A.B. Posté 12 février 2009 Signaler Posté 12 février 2009 Non. Ces statistiques disent que sur 10 000 personnes infectées (aux USA), seules 10 femmes et 5 hommes le sont des suites d'un acte sexuel. Ça prouve simplement que les étasuniens mettent des préservatifs. Rien à voir avec les chances d'être infecté lors d'un acte sexuel (protégé ou non). Non ca dit bien ce que j'ai dit. Tu noteras que 9000 + 2500 = 11500 > 10000
Apollon Posté 12 février 2009 Signaler Posté 12 février 2009 Non. Ces statistiques disent que sur 10 000 personnes infectées (aux USA), seules 10 femmes et 5 hommes le sont des suites d'un acte sexuel. Ça prouve simplement que les étasuniens mettent des préservatifs. Rien à voir avec les chances d'être infecté lors d'un acte sexuel (protégé ou non). AB a correctement lu les chiffres.
L'affreux Posté 12 février 2009 Signaler Posté 12 février 2009 Du coup je ne m'explique plus la propagation du virus en Afrique. Avec une chance de contamination de un pour mille, même en couchant avec plusieurs personnes, le virus ne devrait pas avancer plus que ça. Ou bien il y aurait une différence dans l'acte sexuel qui ferait varier le risque selon les populations ? EDIT Le taux que j'avais pour la contamination de l'enfant lors de l'accouchement, était de 30%. Mais j'avais lu qu'il pouvait être considérablement réduit par des mesures d'hygiène… Si aux USA il est de 25%, c'est que l'hygiène ne doit pas le réduire tant que ça.
Rincevent Posté 12 février 2009 Signaler Posté 12 février 2009 Du coup je ne m'explique plus la propagation du virus en Afrique. Avec une chance de contamination de un pour mille, même en couchant avec plusieurs personnes, le virus ne devrait pas avancer plus que ça. Ou bien il y aurait une différence dans l'acte sexuel qui ferait varier le risque selon les populations ? Dans le nombre d'actes sexuels. Pense à la prostitution, et au fait que le virus a euplus de temps pour se propager, incognito, en Afrique qu'ailleurs.
Bastiat Posté 12 février 2009 Signaler Posté 12 février 2009 j'ai récemment réalisé que l'hétérosexualité est bien plus culturelle qu'on veut bien le laisser entendre. En même temps une culture fondée quasi exclusivement sur autre chose que l'hétérosexualité, on n'en entendrais plus parler longtemps. C'est du darwinisme culturel à la Hayek que veux tu ?
L'affreux Posté 12 février 2009 Signaler Posté 12 février 2009 Dans le nombre d'actes sexuels. Pense à la prostitution, et au fait que le virus a euplus de temps pour se propager, incognito, en Afrique qu'ailleurs. Si on prend par exemple une moyenne de deux rapports par semaine, donc 100 rapports par an, oui c'est vrai on tombe sur une probabilité raisonnable d'attraper ça en quelques années. Mais, si l'on prend le chiffre de 10% d'adultes infectés, disons 15% en ville, les risques de contamination sont tout de même au final assez faibles. En tout cas j'aurai dit ici ma connerie de la journée. Il est temps que je couche.
Librekom Posté 12 février 2009 Signaler Posté 12 février 2009 Il est temps que je couche. Pour réussir y a que ça de vrai !
A.B. Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 les risques de contamination sont tout de même au final assez faibles. En lisant ces chiffres j'ai pense exactement a la meme chose que toi, en particulier au cas de l'Afrique. Il faudrait modeliser, je pense que les prostituees jouent un role important dans la transmission de la maladie en servant de hub.
neuneu2k Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 Il ne faut pas négliger non plus la fragilité du système immunitaire chez les populations mal nourries et la base génétique différente (la peste noire, en Afrique, elle est pas trop passée, la grippe espagnole non plus), je suis convaincu (par les publications dans ce sens, pas par une notion bizarre de supériorité de l’homme blanc) que l’immunité (sinon totale, au moins meilleure, donc nécessitant une plus grande charge virale pour être contaminé) au HIV est nettement plus commune qu’on ne le pense chez les blancs.
L'affreux Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 Il y a peut-être aussi qu'en faisant l'amour plus souvent, on risque beaucoup plus de s'égratigner le zizi.
