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Nouvelles du monde sans intérêt


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Voilà qui promet d'animer le débat dans l'hémicycle et de donner du grain à moudre aux « frondeurs » de la majorité. Alors que la discussion sur le projet de loi de Finances rectificative débute cet après-midi en séance à l'Assemblée - Manuel Valls a appelé hier la majorité à la « loyauté » -, la rapporteure générale du Budget (PS), Valérie Rabault, a publié ce week-end un rapport dans lequel elle dévoile de « premiers éléments d'appréciations » des effets à attendre sur la croissance et l'emploi du plan d'économies de 50 milliards prévu par le gouvernement.

Selon les prévisions obtenues de Bercy, ce plan d'économies « aurait un impact négatif sur la croissance de 0,7 % par an en moyenne entre 2015 et 2017, et pourrait entraîner la suppression de 250.000 emplois à l'horizon 2017 », écrit la rapporteure générale, qui avait fait une visite surprise au ministère des Finances il y a dix jours pour obtenir des éclaircissements sur les textes budgétaires. L'impact récessif serait donc loin d'être négligeable, au moment même où la reprise se fait attendre et alors que Bercy affiche un objectif élevé (2,25 % de croissance en 2016 et 2017).

http://patrimoine.lesechos.fr/patrimoine/impots/0203584573223-plan-de-50-milliards-deconomies-un-impact-lourd-sur-la-croissance-et-lemploi-1015972.php

 

La pensée magique...

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Lu dans S&V : la selle des vélos nuit au plaisir sexuel. Une pratique intensive du vélo entrainerait des troubles de la sexualité à cause de la forme de la selle et du positionnement par rapport au guidon.

 

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Lu dans S&V : la selle des vélos nuit au plaisir sexuel. Une pratique intensive du vélo entrainerait des troubles de la sexualité à cause de la forme de la selle et du positionnement par rapport au guidon.

 

C'est pas une histoire de hauteur relative entre le guidon et la selle ? J'ai cru entendre parler de ça...

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C'est surtout que ça tale les couilles :lol:

 

Faut pas s'asseoir dessus aussi (sur ses couilles, pas la selle)... et porter de confortables caleçons en coton rembourré de mousse. :icon_rolleyes:

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Bah à partir du moment où tu en as, et que tu t'assois sur une selle, je t'assure qu'elles sont un poil compressées (toute la tuyauterie avec).

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A m'assoir sur une selle tu veux dire? Je l'ai appris tout seul!

 

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/06/29/01011-20090629FILWWW00462-le-cyclisme-menacerait-la-fertilite-masculine.php

 

 

Résultat : plus les sportifs passent de temps en selle, plus les spermatozoïdes anormaux sont abondants. Sur les trois sports considérés, seul le cyclisme montrait une corrélation claire entre l'intensité de l'entraînement et la qualité du sperme.
Alors que tous les triathlètes étudiés avaient moins de 10% de spermatozoïdes normaux, ce taux passait à moins de 4% chez certains de ceux qui parcouraient plus de 300 km par semaine à vélo. A ce niveau, la fertilité est compromise de manière significative.

Selon les chercheurs, cette faible qualité du sperme pourrait être attribuée à la compression des testicules contre la selle ou à la chaleur produite localement par le port de vêtements serrés.

 

 

Et un article pour la tuyauterie :

 

http://rue89.nouvelobs.com/la-tribune-du-vaticinateur/2010/01/29/cyclistes-attention-la-selle-de-velo-est-lennemie-de-lerection

 

 

Méchante selle de vélo :

Peu de gens le savent, mais la pression imposée aux parties génitales d’un cycliste en action est sept fois supérieure à celle que génère un simple tabouret de bar. Ce qui revient à dire que l’alcoolique se contentant de regarder passer le Tour de France sur l’écran plasma de son bistrot favori prend meilleur soin de son intégrité physique que le moins dopé des participants à la fameuse épreuve !

C’est mécanique : le canal pudendal, un truc que vous et moi possédons (enfin, en principe, et seulement si vous disposez également d’un chromosome Y) contient en effet une artère et un nerf dont le job est, pour la première, d’alimenter le pénis en sang frais et, pour le second, de lui permettre de se rendre compte qu’on est en train de lui faire du bien.

Sur une selle, ce pauvre petit canal est tellement compressé qu’il finit par perdre son élasticité naturelle. Ainsi rabougri, les chances qu’il puisse encore assurer ses missions deviennent aussi minces qu’un, euh, comment dire, canal pudendal compressé… Et alors là, adieu la gaudriole !

