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Nouvelles du monde sans intérêt


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Posté
 

À un moment, pour baisser les impôts, il va bien falloir baisser les dépenses. Il y a aussi un budget à équilibrer. On ne peut pas faire comme l'UMPS et espérer le retour de la croissance. Surtout avec une telle pression fiscale. Ce serait encore demander au privé de payer alors qu'il y a urgence de mettre fin à ce qui est devenu du pillage hors de contrôle.

Posté

Changement graduel mais ferme avec des objectifs et une dateline précise de 5 ans maximum. Sinon on fait jamais rien.

Posté

Changement graduel mais ferme avec des objectifs et une dateline précise de 5 ans maximum. Sinon on fait jamais rien.

 

Voila tout simplement.

 

Tout vendre à vil prix, éventuellement faire une tombola, et construire une tour géante à la gloire de la Nation avant les sous.

 

Il y aura des canons lasers ?

Posté

N'importe quoi qui a une forme allongée sans être trop proportionnellement trop fil  :lecon:

 

ofrtp-france-defense-hollande-sous-marin

 

Comment analyse tu les gens qui souhaitent vivre dans un phallus ?

Posté

Vous achetez ceux qui profitent déjà de l'argent public.

On utilise nos neurones pour déterminer comment rendre un secteur public monopolistique au privé libéral au lieu de faire dans le simplisme immature en mode "gné. Public. Destroy with napalm".

Et encore, comme déjà dit, le problème c'est même pas de vouloir cramer le tout. Le problème c'est de vouloir cramer le tout en prétendant ne brûler personne. Comme si t'étais même pas capable d'assumer les conséquences de tes propres idées, en fait, c'est quand même marrant.

Posté

 

 

Et encore, comme déjà dit, le problème c'est même pas de vouloir cramer le tout. Le problème c'est de vouloir cramer le tout en prétendant ne brûler personne. Comme si t'étais même pas capable d'assumer les conséquences de tes propres idées, en fait, c'est quand même marrant.

 

Non. Je dis que le bénéfice net d'arrêter de financer des projets tellement créateurs de valeurs qu'ils sont décidés par des fonctionnaires et financés par le contribuable pour baisser les impôts est plus grand que de continuer à mettre du pognon là-dedans. C'est facile aussi d'ignorer que pour chaque centime mis dans un programme public, c'est quelqu'un qui est potentiellement empêché de financer des médicaments pour se soigner. Comme on ne voit pas ces gens là, c'est pas grave, on peut les ignorer et continuer de casser des vitres. J'ai pas dit que personne n'allait être brûlé, j'ai dis que je m'en fichais et que ça allait être positif.

 

Le seul moyen de rendre un secteur au privé, c'est d'arrêter de mettre les pattes de l'État dedans. Pas de dire ;  "aller, 5 ans de rab."

 

J'ai jamais voulu tout cramer. Un building, ça peut servir à faire autre chose ou la même chose, les scientifiques peuvent chercher sur le même sujet ou sur un autre. Bientôt, on va défendre l'État qui sauve GM ou n'importe qui parce qu'il ne faudrait pas qu'une faillite fasse tout cramer... Combien d'emplois GM et ses sous-traiteurs ?

Posté

Je pense qu'on met le doigt sur la divergence entre minarchistes et anarcaps. Rothbard disait en son temps que la désétatisation progressive en théorie équivaut juste à l'état perpétuel dans les faits. Ca fait révolutionnaire marxiste à l'envers, mais si on ne vise pas une politique ambitieuse (Rothbard allait jusqu'à proposer du 0 Etat en un jour) on ne fait que pérenniser l'Etat pour l'éternité.

 

Tiré de L'éthique de la Liberté :

 

 

Prenons par exemple le programme de transition mis en avant par plusieurs
libertariens, et qui consiste à réduire le budget de l’Etat de 10 % par année durant dix
ans, après quoi l’Etat aurait disparu. Cette proposition peut présenter des avantages
heuristiques ou stratégiques, à condition que ses tenants fassent toujours bien
comprendre qu’il s’agit d’exigences minimales et qu’il n’y aurait rien de mal — bien
au contraire — à ce que le rythme des réductions soit augmenté à 25 % par an durant
quatre ans ou, mieux encore, à 100 % tout de suite. Le danger est de laisser sous-
entendre que toute progression plus rapide que 10 % n’est pas souhaitable.

