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La France condamnée pour avoir refusé une adoption à une homosexuelle


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Posté
Vu qu'on compte de plus en plus de mineures, le nb de femmes de 20-45 ans ne sert à rien.

15-45 me semble plus approprié.

Indeed. Mais ce n'est pas le seul biais dans cette statistique :

Le chiffre de 17 pour mille évoqué par Largo est une statistique annuelle. C'est le nombre d'avortement observé sur un an divisé par le nombre de femmes de 20-45 ans. En le multipliant par la durée d'activité sexuelle moyenne (20-25 ans à la louche), tu retombes bien sur les 40%.

Sauf que ça suppose que les femmes ne se font avorter qu'une fois, ce qui est évidemment faux. Et (merci Harald) les multiavorteuses font exploser la moyenne.

[…] (le coïtus interruptus me semble, par exemple, tout à fait recommandable)

Et quelles seraient les autres méthodes qui recueilleraient tes faveurs ? Honnêtement, ça m'intéresserait de savoir.

- mais je considère que le lancement de la pilule (dont je parlais de prime abord) a contribué à déresponsabiliser les jeunes et les moins jeunes dans leur rapport à la sexualité.

Et la multiplication des dispositifs de sécurité passive et active dans les voitures a produit des conduites beaucoup plus risquées de la part des automobilistes.

Posté
Et la multiplication des dispositifs de sécurité passive et active dans les voitures a produit des conduites beaucoup plus risquées de la part des automobilistes.

C'est une blague j'espère ?

Ronnie Hayek est-il un conservateur en manque d'hypocrisie sexuelle ?

Posté
C'est une blague j'espère ?

Pas du tout. Tout un tas d'études - ainsi que l'intuition - prouvent ce fait.

Ronnie Hayek est-il un conservateur en manque d'hypocrisie sexuelle ?

Non sequitur et strawman, deux en un !

Posté
Pas du tout. Tout un tas d'études - ainsi que l'intuition - prouvent ce fait.

Mis à part que la vitesse moyenne sur autoroute a baissé de 30km/h en 15 ans…

Ok il n'y a pas forcément causalité mais cela a commencé avant la sarkomania.

Posté
Mis à part que la vitesse moyenne sur autoroute a baissé de 30km/h en 15 ans…

Ok il n'y a pas forcément causalité mais cela a commencé avant la sarkomania.

Ca a commencé doucement avec l'inondation de sports trash de la sécurité routière, et c'est la radarmania qui a confirmé la tendance.

Posté

Faut pas oublier un truc, même si je sais que certains ici habitent le Plat Pays. Pilule (un seul "l", j'ai vérifié) ou pas, avortement ou pas, hédonisme "gauchisant" ou pas, décivilisation nihiliste ou pas, la France s'en sort plutôt pas mal niveau natalité.

Comment expliquer cela ?

Posté
Faut pas oublier un truc, même si je sais que certains ici habitent le Plat Pays. Pilule (un seul "l", j'ai vérifié) ou pas, avortement ou pas, hédonisme "gauchisant" ou pas, décivilisation nihiliste ou pas, la France s'en sort plutôt pas mal niveau natalité.

Comment expliquer cela ?

Par deux maternités qui font chacune 7 000 (oui, sept mille !) accouchements par an : Saint-Laurent-du-Maroni, et Mayotte.

Posté
Pas du tout. Tout un tas d'études - ainsi que l'intuition - prouvent ce fait.

Ainsi que je viens de l'apprendre, ce phénomène n'est pas isolé. L'introduction de la lampe de Davy, qui permettait d'éclairer les mines sans risquer de coup de grisou (et qui permettait de plus de repérer la présence de ce dernier), a fait augmenter le nombre d'accidents mortels dûs au grisou dans les mines de charbon.

Posté
Sauf que ça suppose que les femmes ne se font avorter qu'une fois, ce qui est évidemment faux. Et (merci Harald) les multiavorteuses font exploser la moyenne.

Selon l'INED, plus le 1er avortement a lieu tôt, plus il y a des risques de récidive.

Pour ces personnes là, c'est clairement un manque d'éducation (donc de responsabilité des parents).

J'en discutais avec une amie aujourd'hui (elle est maman d'une fille) et la conclusion est claire : la pilule n'est vraiment pas le contraceptif adapté aux adolescentes, et sans aucune éducation sexuelle, il y a multiplication des risques.

