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Nouvelles du monde sans intérêt


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Y en a genre toutes les 30 min depuis Paris, c'est ça l'enfer ?

Un TER entre Marseille et Salon de Provence toutes les deux heures, ça, c'est l'enfer.

+ 1, il est super le Thalys Paris-Bruxelles. Régulier, propre, je me suis crue en première classe. :lol:

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Imagine en première classe alors! T'as le droit à ton petit plateau repas, les hôtesses te demandent si tu as besoin d'un taxi une fois arrivé, etc. Bon en même temps l'offre s'adapte à la clientèle! Y-en a du beau monde qui parcourt ce Thalys.

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Sérieusement, ça existe un train qui n'est pas un bus géant ?

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Quelqu'un a testé le covoiturage ? C'est en moyenne 4 à 5 fois moins cher que le train, d'après mes recherches.

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Quoi qu'il en soit le TGV en France n'est pas pourri.

Ben vu ce que ça coûte on peut quand même espérer.

C'est grâce au TGV que tous les autres trains français sont aussi mal foutus, la manne de l'état n'étant pas extensible à l'infini, il faut faire des choix.

Et comme ils veulent faire de la France une vitrine pour vendre leur TGV à la Chine, les petites régions peuvent bien crever avec leurs trains moisis.

 

Sauf évidemment s'ils ont un politicien de leur région qui aménagera une petite gare TGV pas loin de chez eux, quitte à ce que ça coûte un pont pour dévier les travaux.

Hein François ??

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C'est grâce au TGV que tous les autres trains français sont aussi mal foutus, la manne de l'état n'étant pas extensible à l'infini, il faut faire des choix.

Et comme ils veulent faire de la France une vitrine pour vendre leur TGV à la Chine, les petites régions peuvent bien crever avec leurs trains moisis.

 

Sauf évidemment s'ils ont un politicien de leur région qui aménagera une petite gare TGV pas loin de chez eux, quitte à ce que ça coûte un pont pour dévier les travaux.

Hein François ??

 

Très bien résumé!

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Sérieusement, ça existe un train qui n'est pas un bus géant ?

 

Japan Rail Green Car:

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j'ai des bons souvenir de l'ICE également.

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Quelqu'un a testé le covoiturage ? C'est en moyenne 4 à 5 fois moins cher que le train, d'après mes recherches.

 

Plusieurs fois pour aller à Paris et revenir, probablement encore dans 10 jours vu que j'ai toujours pas pris mes billets de train et que va me couter plus cher qu'une accompagnatrice de luxe.

 

Mais je n'aime pas du tout, je hais faire tant de voiture quand je connais pas le pilote, je hais ne pas conduire moi meme, je déteste devoir faire semblant d'être sympa et parler à des gens dont je n'ai que foutre.

 

Je préfère de loin le car. T'es peinard, personne te demande rien et c'est trop pour penser que ça se conduit avec un chauffeur sur la route.

 

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Quelqu'un a testé le covoiturage ? C'est en moyenne 4 à 5 fois moins cher que le train, d'après mes recherches.

J'en fait très régulièrement avec blablacar. Automatiquement lorsque le trajet existe et dure un temps raisonnable en fait. C'est beaucoup beaucoup moins cher que le train.

Je l'ai déjà fait sur Paris-Lille, trouvé en une heure pour cause de changement d'horaires de train. Mais jamais sur Paris-Bruxelles.

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Quand le sport met le collectivisme au service du profit

 

En Europe, le professionnalisme est sans cesse dérégulé, malgré les tentatives de fair-play financier en football. Les ligues nord-américaines, elles, appliquent des mesures de redistribution des revenus... cachant mal des fins ultracapitalistes. Décryptage.

 

«Aux États-Unis, le modèle économique sportif est tout sauf libéral. C'est un ensemble de mesures collectivistes, on pourrait même dire que ce sont des moyens communistes ! Tandis qu'en Europe, ils sont de plus en plus libéraux », résume Jean-François Bourg, chercheur au Centre de droit et d'économie du sport à Limoges. Un paradoxe qui peut surprendre au pays dulibéralisme triomphant mais qui existe bel et bien afin de prévenir les inégalités. Ou comment les ligues de sport collectif outre-Atlantique ont mis en place un système de redistribution des richesses pour éviter des écarts - financiers ou sportifs - trop conséquents entre le haut et le bas du tableau pour préserver la glorieuse incertitude du sport mais, surtout, pour générer des profits considérables... Parmi tous les mécanismes de régulation, le plus extrême reste le partage des revenus. En NFL, la ligue du football américain roi, 75 % du profit global est ainsi redistribué équitablement entre chaque équipe ! Dominé par les droits télévisuels et les produits dérivés, il grimpe à hauteur de 10 milliards de dollars (7,2 milliards d'euros) par an. Un record absolu qui permet à ses 32 franchises (clubs) de faire toutes partie des 50 plus riches au monde, tous sports confondus... Et ce n'est qu'un exemple.

