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Nick de Cusa

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Juste pour que je comprenne bien :

 - 560 visites : c'est le nombre d'ordinateurs ayant accédés à la page?

 - 620 pages vues : c'est le nombre de fois où la page a été affichée?

 

En tout cas, c'est pas mal d'apporter sa modeste contribution à la diffusion d'idées libérales...

 

- 1 visite peut compter plusieurs fois la même page vue (c'est un type qui recharge la page).

- 1 page vue, c'est un affichage de la page dans un browser.

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Je prends : rendu pour mardi soir.

 

Italian Decline (in 3 charts)

 

Par l’ ITALIANALLEGRO posted on DECEMBER 2, 2012

 

Certains de mes étudiants m’ont demandé quel fait pourrait montrer, de la manière la plus éloquente, le déclin de l’économie Italienne depuis les 10 à 15 dernières années. La meilleure “image” de ce déclin est, à mon avis, le “PIB italien par habitant / pouvoir d’achat standard – PAS”, calcul rapporté en base 100 sur la moyenne des mêmes données pour les 27 pays de l’Union Européenne. De cette manière, nous obtenons une ligne qui diminue très rapidement, continûment et sans aucun signe de changement dans la tendance : vous pouvez le voir dans le graphique ci-dessous.

 

Graphe à insérer mais mon browser bugue sur le site.

 

PIB PAR HABITANT

 

Dans le milieu des années 1990, le “PIB Italien par habitant en pouvoir d’achat standard PAS” était 21% supérieur au-dessus de la moyenne des 27 pays membres de l’actuelle Union Européenne, et même 6% au-dessus de la moyenne des 15 pays originaux de l’Union Européenne. En 2003, le chiffre italien est descendu sous la valeur moyenne des 15 pays membre, et à la fin de la décennie la différence avec la moyenne des 27 pays membres de l’UE s’est établi à 0.

A côté de l’”image” du déclin Italien, il est utile d’observer les différentes évolutions du PIB en Italie et dans l’Union Européenne. Le graphique suivant montre les deux “PIB réels” depuis 1995.

 

Graphe à insérer mais mon browser bugue sur le site.

 

PIB de l’Italie et de l’Europe des 26 (EU 27 – Italie)

 

Depuis 1995, l’Italie a toujours eu  moins de croissance que le reste de l’Union Européenne (sauf en 1999-2000) : de 1995 à 2007, la dernière année avant la crise en Italie, nous avons accumulé une croissance totale de 20% (par rapport à 38% pour le reste de l’Union Européenne), mais à peu près la moitié de cette croissance a été perdue en 2008-2009, et la petite amélioration de 2010-2011 a été complètement consumée par la récession suite à la hausse des impôts en 2012.

Résultat final? Pendant qu’en 2012, le reste de l’Union Européenne (qui contient également les autres pays faisant face à des “problèmes” sauf nous), a complètement regagné le niveau de PIB de 2007. L’Italie ne l’a pas fait et notre PIB est de retour au niveau de 2001, trois mandats politiques plus tôt.

Mais il y a quelque chose de pire. Pendant cette période, la population Italienne a grandi, ainsi le PIB par habitant a diminué de manière encore plus dramatique.

 

PIB TOTAL ET PAR HABITANT DE L’ITALIE ET DE L’UE DES 26

 

Le PIB italien par habitant a diminué au niveau de 1998, l’année où l’Italie a été admise dans la monnaie européenne (l’Euro). Je sais que je vais donner un point à “grillini” (les fans du politique comique Beppe Grillo, qui demande la sortie de l’Italie de la monnaie Européenne, pour retrouver la “liberté” d’un déficit des balances de paiement), mais le graphique nous dit que, pendant toute la période avant l’adoption de l’Euro, il n’y a pas eu d’amélioration dans le PIB par habitant, et, puisque la population italienne a vieilli, et qu’il y a de plus en plus de besoins pour assurer un niveau de vie donné, nous pouvons raisonnablement croire que, même avec le même et vrai PIB par habitant, le niveau de vie moyen italien est maintenant sous le niveau de 1998.

De toute évidence une coïncidence n’est pas une cause, et l’euro n’est pas vraiment relié au déclin italien. Quand l’Italie a été admise dans l’Euro, le déficit public était sous les 3% du PIB, et grâce à la mise en place de l’Euro, et la conversion des bons du trésor italien, il y a eu une baisse dans les dépenses pour payer les intérêts de la dette, d’environ 7% du PIB.

