permettait la créations des liens sociaux.

En réalité, cela va même plus loin : les idéologues étatistes veulent substituer la prévention intégrale à la répression des délits réels et vérifiables. Sous prétexte de lutter contre la "tentation" répressive (fustigée comme étant l'équivalent de l'oppression - ce qui est faux), ils veulent un encadrement total du comportement individuel. Ce faisant, plus aucune distinction n'est faite entre le coupable et l'innocent: chacun est considéré comme un fautif potentiel. L'Etat préventif est la forme la plus vicieuse de l'Etat oppressif.

Le rabachage qui est fait en primaire sur la charte des droits de l'enfants, la promotion insistante autour du numéro vert 119 qui permet aux bambins de dénoncer leurs parents si d'aventure ces derniers leur collent une taloche, tout cela va dans ce sens.

Posté
Je crois que c'est l'acceptation de la violence par la société française qui a évolué. Dans les années 70 les castagnes de sortie de bal étaient monnaie courante et ne faisaient que rarement l'objet d'un entrefilet dans les journaux. Les rencontres musclées entre bandes n'étaient pas si rares et cela n'émeuvait que peu de monde. Les ratonnades n'étaient pas non plus aussi rares qu'on veut bien le croire, les campagnes électorales débouchaient souvent sur des empoignades musclées entre communistes et militants de droite. On sortait alors l'attirail habituel: manches de pioches, matraques, nerfs de boeuf,…

De nos jours qu'un gamin s'avise de chercher noise à un autre dans la cour de récré et la machine se met en branle. Les instits y vont de leur couplet citoyen sur la nécessité de réprimer cette hideuse violence, les parents peuvent être convoqués et il arrive parfois que le psychologue scolaire soit de la partie.

J'ai eu une discussion sur le sujet avec une dame tout à fait respectable de 60 ans (rencontrée dans le cadre du taf), qui m'expliquait que son père venait la chercher elle et sa soeur vers les 22h au bal où elles allaient car il se doutait que cela allait dégénérer à partir de minuit, et que des bastons alllaient se déclencher.

Apparemment c'était très classique. Rien de nouveau, donc, si ce n'est une moindre focalisation sur cette "violence" (je n'appele pas violence les echauffourées qui peuvent se produire à la suite de soirées arrosées).

Posté
J'ai eu une discussion sur le sujet avec une dame tout à fait respectable de 60 ans (rencontrée dans le cadre du taf), qui m'expliquait que son père venait la chercher elle et sa soeur vers les 22h au bal où elles allaient car il se doutait que cela allait dégénérer à partir de minuit, et que des bastons alllaient se déclencher.

Apparemment c'était très classique. Rien de nouveau, donc, si ce n'est une moindre focalisation sur cette "violence" (je n'appele pas violence les echauffourées qui peuvent se produire à la suite de soirées arrosées).

Tu sembles faire comme si la réalité de la violence relevait uniquement d'une perception alors qu'il existe des moyens objectifs de la mesurer (nombre de crimes).

Il reste donc à savoir si la violence a réellement augmenté dans les faits avec l'augmentation des crimes et délits.

C'est pourquoi nous attendons les chiffres de St Freeman.

Il est vrai que s'il y a bien augmentation de la violence, elle peut avoir d'autre cause que l'immigration.

Posté
Tu sembles faire comme si la réalité de la violence relevait uniquement d'une perception alors qu'il existe des moyens objectifs de la mesurer (nombre de crimes).

Non, mais il existe un effet de loupe tout à fait saisissant surtout lorsqu'une affaire est portée à la TV.

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×
×
  • Créer...