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Nick de Cusa

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Glenn Reynolds demande, ‘Pourquoi Obama ferme-t-il le gouvernement?’

Posted at 8:40 pm on September 28, 2013 by Twitchy Staff | View Comments

 

 

 

Encore une fois, c’est à un bloggeur de poser la question que les media mainstream oublient de poser. Glenn Reynolds a amélioré un tweet du journaliste Jamie Dupree de Cox Radio à propos de la menace explicite de la Maison Blanche de poser un veto à n’importe quelle proposition que les conservateurs allaient présenter.

 

Beaucoup à la Maison Blanche — avec l'aide du NPR [NdT National Public Radio, l’équivalent américain de Radio France] — ont fait de leur mieux pour transformer les coupes et les mises sous séquestre faites par Obama comme une création des Républicains. L’administration et les media s’acharnent à mettre en avant des Républicains bornés, prenant en otage l’économie. La vraie question : Pourquoi Obama et les Démocrates ne veulent pas négocier? Harry Reid a dit plus tôt aujourd’hui [NdT 28 september 2013] que le vote a été un geste “sans signification” d’extorsion par les “anarchistes” du Tea Party. Le porte-parole de la Maison Blanche White Jay Carney a fait une déclaration accusant le Parti Républicain de pousser à la fermeture du gouvernement, ajoutant à ses propos le terme de « sabotage ».

 

Les gens savent que la seule pression du Parti Républicain était d’enlever le financement de l’Obamacare du projet de loi actuel, laissant tout le reste intact, n’est-ce-pas? Cela échouant, ils ont proposé que le mandat individuel soit différé d’un an, comme le mandat employeurs a été différé par la Maison Blanche.

 

Des media partisans? Où?

 

Il est temps de faire assumer le tout au Président : l’Obamacare, la mise sous séquestre, et toutes les fermetures de gouvernement issues de son veto.

 

Par contre, j'ai tois soucis:

 

Je n'arrive pas à récupérer les copies des tweets pour les mettre sur le fichier...

 

Ensuite, je ne sais pas si je dois traduire ces tweets...

 

Enfin, je ne sais pas si pour la traduction nous aurions pu laisser le terme shutdown ald fermeture (le terme shutdown a bien été utilisé dans les media mainstream)

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Par contre, j'ai tois soucis:

 

Je n'arrive pas à récupérer les copies des tweets pour les mettre sur le fichier...

 

Ensuite, je ne sais pas si je dois traduire ces tweets...

 

Enfin, je ne sais pas si pour la traduction nous aurions pu laisser le terme shutdown ald fermeture (le terme shutdown a bien été utilisé dans les media mainstream)

 

Les médias francophones semblent utiliser les termes "paralysie, mise à l'arrêt". Ce choix me semble être plus judicieux. Le terme shutdown est quand même peu connu des francophones et peut être mal interprété (fermeture définitive ? shutdown, c'est pas un coup d'État ça ?" Alors que le shutdown gouvernemental traduit plus une paralysie qu'une fin en soi.

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Les médias francophones semblent utiliser les termes "paralysie, mise à l'arrêt". Ce choix me semble être plus judicieux. Le terme shutdown est quand même peu connu des francophones et peut être mal interprété (fermeture définitive ? shutdown, c'est pas un coup d'État ça ?" Alors que le shutdown gouvernemental traduit plus une paralysie qu'une fin en soi.

 

 

Merci je crois que mise à l'arrêt me paraît bien... Pourquoi pas utiliser le terme pause gouvernementale???? MDR!

 

 

Pour les tweets si un rédacteur de contrepoints pouvaient me confirmer le besoin de traductions ou non? Si pas besoin, je peux passer à un autre article.

