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Nouvelles du monde sans intérêt


Rincevent

Messages recommandés

Posté

Je suis passé à côté du Caps Lock Day.

J'ai toujours pas compris le concept révolutionnaire de Cloud

Je me suis coltiné un édito de BHL dans Le Point

J'ai reçu ma feuille des impôts locaux.

Cette journée fut … bref :glare:

Posté

http://www.lepoint.f...1520068_683.php

Toyota condamné à retirer des publicités de véhicules en milieu naturel

Le juge des référés de Nanterre a condamné mardi Toyota à supprimer dans un délai d'un mois des photographies et vidéos publicitaires qui représentent des véhicules stationnés ou circulant en milieu naturel, selon une décision consultée par l'AFP.

Saisi par l'association France nature environnement (FNE), le juge a estimé que la diffusion de ces photos et vidéos constituait "un trouble manifestement illicite".

Il a condamné le constructeur automobile japonais à supprimer, dans le mois qui suivra la signification de la décision, "toute publicité représentant des véhicules installés dans le milieu naturel en dehors des voies de circulation", et ce, "sous astreinte de 100 euros par jour et infraction constatée".

Diffusés depuis près d'un an, les clichés et vidéos incriminés représentent trois modèles de véhicules - Land Cruiser, Hilux et Rav 4 - stationnés ou circulant sur une plage, sur des espaces rocheux, des étendues de sable, de terre ou d'herbe, ou traversant des étendues d'eau.

"En laissant croire au public que la possession de ce type de véhicule vaut permis de tout faire dans la nature, la diffusion de ce type de publicité fait, d'évidence, la promotion de comportements contraires à la protection de l'environnement et à la préservation des ressources naturelles", a fait valoir le juge des référés de Nanterre.

Dans une décision du 9 décembre 2011, le Jury de la déontologie publicitaire (JDP) avait également estimé que ces publicités renvoyaient à des comportements contraires à la protection de l'environnement et à la préservation des ressources naturelles et demandé à Toyota de les faire cesser.

:facepalm:

Posté

Franchement j'ai du mal à ne pas voir de similitudes avec les condamnations d'un juge au temps du communisme, tellement le biais idéologique est prégnant dans cette décision.

Posté

On n'a pas le droit de rouler dans la nature ?

(en respectant les propriétés)

Eh non !

Article L362-1 En savoir plus sur cet article…

Modifié par Loi n°2006-436 du 14 avril 2006 - art. 25 JORF 15 avril 2006

En vue d'assurer la protection des espaces naturels, la circulation des véhicules à moteur est interdite en dehors des voies classées dans le domaine public routier de l'Etat, des départements et des communes, des chemins ruraux et des voies privées ouvertes à la circulation publique des véhicules à moteur.

Ridicule. Bon après le foutage de gueule n'est pas total, un mec peut quand même rouler sur ses terres :

Article L362-2 En savoir plus sur cet article…

L'interdiction prévue à l'article L. 362-1 ne s'applique pas aux véhicules utilisés pour remplir une mission de service public.

Sous réserve des dispositions des articles L. 2213-4 et L. 2215-3 du code général des collectivités territoriales, l'interdiction ne s'applique pas aux véhicules utilisés à des fins professionnelles de recherche, d'exploitation ou d'entretien des espaces naturels et elle n'est pas opposable aux propriétaires ou à leurs ayants droit circulant ou faisant circuler des véhicules à des fins privées sur des terrains appartenant auxdits propriétaires.

Posté

http://www.liberation.fr/societe/2012/10/22/supprimons-le-1-et-le-2-dans-le-numero-de-secu_855088

L’attribution des chiffres 1 ou 2 dans le numéro de la Sécurité sociale impose, dès la naissance, une hiérarchie explicite : en tête, le masculin, en éternel second, le féminin. Cet héritage installe avant même nos premiers pas dans la vie, d’un côté la confiance, de l’autre le doute. Numéro «signifiant», c’est-à-dire non aléatoire, ce numéro nous qualifie dès notre inscription à l’état civil, et impose à travers sa première colonne déterminant le sexe, une hiérarchie symbolique et une dualité qui range les unes et les autres dans deux catégories étanches, que l’on oppose. Et, en dépit de la création récente d’un chiffre 3 pour représenter les identités transitoires, cette première colonne n’en reste pas moins un outil de classification à la fois, suspect dans sa volonté de nous identifier à tout prix comme «appartenant à», et stigmatisant dans sa façon de nous définir selon des critères binaires et hiérarchiques.

Elaboré en 1934 et mis en place en 1941 à des fins militaires par la Société nationale des statistiques – devenue l’Insee en 1946 –, ce numéro de matricule est né asexué, ou plus exactement, masculin. Le numéro Carmille – du nom de son concepteur – avait pour fonction de recenser les hommes valides pour une mobilisation rapide. La colonne qualifiant le sexe, avec les chiffres 1 pour les hommes et 2 pour les femmes, fut rajoutée a posteriori pour cacher sa fonction stratégique et lui donner une apparence civile. En 1945, le numéro Carmille devient le numéro de Sécurité sociale, outil au service de l’économie planificatrice de l’après-guerre. En transformant l’unité familiale, avec l’homme comme chef de famille, en produit statistique, l’Insee installe durablement dans notre ADN un «signifiant sexué» qui calcifie aujourd’hui encore notre modèle social. Et l’on voit combien la formalisation de ces normes continue de faire obstacle à une transformation sociétale pourtant en marche depuis la fin des années 50. Nos modes de vie ont en effet remarquablement évolué. Solo, homo, en couple, avec ou sans enfants, les individus se marient ou non, se pacsent, divorcent. Les familles se recomposent, ou pas. L’unité familiale construite sur le modèle patriarcal a vécu, pourtant les normes ont survécu. A travers ces qualifiants, une histoire de domination a bien été organisée et officialisée par l’état civil. Une histoire à lecture unique qui rend non seulement irréaliste, mais souvent inimaginable, la possibilité pour les unes, comme pour les autres, de se projeter ailleurs que dans des rôles assignés. Nos identités dépassent pourtant largement ces deux catégories et ne sont conditionnées à notre sexe, que par des habitus, voire des diktats dont il s’agit de se débarrasser urgemment. En ce sens, nous sommes toutes et tous des 3. Des êtres complexes et en transition constante, dont aucune des trajectoires n’est identique, linéaire ou définitive. Alors, ni une ni deux, supprimons les classifications !