 

 

 

 

Faut pas s'asseoir dessus aussi (sur ses couilles, pas la selle)... et porter de confortables caleçons en coton rembourré de mousse. :icon_rolleyes:

 

Juste pour être sûr, tu es bien de sexe masculin? Parce que je ne vois pas comment tu peux faire du vélo sans que tes couilles soient en contact avec la selle en fait. A moins de passer sa vie en danseuse mais ce n'est pas facile.

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République bananière, quand tu nous tiens...

 

 

"comment faire l’impasse de l’omniprésente Ségolène Royal. Elle est si souvent présente à Maurice qu’on devrait lui donner une carte de fidélité. Ça fait trois fois de suite en deux ans" qu’elle  "vient se promener à Maurice aux frais des contribuables mauriciens. L’année dernière, elle était l’invitée d’honneur de la Journée de la Femme ; cette année, elle est celle du Salon du Livre. Pour faire un discours de quelques minutes, elle a eu droit à un billet d’avion aller-retour Paris/Maurice en première classe, un séjour dans un hôtel cinq étoiles tous frais payés et une voiture avec chauffeur pour ses déplacements. On dirait que la brave Ségolène fait partie des invités ad hoc de Navin Ramgoolam et, en tout cas, se comporte comme telle : elle met une veste rouge, de la couleur du parti politique de son hôte et fait un discours pour le flatter. En fait, elle vient donner un spectacle par intermittence à chacun de ses passages à Maurice…"

http://www.ipreunion.com/photo-du-jour/reportage/2014/05/29/sejours-a-repetition-dans-l-ile-s-ur-maurice-vacances-royal-pour-segolene,25684.html

 

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Les méfaits sur la sexualité d'une mauvaise position sur la selle et d'une mauvaise selle en vélo sont aussi avérés pour les femmes.

 

 

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Enquête sur la nuit du lynchage de Darius :

 

En dépit de témoignages contradictoires, la police commence à dessiner le scénario qui a conduit à l'agression du Rom de 17 ans, déficient mental

Vendredi 13 juin, peu après 23 h 30, à Pierrefitte-sur-Seine. Dans l'obscurité de cette nuit estivale traversée par la lueur d'un gyrophare, deux paires de bras plongent dans un chariot de supermarché sur les abords de la nationale 1. Au fond de ce dernier, un corps inerte, le crâne déformé par les coups. Les bras le soulèvent et le déposent sur la chaussée pour tenter de le soulager.

 

Ce corps, c'est celui de " Darius ", un jeune Rom de 17 ans, qui vient d'être abandonné entre la vie et la mort après s'être fait lyncher. Dans l'attroupement qui s'est formé autour de lui, entre des uniformes de pompier et un véhicule de police, on entend des mots en roumain, d'autres en français.

 

Quelqu'un filme la scène. Un homme, vraisemblablement français, décrit l'état de l'adolescent : " Il respire encore un petit peu. Il est mal. Il est mal. Il peut pas parler, il arrive pas à parler. Il a des bosses sur le front des deux côtés. " " Il est demi-mort ", lance une femme avec un fort accent de l'Est. " Ses yeux, ils sont un petit peu ouverts, reprend le jeune homme. Il a bougé un peu la main gauche, et puis c'est tout. " " Qu'est-ce qui s'est passé? ", demande un autre. " Les mecs de cité, regarde qu'est-ce qu'ils ont fait ", répond un homme à l'accent africain.

 

Cette vidéo amateur, diffusée par un média roumain, raconte l'effroi des riverains et des Roms qui ont accompagné " Darius " avant son transfert à l'hôpital. Elle n'aidera pas, en revanche, les enquêteurs à faire toute la lumière sur l'enchaînement des événements ayant conduit à son lynchage. Une semaine après les faits, la police judiciaire de Seine-Saint-Denis se heurte toujours à l'extrême confusion des témoignages qu'elle recueille pour reconstituer la chronologie de cette nuit tragique.

 

Certaines informations commencent néanmoins à remonter. On sait désormais que " Darius " s'appelle en réalité Gheorghe C., et qu'il faisait l'objet d'une fiche Schengen " protection de mineurs " depuis qu'il s'est échappé d'un hôpital psychiatrique roumain pour rejoindre sa famille en France sous une fausse identité. Selon ses proches - sa mère, sa tante et ses grands-parents -, l'adolescent était interné pour " déficience mentale ".