 

Ce danger est encore plus menaçant dans le projet, proposé par d’autres libertariens,
d’un vaste plan de transition vers la liberté totale, du genre suivant : durant l’année 1,
abroger la loi A, modifier la loi B, réduire l’impôt C de 20 %, etc. ; durant l’année 2,
abroger la loi D, réduire l’impôt C d’un 10 % additionnel, etc. Le plan détaillé à
l’avance est encore plus trompeur que le projet de coupures budgétaires parce qu’il
suggère fortement l’idée que, par exemple, la loi D ne devrait pas être abrogée avant la
deuxième année du programme. On tomberait alors dans le piège du gradualisme
philosophique ou gradualisme en théorie. Le planificateur libertarien en herbe se
retrouverait finalement dans le rôle d’un adversaire, du moins apparent, d’un progrès
plus rapide vers la liberté.

 

Cette idée d’un vaste plan pour atteindre la liberté comporte en fait une autre faille
considérable. Le caractère global du plan, le soin même apporté à la mise au point de
ses étapes accréditent la conviction que les hommes des Etats ne sont pas vraiment les
ennemis du genre humain, qu’il est possible et souhaitable de les utiliser pour
construire un chemin vers la liberté qui soit bien planifié et suive des étapes
déterminées. Mais une fois qu’on a compris que l’Etat est l’ennemi éternel du genre
humain, on adopte une approche stratégique très différente : les libertariens doivent
sauter sur toute occasion d’exiger et d’appeler de leurs voeux n’importe quelle
réduction du pouvoir des hommes de l’Etat ou de leur domaine d’activités sur tous les
fronts, puisque cela revient toujours à une réduction du crime et de l’agression ainsi
que du parasitisme malfaisant qui caractérise la domination des hommes de l’Etat sur
la société et leur confiscation du pouvoir social.

 

Mieux vaut encore ne rien faire et laisser la situation pourrir jusqu'à l'éclatement (Grèce, RDA, URSS) plutôt que vouloir réformer "un peu" le système et maintenir l'Etat obèse en vie, cachet après cachet et perfusion après perfusion. Le gradualisme en théorie est la perpétuité en pratique.

Posté

C'est plus simple de retirer tout caractère obligatoire aux prélèvements de l'état. Comme ça les gens décident eux-même du rythme et de l'ampleur de la baisse. Et les fonctionnaires doivent apprendre à vivre avec.

Posté

Mieux vaut encore ne rien faire et laisser la situation pourrir jusqu'à l'éclatement (Grèce, RDA, URSS) plutôt que vouloir réformer "un peu" le système et maintenir l'Etat obèse en vie, cachet après cachet et perfusion après perfusion. Le gradualisme en théorie est la perpétuité en pratique.

 

Mieux vaut laisser un Etat affaiblir un pays jusqu'à ce qu'il puisse être gobé d'un coup par l'Etat voisin.

 

Grandiose comme plan.

Posté

C'est bien la raison pour laquelle la France a "gobé" la Suisse depuis fort longtemps, vu la faiblesse de son Etat son retard en matière de dépense publique. Et là, on réfléchi à se faire l'Espagne et le Portugal aussi. On va aller y planter notre drapeau vu comme leur Etat les affaibli.

Posté

C'est plus simple de retirer tout caractère obligatoire aux prélèvements de l'état. Comme ça les gens décident eux-même du rythme et de l'ampleur de la baisse. Et les fonctionnaires doivent apprendre à vivre avec.

 

L'impôt volontaire, y a qu'ça d'vrai !

Posté

Et depuis quand la Grèce, la RDA sont sur le point de rejoindre la Suisse ?

 

Depuis quand les citoyens suisse laissent pourrir la situation comme tu le préconises ?