Avec une telle chute dans les dépenses sur les intérêts, aurait-il été possible de ramener le déficit public à 0, arrêter l’augmentation du stock de dette, et accélérer sur la baisse du ratio dette sur PIB? Il aurait même été possible de diminuer les impôts sur le PIB de 4%. Si nous avions réalisé toutes ces petites choses, nous n’aurions maintenant aucune récession et aucun problème de financement de l’Etat également. Nous avons choisi de ne pas faire ces politiques, et avons été nous-même, nos gouvernements. Cela n’est pas dû à l’Euro, ou n’importe qui d’autre qui était aux affaires avant Angela Merkel.

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Italian Decline (in 3 charts)

 

Par l’ ITALIANALLEGRO posted on DECEMBER 2, 2012

 

Certains de mes étudiants m’ont demandé quel fait pourrait montrer, de la manière la plus éloquente, le déclin de l’économie Italienne depuis les 10 à 15 dernières années. La meilleure “image” de ce déclin est, à mon avis, le “PIB italien par habitant / pouvoir d’achat standard – PAS”, calcul rapporté en base 100 sur la moyenne des mêmes données pour les 27 pays de l’Union Européenne. De cette manière, nous obtenons une ligne qui diminue très rapidement, continûment et sans aucun signe de changement dans la tendance : vous pouvez le voir dans le graphique ci-dessous.

 

Graphe à insérer mais mon browser bugue sur le site.

 

PIB PAR HABITANT

 

Dans le milieu des années 1990, le “PIB Italien par habitant en pouvoir d’achat standard PAS” était 21% supérieur au-dessus de la moyenne des 27 pays membres de l’actuelle Union Européenne, et même 6% au-dessus de la moyenne des 15 pays originaux de l’Union Européenne. En 2003, le chiffre italien est descendu sous la valeur moyenne des 15 pays membre, et à la fin de la décennie la différence avec la moyenne des 27 pays membres de l’UE s’est établi à 0.

A côté de l’”image” du déclin Italien, il est utile d’observer les différentes évolutions du PIB en Italie et dans l’Union Européenne. Le graphique suivant montre les deux “PIB réels” depuis 1995.

 

Graphe à insérer mais mon browser bugue sur le site.

 

PIB de l’Italie et de l’Europe des 26 (EU 27 – Italie)

 

Depuis 1995, l’Italie a toujours eu  moins de croissance que le reste de l’Union Européenne (sauf en 1999-2000) : de 1995 à 2007, la dernière année avant la crise en Italie, nous avons accumulé une croissance totale de 20% (par rapport à 38% pour le reste de l’Union Européenne), mais à peu près la moitié de cette croissance a été perdue en 2008-2009, et la petite amélioration de 2010-2011 a été complètement consumée par la récession suite à la hausse des impôts en 2012.

Résultat final? Pendant qu’en 2012, le reste de l’Union Européenne (qui contient également les autres pays faisant face à des “problèmes” sauf nous), a complètement regagné le niveau de PIB de 2007. L’Italie ne l’a pas fait et notre PIB est de retour au niveau de 2001, trois mandats politiques plus tôt.

Mais il y a quelque chose de pire. Pendant cette période, la population Italienne a grandi, ainsi le PIB par habitant a diminué de manière encore plus dramatique.

 

PIB TOTAL ET PAR HABITANT DE L’ITALIE ET DE L’UE DES 26

 

Le PIB italien par habitant a diminué au niveau de 1998, l’année où l’Italie a été admise dans la monnaie européenne (l’Euro). Je sais que je vais donner un point à “grillini” (les fans du politique comique Beppe Grillo, qui demande la sortie de l’Italie de la monnaie Européenne, pour retrouver la “liberté” d’un déficit des balances de paiement), mais le graphique nous dit que, pendant toute la période avant l’adoption de l’Euro, il n’y a pas eu d’amélioration dans le PIB par habitant, et, puisque la population italienne a vieilli, et qu’il y a de plus en plus de besoins pour assurer un niveau de vie donné, nous pouvons raisonnablement croire que, même avec le même et vrai PIB par habitant, le niveau de vie moyen italien est maintenant sous le niveau de 1998.

