Aller au contenu

Nouvelles du monde sans intérêt


Rincevent

Messages recommandés

Posté

"eh les mecs vnez a mon enterrement !

-nan

-allez venez quoi !

-nan

-j'etais sympa de mon vivant !

-nan

-il y aura des femmes qui se desapent !

-c'est quand la date?

- je vous laisse le choix...

:blagounette:

Posté

 

Costaude notion de l'indépendance des universités !

 

 

 

Ces dotations permettront aux universités de compenser partiellement (...), la moitié de la hausse automatique de la masse salariale (non prise en compte lors du passage des universités à l'autonomie à partir de 2008), des "mesures catégorielles" pour les personnels de catégorie B et C et la création des 1.000 postes par an prévus chaque année sur le quinquennat. 

 

C'est quoi cette histoire de hausse automatique de la masse salariale ?!

Posté

J'ai du mal à comprendre.

Les dotations, c'est pour qui ?

Ils prennent de l'argent de ma fac A pour en donner à la fac B ? Aux enseignants ? Aux employés (administration) ?

Posté

Costaude notion de l'indépendance des universités !

C'est quoi cette histoire de hausse automatique de la masse salariale ?!

Quand tu es agent dans la fonction publique, ton salaire augmente avec ton ancienneté de manière automatique.

Ce qui fait que les secrétaires d'université, qui sont probablement les etres les plus abominables de la création sont sûrement bien mieux payé que les secrétaires de PME qui ont tout un tas de responsabilités.

Posté

Merci pour ta réponse.

Plutôt que de faire sauter (entre autres) cette règle, l'Etat préfère donc mettre en place des bascules de financement entre universités. Classique.

Posté

J'ai du mal à comprendre.

Les dotations, c'est pour qui ?

Ils prennent de l'argent de ma fac A pour en donner à la fac B ? Aux enseignants ? Aux employés (administration) ?

Et ils appellent ça « solidarité »…
Posté

 

 

Pour revenir au sujet, seuls les fonds de roulement ont été siphonnés. Les économies destinées à de l'investissement restent. L'objectif n'est pas que de trouver du pognon, mais il est aussi de dire : "Oh, les mecs, ça sert à rien de conserver des montagnes de cash si c'est pour ne rien en faire ; les fonds de roulements, c'est tant de semaine, et comme vous n'avez pas l'utilité de plus, vu que vous n'avez pas de plan d'investissement, on reprend l'argent qui dort".

 

Si un établissement supérieur a des fonds de roulements très supérieurs à "ce qui devrait être", ce n'est normalement pas tant une question de bonne gestion que de surestimation des budgets (*). Si l'Etat a subventionné plus que nécessaire, c'est normal qu'il reprenne l'argent en trop, pour le mettre là où il y en a besoin. C'est ce que ferait n'importe quel actionnaire, d'ailleurs ; l'argent qui dort, autant qu'il dorme chez moi.

 

(*) Étant acquis qu'une bonne partie du budget provient à l'origine de l'Etat. C'est une autre question si il s'agit de fonds privés issus du mécénat.

 

 

 

Posté

 

Hillary Clinton désarçonnée par des accusations Etats-UnisUne enquête du New York Times et un livre à paraître soulèvent des questions sur les donateurs de la Fondation Clinton.

Le début de la campagne d’Hillary Clinton pour la Maison-Blanche est plus mouvementé que prévu. Après avoir dû justifier son utilisation exclusive de son e-mail personnel à l’époque où elle était secrétaire d’Etat, la candidate démocrate à la présidence en 2016 doit désormais se défendre face à une enquête du New York Times et un livre explosif à paraître en mai. Tous deux suggèrent un lien éventuel entre les dons potentiellement intéressés de riches financiers à la Fondation Clinton et le rôle qu’aurait pu jouer Hillary à l’époque où elle dirigeait la diplomatie américaine.

Le quotidien new-yorkais se penche sur les cadeaux et dons que le couple Clinton a reçus au moment où la Russie s’apprêtait à prendre le contrôle d’Uranium One, une société d’origine canadienne qui contrôle 20% des réserves d’uranium américaines. La deuxième salve est attendue le 5 mai lorsque paraîtra le livre «Le Cash des Clinton», de Peter Schweizer.

