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L'identité sexuelle des enfants


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Posté

non mais n'importe quoi. Etales ton ignorance du sujet, vazy. :facepalm: Tu es bon pour t'inscrire chez les chiennes de garde, tu as déjà complètement avalé la théorie du genre culturellement déterminé, alors qu'elle a été démontré fausse et qu'elle a ruiné la vie de dizaines de milliers d'intersex :facepalm: Le piétinage en règle du malheur des malades de dystrophie de genre, tu t'en bats aussi les steaks, manifestement.

 

+1

je crois qu'il a accroche sur la partie ou les parents laissent l'enfant partir dans son trip.Connaissant les bambins ca peut aller de l'insistance gerable a la crise totale incontrolable et systematique...Je vais pas leur jeter la pierre tout de suite.

Posté

Ça l'aide à s'épanouir et à ne pas finir suicidé(e) avant 30 ans comme la plupart de ceux qui ont cette maladie

 

Si on n'avait pas acheté à ce gamin des vêtements de fille et de princesse et si on n'avait pas accepté de la désigner au féminin, ça l'aurait poussé au suicide ? Si je vais vite en besogne, je ne suis pas le seul ici.

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c'est parce qu'on ne sait pas comment etait le comportement du gamin a ce moment, entre caprice et crise de refus total il y a de la marge.

Ne me remerciez pas de formuler des evidences, tout le monde a envie de vous voir discutailler tous les deux ce point de detail pendant 4 pages sans reussir a verbaliser l'imprecision.

Posté

Si on n'avait pas acheté à ce gamin des vêtements de fille et de princesse et si on n'avait pas accepté de la désigner au féminin, ça l'aurait poussé au suicide ? Si je vais vite en besogne, je ne suis pas le seul ici.

Le taux de mortalité de la dysphorie de genre est 41%, indirectement, par les dépression, angoisse et psychose qu'il entraîne faute de traitement. Si ton gamin a un diabète, tu le soignes. Là c'est pareil.
Posté

Le taux de mortalité de la dysphorie de genre est 41%, indirectement, par les dépression, angoisse et psychose qu'il entraîne faute de traitement. Si ton gamin a un diabète, tu le soignes. Là c'est pareil.

 

Mais la gonzesse ne parle d'aucun traitement, ne remercie aucun médecin. La seule entité qu'elle loue (à Dieu), c'est google pour lui avoir fait découvrir

le mot "transgenre".

Posté

Ce qui est interessant de voir dans ce débat, c'est que finalement, certaines vieilles conserves de droite et les militants LGBT ont le même discours : l'homosexualité et le transgenre est un phénomène 100% culturel/social.

Les premiers pensent que plus il y a de gay, plus il y en aura (et que donc des parents homosexuels ont plus de chances d'avoir des enfants homo), les seconds font une fixette sur la pression sociale et culturelle.

Mais au final c'est la même chose : le cerveau est vu comme une page blanche parfaitement adaptable et modelable.

Posté

Mais la gonzesse ne parle d'aucun traitement, ne remercie aucun médecin. La seule entité qu'elle loue (à Dieu), c'est google pour lui avoir fait découvrir

le mot "transgenre".

Yep. Parce que comme ça elle a enfin su que son fils n'était pas une aberration mystérieuse, mais malade d'un désordre CONNU et TRAITABLE et donc qu'il y a des diagnostics fiables, des médecins spécialisés dans ce désordre, des groupes de soutien, d'autres malades ayant grandi et pouvant les rassurer, etc.

On passe de "WTF !? Is my kid gonna die or go crazy or what ? What is normal and what ain't ? Why is this happening ? What have I done wrong ?" à "My son has been diagnosed with GID and is undergoing treatment, we'll all be fine." Une putain de différence, surtout pour des jeunes parents.

L'Internet est la meilleure chose qui est arrivée à tous les malades de trucs rares dont la quasi-totalité des généralistes de la planète ne soupçonnent même pas l'existence.

Posté

Tu parles de traitement. Quel traitement ? La chirurgie des parties génitales et les traitements hormonaux, tels que proposés dans le DSM ? Je croyais justement que tu avais en horreur ce genre de trucs, avec raison.

Posté

Ce qui est interessant de voir dans ce débat, c'est que finalement, certaines vieilles conserves de droite et les militants LGBT ont le même discours : l'homosexualité et le transgenre est un phénomène 100% culturel/social.