 

Des sponsors dominants

 

Une équipe termine le championnat en bas de tableau ? Elle a la priorité pour recruter de nouveaux joueurs la saison suivante, lors de la Draft (bourse aux joueurs). La masse salariale de certains clubs dépasse le plafond autorisé ? Ils doivent verser des pénalités à ceux qui le respectent. Un joueur est transféré ? L'échange doit se faire sur un pied d'égalité entre les deux clubs, validé par la ligue concernée. En 2011, la NBA a ainsi opposé un veto au départ du basketteur Chris Paul, la star des Hornets de La Nouvelle-Orléans, vers les Los Angeles Lakers, considérant la contrepartie insuffisante. Même dans le baseball, qui n'observe pas ces règles contrairement au basket, au football américain et au hockey, un fonds collectif est redistribué aux équipes les plus défavorisées financièrement. À côté de ces mesures, le fair-play financier, mis en place par l'UEFA dans le football (un club ne doit pas dépenser plus d'argent qu'il n'en génère - NDLR), est loin de soutenir la comparaison. Et cette tendance à la dérégulation dans un marché européen non harmonieux n'a fait qu'accentuer les écarts ces dernières années. Ainsi, les clubs français, sanctionnés par la Direction nationale du contrôle de gestion (DNCG) d'interdiction de recrutement ou de rétrogradation, se retrouvent face à des concurrents européens souvent très endettés et qui perçoivent des droits télévisés plus importants dans leurs pays respectifs. « En Europe, les conséquences (de la dérégulation) font aussi qu'il y a très peu de suspense, pointe Jean-François Bourg, avec deux ou trois prétendants au titre seulement, soit les plus gros budgets. » Mais si l'Oncle Sam favorise un système plus égalitaire, ce n'est pas uniquement pour la beauté du sport. Avant tout, c'est la maximisation des profits qui compte. En encourageant l'incertitude, on développe l'intérêt du public qui vient au stade, l'audience télévisuelle et les sponsors. Lorsque tout le monde croit pouvoir gagner, plus de gens paient. Ou quand des moyens collectivistes servent un but très capitaliste.

 

Organisation « à but non lucratif »...

 

Un mutualisme appliqué à des degrés divers selon les ligues. Jeffrey Kessler, avocat ayant représenté les joueurs lors des négociations collectives de 2011 en NFL et en NBA, explique que la ligue de basket a refusé catégoriquement le partage des revenus entre équipes comme au foot américain. « C'était impossible de mettre cela sur la table, se souvient-il, ils préfèrent aller chercher l'argent dans la poche des athlètes. » Une régulation uniforme est d'ailleurs impossible, comme l'explique Daniel Kaplan, du SportsBusiness Journal, en raison des différents formats des sports. « En hockey et au basket, chaque équipe joue 82 matchs par saison, contre 16 en foot américain. La négociation des droits télévisés diffère donc complètement. » De même, l'Europe, avec son système de montée et de descente, pourrait difficilement s'inspirer de la régulation des clubs nord-américains évoluant en ligues fermées. Pour Dave Zirin, auteur et journaliste pour Edge of Sports et The Nation, le système à l'américaine est loin d'être la panacée. « Les propriétaires de clubs (qui sont aux commandes de chaque ligue - NDLR) peuvent prendre les joueurs et supporters en otages en bloquant les matchs s'ils n'obtiennent pas l'accord qui les arrange ! » s'insurge-t-il, avant de citer d'autres excès. L'un d'eux est le chantage aux municipalités pour la construction des stades, sous menace de délocalisation des clubs. Un chercheur indépendant américain, Robert Baade, a pourtant démontré que les conséquences économiques locales sont non existantes. Malgré cette étude de 1994 - poursuivie par plusieurs travaux récents -, au moins 70 % des coûts de construction et de maintenance des arènes sportives sont financés par de l'argent public via cette menace. Au pays de la lutte contre le « Big Government », l'ironie est savoureuse.