Le New York Times mentionne dans son enquête le voyage au Kazakhstan en 2005 de Bill Clinton avec Frank Giustra, un richissime homme d’affaires canadien qui cherchait à conclure un deal d’uranium dans ce pays. Les liens entre l’ancien président américain et le financier qui dirigeait une société ayant finalement fusionné avec Uranium One étaient solides. Le quotidien a révélé que Giustra a fait don de 31,3 millions de dollars à la Fondation Clinton.

En juin 2010, alors que la Russie cherchait à prendre le contrôle d’Uranium One, Bill Clinton avait été invité à donner un discours à Moscou. Prix de l’allocution payé par un fonds d’investissement russe: 500 000 dollars. La Fondation Clinton aurait reçu des millions de dollars du patron d’Uranium One et de ses associés au moment où ceux-ci cherchaient à vendre leurs parts à Rosatom, une compagnie russe. A cette époque, Hillary Clinton, dans son rôle de secrétaire d’Etat, faisait partie du Comité sur les investissements étrangers. Celui-ci avait le pouvoir d’empêcher les ventes d’actifs d’entreprises qui contrôlent des ressources ayant trait à la sécurité nationale des Etats-Unis. La transaction avait été approuvée.

La campagne d’Hillary Clinton a contre-attaqué en affirmant que le deal n’était jamais remonté jusqu’à Hillary Clinton. «Hillary Clinton a potentiellement un problème, réagit Cary Covington, professeur associé de sciences politiques à l’Université d’Iowa. Cela renforce l’impression dans l’opinion américaine qu’Hillary a ses propres règles du jeu et qu’elle a un penchant pour les secrets. Cela peut ternir l’enthousiasme des démocrates à se mobiliser pour elle». Dans l’immédiat, la commission d’enquête parlementaire sur l’attentat mortel contre le consulat américain de Benghazi en 2012 en Libye, a convoqué Hillary Clinton pour témoigner au Congrès à la mi-mai et expliquer son utilisation de ses emails personnels. (TDG)

http://www.tdg.ch/monde/hillary-clinton-desarconnee-accusations/story/27634592

Posté

Il semblerait que la Fondation Clinton sert à Bill et Hillary à récolter des fonds de campagne occultes provenant des sympathiques Saoudiens.

Posté

Pour revenir au sujet, seuls les fonds de roulement ont été siphonnés. Les économies destinées à de l'investissement restent. L'objectif n'est pas que de trouver du pognon, mais il est aussi de dire : "Oh, les mecs, ça sert à rien de conserver des montagnes de cash si c'est pour ne rien en faire ; les fonds de roulements, c'est tant de semaine, et comme vous n'avez pas l'utilité de plus, vu que vous n'avez pas de plan d'investissement, on reprend l'argent qui dort".

 

Si un établissement supérieur a des fonds de roulements très supérieurs à "ce qui devrait être", ce n'est normalement pas tant une question de bonne gestion que de surestimation des budgets (*). Si l'Etat a subventionné plus que nécessaire, c'est normal qu'il reprenne l'argent en trop, pour le mettre là où il y en a besoin. C'est ce que ferait n'importe quel actionnaire, d'ailleurs ; l'argent qui dort, autant qu'il dorme chez moi.

 

(*) Étant acquis qu'une bonne partie du budget provient à l'origine de l'Etat. C'est une autre question si il s'agit de fonds privés issus du mécénat.

Le problème c'est qu'en siphonnant les réserves des universités, on finit par instaurer/renforcer la règle classique dans le publique qui veut que l'on claque tout le budget sinon les crédits risquent de baisser l'année suivante.

Posté

Le problème c'est qu'en siphonnant les réserves des universités, on finit par instaurer/renforcer la règle classique dans le publique qui veut que l'on claque tout le budget sinon les crédits risquent de baisser l'année suivante.

 

C'est surtout décider qu'une université prudente qui gère ses fonds en étant prudente à long terme doit payer pour les dépensières qui claquent leur fric sans regarder à la dépense... la culture habituelle de punition de la bonne gestion, quoi.

Posté

Ben oui justement, ceux qui ne grillent pas le pognon voient leurs ressources diminuées donc au final autant en cramer le maximum.

Posté

Le problème c'est qu'en siphonnant les réserves des universités, on finit par instaurer/renforcer la règle classique dans le publique qui veut que l'on claque tout le budget sinon les crédits risquent de baisser l'année suivante.