 

Malgré l'incohérence des témoins auditionnés jusqu'ici, un scénario commence à se dessiner. Selon plusieurs témoignages, un cambriolage se serait déroulé dans le quartier des Poètes en fin de matinée. Il n'a, semble-t-il, fait l'objet d'aucune plainte et n'a donc pu être confirmé par les enquêteurs. Déjà, la description de " Darius " aurait commencé à circuler dans la cité.

 

Cet incident serait à l'origine du premier contact de la journée entre des habitants des Poètes et les Roms qui vivent de l'autre côté de la nationale 1. Vers 17 heures, un groupe de jeunes se rend une première fois devant le campement qui jouxte le quartier. L'échange se serait déroulé sans incident majeur, selon les premiers résultats de l'enquête, même si, là encore, certains témoignages font état de coups échangés. Aucun Rom n'appellera alors la police.

 

Vers 20 heures, un deuxième cambriolage se déroule dans le quartier. Celui-ci est confirmé, il a fait l'objet d'une plainte. L'appartement visé, situé au rez-de-chaussée, est celui d'une famille sans histoires de quatre enfants : l'un est étudiant, l'autre travaille, les deux petits sont âgés de 10 et 12 ans.

 

Vers 20 h 15, R., le cadet de la fratrie, surprend en rentrant du foot un individu en train de remplir des sacs de matériel hi-fi et informatique. Le cambrioleur s'enfuit par la fenêtre en abandonnant son butin, n'emportant avec lui que quelques bijoux. Le jeune R. aurait alors signalé l'incident au voisinage en donnant une description du cambrioleur : un adolescent portant un tee-shirt rouge, une description qui correspond à celle de " Darius ".

 

Il est aussitôt pris en chasse par un groupe de jeunes habitants de la cité, qui se présentent une seconde fois devant le campement, vers 20 h 20. Le commissariat de Stains, qui couvre la zone de Pierrefitte, reçoit alors une série d'appels téléphoniques signalant des incidents. Un premier, à 20 h 30, probablement passé par un habitant du camp, évoque une rixe avec des jeunes de la cité. Sept minutes après, le commissariat reçoit un second appel " difficilement intelligible ", sans doute passé par un Rom. A 20 h 45, un appel signale une " grosse bagarre ". A 20 h 49, une personne " maîtrisant le français ", probablement un riverain, évoque à son tour des incidents. A 20 h 52 : dernier appel d'un riverain évoquant des " coups de feu ".

 

Durant cette série d'appels, le commissariat dépêche sur place une voiture de la BAC. A ce moment, " Darius " a déjà été emmené par ses ravisseurs. Mais, une fois dans le campement, les policiers s'entendent répondre qu'il ne s'est rien passé. " Des Roms ont par la suite affirmé que les agresseurs avaient menacé d'incendier le campement s'ils prévenaient la police. Il est possible qu'ils aient eu peur et aient préféré ne rien dire ", explique une source proche du dossier. Faute d'éléments suffisants, les policiers rentrent au commissariat sans se douter du drame qui est en train de se jouer.

 

Que s'est-il passé exactement dans le campement? Les témoignages des habitants comme des riverains sont confus. La mère de " Darius " parle d'une quinzaine d'agresseurs. Un autre Rom d'une trentaine tandis qu'un troisième en a vu cinquante. Un habitant du camp affirme que les agresseurs étaient au nombre de cent, armés pour certains de mitrailleuses. Un dernier assure que " Darius " a été enlevé à 16 heures... " On est dans le flou ", constate enquêteur de la PJ.

 

Ce que l'on peut recouper, c'est que les faits se sont déroulés entre 20 h 20 et 21 heures, soit une heure avant la tombée de la nuit. " Au moins une vingtaine de jeunes encagoulés ou encapuchonnés, d'origine africaine, dont au moins un était porteur d'une arme, ont fait irruption dans le camp, résume une source proche du dossier. Deux jeunes se seraient alors enfoncés dans le campement pour extraire "Darius" de sa cabane avant de l'embarquer dans un véhicule. "

 

Sur la description du véhicule, là encore, les enquêteurs tentent de démêler le vrai de l'approximatif. Un Rom parle d'une Clio blanche, certains la disent de couleur claire, un troisième l'a vue " bleue " tandis qu'un autre a aperçu une " camionnette ". Plusieurs témoins évoquent deux coups de feu tirés à l'arme longue, qui n'ont pas fait de blessés, mais les policiers n'ont trouvé sur place qu'une seule cartouche percutée. Plus d'une heure après le rapt, à 22 h 19, le commissariat reçoit un nouvel appel. Il s'agitune proche de l'adolescent parlant français, peut-être sa tante. Elle dit avoir reçu plusieurs appels du portable de " Darius "; il lui est réclamé une rançon de 15 000 euros, la somme étant finalement ramenée à 5 000 euros. Elle affirme que les ravisseurs ont menacé de décapiter le jeune homme et de lui trancher les mains. La teneur exacte des conversations est impossible à vérifier.