De toute évidence une coïncidence n’est pas une cause, et l’euro n’est pas vraiment relié au déclin italien. Quand l’Italie a été admise dans l’Euro, le déficit public était sous les 3% du PIB, et grâce à la mise en place de l’Euro, et la conversion des bons du trésor italien, il y a eu une baisse dans les dépenses pour payer les intérêts de la dette, d’environ 7% du PIB.

Avec une telle chute dans les dépenses sur les intérêts, aurait-il été possible de ramener le déficit public à 0, arrêter l’augmentation du stock de dette, et accélérer sur la baisse du ratio dette sur PIB? Il aurait même été possible de diminuer les impôts sur le PIB de 4%. Si nous avions réalisé toutes ces petites choses, nous n’aurions maintenant aucune récession et aucun problème de financement de l’Etat également. Nous avons choisi de ne pas faire ces politiques, et avons été nous-même, nos gouvernements. Cela n’est pas dû à l’Euro, ou n’importe qui d’autre qui était aux affaires avant Angela Merkel.

 

Merci. Je publie demain. Attention à employer les termes exacts (parité pouvoir d'achat par exemple)

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Merci. Je publie demain. Attention à employer les termes exacts (parité pouvoir d'achat par exemple)

 

Merci pour l'acronyme PPS je n'avais pas trouvé la signification anglaise sur le net.

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Autorisation de traduire ?

Sauf erreur il me semble que Vader tue un de ses subordonnés, ce n'est absolument pas un bon moyen d'avoir de bon résultats, sauf à très court terme peut-être…

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Autorisation de traduire ?

Sauf erreur il me semble que Vader tue un de ses subordonnés, ce n'est absolument pas un bon moyen d'avoir de bon résultats, sauf à très court terme peut-être…

 

Oui non mais bon là il s'agit d'un article section humour, hein, pas doctrine politique :mrgreen:

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Hello à tous

 

Un second assez court aussi : Hyper inflation en Corée du Nord

 

 

 

Je prends ces deux là...


Désolée pour le délai de réponse et de mise en brouillon de l'autre article, j'ai des petits soucis techniques en ce moment... Mais je vais essayer de faire ces deux là en journee.

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Pour qui nenveut, je pense que ce billet est intéressant et mérite une traduction : http://thezikomoletter.com/2012/12/10/you-are-naturally-short-housing/

 

C'est une comparaison de l'achat/location immo avec des techniques de trading, donc qq'un qui a des connaissances du milieu trouvera ça plus facile, je suppose.

 

 

Bon article, mais peu adapté au public francophone pour lequel les crédits conso ne sont jamais adossés a la résidence principale (insaisissable), et les concepts sont à la fois simples, et difficiles à vulgariser :D

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J'ai fini la Coree, je vais prendre celui la :)

J'adore vraiment Daniel Hannan, il a un style tres fluide et tres agreable et 99,99% du temps tres clair

 

EDIT : /!\ Suite a un souci technique independant de ma volonte, je ne peux me rendre sur le Google Docs ! Est il possible d'inscrire mon nom dessus pour la prise d'article tsvp :) une bise

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Traduit:

 

 

 

La muraille de Chine de la BCE : toujours une passoire ?On a jeté un coup d’œil à la dernière proposition de compromis (en) pour transformer la BCE en superviseur bancaire unique de l’eurozone. Elle a été concoctée par la présidence chypriote sous forme d’une offre pour finaliser un accord au sommet des ministres des finances européens d’aujourd’hui (mercredi 12 décembre). Nous présentons ci-dessous nos rem    arques initiales (que nous pourrons corriger le moment venu).

Les mesures ayant pour but d”atteindre une séparation claire entre les rôles monétaire et de supervision de la BCE – préoccupation première de l’Allemagne – sont sans aucun doute la partie la plus intéressante. Voici ce que dit la proposition en cours de discussion :

Composition du comité de supervision

  • Présidence (ne peut être un membre du conseil des gouverneurs)
  • Vice-présidence (membre du directoire de la BCE)
  • 3 représentants de la BCE (avec droits de vote mais ne peuvent agir sur les responsabilités liées à la politique monétaire en même temps)
  • Des superviseurs nationaux de chaque état membre participant, c-à-d incluant les pays hors de l’eurozone souhaitant la rejoindre.
Prise de décision
  • Majorité simple (la présidence peut voter en cas d’égalité)
  • Vote à majorité qualifiée pour les réglementations « ayant un impact substantiel sur les institutions de crédit » – bien qu’il n’y ait pas de définition claire sur ce qu’est un impact « substantiel » ou qui le détermine.
Que fait le comité de supervision ?