Pandi Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 Du coup je ne m'explique plus la propagation du virus en Afrique. Avec une chance de contamination de un pour mille, même en couchant avec plusieurs personnes, le virus ne devrait pas avancer plus que ça. Ou bien il y aurait une différence dans l'acte sexuel qui ferait varier le risque selon les populations ?EDIT Le taux que j'avais pour la contamination de l'enfant lors de l'accouchement, était de 30%. Mais j'avais lu qu'il pouvait être considérablement réduit par des mesures d'hygiène… Si aux USA il est de 25%, c'est que l'hygiène ne doit pas le réduire tant que ça. L'Afrique est le berceau du virus… Et là par contre, c'est l'Etat russe qui est en cause. Il semblerait que certaines expériences thérapeutiques menées à grande échelle aient très mal tourné.
h16 Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 Et là par contre, c'est l'Etat russe qui est en cause. Sources, vite.
DoM P Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 L'Afrique est le berceau du virus… Et là par contre, c'est l'Etat russe qui est en cause. Il semblerait que certaines expériences thérapeutiques menées à grande échelle aient très mal tourné. Mouais… J'avais plutôt entendu que cette maladie provenait du singe, porteur à peu près sain pendant des milliers d'années. La transmission se serait faite soir par voie sexuelle, soit en le mangeant. Ca a quand même l'avantage d'être plus crédible, je trouve…
Librekom Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 Mouais… J'avais plutôt entendu que cette maladie provenait du singe, porteur à peu près sain pendant des milliers d'années. La transmission se serait faite soir par voie sexuelle, soit en le mangeant.Ca a quand même l'avantage d'être plus crédible, je trouve… Origine L'origine du VIH serait simienne selon la théorie la plus communément admise par la communauté scientifique, basée sur l'analyse phylogénétique des lentivirus (famille à laquelle appartient le VIH) qui lie les deux types de VIH (VIH-1 et VIH-2) avec le virus d'immunodéficience simien (VIS), qui est également la cause chez les singes d'un syndrome d'immunodéficience comme le sida chez l'Homme. Selon plusieurs études, le passage du singe à l'Homme aurait eu lieu durant la fin du xixe siècle ou le début du xxe siècle. Les deux types de VIH (VIH-1 et VIH-2) infectant l'espèce humaine dérivent des virus de l'immunodéficience simienne (VIS), équivalents simiens des VIH. Ainsi certaines souches de VIH-2 sont impossible à distinguer des souches SIV retrouvées chez les mangabeys de l'Ouest Africain et il existe une superposition parfaite des zones d'épidémies humaines et simiennes pour le VIH-2. En 1990, une équipe suggérait que le VIH-1 avait pour origine les populations de chimpanzés, se basant sur l'organisation identique des génomes des souches VIH-1 et des SIV retrouvées chez les chimpanzés. En 1999, l'origine simienne des souches humaines de VIH-1 était confirmée par la mise en évidence chez des patients camerounais de souches extrêmement proches des SIV circulant chez les chimpanzés de la même région2. L'analyse phylogénétique des lentivirus a confirmé le lien entre le VIS et le VIH. Cependant, les deux types de VIH (VIH-1 et VIH-2) sont assez éloignés l'un de l'autre ; et alors que le VIH-1 est proche du VIScpz (infectant une sous-espèce de chimpanzés dit Pan troglodyte troglodyte), le VIH-2 est plus proche des VISsmm (infectant les mangabeys enfumés) et des VISmac (infectant les macaques). Ainsi, le VIH serait issu de deux introductions séparées, une pour le VIH-1 et un autre pour le VIH-2. Passage du Singe à L'homme L'infection par le VIH doit être considérée comme une zoonose au même titre que d'autres maladies virales. Le réservoir de VIS est particulièrement important, on a recensé dix-huit espèces de singes infectés par des virus très différents sur le plan génomique et antigénique, ce qui implique que de nouvelles souches pourraient infecter l'espèce humaine Le passage des différentes souches de VIS du singe à l'Homme peut être expliqué par le fait que les singes sont souvent capturés pour servir de gibier ou d'animal de compagnie, et des expositions à du sang contaminé, lors de morsures ou par blessures lors du dépeçage des animaux peuvent expliquer comment ces virus ont infecté l'homme. Bien que généralement létal pour les virus, le franchissement de la barrière des espèces, s'il