 

Tu n'as pas du tout l'impression d'être incohérent ?

Posté

Et depuis quand la Grèce, la RDA sont sur le point de rejoindre la Suisse ?

 

???

 

J'entendais que les invasions coloniales, c'est quand même un peu du passé. C'est un peu lamentable comme prétexte que de prétendre que la faillite impliquerait d'être "gobé" par un autre pays. Le Brésil n'a pas envahi l'Argentine autant que je sache.

 

Depuis quand les citoyens suisse laissent pourrir la situation comme tu le préconises ?

 

Ils ne le font pas. Les Suisses mettent en échec les propositions pour aller vers plus (+) d'Etat et restent vigilants sur sa croissance, ce qui n'est pas le cas de la France.

Si en France on se met à trouver des excuses à l'Etat sous prétexte qu'une libéralisation partielle ici ou là ferait du chômage ou que sais-je, c'est fini. Il est illusoire de penser qu'une libéralisation est pérene, l'argent économisé est immédiatement employé pour faire grossir l'Etat ailleurs. Aucune chance non plus que l'Etat désétatise par plaisir. Donc aucune chance que la France ne se libéralise par choix.

 

Donc, crevons l’abcès en laissant la situation pourrir, et on pourra faire une vraie thérapie de choc à la Polonaise après. Certains proposent même de voter Mélenchon pour accélérer la vitesse à laquelle on va dans le mur, car ce mur, c'est le seul vrai espoir de libéralisation en France.

Posté

J'entendais que les invasions coloniales, c'est quand même un peu du passé. C'est un peu lamentable comme prétexte que de prétendre que la faillite impliquerait d'être "gobé" par un autre pays. Le Brésil n'a pas envahi l'Argentine autant que je sache.

 

 

Ils ne le font pas. Les Suisses mettent en échec les propositions pour aller vers plus (+) d'Etat et restent vigilants sur sa croissance, ce qui n'est pas le cas de la France.

Si en France on se met à trouver des excuses à l'Etat sous prétexte qu'une libéralisation partielle ici ou là ferait du chômage ou que sais-je, c'est fini. Il est illusoire de penser qu'on va faire du graduel en France, ça ne fera que conserver l'Etat obèse. Aucune chance non plus que l'Etat désétatise par plaisir.

Donc, crevons l’abcès en laissant la situation pourrir, et on pourra faire une vraie thérapie de choc à la Polonaise après. Certains proposent même de voter Mélenchon pour accélérer la vitesse à laquelle on va dans le mur, car ce mur, c'est le seul vrai espoir de libéralisation en France.

 

???? => Je parle de rejoindre au sens politico-économique.

 

Prétendre que le retour du colonialisme c'est nimp' alors que la Russie vient d'annexer la Crimée et que le moyen orient se fait bouffer par ISIL, c'est balèze.

La pax nucléaire, ça marche entre puissances nucléaires.

 

Certains sont cinglés.

Posté

Je pense qu'on met le doigt sur la divergence entre minarchistes et anarcaps. Rothbard disait en son temps que la désétatisation progressive en théorie équivaut juste à l'état perpétuel dans les faits. Ca fait révolutionnaire marxiste à l'envers, mais si on ne vise pas une politique ambitieuse (Rothbard allait jusqu'à proposer du 0 Etat en un jour) on ne fait que pérenniser l'Etat pour l'éternité.

 

Tiré de L'éthique de la Liberté :

 

 

Mieux vaut encore ne rien faire et laisser la situation pourrir jusqu'à l'éclatement (Grèce, RDA, URSS) plutôt que vouloir réformer "un peu" le système et maintenir l'Etat obèse en vie, cachet après cachet et perfusion après perfusion. Le gradualisme en théorie est la perpétuité en pratique.

 

Donc en gros ça revient juste à expliquer que la réforme n'existe pas. Soit on crame tout, soit on ne fait rien. La privatisation n'existe pas. Tu ne trouves pas qu'il y a un léger problème ?