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Le centième anniversaire de l'impôt sur le revenu. http://bastiat.mises.org/2013/10/on-the-100th-anniversary-of-the-income-tax/

 

 
On The 100th Anniversary of the Income Tax

On fêtait le 3 octobre le centième anniversaire de l'impôt sur le revenu - date à laquelle Woodrow Wilson signa la loi le mettant en application.. Comme la taxation directe des Américains était prohibée par la Constitution, un amendement était nécessaire avant que la Revenue Act of 1913 ne soit mise en place. L'impôt sur le revenu et son amendement furent présentés aux votants essentiellement comme une taxe sur les riches, ce qui signifiait des taxes moins hautes et des biens moins onéreux (du à la baisse des impôts indirects) pour les autres contribuables. Seulement un pourcent de la population était alors sujet à l'impôt sur le revenu, et le taux d'imposition s'élevait à 1%. Les votants n'avaient pas à être inquiétés, se sont-ils entendus dire, car les gens ordinaires n'auraient jamais à payer cet impôt.

 

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Proposition de traduction vite faite (et probablement mal faite  :icon_redface: )

 

Le quotidien Handelsblatt s’interroge : “Où est l’inflation ?”

Couverture du Handelsblatt du 4 octobre portant la question “Où est l’inflation ?”

Un ferme rappel de ce qui reste une question clef de la politique allemande (et donc européenne). On parvient à peine à imaginer une telle une au Royaume-Uni, en particulier avec une inflation annuelle limitée à 1,6% (août 2013).

Le journal consacre une dizaine de page à l’inflation. La principale question que se pose Handelsblatt est de savoir pourquoi, malgré une importante création monétaire et les faibles taux d’intérêt de l’Eurozone, l’inflation se fait toujours attendre. La situation actuelle est comparée à l’hyperinflation qu’a connue la République de Weimar des années 1920, ce qui montre à quel point cet épisode de l’histoire du pays est fermement ancré dans la mémoire collective allemande.

L’analyse elle-même est naturellement extrêmement technique mais les explications fournies par l’article sont assez parlantes sur les interrogations qui se posent actuellement en Allemagne sur l’inflation :

·                     Les banques centrales ne mesurent que les prix à la consommation – L’article suggère que la mesure habituelle basée sur l’indice des prix à la consommation ne rend pas pleinement compte de la l’inflation réelle puisqu’il n’inclut pas les prix des actifs ni ceux du logement.

·                     La création monétaire ne permet pas d’alimenter l’économie réelle – L’article suggère ici que bien que la création monétaire soit significative, elle ne permet pas d’alimenter l’économie réelle parce que les banques ne consentent que peu de prêts et que les entreprises économisent davantage. Cette situation pourrait également trouver une explication dans la tendance au « deleveraging » (désendettement des entreprises) dans un but de stabilisation en période de crise. Pour ces raisons, la monnaie créée est donc restée au sein du système financier sans avoir été injectée dans l’économie au sens large et donc sans avoir créé l’inflation attendue.

·                     Il est encore trop tôt pour mesurer pleinement l’effet des politiques de la BCE – cet aspect semble lié à l’argument précédent. De fait, l’article suggère que les faibles taux d’intérêt ainsi que d’autres mesures spécifiques que la BCE a entreprises n’ont pas encore fait connaître tous leurs effets. Leur impact définitif serait plus clair après la reprise.

·                     Que va-t-il donc se passer ? L’article en conclut que ces mesures auront vraisemblablement un effet et que l’inflation apparaîtra inévitablement.

Bien qu’il ne s’agisse de l’opinion que d’un auteur, le ton général ainsi que l’argumentation sont très convaincants.

 

Par conséquent, l’arrivée de l’inflation constitue un réel sujet de préoccupation, notamment car elle pourrait déjà avoir fait son apparition sans que les statistiques ne le montrent encore. Cette idée serait en phase avec les inquiétudes récemment soulevées par la Bundesbank relativement au fait que des taux d’intérêts faibles et une politique monétaire souple sont susceptibles de créer des bulles financières déjà annonciatrices d’une nouvelle crise.

L’Allemagne et l’Europe sont encore loin d’être sorties de ce débat. Alors que la BCE envisage encore de nouvelles opérations de LTRO (Long term refinancing operations) pour accompagner les interventions des autres banques centrales ainsi que de l’important différentiel de croissance entre l’Allemagne et d’autres pays en crise, cette question pourrait revenir à nouveau sur le devant de la scène.

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Proposition de traduction vite faite (et probablement mal faite  :icon_redface: )

 

 

Ça me semble très bien !

Merci beaucoup. Article programmé pour demain matin.