réussit, peut permettre au virus de muter et ainsi s'adapter à son nouvel hôte. La datation du franchissement de la barrière des espèces n'est pas clairement définie. Mais plusieurs études font remonter l'apparition du VIH au début du xxe siècle, voir avant, entre 1884 et 1924. La théorie du vaccin anti-polio En 1992, une poignée de scientifiques, à travers un article de Tom Curtis, proposent une théorie selon laquelle le passage du VIS à l'Homme aurait pour origine une campagne de vaccination anti-polio pratiquée en République démocratique du Congo, ancienne colonie belge appelée Congo belge à l'époque. Cette dernière théorie, documentée et ayant fait l'objet de recherches, n'a jamais été acceptée par la communauté scientifique. Edward Hooper reprend cette thèse et l'étaye en recueillant documents et témoignages sur le terrain. Son travail est soutenu par le biologiste Bill Hamilton qui l'accompagne au Congo pour recueillir des données. À l'issue de ces recherches, le livre The River, A Journey to the Source of HIV and AIDS est publié, auquel fera suite le documentaire Les origines du sida. La thèse d'Edward Hooper s'appuie sur la proximité des premiers cas de sida avec les zones de vaccination intensive, ainsi que l'utilisation de reins de singes pour la production de vaccins. Le passage du VIS à l'Homme, par mutation pour donner le VIH, serait selon l'enquête d'Hooper venu de l'utilisation de chimpanzés, notamment dans le laboratoire de Stanleyville, où une ménagerie a accueilli près de 600 chimpanzés entre 1957 et 1960. L'hypothèse d'une contamination dans ce laboratoire est essentielle de ce point de vue, car un échantillon du vaccin d'origine a été testé négativement entretemps. Par ailleurs, lorsque la communauté scientifique avance que d'autres régions du monde ont bénéficié de ce vaccin sans connaître l'épidémie naissant dans l'ex-Congo belge au début des années 1980, Edward Hooper propose de mettre à l'épreuve certaines de ses hypothèses sur le cheminement des différentes souches de virus en prenant en compte le contexte historique, notamment aux États-Unis, à Haïti, et en Allemagne de l'Ouest. De façon générale, la spécificité de la campagne de vaccination menée par Hilary Koprowski au Congo belge sur un million d'Africains se trouve dans son utilisation du chimpanzé au mépris de toute considération sanitaire selon l'enquête du journaliste. Selon les tenants de cette hypothèse, la théorie d'une transmission accidentelle du singe à l'Homme au cours d'une chasse n'explique ni pourquoi cette maladie est apparue soudainement alors que le singe est chassé en Afrique depuis des milliers d'années sans apparition de virus, ni la simultanéité de l'apparition des cas contaminés. Cette explication est réfutée par la communauté scientifique, notamment par le biais d'une étude parue dans la revue Nature en 2004 qui écarte catégoriquement cette hypothèse . Étude à laquelle Hooper a répondu par plusieurs articles dénonçant les conflits d'intérêts des intéressés dans ce domaine. Réalisée dans le cadre de la controverse, l'étude de Bette Korber remet en cause la date de l'apparition mais son équipe a reconnu que leurs travaux ne permettaient pas de remettre définitivement en cause le scénario décrit par Hooper. Pour que ce scénario soit valable selon eux, le vaccin anti-polio aurait dû produire neuf versions génétiquement distinctes du VIH, ce qui a été estimé impossible. Pour sa part, Hooper reste certain que son hypothèse est correcte et que la campagne de vaccination à grande échelle a pu produire de multiples versions du VIH. Gerry Myers, travaillant tout comme Bette Korber à Los Alamos juge que les données produites ne permettent en rien de trancher et que la conclusion de Korber « n'est qu'un pur jugement ». Origine de l'épidémie VIH L'Homme ayant vécu avec le singe à ses côtés depuis toujours et ce dernier étant porteur du SIV depuis au moins plusieurs milliers d'années, la question se pose des raisons qui ont fait que la large diffusion du VIH n'a eu lieu qu'au xxe siècle (que cela soit pour le VIH-1 ou le VIH-2). Les hypothèses avancées sont que les VIS ne seraient pas particulièrement adaptés à l'espèce humaine et que les éventuelles contaminations survenues par le passé seraient restées isolées faute de conditions épidémiologiques suffisamment favorables à la diffusion de ces virus dans notre espèce. Ainsi l'isolement dû à l'absence de moyens de transport