J'entends par éducation sexuelle l'apport d'une information claire, pas une incitation, hein.

Et quelles seraient les autres méthodes qui recueilleraient tes faveurs ? Honnêtement, ça m'intéresserait de savoir.

Ce n'est pas une méthode. Je crois d'ailleurs que c'était une boutade de RH, puisqu'en tant qu'hommes, vous êtes tous au courant que l'érection laisse échapper un liquide qui contient des spermatozoïdes (la rosée).

Posté
La pillule ne sert pas uniquement à la contraception et beaucoup ont tendance à l'oublier voir, ne le savent même pas. On peut la prendre très jeune pour des raisons X/Y de santé et on peut continuer à la prendre alors qu'on n'a aucun partenaires pendant des mois et des mois pour raisons médicales aussi hein.

Personellement, je ne connais aucune femme ayant avorté.

Autre utilisation originale de la pilule : certaines filles, plutôt jeunes, la prennent pour faire croire à une activité sexuelle par ailleurs inexistante.

J'ai aussi le souvenir d'un soir au restaurant, une soirée bien foireuse d'ailleurs, où la discussion est arrivée sur la pilule. Les filles ont fini par sortir leur plaquettes de pilules sur la table en échangeant leurs expériences, etc. On sentait tellement que c'était pour se la jouer, c'était pitoyable !

On touche véritablement à la fonction sociale de la pilule…

Posté

Ca a l'air génial tes soirées… Les cercles libéraux c'est plus sympa ^^

A vrai dire j'ai un peu de mal à comprendre ce que vous reprochez à la pilule. Toutes les infos sont dans les plaquettes et puis les médecins ça existent.

Après c'est à chacune de faire attention à la prendre. Le coup du déficit d'information ça me fait penser à une excuse marxiste bidon.

Et puis où est le problème de l'hédonisme ? (le premier qui me dit que je suis gauchisant…^^)

Posté
Non seulement ça aura toutes les chances d'être un fiasco mais surtout de laisser des traces dont on ne mesure pas nécessairement la portée future.

D'où l'intérêt de l'IVG.

:icon_up:

Posté
Après c'est à chacune de faire attention à la prendre. Le coup du déficit d'information ça me fait penser à une excuse marxiste bidon.

Et bien sûr, les hommes peuvent continuer à tremper leur biscuit sans se soucier de savoir s'il vont féconder ou pas.

Posté

Ca me semble une attitude logique après avoir popularisé l'usage de la pilule. La femme contrôle sa sexualité qu'on te répète.

Encore une fois c'est le féminisme qu'il convient de tenir responsable, pas l'insouciance des hommes qui ont en fin de compte découle de tout cela également. Le machisme a bon dos je trouve.

Posté
Ca me semble une attitude logique après avoir popularisé l'usage de la pilule. La femme contrôle sa sexualité qu'on te répète.

Encore une fois c'est le féminisme qu'il convient de tenir responsable, pas l'insouciance des hommes qui ont en fin de compte évoluer en mal eux aussi.

Libre à toi de reprendre la propagande étatique, on nous répète depuis notre naissance que l'état c'est fantastique et pourtant nous le rejetons, pourquoi faudrait-il gober que la pilule c'est génial (perso, j'ai répété à plusieurs reprises déjà que je pensais que la pilule était le pire moyen de contraception). Déjà, je ne félicite pas le "légalisateur" de la pilule, je ne vois pas pourquoi son utilisation n'était pas libre.

La contraception ne regarde pas l'état. Mais les individus.

Et beaucoup d'hommes sont très responsables, d'abord en discutant avec leur amie de sa méthode de contraception et ensuite en se protégeant même si elle prend la pilule ou qu'elle annonce être stérile (cas classique : je ne peux pas tomber enceinte).

Et le coup de "c'est le féminisme qui est responsable de tout ça", c'est une excuse facile.

Les relations HF changent, évoluent, à chacun de trouver le type de relation qui lui convient, le partenaire qui partage sa façon de voir et de pouvoir s'engager librement et volontairement.

Posté

La contraception est, comme l'usage des drogues, une question de maturité et de modération.

Le discours féministe, et donc proto-socialiste, accompagnant l'usage de la pilule a fort logiquement détruit les deux. Les victimes sont des deux côtés : jeunes hommes et jeunes femmes.