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Je pense que ce serait intéressant sur Contrepoints : 36 faits qui montrent que le gouvernement américain tourne presque normalement de Michael Snyder.

 

http://theeconomiccollapseblog.com/archives/government-shutdown-36-facts-which-prove-that-almost-everything-is-still-running

 

Ce sera fait demain dans le courant de la journée. Il reste tout les liens hypertexte à mettre.

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La Grèce commence à ressembler à l’Allemagne de Weimar

By Daniel Hannan World Last updated: September 29th, 2013

957 Comments Comment on this article

Nikolaos Michaloliakos, chef du partie Aube Dorée (Photo: AFP/GETTY)

Les difficultés économiques ont permis l’émergence du parti Aube Dorée et provoqué une crise de la démocratie grecque

 

Effondrement économique, chômage de masse, milices paramilitaires, violence urbaine, assassinats politiques et maintenant révolte des parlementaires de l’opposition. La Grèce dévastée par l’euro commence à ressembler étrangement à l’Allemagne de Weimar.

Véritablement assiégé, le gouvernement grec a placé en détention provisoire cinq députés et quinze autres activistes du parti fasciste Aube Dorée, y compris son chef, Nikolaos Michaloliakos. La constitution grecque ne permet pas l’interdiction pure et simple d’un parti politique mais les autorités ont contourné le problème en classant Aube Dorée parmi les organisations criminelles et en associant le parti au meurtre d’un musicien de gauche au mois de septembre.

De nos jours, le mot « fasciste » est utilisé de manière si versatile que le terme semble avoir perdu presque toute signification. Si l’on est contre l’immigration, on est fasciste. Si l’on critique l’Union européenne, on est fasciste. Si l’on a le dernier mot avec un invernenant de gauche en ligne, tôt ou tard, on finit par être traité de fasciste.

Cette tendance n’est pas une nouveauté, bien que le développement d’internet l’ait considérablement accélérée. George Orwell observait, alors même qu’existaient vraiment des régimes fascistes, que « le mot fascisme n’a plus aucun sens, si ce n’est dans la mesure où il recouvre quelque chose d’indésirable ».

Par conséquent, nous devons lutter pour trouver le mot adéquat permettant de caractériser un parti néo-Nazi assumé bona fide tel qu’Aube Dorée, ce mouvement grec ayant réuni 7% des voix lors des deux scrutins législatifs de l’année dernière.

Aube Dorée est en réalité un parti résolument fasciste, par sa structure, son idéologie, son comportement. Il est anti-démocratique, favorable à un Etat autoritaire mené par un homme fort. Le parti cultive une nostalgie de la dictature du Général Metaxas dans les années 1930, qui avait banni les partis politiques, rendu les grèves hors la loi et censuré la presse. Il voit la cause de la pauvreté grecque dans l’immigration, de manière assez excentrique si l’on considère que le pays connait désormais davantage d’émigration que d’immigration. Plusieurs de ses membres n’hésitent pas à afficher un antisémitisme primaire : un de ses élus, recherché par la police pour l’agression d’une parlementaire, s’est défendu en citant des extraits du Protocole des sages de Sion et en affirmant être victime d’une conspiration juive.

Comme tous les vrais partis fascistes, Aube Dorée honnit de marché libre et la propriété privée. Il a flirté avec le paganisme, rejetant la chrétienté comme une croyance sans fondement issue du judaïsme, pour finir par un revirement brutal en faveur de l’Eglise orthodoxe. Ses membres ont été impliqués dans de nombreux actes de violence politique et, à l’instar des Nazis dans les années 1920, ont établi des liens avec les forces de police et l’armée. L’emblème du parti ressemble étrangement à une croix gammée, bien qu’Aube Dorée définisse cet emblème comme un méandre, c’est-à-dire une de ces formes géométriques qui constituent les bordures de mosaïques et de frises classiques. Cela dit, les membres du parti ne sont pas toujours aussi attentifs et arborent souvent swastikas et croix de fer, tout en faisant le salut nazi.

Pendant plus de trente ans, Aube Dorée a végété aux côtés d’autres mouvements nazis européens, soutenu par quelques centaines de losers à crâne rasé depuis la cave de leur mère. Le parti apparaissait à peine durant les élections, réunissant typiquement 0,1% des voix. Cependant, en 2012, avec un slogan sans compromis « Il faut décrasser le pays », le parti a réuni près d’un demi-million de voix, devenant de fait la troisième formation du pays.