 

C'est pas une règle limitée au public. C'est très prégnant dans le public, mais ça se voit tout autant dans le privé ("Prends un consultant, sinon, on va nous sucrer le budget l'an prochain"). Je sais pas si une grosse boîte a trouvé l'organisation qui permet de limiter cette gabegie.

 

Après, il eût été plus pertinent de leur laisser l'argent en échange de la construction d'un plan d'investissement solide.

Posté

C'est pas une règle limitée au public. C'est très prégnant dans le public, mais ça se voit tout autant dans le privé ("Prends un consultant, sinon, on va nous sucrer le budget l'an prochain"). Je sais pas si une grosse boîte a trouvé l'organisation qui permet de limiter cette gabegie.

 

Après, il eût été plus pertinent de leur laisser l'argent en échange de la construction d'un plan d'investissement solide.

La source de gabegie n°1 du privé en Franchouillie c'est que les managers sont d'autant plus respectés que le nombre de personnes sous leur responsabilité est nombreuse.

Je vois des orga en mode armée mexicaine chez des clients, c'est terrible...  

Posté

C'est pas une règle limitée au public. C'est très prégnant dans le public, mais ça se voit tout autant dans le privé ("Prends un consultant, sinon, on va nous sucrer le budget l'an prochain"). Je sais pas si une grosse boîte a trouvé l'organisation qui permet de limiter cette gabegie.

 

Après, il eût été plus pertinent de leur laisser l'argent en échange de la construction d'un plan d'investissement solide.

Bien sûr, simplement dans le publique ce qui est gênant c'est que ce n'est jamais les sous de personnes, du coup personne ne prend la responsabilité de contenir les coûts.

Posté

Il semblerait que la Fondation Clinton sert à Bill et Hillary à récolter des fonds de campagne occultes provenant des sympathiques Saoudiens.

 

Ça ressemble à du foutage de gueule en mode no limit.

 

 

La finance est-elle vraiment l'adversaire d'Hillary Clinton ? La candidate à l'investiture du Parti démocrate pour l'élection présidentielle américaine de 2016 profite de son début de campagne pour dénoncer à l'envi les dérives de la finance et les inégalités. Mais Hillary Clinton entretient des relations étroites avec les pontes de Wall Street.  

"Mon véritable adversaire, c'est la finance", clamait François Hollande en 2012, lors d'un meeting au Bourget. Hillary Clinton, qui espère représenter les démocrates à l'élection présidentielle américaine de 2016, semble avoir choisi le même angle d'attaque pour son début de campagne. Ainsi, celle qui souhaite se transformer en "championne" des classes moyennes, dénonce les inégalités salariales, l'optimisation fiscale, la spéculation et les traders qu'elle juge responsables de la crise de 2008.

Offensive contre les grands patrons dans l'Iowa

Lors de son premier meeting de campagne, dans l'Iowa,  elle s'en est notamment pris aux salaires des grands patrons, ainsi qu' aux avantages fiscaux des gérants de portefeuilles financiers:

Elle s'est en outre indignée qu'un patron puisse gagner 300 fois plus que le salaire moyen des ouvriers et a évoqué le coût des études supérieures avec ses interlocuteurs du jour.

"Quelque chose ne tourne pas rond quand les dirigeants de hedge fund payent moins d'impôts que les infirmières ou les routiers que j'ai vus sur la route en venant ici ces deux derniers jours."

Wall Street ne s'en émeut pas

Du côté des grands pontes de la finance, le message d'Hillary Clinton n'est pas pris au sérieux:

"Quand il faudra gouverner, elle sera pragmatique. Elle comprend que ce n'est pas parce qu'il y a un mouton noir que tout le troupeau est malade", explique à l'AFP un grand banquier sous le couvert de l'anonymat.

Interrogé par le site Politico, un financier important de Wall Street, souhaitant également rester anonyme, a expliqué que les déclarations d'Hillary Clinton étaient seulement "politiques".

Tom Nides, haut responsable de Morgan Stanley et proche d'Hillary Clinton, selon Politico, a renchéri:

"On ne peut pas dire 'Oh mon dieu, elle cours vers la gauche !'. Elle est juste fidèle à elle-même. Elle a d'excellentes relations avec les gens. Mais cela ne veut pas toujours dire qu'elle leur donne ce qu'ils veulent."

Proche de responsables de JPMorgan et Morgan Stanley

Hillary Clinton est loin d'être en froid avec Wall Street. La candidate est proche de grands pontes comme Jamie Dimon (patron de JPMorgan Chase) et Greg Fleming (numéro deux de Morgan Stanley et présenté comme le futur grand patron).