modernes (tels que la voiture, le bus ou encore l'avion) et l'absence de développement de villes importantes auraient empêché le VIH de se propager. Mais au cours du xxe siècle, l'apparition de techniques médicales comme des injections ou des transfusions sanguines aurait favorisé la pénétration et la diffusion des VIS chez l'homme. L'origine de l'épidémie, devenue par la suite une véritable pandémie, est expliquée par le développement de l'urbanisation, la paupérisation, la prostitution, les déplacements de populations, les changements de comportement sexuel et l'apparition des drogues injectables. Premiers cas documentés Le premier signe documenté d'infection par le VIH chez l'Homme remonte à 1959, année où une prise de sang est effectuée sur un homme à Léopoldville (l'actuelle Kinshasa), dans le Congo Belge. Suivent alors plusieurs patients atteints de maladies rares (notamment la maladie de Kaposi), aujourd'hui considérées comme maladie opportunistes dans les cas d'infections par le VIH. Des tests VIH ont par la suite confirmé la présence du virus. En 1969, un adolescent afro-américain de quinze ans meurt à l'hôpital de Saint-Louis (Missouri) d'une forme particulièrement violente de maladie de Kaposi. Un test VIH est effectué en 1987 par des chercheurs de l'université Tulane qui détectent la présence du VIH-1 dans le sang de l'adolescent, confirmant ainsi les soupçons apparus dès 1984. Lors de son entretien avec les médecins, le garçon avait déclaré être né à Saint-Louis et n'avoir jamais voyagé ou reçu de transfusion sanguine. Les médecins soupçonnaient le garçon d'être un prostitué, ce qui soutiendrait la thèse d'une contamination sexuelle et impliquerait l'existence d'un cas préalable aux États-Unis. En 1976, un matelot norvégien, sa femme et leur fille de neuf ans meurent des suites du sida. Le matelot avait présenté les premiers signes d'infections dès 1966, soit quatre ans après avoir séjourné dans des ports le long des côtes de l'Afrique de l'Ouest. En 1977, un chirurgien danois, le docteur Grethe Rask, décède des suites du sida, après avoir séjourné au Congo dans les années 1970. Début de l'épidémie C'est le 5 juin 1981 que commence officiellement l'épidémie de Sida, lorsque le CDC note dans sa revue Morbidity and Mortality Weekly Report une recrudescence de cas de pneumocystose chez cinq hommes homosexuels à Los Angeles. Dans les mois qui suivent, de plus en plus de cas sont recensés dans plusieurs autres villes du pays et il est noté chez plusieurs de ces personnes un état d'immunodépression. En raison du fait que nombre de patients ont eu de nombreuses relations sexuelles, il est suggéré en juin 1982 qu'un agent infectieux transmis sexuellement pourrait être la cause de cette immunodépression, mais rien n'est vraiment sûr à ce moment. Comme les premiers malades sont exclusivement homosexuels, le syndrome est appelé par certains le gay-related immunodeficiency disease (GRID), mais les autorités sanitaires se rendent compte rapidement que d'autres personnes sont touchées, comme les hémophiles, les usagers de drogues par injection intraveineuse hétérosexuels, ou encore des immigrants haïtiens. En vu d'abandonner cette dénomination erronée, le CDC créé le terme Acquired immune deficiency syndrome (AIDS), qui est ensuite traduit dans d'autres langues : afrikaans : Verworwe Immuniteits Gebrek Sindroom (VIGS) espagnol : Síndrome de Inmunodeficiencia Adquirida (SIDA) français : syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA) irlandais : Siondróm Easpa Imdhíonachta Faighte (SEIF) portugais : Síndrome da Imunodeficiência Adquirida (SIDA ou AIDS au Brésil) russe : Синдром приобретённого иммунного дефицита (SPID) ou иммунодефицита La découverte en 1983 de l'agent infectieux, le virus de l'immunodéficience humaine (VIH), marque le début de la recherche sur ce virus qui en décembre 2007 est la cause de plus de 30 millions de personnes depuis la découverte du Sida en 1981. Théories diverses : Facteurs environnementaux : En 1990 dans son livre Le Temps du sida, l'homéopathe Michel Bounan émet une hypothèse controversée qui lie le sida avec les conditions d'existence dégradées produites par les sociétés modernes industrielles (pollutions, médicaments, alimentation). Sa thèse ne porte pas sur l'origine du sida, mais sur ses conditions d'apparition. Campagnes de vaccination de l'OMS : Le 11 mai 1987, le London Times publie un article intitulé Le vaccin