Les premiers pensent que plus il y a de gay, plus il y en aura (et que donc des parents homosexuels ont plus de chances d'avoir des enfants homo), les seconds font une fixette sur la pression sociale et culturelle.

Mais au final c'est la même chose : le cerveau est vu comme une page blanche parfaitement adaptable et modelable.

 

C'est étrange, les quelques militant(e)s LGBT que je connais pensent au contraire que l'homosexualité et le transsexualisme sont des faits naturels, et critiquent justement la vision de ceux qui parlent d'un "ordre naturel des choses" ou d'une "décadence à l'origine de l'homosexualité", ou le fameux "ils vont changer nos garçons en petites filles / gays / hermaphrodites". Après j'ai cru comprendre que certains mouvements anglo-saxons étaient vachement orientés dans l'idée que c'est un choix (histoire que ça ne soit pas détectable dans les gènes, etc...), mais je connais moins ce qui se passe de l'autre côté de la mer / océan...

 

Posté

Tu parles de traitement. Quel traitement ? La chirurgie des parties génitales et les traitements hormonaux, tels que proposés dans le DSM ? Je croyais justement que tu avais en horreur ce genre de trucs, avec raison.

 

agreu

 

en horreur quand is sont le fruit d'une decision administrative de merde faite par des incompetents.Sur le domaine strictement prive c'est tout autre chose.La position de Jesrad n'est pas une critique manicheene des vilains zomos comme certains conservateurs aiment a les avoir ici.

Posté

C'est étrange, les quelques militant(e)s LGBT que je connais pensent au contraire que l'homosexualité et le transsexualisme sont des faits naturels, et critiquent justement la vision de ceux qui parlent d'un "ordre naturel des choses" ou d'une "décadence à l'origine de l'homosexualité", ou le fameux "ils vont changer nos garçons en petites filles / gays / hermaphrodites". Après j'ai cru comprendre que certains mouvements anglo-saxons étaient vachement orientés dans l'idée que c'est un choix (histoire que ça ne soit pas détectable dans les gènes, etc...), mais je connais moins ce qui se passe de l'autre côté de la mer / océan...

 

 

la frange mongole du camp conservateur pense qu'un garcon c'est un garcon et qu'un garcon qui se prend pour une fille est un menteur decadent.Ils nient donc la realite physiologique de la partie mentale de la maladie

Le camp lgbt pense qu'un cerveau n'a pas de sexe et que chacun peut avoir le sexe qu'il veut independamment de son phenotype.Ils nient donc la realite physiologique de la structuration mentale du sexe du cerveau.

 

Ces deux categories de cretins s'unissent dans la gogolerie pour manquer 34.3% de la realite comme des gros trisos, ils meritent donc qu'on se moque d'eux en les montrant du doigt.

Posté

+1 Jim16

FabriceM: pour préciser, ce que j'ai en horreur c'est la "rectification génitale" infligée aux enfants intersexués, souvent avant leurs 2 ans, alors que ce genre de chirurgie n'est pas triviale, pas du tout nécessaire à la bonne santé, régulièrement faite dans le sens qui ne convient pas à la victime (exemple récent, le petit M.C. opéré pendant que les services sociaux US en avaient la garde, charcuté et stérilisé pour en faire une fille alors que c'est un garçon), et qui introduit souvent des complications pas négligeables du tout comme stérilité, impotence, risque accru d'infections génito-urinaires, perte importante de sensibilité voire de fonction sexuelle, etc.

Comme l'explique bien Jim16, le fondement commun entre les délires de "plasticité du genre" des gauchistes et de la persécution génitale des Talibans occidentaux modernes qui n'imaginent pas un instant qu'on puisse grandir sainement sans avoir été mutilé en bas âge si on a le malheur de se trouver quelque part sur l'échelle de Prader, c'est la même négation du déterminant biologique, et cette idée maintes fois infirmée par la science que l'on peut "dresser" un gamin jusqu'à le faire changer de genre dans sa tête.

Posté

L'homosexualité n'est pas un choix est de fait un cri de ralliement de tous ceux qui soutiennent la cause des homosexuels, y compris mes féministes de genre. Et oui, ça va à l'encontre de la théorie du genre, mais double pensée toussa.