A te lire ce qui t'emmerde finalement c'est que j'en accuse le féminisme, qui pour une raison connue de toi seule, tu dois forcément t'en revendiquer fusse-t-il être qualifier de libéral. Ce qui est pour moi un oxymore idéologique de grand cru. Alors me faire passer pour un "propagandiste de l'état" ça à le don de me faire sourire. C'est bien toi qui croit à une chimère de construction politique et catégorielle, pas moi.

Mon opinion est que tu te caches derrière la critique d"aspects techniques (l'utilisation libre ?) car tu refuses d'admettre, et donc de condamner, que tout ceci fut accompagné d'un discours idéologique progressiste et gauchiste qui procède à une relation directe avec ce que nous connaissons aujourd'hui et décrit plus haut. Ca c'est pour répondre à mélodius.

Posté
La contraception est, comme l'usage des drogues, une question de maturité et de modération.

Qui doit être libre.

Le discours féministe, et donc proto-socialiste, accompagnant l'usage de la pilule a fort logiquement détruit les deux. Les victimes sont des deux côtés : jeunes hommes et jeunes femmes.

Il n'existe pas UN discours féministe, c'est là l'erreur.

Si tu écris "un discours féministe, proto socialiste" (il y a pire, les féministes "enragées" persuadées de la supériorité des femmes) c'est plus juste.

A te lire ce qui t'emmerde finalement c'est que j'en accuse le féminisme, qui pour une raison connue de toi seule, tu dois forcément t'en revendiquer fusse-t-il être qualifier de libéral. Ce qui est pour moi un oxymore idéologique de grand cru.

Ce qui m'emmerde, c'est que la responsabilité est rejetée sur les femmes seulement, alors qu'il faut un homme et une femme pour procréer. Je sais bien que le résultat n'est pas le même pour les 2 protagonistes, mais exclure l'homme dans cette affaire est injuste, peu importe ce qu'en dise les féministes socialistes.

Et si j'ai des affinités particulières avec les iFéminist, c'est justement parce qu'elles s'attaquent à l'idéologie féministe majoritaire qui est que la femme est une victime et qu'il faut la protéger, la soutenir et la traiter différemment d'un individu de sexe mâle. Sur des points qui, en plus, ont gagné l'opinion publique, la pornographie, la prostitution, ces horribles exploitations du corps de la femme..

Ce qui m'emmerde, c'est de te voir mettre dans le même panier une Badinter, une MacElroy, une Djavann avec une de Beauvoir ou une Alonzo.

Alors me faire passer pour un "propagandiste de l'état" ça à le don de me faire sourire.

Si c'est ce que tu comprends… Je dis juste que tu es capable, sur d'autres sujets, de faire abstraction de la propagande, mais sur ce sujet là, tu n'y arrives pas.

Il m'arrive de faire pareil sur d'autres sujets.

C'est bien toi qui croit à une chimère de construction politique et catégorielle, pas moi.

C'est c'là oui. Je suis sans doute une féministe socialiste qui s'ignore.

Mon opinion est que tu te caches derrière la critique d"aspects techniques (l'utilisation libre ?) car tu refuses d'admettre, et donc de condamné, que tout ceci fut accompagné d'un discours idéologique progressiste et gauchiste qui procède à une relation directe avec ce que nous connaissons aujourd'hui et décrit plus haut. Ca c'est pour répondre à mélodius.

Je déplore le manque d'éducation, je déplore le manque d'information, je déplore la déresponsabilisation de l'homme.

Mais je suis tout à fait consciente que l'état, par sa main mise sur les questions intimes, à une part de responsabilité importante dans la situation actuelle (ne serait-ce qu'en se substituant aux parents pour ce qui est de l'éducation sexuelle).

Posté
Qui doit être libre.

Son utilisation est légale, dans un pays comme la France on ne peut pas faire plus "libre". Je ne vois donc pas où se situe le problème.

Il n'existe pas UN discours féministe, c'est là l'erreur.

Si tu écris "un discours féministe, proto socialiste" (il y a pire, les féministes "enragées" persuadées de la supériorité des femmes) c'est plus juste.

Dans le fond il ne peut exister qu'un seul féminisme, de même que tous les socialismes, prétendus ou non, se recoupent.

La défense des droits des femmes se lit à travers celle du droit de tous les individus. Toute séparation volontaire est de construction politique et idéologique.

Ce qui m'emmerde, c'est que la responsabilité est rejetée sur les femmes seulement, alors qu'il faut un homme et une femme pour procréer.

Personne ne prétend cela. Moi y compris.