Et la finance le lui rend bien. Hillary Clinton a donné des discours rémunérés entre 200.000 et 300.000 dollars (276.000 euros) de l'heure lors d'événements organisés par Wall Street. En juillet 2014, elle aurait ainsi engrangé 12 millions de dollars en 16 mois, selon Bloomberg pour des discours et des apparitions. Le 23 octobre dernier, elle gagnait 273.000 dollars lors d'une nouvelle conférence pour la fondation Clinton.

En outre, Goldman Sachs, Bank of America, Morgan Stanley, JPMorgan ont donné plusieurs millions de dollars à cette fondation.

Très soutenue par les banquiers de Wall Street en 2008

Par ailleurs, les banquiers de Wall Street étaient nombreux à soutenir financièrement la démocrate Hillary Clinton en 2008. Lors des primaires démocrates, les salariés du secteur financier, des assurances et de l'immobilier ont donné plus d'argent à Hillary Clinton que ceux d'aucun autre secteur, selon le Center for Responsive Politics. Par comparaison, pour Barack Obama, les avocats et lobbyistes étaient la première catégorie de donateurs.

http://www.latribune.fr/economie/international/la-finance-est-elle-vraiment-l-adversaire-d-hillary-clinton-471923.html

Posté

Meme sur liborg j'ai pris un kick de 72h une fois parce que je suis un sale con... alors imagine bien que sur jvc mes 30 pseudos ont tous été banni. et j'ai la flemme. 

Posté

Ça coûte combien de passer le permis sur paname ? 1500 € ?

 

C'est même pas 15 jours de sa (leur) conso de taxis. Les praticiens de hontectomie sont vraiment des bourreaux de travail dans ce pays.

Posté

L'article précise qu'elle a un chauffeur.

 

Edit : je suis curieux de voir si elle va avoir autant de pression dans les prochains jours que Matthieu Gallet ces derniers temps.

Posté

Ça coûte combien de passer le permis sur paname ? 1500 € ?

 

C'est même pas 15 jours de sa (leur) conso de taxis. Les praticiens de hontectomie sont vraiment des bourreaux de travail dans ce pays.

Dans ces environs je pense oui, max 2000€ avec beaucoup d'heures en plus je dirais.

 

J'aime bien en plus comment elle glisse le fait que c'est un bourreau de travail:

 

Mais, comme je ne peux pas le faire travailler 12 à 15 heures par jour ni les week-ends, j'ai également un abonnement aux taxi G7, car je n'ai pas de permis de conduire.

12 à 15 heures par jour, et les weekends. Mais ils font quoi à l'INA?

Posté

Quel foutage de gueule ! J'espère qu'elle va se faire démisionner. En plus elle disposait d'un chauffeur, mais ne voulait pas le faire travailler 12-15 heures par jour...

 

Agnès Saal, c'est aussi ça : L-ina-ne-peut-pas-laisser-google-numeriser-le-patrimoine-culturel-francais

 

L'INA ne peut pas laisser à Google le soin de démarcher ces acteurs de la culture pour leur proposer de numériser gratuitement les fonds, comme il l'a déjà fait avec la Bibliothèque de Lyon et la Bnf. Mais avant de mettre en œuvre ce projet, je dois obtenir un mandat politique, ce qui sera fait, je l'espère, dans le contrat d'objectifs et de moyens que nous négocions avec l'État. Ce projet pourrait voir le jour début 2016.

 

Le budget de l'INA se compose de 90 millions d'euros de redevance et de 39 millions de ressources commerciales. Allez-vous augmenter ces dernières?

 

Je précise que le montant de la redevance en 2015 sera de 89 millions. En 2014, l'INA a perdu 20 millions d'euros. Pour 2015, le gouvernement m'a soutenue et a tenu à relever la redevance. Par rapport à l'océan de la redevance, l'INA représente une goutte d'eau modeste. J'espère donc augmenter légèrement sa part dans le contrat d'objectifs et de moyens pour la période 2015-2020.

Concernant les ressources propres, l'INA réalise aujourd'hui 39 millions d'euros. Au cours des années antérieures, ces ressources ont chuté de façon préoccupante. Mon premier objectif est de stopper cette chute avant d'inverser la pente.

 

Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
×
×
  • Créer...