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qu'est-ce que tu entends par "soutenir la cause des zomos?" les zomos ont une cause ? tous? et on la soutient en contredisant les discours trisos? ou en observant de leur trisomie?

Posté

Il y a tout de même chez certaines personnes une réception de la dysphorie de genre qui m'étonne toujours.

 

Je prends un exemple pour illustrer mon propos : l'Apotemnophilia ou Body Integrity Identity Disorder ( http://biid.org/ ). Il s'agit d'une maladie mentale à cause neuro-physiologique (peut-être un mauvais mapping du corps dans le cerveau) dans laquelle le patient peut avoir le sentiment qu'un de ses membres ne lui appartient pas. Il ne suffit pas de le rassurer sur le mode "si, si je t'assure c'est bien ton bras, lol". Les thérapies cognitives ou les traitements psychotropes sont souvent impuissants alors que la maladie est potentiellement mortelle ; il n'est pas rare que de tels patients se suicident ou s'amputent à l'arrache (pas à la tronçonneuse, mais à l'aide d'un train et de voies de chemin-de-fer) et meurent des suites de leurs blessures. Pour prévenir cette extrémité des chirurgiens accèdent donc à la demande d'amputer un membre sain et totalement fonctionnel. Un traitement efficace, attendu par tous, pourrait éviter de tels mutilations.

 

Mais dans le cas où le membre en trop est la bite (bon je simplifie, mais soyez indulgents je tiens l'essentiel de mes connaissance médicales du visionnage de House M.D.), alors là, tout d'un coup, plus questions de parler de maladie ou de traitement :

 

ex. l'article "Troubles de l'identité sexuelle" du wikipedia français :

 

En dépit de toute classification allant dans le sens contraire, l’orientation sexuelle et l’identité de genre d’une personne ne sont pas en soi des maladies et ne doivent pas être traitées, soignées ou supprimée

 

Thomas Hammarberg, commissaire aux droits de l'homme du Conseil de l'Europe est aussi de la même opinion contre toute classification psychiatrique pour les transgenres.

 

« Le Guide des activistes » sur les Principes de Jogjakarta affirme aussi qu'il est important de savoir que les troubles de l'identité sexuelle ont été déclassifiés comme maladie mentale dans de nombreux pays. Etc, etc

 

WTF?

Posté

[..].

 

Dans le cas évoqué dans la vidéo, je ne vois toujours pas quel genre de traitement tu attendrais/préconiserais. Après, je ne veux pas abuser (enfin, pas plus).

Posté

FabriceM: pour préciser, ce que j'ai en horreur c'est la "rectification génitale" infligée aux enfants intersexués, souvent avant leurs 2 ans, alors que ce genre de chirurgie n'est pas triviale, pas du tout nécessaire à la bonne santé, régulièrement faite dans le sens qui ne convient pas à la victime (exemple récent, le petit M.C. opéré pendant que les services sociaux US en avaient la garde, charcuté et stérilisé pour en faire une fille alors que c'est un garçon), et qui introduit souvent des complications pas négligeables du tout comme stérilité, impotence, risque accru d'infections génito-urinaires, perte importante de sensibilité voire de fonction sexuelle, etc.

Je sais qu'il s'agit d'une autre question que les malformations génitales, mais si on part du principe que la transsexualité est due strictement à un désordre biologique, alors elle devrait potentiellement être détectable très tôt. Un changement de sexe "préventif" pourrait-il être envisagé dans un tel cas ?

 

Mais dans le cas où le membre en trop est la bite (bon je simplifie, mais soyez indulgents je tiens l'essentiel de mes connaissance médicales du visionnage de House M.D.), alors là, tout d'un coup, plus questions de parler de maladie ou de traitement :

 

ex. l'article "Troubles de l'identité sexuelle" du wikipedia français :

 

En dépit de toute classification allant dans le sens contraire, l’orientation sexuelle et l’identité de genre d’une personne ne sont pas en soi des maladies et ne doivent pas être traitées, soignées ou supprimée

 

Thomas Hammarberg, commissaire aux droits de l'homme du Conseil de l'Europe est aussi de la même opinion contre toute classification psychiatrique pour les transgenres.

 

« Le Guide des activistes » sur les Principes de Jogjakarta affirme aussi qu'il est important de savoir que les troubles de l'identité sexuelle ont été déclassifiés comme maladie mentale dans de nombreux pays. Etc, etc

 

WTF?