Posté

A ma connaissance il n'y a que dans les camps de concentration qu'on tatouait les gens avec un numéro. Faire l'inverse en intégrant des mesures biométriques qu'on associe à un "numéro national", fût il celui de la sécu n'est qu'une manière à peine différente de faire la même chose. C'est plutôt ça qui est gênant et non le numéro en soi non ?

Posté

Ah mais non, au contraire, ce qui gene ces gens, c'est précisément ce qui reste de non uniforme dans ce numéro, pas la possibilité d'identifier tout citoyen de façon indelebile et fiable, le sexe d'abord, puis le lieu et date de naissance, il faudra les supprimer parce que c'est discriminatoire, par contre, lier l'identité a un numéro aléatoire plutot qu'a des parametre culuturels et géographiques, quel reve égalitaire !

Posté

Je me demande quand il vont demander l'interdiction de l'ADN…

XX ou XY, cela ne va pas de paire (^^) avec la théorie du genre.

Ce qui m'étonne le plus, c'est de voir que cela ne les dérange nullement d'être marqué comme du bétail.

C'est juste que l'on puisse faire le distingo entre homme ou femme qui les révolte.

Bande de moutons…

Posté

Bon bin puisque c'est comme ca, je vais faire du french-bashing:

http://www.lefigaro.fr/entrepreneur/2012/10/24/09007-20121024ARTFIG00624-un-patron-francais-classe-derriere-jobs-et-zuckerberg.php

«Je l'ai appris il y a une dizaine de jours, ce fut une belle surprise», confie Bertin Nahum, un entrepreneur de 42 ans, classé par le magazine scientifiqueDiscovery Series en septembre 2012, juste derrière les Américains Steve Jobs, Mark Zuckerberg et James Cameron.
«Ce classement est important car c'est enfin une forme de reconnaissance, réalise-t-il. Comme beaucoup d'entreprises innovantes, nous avons eu beaucoup de mal à être reconnus en France et à être pris au sérieux. Bien souvent, il faut passer par l'étranger pour convaincre la France».

Encore une fois, cette bonne vieille frilosité franco-francaise.

Bisous.

Posté

H16 est donc influent sur la Bourse… Quand est-ce que tu fais sauter un produit boursier ? Tu nous tiens au courant avant, hein wink.gif

heu : :icon_confus:

Posté
Mais, mais… il est nouare !

Et son patronyme a une consonance fortement israélite !

Posté

Un fait divers liberahallal.

Une étudiante brésilienne de 20 ans a vendu sa virginité pour 780.000 dollars US (600.000 euros) lors d'enchères en ligne remportées par un Japonais, ont annoncé jeudi les promoteurs de l'opération controversée.

Catarina Migliorini, qui a confié à la presse brésilienne vouloir financer ses études de médecine en Argentine, avait attiré 15 enchérisseurs originaires d'Inde, des Etats-Unis, du Brésil et du Japon.

Un jeune Russe de 21 ans, Alexander, offrait également sa virginité: une Brésilienne a emporté la décision pour 3.000 dollars seulement.

"Les enchères de vierges en Australie sont terminées" depuis mercredi, a annoncé jeudi le site internet virginswanted.com.au qui publie des photos de "Catarina" et "Alexander" barrées de la mention "vendus".

Selon les médias australiens, Catarina Migliorini sera "remise" à son acheteur à bord d'un avion à destination de l'Australie, puis le couple "consommera" dans les semaines à venir dans un lieu tenu secret.

"Catarina est extrêmement contente. Elle a parlé à ses proches au Brésil et ils étaient très heureux pour elle", a expliqué le réalisateur australien Jason Sisely qui a organisé cette vente pour les besoins d'un documentaire.

"Je vois ça comme une entreprise", a justifié la jeune femme dans la presse britannique. "Cela me permet de voyager, de tourner un film et de toucher de l'argent en prime".

"Si vous faites cela une seule fois dans votre vie, vous n'êtes pas une prostituée. Ce n'est pas parce que vous prenez une photo extraordinaire que cela fait de vous un photographe", a-t-elle dit.

Le contrat entre Catarina et l'acquéreur de sa virginité, identifié par le nom "Natsu", stipule que ce dernier devra utiliser un préservatif et subira un test de dépistage des maladies sexuellement transmissibles, a précisé Jason Sisely, cité par le journal en ligne Ninemsn.

http://www.lechorepublicain.fr/france-monde/actualites/societe/insolite/2012/10/25/une-etudiante-vend-sa-virginite-pour-600-000-euros-lors-d-encheres-en-ligne-1309894.html

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