Il établit des ébauches de décisions et les propose au conseil des gouverneurs de la BCE pour adoption, « conformément à une procédure à établir par la BCE » – les détails doivent donc encore être étoffés. Le conseil des gouverneurs a encore dix jours pour s’opposer à l’ébauche de décision, mais doit donner une justification écrite – et est encouragé à exprimer n’importe quelle préoccupation relative à la politique monétaire en particulier.

Si une décision prise par le comité de supervision est modifiée suivant les objections formulées par le conseil des gouverneurs, un pays hors eurozone peut exprimer son désaccord (une précaution, étant donné qu’aucun pays hors eurozone ne siège pas au conseil des gouverneurs). Le pays peut aussi aviser la BCE qu’il ne respectera pas la décision considérée s’il n’est pas satisfait du résultat. Néanmoins, dans ce cas la BCE « considèrera l’éventuelle suspension ou fin de la coopération rapprochée avec cet état membre » – donc si un pays s’oppose à une seule proposition, il court le risque d’être exclu de l’union bancaire.

Dès lors, ce brouillon contient quelques progrès sur l’organisation des comités et un peu plus sur la manière dont ils interagiront, mais le processus crucial de prise de décision manque toujours de détails. En particulier sur l’interaction exacte entre le conseil des gouverneurs et le comité de supervision si le conseil s’oppose à une proposition.

Il est également clair que le pouvoir final réside au conseil des gouverneurs et, bien que les pays hors eurozone aient une sorte de clause de sortie, la séparation entre la politique monétaire et la supervision financière semble toujours limitée. (Comme nous l’avons suggéré ce sera toujours le cas (en) à cause des contraintes légales).

Encore beaucoup de travail à faire, spécialement sur les points sensibles.

ECB’s Chinese Wall Still full of Holes, article original de Open Europe Blog.

 

 

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Hop:

 

 

Les gaz de schistes pourraient bien sauver notre économie - mais pas si l’Europe parvient à ses finsL’une des raisons pour que la langue dans laquelle vous (NdT: auriez du) lire ces mots est la plus répandue sur Terre est que la Grande-Bretagne a été riche en gisements de charbon. Il y avait plein d’autres endroits qui auraient pu être industrialisé en premier, des Pays-Bas à la Chine. La bonne fortune de nos ancêtres du XVIIIe siècle était tel que, juste quand ils en avaient besoin, ils sont tombés sur une source d’énergie bon marché. Le charbon a alimenté les nouveaux moulins, rendant disponible des millions d’employé pour faire un travail différent et créant une énorme classe de consommateurs. La Grande-Bretagne est devenue la plus grande nation du monde?

Maintenant, juste au moment où nous en avons à nouveau besoin, nous avons peut-être accès à une autre source d’énergie bon marché sous la forme des gaz de schistes. L’extraction des gaz de schistes est responsable, dans une proportion non négligeable, du coup de pouce empêchant l’économie US de piquer du nez (et ainsi assurant la réélection de Barack Obama). Le prix de l’énergie chute, et donc les coûts de production suivent. Les gens obtiennent davantage pour moins, et l’économie croît.

Lorsque j’ai prononcé le discours ci-dessus devant le Parlement Européen, j’ai reçu un tweet d’un ancien professeur de lycée : “TU CHERCHERAIS DES GAZ DE SCHISTES DANS TON JARDIN ESPECE DE DROITEUX XXXXXX”. Les baisers étaient une attention adorable, et sa remarque un bon point. L’une des raisons pour laquelle les Etats-Unis ont été si prompt à utiliser leurs propres réserves de gaz de schistes ets que, généralement parlant, les Américains possèdent tout ce qui est sous leur propriété, et ainsi ont tout intérêt à “chercher des gaz de schistes dans leur propre jardin”. La Grande-Bretagne, qui a un système juridique de Common Law similaire, pourrait facilement adopter une approche similaire. Les bénéfices potentiels sont énormes car, à cause des gaz de la mer du nord, nous avons déjà une grande partie de l’infrastructure déjà en place.