C'est pour ne pas stigmatiser. Et oui, c'est débile.

Posté

C'est étrange, les quelques militant(e)s LGBT que je connais pensent au contraire que l'homosexualité et le transsexualisme sont des faits naturels, et critiquent justement la vision de ceux qui parlent d'un "ordre naturel des choses" ou d'une "décadence à l'origine de l'homosexualité", ou le fameux "ils vont changer nos garçons en petites filles / gays / hermaphrodites". Après j'ai cru comprendre que certains mouvements anglo-saxons étaient vachement orientés dans l'idée que c'est un choix (histoire que ça ne soit pas détectable dans les gènes, etc...), mais je connais moins ce qui se passe de l'autre côté de la mer / océan...

 

 

Naturel au sens "normal" pas tellement au sens "génétique".

Pour beaucoup (pas tous heureusement) c'est la société qui t’assignes un rôle mâle ou femelle et donc la société qui oppresse en ne laissant le choix que dans l'un des deux (et grosso modo, ils n'ont pas tout à fait tord mais pour eux c'est fasciste et c'est tout, ils se demandent pas pourquoi toutes les sociétés du monde ont fonctionné comme ça). Et donc pour les plus extrémistes, ton sexe ou ton orientation sexuelle n'est pas donné, il/elle est "contruit(e) socialiement" (et par là ils jettent le discrédit sur une notion intéressante et qui est devenu un fourre tout portnawak, l'idée de "construction sociale" mais c'est un autre débat). Bref, environnement social.

Et on a bien vu chez certains droitards durant les "débats" sur le mariage gag que "parents pd = enfants pd" : environnement social aussi qui détermine ton orientation sessouel.

 

J'ai déjà trollé un pote féministe la dessus, résultat garanti.

 

 

"mé non sé papareil"

 

la frange mongole du camp conservateur pense qu'un garcon c'est un garcon et qu'un garcon qui se prend pour une fille est un menteur decadent.Ils nient donc la realite physiologique de la partie mentale de la maladie

Le camp lgbt pense qu'un cerveau n'a pas de sexe et que chacun peut avoir le sexe qu'il veut independamment de son phenotype.Ils nient donc la realite physiologique de la structuration mentale du sexe du cerveau.

 

Ces deux categories de cretins s'unissent dans la gogolerie pour manquer 34.3% de la realite comme des gros trisos, ils meritent donc qu'on se moque d'eux en les montrant du doigt.

 

voilà

Posté

la frange mongole du camp conservateur pense qu'un garcon c'est un garcon et qu'un garcon qui se prend pour une fille est un menteur decadent.Ils nient donc la realite physiologique de la partie mentale de la maladie

Le camp lgbt pense qu'un cerveau n'a pas de sexe et que chacun peut avoir le sexe qu'il veut independamment de son phenotype.Ils nient donc la realite physiologique de la structuration mentale du sexe du cerveau.

 

Ces deux categories de cretins s'unissent dans la gogolerie pour manquer 34.3% de la realite comme des gros trisos, ils meritent donc qu'on se moque d'eux en les montrant du doigt.

 

Naturel au sens "normal" pas tellement au sens "génétique".

Pour beaucoup (pas tous heureusement) c'est la société qui t’assignes un rôle mâle ou femelle et donc la société qui oppresse en ne laissant le choix que dans l'un des deux (et grosso modo, ils n'ont pas tout à fait tord mais pour eux c'est fasciste et c'est tout, ils se demandent pas pourquoi toutes les sociétés du monde ont fonctionné comme ça). Et donc pour les plus extrémistes, ton sexe ou ton orientation sexuelle n'est pas donné, il/elle est "contruit(e) socialiement" (et par là ils jettent le discrédit sur une notion intéressante et qui est devenu un fourre tout portnawak, l'idée de "construction sociale" mais c'est un autre débat). Bref, environnement social.

Et on a bien vu chez certains droitards durant les "débats" sur le mariage gag que "parents pd = enfants pd" : environnement social aussi qui détermine ton orientation sessouel.

 

J'ai déjà trollé un pote féministe la dessus, résultat garanti.

 

 

"mé non sé papareil"

 

D'accord, j'essayerai de me renseigner là dessus alors... J'ai plus fréquenté les féministes que les militants LGBT, même si aujourd'hui ces mouvements sont généralement associées.

