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"Pourquoi il est nécessaire (et amusant) de haïr les libertariens"


EdouardH

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(badurl) http://comite-de-salut-public.blogspot.com/2011/09/pourquoi-il-est-necessaire-et-amusant.html (badurl)

On peut finir par se poser la question, à la longue : mais pourquoi donc perdre du temps à démonter ces trous du cul de libertariens ? Franchement ? N y a t-il point d'(autres choses bien plus importantes et urgentes à faire, comme par exemple repasser ses chaussettes ? De fait, je comprend qu'on puisse s'interroger sur tant d'acharnement pour des gens qui semblent si peu le mériter.Nous allons voir cependant que tout au contraire, ils méritent ; et ils méritent même de prendre encore plus cher.

A priori, quand on l'observe comme ça, le libertarien - dans sa version française, ne connaissant que cette ramification de l'espèce, mais on peut supposer que c'est peu ou prou le même partout - n'est rien et ne ressemble à rien. Une sorte de pou névrotique monté en boucle sur 3 idées stupides concernant l'urgence d'absolument tout privatiser mâtiné de plus ou moins de désir d'ordre social à angle droit, et se caractérisant systématiquement par son hystérie paranoïde et une vision du monde à la limite de la psychiatrie lourde : penser que la France de 2011 est un satellite de l'URSS suffit à prouver le degré d’effondrement intellectuel de ces pauvres garçons ( ratio d'1 meuf pour 50 mecs à peu près, ce qui accroît encore leur mal-être et limite leur épanouissement affectif à Xhamster et au Sopalin).

Nonobstant les menus inconvénients de l'incompréhension généralisée, d'un sentiment rongeant d'impuissance devant un monde qui les prend à juste titre pour des zinzins et d'une perpétuelle misère sexuelle qui accumulent toute sortes de frustrations qui finissent par se lire sur leurs visages
Or, nous autres marxistes savons qu'il a tout à voir ; puisque capitalisme et fascisme ont toujours été et continuent d'être des parents très proches qui ne font que semblent de cordialement se détester dans une relation père-fils ambivalente et fascinée, sauf quand papa est par trop secoué par ses employés qui rouspètent trop fort ; auquel cas, il n'hésite jamais à faire appel à fiston pour faire le ménage et rétablir l'ordre (nouveau) pour quelque temps, quitte à se débarrasser ensuite de lui quand il estime qu'à force c'est mauvais pour les affaires. C'est ce qui s'est passé au Chili entre autres.
les libertariens soi-disant si férus de "liberté" ne voient jamais aucun inconvénient à une bonne dictature d'extrême-droite
Ils ne veulent en aucun cas "LA" liberté mais uniquement "LEUR" liberté
À savoir que le néolibéralisme est une dictature économique qui est hantée par la tentation de passer en dictature politique. Et qui passe à l'acte régulièrement quand ses intérêts sont menacés. De ce point de vue, le libertarien n'est rien moins qu'un libéral-fasciste qui n'assume pas son fascisme et le projette sur tous les autres en couinant "fachoooo" sur tous les pauvres hères qui n'ont commis que seule faute de n'est pas d'accord avec lui.
Ce qui frappe le plus néanmoins, c'est l'agressivité hystérique qu'ils déploient et encore une fois la projection qu'ils effectuent en permanence sur les vilains "autres"
Les libertariens sont tous des cas sociaux et des personnalités borderline. Et même parmi les libéraux "normaux", Le Boucher, Godet, Rioufol etc., qu'on ne vienne pas nous dire que leur vision des choses est celle de gens sains d'esprit.
Bien loin d'être des exceptions, les libertariens sont le vrai visage du libéralisme : pauvreté intellectuelle, intolérance, rejets des autres, enfermement, désir d'une société "propre", peur de tout, agressivité hystérique, personnalités frustes et frustrées et symptômes divers et variés.

Halala, j'ai ri j'ai ri j'ai ri, et je ne pouvais pas ne pas vous partager ces délicieux moments de poésie :wub:

Posté

C'est fou comme on parle de soi quand on parle des autres.

Tu m'enlèves les mots de la bouche… J'imagine carrément ce pauvre type de 35 ans, vivant chez ses parents dans sa cité sordide, employé à mi-temps de je ne sais quelle administration bidon, trop occupé à fantasmer sur un monde meilleur produit de son aveuglement pour s'apercevoir que sa propre vie, entre masturbation intellectuelle et physique, n'est que le triste résultat de son idéologie. En fait, il me fait pitié.

Posté

La gauche, qui d'habitude se prend pour un exemple de morale, de respect et de vertu, n'hésite pas à se montrer totalement abjecte quand il s'agit d'attaquer personnellement ses adversaires politiques (surtout quand ils sont ultra-minoritaires).