Bruxelles semble néanmoins déterminé à placer des obstacles sur notre chemin. Le sdéputés européens viennent juste de voter pour imposer tout type de restriction sur l’extraction des gaz de schistes, dont une interdiction totale dans certaines zones. Les gisements de gaz de schistes qui existent à travers l’europe du nord - suivant un arc de la Grande-Bretagne à la Baltique - restent inexploités, tandis que l’Europe continue de dépendre de la Russie de Poutine pour son approvisionnement en gaz. A nouveau, l’Europe semble déterminée à condamner ses peuples à des épreuves évitables.

Shale gas might just rescue our economy – but not if the EU gets its way, article original par Daniel Hannan pour le Telegraph

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Merci Eclipse le mal pseudonommé.

 

Fuite du rapprt 5 du GIEC: le soleil jour un rôle majeur dans le "réchauffement".

 

(Question subsidiaire : comment on traduit "forcings" en Français)

 

Juste des passages, le tout étant trop long.

 

Full AR5 draft leaked here, contains game-changing admission of enhanced solar forcing

(Alec Rawls) I participated in “expert review” of the Second Order Draft of AR5 (the next IPCC report), Working Group 1 (“The Scientific Basis”), and am now making the full draft available to the public. I believe that the leaking of this draft is entirely legal, that the taxpayer funded report report is properly in the public domain under the Freedom of Information Act, and that making it available to the public is in any case protected by established legal and ethical standards, but web hosting companies are not in the business of making such determinations so interested readers are encouraged to please download copies of the report for further dissemination in case this content is removed as a possible terms-of-service violation. My reasons for leaking the report are explained below. Here are the chapters:

From http://www.stopgreensuicide.com/
(which is down now, see updated links below in update #2)

Summary for Policymakers
Chapter 1: Introduction
Chapter 2: Observations: Atmosphere and Surface
Chapter 3: Observations: Ocean
Chapter 4: Observations: Cryosphere
Chapter 5: Information from Paleoclimate Archives
Chapter 6: Carbon and Other Biogeochemical Cycles
Chapter 7: Clouds and Aerosols
Chapter 8: Anthropogenic and Natural Radiative Forcing
Chapter 8 Supplement
Chapter 9: Evaluation of Climate Models
Chapter 10: Detection and Attribution of Climate Change: from Global to Regional
Chapter 11: Near-term Climate Change: Projections and Predictability
Chapter 12: Long-term Climate Change: Projections, Commitments and Irreversibility
Chapter 13: Sea Level Change
Chapter 14: Climate Phenomena and their Relevance for Future Regional Climate Change
Chapter 14 Supplement
Technical Summary

 

...

 

Lead story from the Second Order Draft: strong evidence for solar forcing beyond TSI now acknowledged by IPCC

Compared to the First Order Draft, the SOD now adds the following sentence, indicated in bold (page 7-43, lines 1-5, emphasis added):

Many empirical relationships have been reported between GCR or cosmogenic isotope archives and some aspects of the climate system (e.g., Bond et al., 2001; Dengel et al., 2009; Ram and Stolz, 1999). The forcing from changes in total solar irradiance alone does not seem to account for these observations, implying the existence of an amplifying mechanism such as the hypothesized GCR-cloud link. We focus here on observed relationships between GCR and aerosol and cloud properties.

The Chapter 7 authors are admitting strong evidence (“many empirical relationships”) for enhanced solar forcing (forcing beyond total solar irradiance, or TSI), even if they don’t know what the mechanism is. This directly undercuts the main premise of the report, as stated in Chapter 8 (page 8-4, lines 54-57):

There is very high confidence that natural forcing is a small fraction of the anthropogenic forcing. In particular, over the past three decades (since 1980), robust evidence from satellite observations of the TSI and volcanic aerosols demonstrate a near-zero (–0.04 W m–2) change in the natural forcing compared to the anthropogenic AF increase of ~1.0 ± 0.3 W m–2.

The Chapter 8 authors (a different group than the Chapter 7 authors) are explicit here that their claim about natural forcing being small compared to anthropogenic forcing is based on an analysis in which the only solar forcing that is taken into account is TSI. This can be verified from the radiative forcing table on page 8-39 where the only solar variable included in the IPCC’s computer models is seen to be “solar irradiance.”