Que s’est-il passé ? Synthétiquement, l’Euro. Pour une fois, la métaphore de la tragédie grecque est parfaitement appropriée. Les hellènes ont expérimenté l’hubris des années de crédit facile alors que le marché considérait les dettes grecque et allemande comme interchangeables. Ils font maintenant la rencontre de Némésis ! Le PIB a chuté de 23% depuis son plus haut niveau, le chômage atteint 28%, la classe moyenne athénienne fait les poubelles à la recherche de nourriture et les agriculteurs fournissent des vivres à leurs cousins citadins.

Cependant, la catharsis a été artificiellement maintenue. La Grèce ne pourra se reprendre que lorsqu’elle aura fait défaut, qu’elle sera sortie de l’Euro et aura dévalué sa propre monnaie pour la ramener à sa valeur réelle et permettre ainsi aux prix de refléter leur valeur de marché. La classe politique considérée comme fermée et presque héréditaire a placé les intérêts de l’Union européenne avant toute chose. Le système de Bruxelles a été particulièrement efficace dans la défense des intérêts des hommes politiques et officiels grecs qui, encore aujourd’hui, sont protégés des effets de la récession.

Il n’y a pas à être surpris que le reste du pays réagisse par une perte de confiance dans le système. Une telle dérive est exactement ce que les détracteurs de l’euro avaient annoncé lorsque la monnaie unique fut proposée.

L’Arrestation des Cinq Membres, comme je ne peux résister à l’appeler, permet de traiter un symptôme inesthétique sans s’attaquer à la pathologie. Dissoudre Aube Dorée ne permettra pas de faire disparaître l’appel constitué par son message davantage que la dissolution du mouvement nazi en 1924 avait permis d’éviter sa montée en puissance. Certains Grecs vont se réjouir alors que d’autres n’y verront que la protection de ses propres intérêts par une classe politique éloignée de leurs préoccupations. Interrogé sur l’événement, le premier ministre, Antonis Samaras, a répondu, lassé par « justice, stabilité et pas d’élection ». Ces mots pourraient parfaitement servir de slogan pour la défense de l’Euro et expliquent bien pourquoi tant de Grecs ont été amenés à soutenir des partis extrêmes.

Une rumeur circulait hier selon laquelle cette arrestation serait en réalité une tentative pour éviter la démission des parlementaires du parti Aube Doré et ainsi éviter une série d’élections partielles. La crise économique est bien devenue une crise démocratique.

Vous souvenez-vous pourquoi l’Euro a été initialement mis en place ? Ses artisans avaient deux arguments. Le premier était que l’Euro devait rendre ses utilisateurs plus riches et le second que les pays membres s’entendraient mieux. Dans les faits, la monnaie unique a infligé une inutile pauvreté, encouragé l’émigration de l’Europe du Sud et attaque désormais la démocratie. Que faudra-t-il de plus aux élites de Bruxelles pour admettre qu’elles se sont fourvoyées ?

 

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Dis-moi vengeuse, tu sais qu'il y a notamment un GDoc qui fourmille de traductions en attente ? ;)

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Dans le Gdoc, je vais prendre http://perc.org/articles/american-indian-collectivism qui a l'air très intéressant mais qui ne sera peut-être pas fini ce soir quand même.

[utilitariste]Quand je commencerai à envoyer des CV au Canada, je me la pèterai en indiquant que j'ai fait des traduc pour Contrepoints. Ca pourra certainement me rendre service.[/utilitariste]

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Voilà la traduction du texte de Richard North : http://eureferendum.com/blogview.aspx?blogno=84060

 

Elle a été faite rapidement entre midi et deux, il y a donc sûrement plein de choses à retoucher.

Par ailleurs, ne connaissant pas l'expression "to have been taking the piscine", je l'ai traduite par "avoir menti". Si quelqu'un a une meilleurs suggestion...

