maurice b. Posté 11 août 2007 Signaler Posté 11 août 2007 Alain L., un fonctionnaire du service des Impots au casier judiciaire vierge, 50 ans, mis en examen ,avait été surpris dimanche à Disneyland par une femme alors qu'il filmait des petites filles qui avaient baissé leur culotte.Le stratagème de l'individu qui, en quatorze jours, s'était rendu à 18 reprises au parc d'attractions, (ndlr :pendant ses heures de bureau ???)était rodé . Au surlendemain de sa remise en liberté sous contrôle judiciaire ,le parquet de Créteil (Val-de-Marne) a décidé hier de faire appel de la décision du juge d'instruction qui avait considéré que la détention provisoire d'Alain L.,pour « violences volontaires », « détention et importation d'images pornographiques », « agressions sexuelles sur mineurs de 15 ans » et « viol », ne s'imposait pas. Lors de leur perquisition en début de semaine au domicile d'Alain L. , les enquêteurs ont découvert des milliers d'images pédo-pornographiques dans son ordinateur ainsi que des DVD comportant des scènes semblables qu'il avait enregistrées sur Internet ou lui-même filmées. Il est par ailleurs accusé de s'être rendu coupable en 1999 et en 2000 d'attouchements sur deux de ses nièces, âgées de 15 et 16 ans, qu'il avait au préalable droguées. L'une avait été violée. Il aurait également commis entre 2003 et 2006 des agressions sexuelles sur trois enfants de moins de 15 ans d'un de ses couples d'amis de Haute-Garonne. Patrice Ribeiro, secrétaire général adjoint du syndicat de policiers Synergie-officiers, s'insurge : « L'individu est désormais dans la nature et il peut recommencer. C'est scandaleux. » Lundi ,il sera à son poste de travail et aura le soutien de sa hièrarchie pour traquer les contribuables.
Harald Posté 11 août 2007 Signaler Posté 11 août 2007 Je ne vois pas trop ce que viens faire la mention de sa qualité de fonctionnaire là-dedans. Il aurait été cadre dans une boîte privée que ce serait aussi dégueulasse.
maurice b. Posté 11 août 2007 Auteur Signaler Posté 11 août 2007 Je ne vois pas trop ce que viens faire la mention de sa qualité de fonctionnaire là-dedans. Il aurait été cadre dans une boîte privée que ce serait aussi dégueulasse. A mon avis ,ça a du pas mal jouer en faveur de sa remise en liberté.
Harald Posté 11 août 2007 Signaler Posté 11 août 2007 A mon avis ,ça a du pas mal jouer en faveur de sa remise en liberté. C'est méconnaître le fonctionnement de la justice et tout particulièrement le rôle du juge des libertés et de la détention. Les critères sont essentiellement d'ordre judiciaire. En l'occurrence il a estimé que le mis en cause ne risquait pas de chercher à se soustraire au contrôle judiciaire, qu'il ne risquait pas de chercher à influencer les témoins et/ou les victimes, qu'il n'était pas en danger. C'eut été vous que la décision aurait été identique. D'ailleurs la réaction du parquet de Créteil est symptomatique de notre époque où l'émotion prime sur la réflexion, où la clameur populaire l'emporte sur le Droit. Il serait bon de ne pas l'oublier.
Toast Posté 11 août 2007 Signaler Posté 11 août 2007 D'ailleurs la réaction du parquet de Créteil est symptomatique de notre époque où l'émotion prime sur la réflexion, où la clameur populaire l'emporte sur le Droit. Il serait bon de ne pas l'oublier. Ce pays me dégoûte de plus en plus.
maurice b. Posté 11 août 2007 Auteur Signaler Posté 11 août 2007 Les critères sont essentiellement d'ordre judiciaire. En l'occurrence il a estimé que le mis en cause ne risquait pas de chercher à se soustraire au contrôle judiciaire, qu'il ne risquait pas de chercher à influencer les témoins et/ou les victimes, qu'il n'était pas en danger. C'eut été vous que la décision aurait été identique. Est ce que le juge a pris en compte que ce type va rester à son poste et, peut- etre abuser de ses prerogatives de fonctionnaire,convoquer des contribuables pour les harceler ?
Toast Posté 11 août 2007 Signaler Posté 11 août 2007 Est ce que le juge a pris en compte que ce type va rester à son poste et, peut- etre abuser de ses prerogatives de fonctionnaire,convoquer des contribuables pour les harceler ? Quel est le rapport ? Le type en question bosse dans les impôts, je ne vois pas trop en quoi cela peut servir ses tendances pédophiles.
wapiti Posté 11 août 2007 Signaler Posté 11 août 2007 Est ce que le juge a pris en compte que ce type va rester à son poste et, peut- etre abuser de ses prerogatives de fonctionnaire,convoquer des contribuables pour les harceler ? Et s'il avait été patron, il aurait pu rester à son poste exploiter ses salariés ! Qu'est-ce qu'il faut pas lire
Jesrad Posté 11 août 2007 Signaler Posté 11 août 2007 Il est par ailleurs accusé de s'être rendu coupable en 1999 et en 2000 d'attouchements sur deux de ses nièces, âgées de 15 et 16 ans, qu'il avait au préalable droguées. L'une avait été violée. Il aurait également commis entre 2003 et 2006 des agressions sexuelles sur trois enfants de moins de 15 ans d'un de ses couples d'amis de Haute-Garonne. Est-ce que quelqu'un le regrettera, s'il est pendu ? @maurice.b: est-ce que ce fil traite des agressions sexuelles que ce type aurait commis contre des enfants, ou bien des agressions tout court que ce type a certainement commis contre des citoyens français ?