antivariolique à l'origine du sida présentant l'hypothèse du docteur William Campbell Douglass qu'il a rendue publique en septembre 1987 lors d'une conférence organisée par la Fédération nationale de la Santé (National Health Federation) à Monrovia en Californie. Selon l'article du London Times un conseiller du l'OMS a déclaré : « Maintenant je crois que cette campagne de vaccination est à l'origine de l'explosion du sida ». Pour sa part, Robert Gallo aurait également déclaré que le vaccin « peut effectivement activer une infection dormant comme celle du VIH », mais il n'a plus jamais parlé de cela. L'accusation de l'OMS par Douglass vient d'un passage d'un Bulletin de l'OMS de 1972 où il est proposé d'étudier si les virus sont capables d'avoir des effets sélectifs sur le système immunitaire. Pour Douglass la chose est claire : « C'est ce que fait le sida. Ce que l'OMS dit mot pour mot c'est cuisinons un virus qui détruira de façon sélective les cellules T d'un individu, une immunodéficience acquise ». Origine non rétrovirale : Cette hypothèse conclut à une erreur de jugement de la part de la communauté scientifique en ce qui concerne l'épidémiologie de la maladie et plus particulièrement le lien de cause à effet entre le VIH et le sida. Cette hypothèse est rejetée par la quasi-totalité de la communauté scientifique.
L'affreux Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 Merci pour l'article. (Mais tu as oublié de donner la source.) Mouais… J'avais plutôt entendu que cette maladie provenait du singe, porteur à peu près sain pendant des milliers d'années. La transmission se serait faite soir par voie sexuelle, soit en le mangeant.Ca a quand même l'avantage d'être plus crédible, je trouve… Le VIH vient du singe, ça je crois que c'est à peu près sûr. La thèse du vaccin fabriqué à base de cellules de singe est crédible, en fait, ça aurait été un coup de bol énorme s'il n'y avait pas eu de transmission par cette voie-là. Par contre manger du singe ne contamine pas plus que d'embrasser un séropositif. D'ailleurs sinon pour quelle raison le VIH aurait attendu le XXe siècle pour contaminer l'espèce humaine ? Jamais entendu parlé d'un rapport avec l'État russe.
h16 Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 Jamais entendu parlé d'un rapport avec l'État russe. Tu n'as pas fait une dépression, récemment ? Une petite tentative de suicide ? Non ? Même pas un peu ?
TODA Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 Je ne sais pas si c'est LA source, mais je suis tombé un jour sur un blog qui nous explique l'invention de la culture hétérosexuelle : http://heterosexualite.blogs.liberation.fr/ J'ai lu quelques articles et c'était assez tordu EN EFFET merci de m'avoir fait découvrir un tel site, j'ai de l'imagination,mais là… j'me couche!!!
h16 Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 Pardon ? Non, rien, je faisais du Pandi. C'est lui qui nous dit que ce sont les Russes qui auraient introduit le VIH…
E.T. bleu Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 EN EFFET merci de m'avoir fait découvrir un tel site, j'ai de l'imagination,mais là… j'me couche!!! Juste des gens qui s'identifie par leur sexualité, pense le monde comme un objet sexuel …
Librekom Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 Pardon ? je n'ai moi non plus, pas compris l'humour d'H16 pour le coup Merci pour l'article. (Mais tu as oublié de donner la source.) Encyclopédie Universalis 2009
h16 Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 je n'ai moi non plus, pas compris l'humour d'H16 pour le coup Non, rien, je faisais du Pandi. C'est lui qui nous dit que ce sont les Russes qui auraient introduit le VIH…
Librekom Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 Juste des gens qui s'identifieNT par leur sexualité, penseNT le monde comme un objet sexuel … Attention, je crois que je vais avoir un orgasme orthographique, je viens de trouver les fautes d'un autre ! La théorie de l'auteur est que l'hétérosexualité n'a pas toujours été valorisée de façon égale à travers les époques et que le modèle familiale "Papa, maman, bébé" n'a pas toujours coulé de source comme on a tendance à le croire. Il explique comment ce modèle s'est installé et s'est imposé et surtout comment et pourquoi l'homosexualité a hériter d'une si mauvaise publicité. Il n'y a rien de fou la dedans, on peut démonter ses théorie une par une, ça n'en fait pas un fou pour autant.