Je trouve ça totalement paradoxal de ne pas considérer l'existence du sexe dit biologique et à la fois de l'identité sexuée, surtout si l'on s'intéresse au transsexualisme. S'il n'y a pas opposition entre les deux, les transsexuels n'auraient aucun problème avec leur corps et leur ressenti, par définition ? Et sur la question du genre, effectivement c'est un autre débat, mais c'est rarement clair chez tout le monde puisque la définition et les concepts varient énormément d'un interlocuteur à l'autre.

Résultat, vous distinguez bien trois éléments ?

- sexe biologique (avec ses caractéristiques anatomiques, physiques, génétiques, etc... du pôle "mâle" au pôle "femelle" en passant par les intersexués, etc...).

- identité sexuée (avec la composante psychologique, psychique, mentale, etc... d'où les transsexuels).

- genre (avec la définition sociale/ culturelle de la féminité et de la masculinité, étudiée par l'anthropologie, l'ethnologie, la sociologie, l'archéologie, etc...).

  • 4 months later...
Posté

 

http://assigneegarcon.tumblr.com/page/3

 

Ils peuvent pas faire plus didactique? Je suis pas sûr d'avoir bien bien compris le message.

 

C'est un peu le pendant des mauvaises chansons engagées ou des mauvais jeux éducatifs de l'EdNat (genre la fameuse chasse aux stéréotypes) : un premier degré désespérant et une incapacité à suggérer l'idée au sein d'une narration autosuffisante.

Posté

http://assigneegarcon.tumblr.com/page/3

 

Ils peuvent pas faire plus didactique? Je suis pas sûr d'avoir bien bien compris le message.

 

C'est un peu le pendant des mauvaises chansons engagées ou des mauvais jeux éducatifs de l'EdNat (genre la fameuse chasse aux stéréotypes) : un premier degré désespérant et une incapacité à suggérer l'idée au sein d'une narration autosuffisante.

 

En gros, ce qui te dérange c'est que le message soit direct et sans détour ?

 

Posté

Ce n'est pas que ça me dérange, mais je ne vois ce que ça gagne à être une bande dessinée, et je remarque que c'est une caractéristique de beaucoup de productions culturelles motivée par l'idéologie, quelle qu'elle soit.

Posté

Je ne crois pas. En l’occurrence ici, l'auteure aime particulièrement dessiner donc c'est logique qu'elle choisisse ce support pour raconter son histoire et partager son point de vue. Mais autrement s'il semble y avoir aujourd'hui plus de bandes dessinées engagées qu'avant, c'est certainement à cause du développement du média internet de manière générale et de ce genre de format. Ensuite, si l'on en entend plus souvent parler, c'est probablement car la forme plait, elle parait moins rébarbative, plus abordable, etc... Alors que le contenu classique (texte, article...) est toujours aussi présent mais peut être simplement moins partagé.

Posté

Certes certes, mais je reste persuadé que la qualité d'un travail qui n'a pas recours à l'exposé explicite des idées est supérieure.

 

Par exemple, si Ayn Rand fut, en plus d'être une piètre philosophe, un écrivain de second rang, c'est parce qu'elle n'avait pas le talent nécessaire à la production d'une oeuvre qui ne soit pas une simple illustration de sa doctrine, voire une exposition verbatim. Discours de John Galt : quand l'auteur de fiction ne sait plus ni comment suggérer ni comment même ne faire qu'illustrer, il fait dire.

 

Alors tu peux toujours me dire qu'en fait ce blog n'est pas un travail de fiction mais plutôt une sorte de dialogue socratique, mais j'avoue que l'aspect dialectique m'échappe.

 

Celui là est pas mal :

 

http://assigneegarcon.tumblr.com/page/48

Posté

Il n'y pas une contradiction logique entre le discours sur le genre comme exclusivement construction sociale et l'existence du transexualisme qui visiblement débute dès que le gosse sait parler ?

Posté

Il n'y pas une contradiction logique entre le discours sur le genre comme exclusivement construction sociale et l'existence du transexualisme qui visiblement débute dès que le gosse sait parler ?

 

Le genre est par définition une construction sociale et il existe déjà chez les parents et dans la société avant d'être attribué à l'enfant. Donc je ne vois pas la contradiction logique, mais j'ai peut être mal compris la question... :jesaispo:

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