Harald Posté 11 août 2007 Signaler Posté 11 août 2007 Est ce que le juge a pris en compte que ce type va rester à son poste et, peut- etre abuser de ses prerogatives de fonctionnaire,convoquer des contribuables pour les harceler ? Dans la mesure où justement c'est là son travail et que ses "clients" ne se trouvent pas être des fillettes je ne vois pas la nécessité de le mettre en détention provisoire. Au passage je me permets de vous rappeler qu'il s'agit d'une mesure privative de liberté et que jusqu'à plus ample informé, dans l'affaire qui nous intéresse, l'individu semble ne s'être livré qu'à la collection de photos pédophiles ainsi qu'à des prises de vues en live. Pour délictueux que cela puisse être, cela n'a causé aucun préjudice qui nécessite l'incarcération. Maintenant, l'instruction permettra d'en savoir plus. Ceci dit, votre réaction montre que l'on a tort d'informer la presse de la vie du quotidienne du monde judiciaire.
maurice b. Posté 11 août 2007 Auteur Signaler Posté 11 août 2007 Est-ce que quelqu'un le regrettera, s'il est pendu ? @maurice.b: est-ce que ce fil traite des agressions sexuelles que ce type aurait commis contre des enfants, ou bien des agressions tout court que ce type a certainement commis contre des citoyens français ? Est ce qu'un poste de la fonction publique est compatible avec la criminalité (viol) ?
Largo Winch Posté 11 août 2007 Signaler Posté 11 août 2007 Bon. Les discussions de comptoir, ce n'est pas dans La Taverne que ça se passe habituellement ?
Fredo Posté 11 août 2007 Signaler Posté 11 août 2007 Est ce qu'un poste de la fonction publique est compatible avec la criminalité (viol) ? La Justice ne se doit-elle pas d'être aveugle ?
Harald Posté 11 août 2007 Signaler Posté 11 août 2007 Est ce qu'un poste de la fonction publique est compatible avec la criminalité (viol) ? On en revient à ce que je disais sur la nécessité qu'il y a à ne plus informer la presse. Visiblement de ce que l'on peut tirer de l'article, les deux premières affaires ne sont pas encore jugées. Donc tant qu'il n'est pas reconnu coupable et à la condition qu'il ne fasse pas appel (ce dernier étant suspensif) il doit être considéré comme étant innocent et n'a donc pas à être rayé des rôles de la fonction publique. Concernant les deux autres affaires, je ne me prononcerais même pas. L'usage du conditionnel par le "journaliste" devrait d'ailleurs pousser tout un chacun à en faire autant. Voilà. D'un articulet merdique, vous avez tiré un certain nombre d'a priori et de certitudes. On frémit à l'idée que la justice criminelle soit populaire sous nos latitudes.
pankkake Posté 11 août 2007 Signaler Posté 11 août 2007 Voilà. D'un articulet merdique, vous avez tiré un certain nombre d'a priori et de certitudes. On frémit à l'idée que la justice criminelle soit populaire sous nos latitudes. je chinoise :
Rincevent Posté 12 août 2007 Signaler Posté 12 août 2007 […] Ceci dit, votre réaction montre que l'on a tort d'informer la presse de la vie du quotidienne du monde judiciaire. (Ca faisait longtemps que tu n'avais pas torturé mon dos, alors j'en profite)
(V) Posté 12 août 2007 Signaler Posté 12 août 2007 Je ne vois pas trop ce que viens faire la mention de sa qualité de fonctionnaire là-dedans. D’habitude ce sont les prêtres pédophiles qui sont pointés du doigt pour discréditer l’Eglise, cette fois c’est la fonction publique qui prend. C’est tout aussi con…mais pas plus mal…
Romain_Reader Posté 13 août 2007 Signaler Posté 13 août 2007 Moi je comprends ce post. Simple cadre dans le privé, j'ai failli faire de la garde à vue pour violences conjugales….(procédures de divorce, mon ex-feme essaie de trouver tous les moyens pour me nuire et surtout pour qu ej ene vois plus ma fille fin de la parenthèse.) Je suis sincèrement persuadé, qu'un controleur des impots bénéfieciera de plus d'indulgence de la part du procureur (meme corps de metier, du moins memes status )…de part la notoriété, crédibilité de son métier. Moi, on s'apprétait à me foutre en garde à vue, alors que je n'avais pas encore été entendu. D'ailleurs le flic n'était pas des plus objectifs, j'étais couplable d'aprés lui. ( d'ailleurs au passage est-ce à lui de juger ? ) Pèpère contrôleur…et bien il y a de fortes chances pour qu'on y ait réfléchi à plusieurs reprises avant de prendre des mesures ( lesquelles au fait ? ) contre lui. Voilà, c'est tout ce que je voulais dire. Je ne vous parlerai pas de la justice des affaires familiales où le père n'est pas écouté.