 

La négociation a-t-elle fini par porter ses fruits? Me Julie Launois-Flacelière, qui représente la famille de " Darius ", affirme que ses proches ont bien tenté de réunir la somme. " A priori, ils devaient rappeler dès qu'ils parvenaient à rassembler les 5 000 euros. Ils n'y sont pas parvenus. " A 21 h 47, le portable de l'adolescent cesse d'émettre.

 

Alerté par le coup de téléphone de 22 h 19, le commissariat envoie immédiatement des équipes à la recherche du jeune homme. Les policiers fouillent des caves et les appartements vides de ce quartier en pleine rénovation. En vain. A 23 h 20, des pompiers en intervention sur un incendie non loin du campement sont interpellés par un jeune homme en pleurs leur expliquant qu'un gamin est mort dans la rue. Les hommes du feu se dépêchent sur place et découvrent une cinquantaine de personnes entourant le corps étendu sur la chaussée.

 

Personne n'a songé à appeler la police. Ce sont les pompiers eux-mêmes qui alerteront le commissariat. Les Roms étaient-ils encore sous le choc des menaces proférées par les ravisseurs de " Darius "? Un riverain a déclaré aux enquêteurs qu'ils étaient sur le point d'embarquer le gamin inconscient à bord d'une Mercedes.

 

Dans quelles circonstances l'adolescent a-t-il été retrouvé? Ce point, là encore, est entouré de nombreuses zones d'ombre. A-t-il été déposé devant le camp par les agresseurs? Dans ce cas, " pourquoi auraient-ils pris cette peine et le risque de se faire remarquer par des témoins? ", s'interroge une source proche du dossier. " Les circonstances dans lesquelles il a été retrouvé sont troublantes. " " Tout est encore très incertain, mais il n'est pas exclu qu'il ait été abandonné par ses agresseurs et ramené au camp à bord du Caddie par les Roms eux-mêmes ", confie un enquêteur de la PJ.

 

Lors de l'enquête de voisinage dans le campement, les policiers avaient recueilli un récit sensiblement différent. Cette rumeur voulait qu'une riveraine ait aperçu deux jeunes pousser le chariot le long de la nationale 1 avant de tenter de se débarrasser du corps dans une poubelle. Toujours selon la famille, cette femme aurait elle-même récupéré le chariot avant de le déposer à proximité du campement, où il aurait été découvert par les Roms et des riverains.

 

Mais aucun Rom n'a accepté de confirmer cette histoire sur PV, se désole un enquêteur, qui n'accorde que peu de crédit à ce témoignage indirect et plus généralement aux déclarations des habitants du camp : " Quand ils sont devant nous, ils ne disent plus rien. Ils ne veulent même pas nous mettre en relation avec ce témoin. " Il a fallu une semaine à la PJ pour identifier cette riveraine et son audition prochaine devrait permettre d'y voir plus clair. Malgré l'extrême complexité des investigations, les enquêteurs se veulent optimistes : " L'enquête sera longue, mais il y aura des interpellations. "

 

Pendant ce temps, le jeune Rom se rétablit lentement. " Il réagit positivement à la diminution des sédatifs. Son état de santé est en phase d'amélioration ", a indiqué dimanche le parquet de Bobigny.

 

http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/06/22/enquete-sur-la-nuit-du-lynchage-de-darius_4443188_3224.html

 

Les cas qu'il y a dans ce pays...

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Juste pour être sûr, tu es bien de sexe masculin? Parce que je ne vois pas comment tu peux faire du vélo sans que tes couilles soient en contact avec la selle en fait. A moins de passer sa vie en danseuse mais ce n'est pas facile.

Tiens c'est peut-être un argument en faveur du vélo couché.