This analysis, where post-1980 warming gets attributed to the human release of CO2 on the grounds that it cannot be attributed to solar irradiance, cannot stand in the face of the Chapter 7 admission of substantial evidence for solar forcing beyond solar irradiance. Once the evidence for enhanced solar forcing is taken into account we can have no confidence that natural forcing is small compared to anthropogenic forcing.

The Chapter 8 premise that natural forcing is relatively small leads directly to the main conclusion of the entire report, stated in the first sentence of the Executive Summary (the very first sentence of the entire report): that advances since AR4 “further strengthen the basis for human activities being the primary driver in climate change” (p.1-2, lines 3-5). This headline conclusion is a direct descendant of the assumption that the only solar forcing is TSI, a claim that their own report no longer accepts.

The report still barely hints at the mountain of evidence for enhanced solar forcing, or the magnitude of the evidenced effect. Dozens of studies (section two here) have found between a .4 and .7 degree of correlation between solar activity and various climate indices, suggesting that solar activity “explains” in the statistical sense something like half of all past temperature change, very little of which could be explained by the very slight variation in TSI. At least the Chapter 7 team is now being explicit about what this evidence means: that some mechanism of enhanced solar forcing must be at work.

My full submitted comments (which I will post later) elaborate several important points. For instance, note that the Chapter 8 premise (page 8-4, lines 54-57) assumes that it is the change in the level of forcing since 1980, not the level of forcing, that would be causing warming. Solar activity was at historically high levels at least through the end of solar cycle 22 (1996), yet the IPCC is assuming that because this high level of solar forcing was roughly constant from 1950 until it fell off during solar cycle 23 it could not have caused post-1980 warming. In effect they are claiming that you can’t heat a pot of water by turning the burner to maximum and leaving it there, that you have to keep turning the flame up to get continued warming, an un-scientific absurdity that I have been writing about for several years (most recently in my post about Isaac Held’s bogus 2-box model of ocean equilibration).

The admission of strong evidence for enhanced solar forcing changes everything. The climate alarmists can’t continue to claim that warming was almost entirely due to human activity over a period when solar warming effects, now acknowledged to be important, were at a maximum. The final draft of AR5 WG1 is not scheduled to be released for another year but the public needs to know now how the main premises and conclusions of the IPCC story line have been undercut by the IPCC itself.

President Obama is already pushing a carbon tax premised on the fear that CO2 is causing dangerous global warming. Last week his people were at the UN’s climate meeting in Doha pretending that Hurricane Sandy was caused by human increments to CO2 as UN insiders assured the public that the next IPCC report will “scare the wits out of everyone” with its ramped-up predictions of human-caused global warming to come, but this is not where the evidence points, not if climate change is in any substantial measure driven by the sun, which has now gone quiet and is exerting what influence it has in the cooling direction.

The acknowledgement of strong evidence for enhanced solar forcing should upend the IPCC’s entire agenda. The easiest way for the UN to handle this disruptive admission would be to remove it from their final draft, which is another reason to make the draft report public now. The devastating admission needs to be known so that the IPCC can’t quietly take it back.

[/Quote]

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Assez bizarre ce coup du rapport du GIEC. D'ailleurs j'ai vu des réchauffistes cracher dessus depuis. C'était pas leur pote avant ?

Et si la fuite est avérée, je sens qu'il sera très intéressant de voir la différence entre le brouillon et la version finale.

Posté

Merci Eclipse le mal pseudonommé.

 

Fuite du rapprt 5 du GIEC: le soleil jour un rôle majeur dans le "réchauffement".

 

(Question subsidiaire : comment on traduit "forcings" en Français)

 

Juste des passages, le tout étant trop long.

 

Je n'ai pas lu le contexte mais on traduisait forçage (radiatif pour le soleil par exemple) de mon temps.

Posté

...

Et si la fuite est avérée, je sens qu'il sera très intéressant de voir la différence entre le brouillon et la version finale.

 

Il n'y a aucun doute sur la fuite, personne ne la conteste. Elle est dans les médias officiels.

 

On peut penser que le fuiteur a du craindre une édulcoration de la version finale, justement. C'est ce qui s'était produit avec les AR précédents.

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