 

 

Climat : le maire de Londres Boris Johnson retourne sa veste

Par Richard North

 

Pour la modique somme de 5000£ (soit l’équivalent d’un an de retraite publique), Boris Johnson, employé à temps partiel du groupe de presse Telegraph Media Group Ltd (mais aussi connu en tant que maire à temps partiel de Londres), dégomme les réchauffistes.

 

« J’espère ne pas avoir à vous faire remarquer que nous n’avons jamais été confrontés à un climat méditerranéen depuis qu’ils nous disent de nous y préparer » jacasse-t-il. Et pour à peu près 5£ le mot, cela lui rapporte la coquette somme de 130£.

 

Il gagne ensuite près de 200£ pour se plaindre que : « nous avons connu plusieurs hivers particulièrement longs et vigoureux dont le dernier où j’ai vu la neige tomber sur Londres à quatre reprises, tandis que notre été tourne à la farce ».

 

Tandis qu’il continue sa diatribe rémunératrice, il apparaît clairement que notre Boris n’est pas impressionné par les réchauffistes et pour 100£ de plus conclut en imaginant « une class action regroupant les anglais propriétaires de piscines contre les prophètes du réchauffement global et les mauvais météorologistes leur ayant, disons-le franchement, menti ».

 

Hé mais, n’est-ce pas le même Boris qui nous prévenait en août 2008 que « des inondations, des vagues de chaleur et des sécheresses pourraient provoquer un effondrement virtuel de la capitale » à moins d’agir contre le changement climatique ? Maintenant qu’il est plus riche d’un million de livres sterling grâce à son généreux employeur il a retourné sa veste.

 

Aussi grossier que soit ce terme, « branleur » semble avoir été inventé pour des gens comme Boris.

 

  • Nay 1
Posté

"taking the piscine" est un jeu de mot sur "taking the piss" et le fait que les gogos ont acheté une piscine. "se sont fait pisciner dessus par les climatologistes ?"

Posté

Ah oui, je n'avais pas pensé à ça, merci pour la suggestion.

 

Voilà la version corrigée :

 

 

Climat : le maire de Londres Boris Johnson retourne sa veste

Par Richard North

 

Pour la modique somme de 5000£ (soit l’équivalent d’un an de retraite publique), Boris Johnson, employé à temps partiel du groupe de presse Telegraph Media Group Ltd (mais aussi connu en tant que maire à temps partiel de Londres), dégomme les réchauffistes.

 

« J’espère ne pas avoir à vous faire remarquer que nous n’avons jamais été confrontés à un climat méditerranéen depuis qu’ils nous disent de nous y préparer » jacasse-t-il. Et pour à peu près 5£ le mot, cela lui rapporte la coquette somme de 130£.

 

Il gagne ensuite près de 200£ pour se plaindre que : « nous avons connu plusieurs hivers particulièrement longs et vigoureux dont le dernier, où j’ai vu la neige tomber sur Londres à quatre reprises, tandis que notre été tourne à la farce ».

 

Tandis qu’il continue sa diatribe rémunératrice, il apparaît clairement que notre Boris n’est pas impressionné par les réchauffistes et pour 100£ de plus conclut en imaginant « une class action regroupant les anglais propriétaires de piscines contre les prophètes du réchauffement global et autres mauvais climatologues leur ayant, disons-le franchement, pisciné dessus ».

 

Hé mais, n’est-ce pas le même Boris qui nous prévenait en août 2008 que « des inondations, des vagues de chaleur et des sécheresses pourraient quasiment provoquer un effondrement de la capitale » à moins d’agir contre le changement climatique ? Maintenant qu’il est plus riche d’un million de livres sterling grâce à son généreux employeur il a retourné sa veste.

 

Aussi grossier que soit ce terme, « branleur » semble avoir été inventé pour des gens comme Boris.

  • Nay 1
Posté

...

Pour CP, nous n'avons pas (encore) l'autorisation de reprendre l'article ici : http://www.kimeshan.com/2013/07/11/cheap-safe-and-friendly-countries/

mais je pense que ça vaut le coup de la demander et de faire la trad, c'est très rigolo.

D'une part, on découvre que la France n'est ni cheap, ni friendly, ni safe.

Mais d'autre part, en bonus, on découvre que le pire est le Vénézuela de Chavez pardon Maduro. Lol.

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