Romain_Reader Posté 13 août 2007 Signaler Posté 13 août 2007 Note le nom de ce flic. Dans quel but ? Je ne vois pas comment je pourrais taper au dessus de lui…..pour les medecins complaisants je vois pmais poru les flics ! Enfin je ne voudrais pas changer le sujet de ce post !
Punu Posté 13 août 2007 Signaler Posté 13 août 2007 Fais preuve d'imagination. Moi je trouverais son adresse et je lui enverrais un bouquet de fleurs signé d'un prénom féminin.
melodius Posté 13 août 2007 Signaler Posté 13 août 2007 Fais preuve d'imagination. Moi je trouverais son adresse et je lui enverrais un bouquet de fleurs signé d'un prénom féminin.
A.B. Posté 13 août 2007 Signaler Posté 13 août 2007 Fais preuve d'imagination. Moi je trouverais son adresse et je lui enverrais un bouquet de fleurs signé d'un prénom féminin. Tu peux aussi acheter une centaine de livres d'occasion pour trois fois rien et un tampon indiquant. Ce livre appartient à Jean Dupont prière de le retourner à l'adresse suivante …. 10 euros de récompense. Ou passer une petite annonce dans les journaux: cherche chatons, s'adresser à telle adresse. Les possibilités sont infinies ^^ Tous ces conseils dans l'optique ou tu n'es en aucun cas coupable des charges mentionnées. Sinon
Romain_Reader Posté 13 août 2007 Signaler Posté 13 août 2007 Oui mais une fois le bouquet envoyé…vais je connaitre la suite des évènements pour ce flic ? non …donc ! Mais j'avoue avoir pensé à payer des mecs pour buter la gueule ( pardonnez ma vulgarité ) aux intéressés….et là j'aurais eu des retours visuels, enfin j'aurais pu voir le résultat et me délecter. Quant à la justice, en tant que victime et "présumé coupable", je peux vous dire que l'ensemble me donne envie de vomir. D'ailleurs je ne conçois plus qu'un soit disant BAC+5 ou même 10 en droit, études effectuées à l'université française puisse avoir suffisamment de recul pour juger quelqu'un. Je ne conçois pas qu'une JAF ( Juge aux Affaires Familliales ), ne m'ait même pas montré son CV, ne s'est ni meme présentée, bref, s'est adressée à ses interlocuteurs d'une manière si condescendante…..comment puis je faire confiance à cette personne qui va juger le destin de ma fille ? Lorsque je vais chez un client, que je rencontre une nouvelle personne au sein de mon travail….je me présente. Lorque l'on a entre ses mains la vie d'une gamine de 30 mois, j'estime avoir le droit de savoir à qui j'ai affaire c'est à dire : - CV de la personne etc…. Je ne parle pas de l'enquête sociale ( demandée par la mère, mais financée par le père ), réalisée par, je ne sais comment décrire la personne, mais devant des sujets aussi grave que la " résidence exclusive etc…", étant donné que c'est le père qui paie à savoir MOI , j'estime avoir la possibilité de choisir la personne qui va enquêter. Manque de bol, cette personne est désignée d'office. Pareil, pas de CV, pas de présentation…on ne sait à qui on a affaire. Et dans ces cas là on ferme sa gueule de peur de voir l'enquête sociale devenir non plus un atout pour le papa mais un handicap. Cette enquêtrice petait plus haut que son cul, avec un QI qui frolait celui des SES que j'avais autrefois cotoyés au collège…..et cette dame va décider du sort de ma fille . Et pour en revenir à ce controleur de simpots…..je dirais et ça n'engage que moi : Pour avoir eu des parents enseignants, quiont connu l'avant et l'aprés Mitterand, je dirais donc, que le fonctionnariat est une corporation, un état à part entière. C'est un état dans l'état, où tous le monde se connait, se protège, agit en fonction des intérêts du fonctionnaire pote, peu importe le coprs de métier. Zetes effectivement des pousses aux crimes ! L'ensemble pourrait donner des idées….j'ai encore trop de scrupules
A.B. Posté 13 août 2007 Signaler Posté 13 août 2007 L'ensemble pourrait donner des idées….j'ai encore trop de scrupules Tu envisageais de faire tabasser quelqu'un et tu as des scrupules de lui envoyer un bouquet de fleur. Ca ne colle pas. Mais sinon, les violences conjugales, vrai ou pas vrai (sans considération aucune du motif ou contexte qui ne sont absolument pas pertinants) ?
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