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Le commissariat de Stains, qui couvre la zone de Pierrefitte, reçoit alors une série d'appels téléphoniques signalant des incidents. Un premier, à 20 h 30, probablement passé par un habitant du camp, évoque une rixe avec des jeunes de la cité. Sept minutes après, le commissariat reçoit un second appel " difficilement intelligible ", sans doute passé par un Rom. A 20 h 45, un appel signale une " grosse bagarre ". A 20 h 49, une personne " maîtrisant le français ", probablement un riverain, évoque à son tour des incidents. A 20 h 52 : dernier appel d'un riverain évoquant des " coups de feu ".

Une demi-douzaine d'appels donc. Une redoutable démonstration d'efficacité tant de la part de ceux qui appellent que de ceux qui reçoivent l'appel.

 

Que s'est-il passé exactement dans le campement? Les témoignages des habitants comme des riverains sont confus. La mère de " Darius " parle d'une quinzaine d'agresseurs. Un autre Rom d'une trentaine tandis qu'un troisième en a vu cinquante. Un habitant du camp affirme que les agresseurs étaient au nombre de cent, armés pour certains de mitrailleuses. Un dernier assure que " Darius " a été enlevé à 16 heures... " On est dans le flou ", constate enquêteur de la PJ.

S'il y avait eu des syndicalistes, c'était une foule de 1500 agresseurs qui aurait été rapportée.

Les cas qu'il y a dans ce pays...

Y'en a même qui sont ministres, c'est dire.

On peut s'étonner du battage autour de cette affaire en particulier et pas autour d'autres affaires où des individus favorablement inconnus des services de police se sont aussi fait lyncher par des habitants de cités sans que personne ne s'en émeuve.

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Une demi-douzaine d'appels donc. Une redoutable démonstration d'efficacité tant de la part de ceux qui appellent que de ceux qui reçoivent l'appel.

 

Je serais curieux de voir ton efficacité si tu bossais pour le 911 local dans ce genre de situation, à la place des mecs qui appellent, ou celle que tu aurais si tu devais contacter un 911 local sans moyen de te faire comprendre par les gentils fonctionnaires au bout du fil, en cas de lynchage imminent.

 

S'il y avait eu des syndicalistes, c'était une foule de 1500 agresseurs qui aurait été rapportée.

 

Je ne te raconte justropmêmpas ce qu'il serait advenu si les quidams avaient été des fonctionnaires - protégés par une loi spéciale en cas d'insulte, par exemple. Lève la main sur un membre de leur caste, et tu lèves la main sur toute la caste. C'est beaucoup moins évident que de lever la main (en allant jusqu'à un lynchage) sur un rom - racaille ou pas - de nos jours.

 

Y'en a même qui sont ministres, c'est dire.

 

Ah ça...

 

On peut s'étonner du battage autour de cette affaire en particulier et pas autour d'autres affaires où des individus favorablement inconnus des services de police se sont aussi fait lyncher par des habitants de cités sans que personne ne s'en émeuve.

 

Que déplores-tu précisement ? Que quelque chose ne soit pas justement (selon qui ?) réparti, où et par qui ?

 

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Je serais curieux de voir ton efficacité si tu bossais pour le 911 local dans ce genre de situation, à la place des mecs qui appellent, ou celle que tu aurais si tu devais contacter un 911 local sans moyen de te faire comprendre par les gentils fonctionnaires au bout du fil, en cas de lynchage imminent.

 

C'est sans aucun doute extrêmement choquant mais il en faut beaucoup pour que la police se déplace à la Cité des Poètes.

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Que déplores-tu précisement ? Que quelque chose ne soit pas justement (selon qui ?) réparti, où et par qui ?

 

 

 

Pour ma part, je déplore la manipulation journalistique et politique.

Le "crime raciste" envers un rom, ça fait vendre... Ça permet de montrer bien haut son indignation à tous les passants... Ça remet une bonne couche des heureslesplussombresdenotrehistoire" pour lutter contre la montée du FN, et permet à la gauche de se lever comme un seul homme femme mite en pull over être humain pour appeler à la résistance... J'ai même vu quelques fafs de gauches qui appelaient au meurtre d'un faf de droite en représailles...

 

Les 10 inconnus innocents (au minimum) qui sont retrouvés dans le même état depuis cette "affaire" doivent particulièrement apprécier.

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Pour les crétins bobos c'est un crime raciste et pour ceux qui connaissent la cité ça n'a rien de raciste c'est juste le fonctionnement normal d'une zone qui a ses propres règles en dehors de l’État en gros du tribalisme.

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