 

Surtout qu'ici ça repose une une analyse quand même très limitée: "on décide que telle mesure sera appliquée à une date définie, donc ça envoie le message qu'elle n'est pas indispensable". Oui, enfin ce que ça veut dire surtout, c'est qu'on ne vit pas dans le monde des bisounours anarcaps, que la libéralisation complète d'une économie ne se fait pas en un claquement de doigts, et que dans la réalité du vrai monde il faut un minimum prévoir les réformes. Ce qui implique de fixer des dates.

Si demain on veut libéraliser l'Education en France, on va pas juste débrancher le sphincter à pognon en gueulant "maintenant démerdez vous!". On va commencer par déréguler complètement, baisser les dotations en faisant des baisses d'impôts parallèles en laissant un minimum de temps aux structures de gestion pour se créer, jusqu'à arriver à l'objectif zéro subvention. Ca peut se faire plus ou moins vite, mais certainement pas instantanément, pour un truc massif comme ça.

 

Là, c'est même pas une différence entre minarchistes et anarcaps, c'est la différence entre réalistes et utopistes.Entre ceux qui croient qu'on peut passer en anarcapie du jour au lendemain, et ceux qui font avec la réalité des choses, ce qui n'empêche pas d'avoir le même but à terme.

Posté

On ne crame pas tout. Faut arrêter de mentir.Des liquidations ça arrive tout les jours, c'est le fonctionnement normal des affaires. Des libéraux qui ont peur de la faillite, c'est quand même bizarre. T'aurais sauvé GM aussi ?

 

 

 

Ca peut se faire plus ou moins vite, mais certainement pas instantanément, pour un truc massif comme ça.

 

Une loi de finance = 1 an.

 

Si on met 5 ans à démanteler la NASA alors qu'est-ce que ça va être du Mammouth de l'éducation nationale. On en revient à ce que je dis depuis le début : il va falloir plus de temps aux libéraux pour liquider la NASA qu'aux soviétiques pour liquider le Gosplan !

 

Si il faut prendre du temps, prenons le pour ce qui est vraiment énorme et politiquement sensible. Pas sur la NASA ou les chauffeurs de taxi.

 

Qui ici est prêt à défendre le fait de continuer à arroser les syndicats le temps qu'ils se trouvent de nouveaux financement ?

Posté

Donc en gros ça revient juste à expliquer que la réforme n'existe pas. Soit on crame tout, soit on ne fait rien. La privatisation n'existe pas. Tu ne trouves pas qu'il y a un léger problème ?

 

Surtout qu'ici ça repose une une analyse quand même très limitée: "on décide que telle mesure sera appliquée à une date définie, donc ça envoie le message qu'elle n'est pas indispensable". Oui, enfin ce que ça veut dire surtout, c'est qu'on ne vit pas dans le monde des bisounours anarcaps, que la libéralisation complète d'une économie ne se fait pas en un claquement de doigts, et que dans la réalité du vrai monde il faut un minimum prévoir les réformes. Ce qui implique de fixer des dates.

Si demain on veut libéraliser l'Education en France, on va pas juste débrancher le sphincter à pognon en gueulant "maintenant démerdez vous!". On va commencer par déréguler complètement, baisser les dotations en faisant des baisses d'impôts parallèles en laissant un minimum de temps aux structures de gestion pour se créer, jusqu'à arriver à l'objectif zéro subvention. Ca peut se faire plus ou moins vite, mais certainement pas instantanément, pour un truc massif comme ça.

 

Là, c'est même pas une différence entre minarchistes et anarcaps, c'est la différence entre réalistes et utopistes.Entre ceux qui croient qu'on peut passer en anarcapie du jour au lendemain, et ceux qui font avec la réalité des choses, ce qui n'empêche pas d'avoir le même but à terme.

 

Je ne suis pas de ceux qui pensent que ça peut se faire en deux jours. Mais le réalisme conduit justement à réaliser que toute économie budgétaire est employée par l'Etat pour assurer sa croissance ailleurs, que toute petite libéralisation d'un secteur est vue comme une aubaine pour réaliser des dépenses autre part. J'adhère pleinement à ton point de vue concernant la libéralisation de l'éducation, pour reprendre ton exemple, sauf que je pense juste que ça n'arrivera pas. Ou plutôt que ça n'arrivera que le jour où ils seront totalement au pied du mur.