E.T. bleu Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 Juste des gens qui s'identifie par leur sexualité, pense le monde comme un objet sexuel … Heu je voulais dire "un couple de gens"
Librekom Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 Bon et bien voilà, j'ai trouvé une bonne intro du bouquin proposée par léditeur lui même : Le monde qui nous entoure est tout entier obsédé par l'imaginaire du couple hétérosexuel. Les contes de l'enfance, les magazines des adultes, le cinéma et la télévision, la publicité et les chansons populaires, tout célèbre à l'envi le couple de l'homme et de la femme. C'est un empire invisible, la nature la plus "naturelle". Or, Louis-Georges Tin montre que les sociétés humaines n'ont pas toujours accordé au couple homme-femme cette place éminente dans les représentations culturelles. En Occident, cet état de fait n'a commencé qu'à partir du XIIe siècle, avec le développement de l'amour courtois ; et les groupes dominants, le clergé, la noblesse, puis le corps médical, n'ont cessé de développer des stratégies de résistance pour s'y opposer. Avant de devenir la norme, le couple homme-femme a donc été très longtemps contesté… En définitive, l'auteur nous invite à accomplir une véritable révolution : sortir l'hétérosexualité de l'ordre de la Nature" et la faire entrer dans l'ordre du Temps", c'est-à-dire dans l'Histoire. Une histoire de l'hétérosexualité ! A côté de l'histoire des femmes et de l'histoire de la sexualité, Louis-Georges Tin propose ainsi à la recherche universitaire un champ nouveau. une autre note a propos du même livre : Depuis des siècles, des milliers d’ouvrages ont été consacrés au mariage, à la famille, à l’amour ou à la sexualité des hétérosexuels, mais en fait, l’hétérosexualité en tant que telle n’apparaissait guère dans ces écrits : elle était en général le point de vue, et donc le point aveugle de toute vision. Partout présente, mise en scène, exaltée, elle échappait cependant à toute interrogation, comme si elle était transparente à elle-même, comme si elle était en-deçà de toute réflexivité. En ce sens, l’absence de réflexion sur l’hétérosexualité est en elle-même un fait remarquable, quoique rarement remarqué. Dans ces conditions, comme le sujet est à la fois très original (dans le monde, les ouvrages sur l’hétérosexualité elle-même sont rarissimes) et très commun (dans le monde, beaucoup de personnes sont concernées de près ou de loin par l’hétérosexualité), cet ouvrage devrait susciter l’intérêt général. L’originalité du livre réside non seulement dans le thème choisi (l’hétérosexualité), mais aussi dans la thèse défendue : l’hétérosexualité a une histoire.[…] Cette vaste fresque historique conduit ainsi le lecteur de Chrétien de Troyes jusqu’à Sigmund Freud, et elle invite à revisiter sous un angle inédit les grands mythes issus du Moyen Âge comme Tristan et Yseult, des événements historiques marquants comme le procès des Templiers, les auteurs classiques comme Corneille et Molière, et des problématiques sociales comme le mariage ou la maladie d’amour…
AX-poulpe Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 Attention, je crois que je vais avoir un orgasme orthographique, je viens de trouver les fautes d'un autre !La théorie de l'auteur est que l'hétérosexualité n'a pas toujours été valorisée de façon égale à travers les époques et que le modèle familiale "Papa, maman, bébé" n'a pas toujours coulé de source comme on a tendance à le croire. Il explique comment ce modèle s'est installé et s'est imposé et surtout comment et pourquoi l'homosexualité a hériter d'une si mauvaise publicité. Il n'y a rien de fou la dedans, on peut démonter ses théorie une par une, ça n'en fait pas un fou pour autant.
Brock Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 Il n'y a rien de fou la dedans, on peut démonter ses théorie une par une, ça n'en fait pas un fou pour autant. on dirait quand meme une theorie pour compenser la dure realite.
Luis Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 Evidemment, c'est le monde qui a tort, et ce depuis la nuit des temps.
E.T. bleu Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 Deja qu'il n'y a pas de fille sur lib.org, si on met a debattre de l'homosexualité, on va finir lib.gay
Messages recommandés
Archivé
Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.