Ce qui m'emmerde, c'est de te voir mettre dans le même panier une Badinter, une MacElroy, une Djavann avec une de Beauvoir ou une Alonzo.

Les unes sont parfois plus cohérentes et polies que d'autres, mais la différence reste mince.

Je déplore le manque d'éducation, je déplore le manque d'information, je déplore la déresponsabilisation de l'homme.

Mais je suis tout à fait consciente que l'état, par sa main mise sur les questions intimes, à une part de responsabilité importante dans la situation actuelle (ne serait-ce qu'en se substituant aux parents pour ce qui est de l'éducation sexuelle).

L'état n'est pas un être vivant ni constitué d'une pensée idéologique. Or c'est bien l'idéologie féministe qui a conduit à cette situation.

Posté
Les unes sont parfois plus cohérentes et polies que d'autres, mais la différence reste mince.

L'état n'est pas un être vivant ni constitué d'une pensée idéologique. Or c'est bien l'idéologie féministe qui a conduit à cette situation.

Si tu ne vois qu'un mince différence entre Elroy et Alonzo, tu devrais consulter.

Mai 68 et les cocos sont idéologiquement neutres, et bien sûr, c'est l'idéologie féministe la grande responsable. C'est bien connu d'ailleurs, le socialisme n'est que l'enfant du féminisme.

Posté
Si tu ne vois qu'un mince différence entre Elroy et Alonzo, tu devrais consulter.

Je m'allonge volontiers sur votre divan. Peut-on commencer la thérapie ?

Ceci dit je comparais plutôt une Badinter dans l'idée. Le féminisme anglo saxon étant déjà un autre univers.

Mai 68 et les cocos sont idéologiquement neutres, et bien sûr, c'est l'idéologie féministe la grande responsable. C'est bien connu d'ailleurs, le socialisme n'est que l'enfant du féminisme.

L'idéologie féministe découle du socialisme et plus particulièrement du courant gauchiste qui eu son heure de gloire lors de Mai 68 (période qui par hasard coïncide avec l'apparition de la pilule). A partir de ta remarque j'en conclue que je m'exprime décidément très mal, désolé mais là encore j'attends le remède.

Posté
L'idéologie féministe découle du socialisme et plus particulièrement du courant gauchiste qui eu son heure de gloire lors de Mai 68 (période qui par hasard coïncide avec l'apparition de la pilule). A partir de ta remarque j'en conclue que je m'exprime décidément très mal, désolé mais là encore j'attends le remède.

Il n'y a pas une idéologie féministe mais plusieurs manières d'appréhender le féminisme. Il faut quand même être de mauvaise foi pour mettre dans le même panier les féministes hystériques style chiennes de garde et celles qui luttent pour plus de libertés pour les femmes sans que celle-ci empiète sur celle des hommes.

Posté

Il y a aussi plusieurs manières d'appréhender le socialisme ou le marxisme :icon_up:

En bref la finalité reste la même. Qu'on en soit conscient ou non n'y change rien. Pour simplifier ce que je pense : un féminisme radical amènera volontiers au socialisme, quand l'autre plus modéré penchera pour la sociale-démocratie. Et donc ?

Et pourquoi se cacher derrière le féminisme pour commencer ? Le libéralisme n'y répond pas ? Je récuse jusqu'à l'idée qu'un féminisme puisse être libéral, c'est contradictoire. L'un ne va pas avec l'autre.

Posté
Et bien sûr, les hommes peuvent continuer à tremper leur biscuit sans se soucier de savoir s'il vont féconder ou pas.

Une femme qui ment sur le fait qu'elle soit stérile ou qu'elle prenne la pilule c'est l'équivalent d'un délit d'initiés ou d'une publicité mensongère.

La morale kantienne on en fait quoi ?

Posté

Ca me fait penser à cette petite vidéo propagande catho où la seule chose admirable est qu'ils assument leur acte qui en lui même est complètement irresponsable.

[dailymotion]x45p0v[/dailymotion]

Posté
Je m'allonge volontiers sur votre divan. Peut-on commencer la thérapie ?

Je pensais à un opticien, pas un psy.

Ceci dit je comparais plutôt une Badinter dans l'idée. Le féminisme anglo saxon étant déjà un autre univers.

Les pires féministes tu les trouves aux US, celles que Badinter dénonce, justement (et à juste titre).

Exemple avec Christina Hoff-Sommers et son "War against boys", qui trouve malheureusement écho en Suède où certaines féministes veulent exiger des hommes qu'ils pissent assis!