 

Le contribuable américain, lui, apprécie peu, surtout quand il découvre que les ligues bénéficient d'un lobbying jusqu'au niveau fédéral. Avec son statut d'organisation « à but non lucratif », qui lui permet de ne pas payer d'impôts, la NFL en est l'exemple le plus frappant. Lynda Woolard, supportrice des Saints (La Nouvelle-Orléans), souligne le courroux des fans : « Seuls 13 % des Américains savent que la NFL bénéficie de ce statut (selon un sondage réalisé par la Fairleigh Dickinson University - NDLR), mais ils sont quasiment tous contre dès qu'ils l'apprennent ! » précise celle qui a lancé, en 2012, la pétition pour abolir cet arrêté datant des années 1960 et ayant recueilli plus de 300 000 signatures.

 

Ryan Rudominer, copropriétaire des Green Bay Packers, seul club détenu par ses supporters, a poursuivi cette démarche en faisant du contre-lobbying auprès du Congrès américain. « Le salaire du président de la NFL (presque 30 millions de dollars, soit 22 millions d'euros annuels) est plus gros que leurs dépenses caritatives, c'est un abus total ! » s'exclame-t-il, en enchaînant : « Le collectivisme, c'est entre eux, pas vers le public. » Mais à force de vouloir abuser du système, celui-ci pourrait se retourner contre les propriétaires : plusieurs sénateurs et députés américains veulent ainsi faire voter le Fans Act, contre les mesures de chantage et de blocage des ligues, et le PRO Sports Act, contre leurs exemptions fiscales. Et pour une fois, à Washington, les deux bords politiques se rejoignent, de l'influent démocrate Richard Blumenthal, aux figures de proue républicaines, John McCain et Paul Ryan, notamment. Un paradoxe de plus.

 

l'Humanité
Sports, lundi 2 juin 2014
États-Unis
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Ils ne le savent pas parce qu'ils ne quittent jamais la France, sauf pour l'Italie qui fait pire. Du coup, ils pensent que c'est cool.

Moi ça me fait toujours délirer quand des gens qui n'ont jamais été en Angleterre te disent que les trains anglais sont de la merde. De plus en plus je m'énerve.  

 

Seuls nos TGV valent quelque chose. C'est pour ça que la SNCF remporte de nombreux contrats pour l’élaboration de LGV à travers le monde (au travers de sa filiale Systra spécialisée dans l'ingénierie des systèmes ferroviaires, entreprise leader dans le monde).

Les AVE espagnols sont en train de concurrencer pas mal les TGV français, ceci dit aucun des deux ne gagne de l'argent, contrairement à une idée reçue la SNCF perd énormément sur les TGV.

 

C'est pourri de faire Paris - Marseille en 3 heures?

Si tu habites plus près d'Orly ou de Roissy que de la gare de Lyon ou Marne-la-Vallée, et que là où tu te rends c'est plus près de Marignane que du Vieux Port, effectivement c'est moins bien le TGV que l'avion.

Accessoirement il aurait été beaucoup plus rentable de développer les aéroports et compagnies aériennes (privés bien entendu) plutôt que construire des milliers de kilomètres de rame nécessitant des expropriations coûteuses et commander des trains énormes.

Et si les autorités cessaient leurs contrôles de sécurité dans les aéroports l'avion aurait été encore plus rapide qu'il ne l'est déjà.

En revanche c'est sûr que le confort est supérieur dans les trains.

 

Quelqu'un a testé le covoiturage ? C'est en moyenne 4 à 5 fois moins cher que le train, d'après mes recherches.

Moi j'ai testé. Sur les trajets courte distance, c'est-à-dire moins de 2 heures le covoiturage est deux fois moins cher que le train, au-delà la différence augmente. 

Sur les trajets courts le covoiturage c'est plus rapide, les trains doivent faire plus d'arrêts, au-delà non mais la différence de prix augmentant cela compense.

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L'Huma.

Allons.

 

Ceci dit, c'est un peu vrai, la NBA et d'autres league on des masses salariales plafonnées et ça rend les championnats plus palpitant parce qu'il n'y a plus deux ou trois clubs potentiellement champion (les plus riches, faut l'avouer) mais une dizaine.

 

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La NBA n'est palpitante qu'à la fin, avant tout le monde joue avec son équipe bis. Que l'huma propose ce genre de mesures devrait mettre la puce à l'oreille.

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Oui mais je pense que c'est plus du aux play-off et au système de "conference" qu'au reste.

 

Après, j'ai une stricte horreur du basket, le sport le plus chiant du monde après le patinage artistique.