 

Si on réforme, on n'obtiendra que des petites mesurettes qui ne serviront qu'à leur apporter un peu d'oxygène pour prolonger leur existence, et on est certain que les vraies libéralisations n'arriveront pas. L'Etat ne touchera jamais à ses vaches sacrées, celles qui permettent le contrôle le plus efficace de la société, comme l'éducation. La solution est donc l'inverse de la réforme : il faut les conduire au pied du mur, ce qui n'implique pas forcément la faillite mais au moins la paralysie. Savoir si la libéralisation prendra 3 jours ou 3 mois, c'est presque secondaire.

Posté

Si on est partisan d'acheter les rentiers, c'est un choix, mais qu'on ne vienne pas en vanter la supériorité économique à coup de "retombées économiques" des secteurs collectivisés. Que l'on vende la NASA en groupe ou totalement pièces détachées, je n'en vois pas la différence.

Posté

Si on est partisan d'acheter les rentiers, c'est un choix, mais qu'on ne vienne pas en vanter la supériorité économique à coup de "retombées économiques" des secteurs collectivisés. Que l'on vende la NASA en groupe ou totalement pièces détachées, je n'en vois pas la différence.

qu'est-ce que t'as avec tes achats de rentiers ? Personne ne parle de ça, tu passes ton temps à caricaturer pour expliquer que seul l'extrémisme est possible, là...

Et again, la NASA dans sa forme actuelle est invendable. Même en pièces détachées, dans le cas d'une libéralisation directe du secteur.

 

Je ne suis pas de ceux qui pensent que ça peut se faire en deux jours. Mais le réalisme conduit justement à réaliser que toute économie budgétaire est employée par l'Etat pour assurer sa croissance ailleurs, que toute petite libéralisation d'un secteur est vue comme une aubaine pour réaliser des dépenses autre part. 

 

Bah ça c'est avec les dirigeants actuels, oui. Mais là on parle d'hypothèse de vraies réformes de libéralisations. Il y a bien des pays qui ont réussi à se restructurer de façon tout à fait intéressante. Forcément c'est pas allé jusqu'à l'anarcapie, mais quand même, la privatisation de l'Education par exemple, ça s'est vu sur le continent.

 

 

Si on met 5 ans à démanteler la NASA alors qu'est-ce que ça va être du Mammouth de l'éducation nationale

 

l'EdNat est beaucoup plus facilement démantelable que la NASA, clairement. Faut juste convertir les écoles en entités indépendantes, et après c'est fini. Les programmes, la centralisation, on peut supprimer ça cash y'aura aucun souci. Le seul point difficile que je verrais c'est la formation des profs,pour laquelle il serait bien d'avoir des formations en concurrence. Mais à part ça...

A l'inverse, la NASA&Cie, je me suis déjà largement épanché sur le sujet, mais c'est de la gestion de projets basée sur fonds publics. D'ici à ce que ça se trouve de l'autofinancement, il faudra beaucoup de temps. Pareil avec le CNRS par exemple, peut-être un poil moins compliqué encore (on peut imaginer vendre des unités de labos aux entreprises, d'autres à des universités, mais ce point immpliquerait avoir déjà libéralisé et rentabilisé l'EdNat pour que les Unifs aient des sous...)

Posté

Le moteur Russe est/était apparemment très bon, hein.

L'ironie de l'histoire, c'est qu'il faille se tourner aujourd'hui vers une (très) vieille technologie Russe pour avoir des moteurs assez puissants (dixit, l'article de slate et le président d'Orbital Science) alors que lors de la course à la lune, ces moteurs ont échoué par manque de puissance, les américains ayant été les grands gagnants (hier) de la course à la puissance avec le moteur F1 de la Saturn V ... mais qui a été mis à la poubelle directement une fois le programme Apollo arrêté.

Oui, c'est pour ça que je trouves cette information intéressante, sans plus d'ironie que celle dont il est justement question.
Invité
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