Allez, un petit extrait de cette horrible féministe qu'est Badinter :

Il ne s'agit pas de lutter contre les excès de la masculinité mais contre la masculinité "per se", accusée d'être la cause de toute violence. D'ailleurs, note-t-elle (CHS), il est de plus en plus rare d'entendre l'éloge de celle-ci.

Au contraire, toutes les valeurs positives associées à elle sont systématiquement dénigrées. Le courage et la prise de risque sont associés à l'inconscience, contraires au principe de précaution, la force à la violence qui ne fait que des ravages, le goût de la conquête à un impérialisme blâmable, le péché capital.

Cette conception de la masculinité est ravageuse à un double point de vue. Tout d'abord, ces caractéristiques traditionnellement attribuées à l'homme appartiennent en fait aux 2 sexes.

En les calomniant, on n'en price pas seulement le sexe masculin, on l'interdit chez l'autre. Ceux et celles qui ne conçoivent les femmes que comme des victimes à protéger n'imaginent pas qu'elles puissent dire non, donner une paire de claques, bref, se défendre physiquement et moralement.

L'apprentissage de la l'identité sexuelle est vital et, n'en déplaise à certains, elle se fait par opposition, caricatures et stéréotypes.

Non seulement elle ne doit pas être une souffrance pour les garçons, mais elle est au contraire la conditions des retrouvailles ultérieures avec l'autre sexe.

Posté
Il y a aussi plusieurs manières d'appréhender le socialisme ou le marxisme :icon_up:

Et bien sûr c'est pareil pour le libéralisme :doigt:

En bref la finalité reste la même. Qu'on en soit conscient ou non n'y change rien. Pour simplifier ce que je pense : un féminisme radical amènera volontiers au socialisme, quand l'autre plus modéré penchera pour la sociale-démocratie. Et donc ?

Et pourquoi se cacher derrière le féminisme pour commencer ? Le libéralisme n'y répond pas ? Je récuse jusqu'à l'idée qu'un féminisme puisse être libéral, c'est contradictoire. L'un ne va pas avec l'autre.

Justement non la finalité n'est pas la même. Il y a un féminisme qui cherche à offrir aux femmes plus de liberté et un féminisme qui cherche à imposer aux hommes ainsi qu' à toutes les femmes qui ne partagent pas le même point de vue un mode de vie qui serait plus "juste" et "égalitaire". Le premier n'est pas incompatible avec le libéralisme (même si on peut y adhérer sans être libéral) alors que le second entrainera forcément de nouvelles lois pour imposer à tous le nouveau modèle (ce qui est soluble dans le socialisme, la social-démocratie, le sarkozysme etc…).

Posté
Une femme qui ment sur le fait qu'elle soit stérile ou qu'elle prenne la pilule c'est l'équivalent d'un délit d'initiés ou d'une publicité mensongère.

La morale kantienne on en fait quoi ?

Pour pouvoir mentir, il faut que la question soit posée.

Une menteuse est une menteuse, mais un mec qui baise sans savoir est un irresponsable.

Posté
Et bien sûr c'est pareil pour le libéralisme :icon_up:

Oui c'est pareil.

Justement non la finalité n'est pas la même. Il y a un féminisme qui cherche à offrir aux femmes plus de liberté et un féminisme qui cherche à imposer aux hommes ainsi qu' à toutes les femmes qui ne partagent pas le même point de vue un mode de vie qui serait plus "juste" et "égalitaire". Le premier n'est pas incompatible avec le libéralisme (même si on peut y adhérer sans être libéral) alors que le second entrainera forcément de nouvelles lois pour imposer à tous le nouveau modèle (ce qui est soluble dans le socialisme, la social-démocratie, le sarkozysme etc…).

Plus de liberté que quoi ? Que qui ?

Le droit libéral répond déjà aux exigences légitimes des femmes. Et ce n'est pas du féminisme.

Posté
Plus de liberté que quoi ? Que qui ?

plus de liberté qu'avant. En faisant tomber les barrières légales (exemple du droit de vote réservé aux hommes) et sociales, non pas pour imposer aux femmes de se "libérer" mais pour leur laisser le choix de la vie qu'elles veulent mener.

Le droit libéral répond déjà aux exigences légitimes des femmes. Et ce n'est pas du féminisme.

Peut-être mais le droit libéral n'est pas appliqué aujourd'hui.

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