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Ceci dit, c'est un peu vrai, la NBA et d'autres league on des masses salariales plafonnées et ça rend les championnats plus palpitant parce qu'il n'y a plus deux ou trois clubs potentiellement champion (les plus riches, faut l'avouer) mais une dizaine.

 

Communiste !!!

 

(pourtant je t'aime bien Poney mais la tu me fends le cœur).

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En tout cas c'est très à la mode le covoiturage. J'ai quelques connaissances qui proposent systématiquement des places sur blabla cars quand ils vont quelque part.

 

Quelqu'un qui fait Lille Paris seul gagne de l'argent en prenant 3 passagers. (Ça tourne à 15€ ou un peu moins par personne.)

 

En revanche je suis trop asocial pour ce genre de chose. passer 2h en tête à tête avec un inconnu ? Quelle horreur.

j'ai déjà pris des auto-stoppeurs sur des trajets mais max 20min.

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J'ai pas dit que j'étais d'accord avec le principe.

 

Bon, on devrait peut-être ramené ça dans "sport" mais par exemple, j'ai bien l'impression que ce qui rend la F1 chiante depuis 10 ou 15 ans, c'est que c'est devenu impayable et même les grosses équipes galère niveau thune.

Call me vieux con but j'ai l'impression que jusque dans les 80s c'était plus abordable et ça permettait à de petites équipes de faire bonne figure. Aujourd'hui, Marussia marque un point et on déclare "c'est comme une victoire". Fouyayaya, paye ta victoire.

J'ai peur que ça devienne pareil pour le foot. Y avait un reportage sur cette question sur la RTBF hier mais je l'ai pas regardé ( y avait "le jour le plus long" :) ) et connaissait le biais socialiste de la chaine, bon, je m'attends pas à un miracle.

 

Mais c'est une question à poser : si ça devient tellement impayable que seuls des milliardaires peuvent jouer la gagne et qu'on a toujours les meme aux avant postes, ça craint quand même.

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Bah de toutes façons les ligues peuvent bien imposer les règles qu'elles veulent; pourquoi pas de "fair play" financier ?

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Ca me pose moins de problème si une ligue décide que pour y participer, il y a telle et telle règle, même un plafonnement de masse salariale.

C'est totalement différent si c'est l'ETat qui s'en charge.

 

Je ne sais comment ça se passe aux z'USA mais quand je me souviens de l'esclandre sur le salaire de Zlatan au PSG et l'ex minustre du sport qui voulait limiter leurs salaires, je me laisse penser que ça se passerait de manière plus fachiste sous nos latitudes.

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La NBA n'est palpitante qu'à la fin, avant tout le monde joue avec son équipe bis.

Ce n'est pas vrai. J'ai peu suivi cette saison régulière, donc je ne pourrais en parler ; par contre, j'ai suivi les trois précédentes et des matchs passionnants tu en avais un tas. Bien sûr, il y en a où ce n'est pas le cas et, souvent, les playoffs offrent une autre intensité, mais dire qu'ils mettent une équipe bis ne veut rien dire.
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Le mec qui a inventé le Comic Sans MS [..]

 

Pourquoi tant de haine ? Ok, ça ne fait pas très sérieux, mais au delà ?

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Moi je m'en fou, je n'ai rien contre mais pleins de gens détestent donc je participe au mouvement de haters par principe.

Posté

Pourquoi tant de haine ? Ok, ça ne fait pas très sérieux, mais au delà ?

C'est encore plus que "pas sérieux". Ca fait gamin, kikoo, nul, gayer than Twilight, etc...

Puis c'est facile de taper dessus, tellement c'est la police la plus utilisée dans les skyblogs et autres conneries.

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Paranoïa étatique autour du port d'arme.

 

En lisant cet article, l'un des commentateurs fait une très bonne remarque que je m'étais également demandé : que se serait il passé si l'enfant concerné était le fils ou la fille d'un agent de police habitué à voir son père ou sa mère portant une arme de fonction ? (sans parler de l’intervention disproportionné des services sociaux)

Posté

440  millions d’euros et un bide. Faudrait vraiment limiter les compétences des collectivités.

 

http://www.nordeclair.fr/info-locale/stade-pierre-mauroy-ou-sont-les-grands-shows-ia60b0n402541

 

Alors je le constate dans le privé aussi, la maîtrise d'ouvrage ce n'est pas un truc dans l'esprit ch'timi bizarrement.

 

Alors avec les élus locaux je n'ose pas imaginer l'ampleur des désastres quotidiens.

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