Posté

La gauche, qui d'habitude se prend pour un exemple de morale, de respect et de vertu, n'hésite pas à se montrer totalement abjecte quand il s'agit d'attaquer personnellement ses adversaires politiques (surtout quand ils sont ultra-minoritaires).

Ce n'est pas "la gauche" c'est ce type. Si c'est pour faire comme lui qui déblatère sur "tous les libertariens" comme s'il les connaissait personnellement…

Posté

On voit que c'est un cuistre dès la première ligne : il utilise "point" à mauvais escient à la place de "pas".

Invité jabial
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Je trouve ce type très bien. Si seulement on n'avait en face que des gars comme lui, même le PS reprendrait nos idées.

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Qu'il continue à être fasciné, il pourrait rejoindre le côté lumineux de la force.

Qu'il continue à parler de nous, il nous envoie des curieux, et parfois ils s'aperçoivent de leur erreur. :)

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Bah, de tout façon, le CSP, c'est pas comme si c'était une personne, c'est juste un Toulousain.

Qui aime beaucoup la saucisse.

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Le pauvre, il a dû se faire violer par un libertarien bourré quand il était petit.

[soral]Ou bien il est tombé sous le charme d'une libertarienne torride, a voulu la draguer comme un lourd, s'est fait rembarrer, et depuis cuve sa frustration d'avorton.[/soral]

Posté

On voit que c'est un cuistre dès la première ligne : il utilise "point" à mauvais escient à la place de "pas".

+1 Idem avec des mots comme "guère" ou "naguère", de la cuistritude à l'état pur.

[soral]Ou bien il est tombé sous le charme d'une libertarienne torride, a voulu la draguer comme un lourd, s'est fait rembarrer, et depuis cuve sa frustration d'avorton.[/soral]

:lol:

Posté

Un bon point, le mot "libertarien" commence a tracer sa voie, à rencontrer une certaine popularité médiatique. Il est néanmoins encore très mal compris, voire raillé. Cf. le reportage de Canal+ consacré aux libertariens (qui demandent plus (+) d'impôts). Un jour peut-être, le mot "libertarien" ne sera pas reconnu comme une faute de frappe sur Word.

Toujours est-il qu'un article consacré, même méprisant, mal documenté et hystérique, est preuve d'une certaine évolution. Laissez parler les cons, il ne sauront que vous procurer meilleur publicité.

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Un jour peut-être, le mot "libertarien" ne sera pas reconnu comme une faute de frappe sur Word.

Open Office ne voit pas de faute…

Toujours est-il qu'un article consacré, même méprisant, mal documenté et hystérique, est preuve d'une certaine évolution. Laissez parler les cons, il ne sauront que vous procurer meilleur publicité.

Moui et non.

Disons que ça dépend de la proportion de cons.

Et sinon, merci de m'avoir ramené sur l'excellent l'article de CP, que j'avais lu, mais dont j'avais zappé les commentaires.

Le sang-froid et la maîtrise de Lucilio sont … Waow !!

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Et sinon, merci de m'avoir ramené sur l'excellent l'article de CP, que j'avais lu, mais dont j'avais zappé les commentaires.

Le sang-froid et la maîtrise de Lucilio sont … Waow !!

+1

C'est ce que je me dis régulièrement en lisant les commentaires sur Contrepoints.org.

Le barman assure un service après vente sur beaucoup d'articles d'une patience et d'une qualité exemplaire. A force de parler aux cons, ça va peut être les instruire.

Invité jabial
Posté

Je sais bien qu'être haï est un progrès par rapport à être ignoré, mais faudrait pas oublier que pour l'instant, celui qui nous hait, c'est personne.

Le jour où un député parlera de nous en bien ou en mal, là ouais, on pourra dire qu'on commence à être connus. Mais à ce moment là se posera un autre problème, celui de garder notre identité. La plupart des grands mouvements politiques l'ont perdue en grandissant.

Posté
…à ce moment là se posera un autre problème, celui de garder notre identité. La plupart des grands mouvements politiques l'ont perdue en grandissant.

Moi, je fais confiance à notre esprit sectaire et parano.

Posté

Voila, je n'ai aucune crainte, on gardera notre identité, et on servira de repoussoir extrémiste au mouvement Libéral avec un grand L

Posté

Je sais bien qu'être haï est un progrès par rapport à être ignoré, mais faudrait pas oublier que pour l'instant, celui qui nous hait, c'est personne.

Le jour où un député parlera de nous en bien ou en mal, là ouais, on pourra dire qu'on commence à être connus. Mais à ce moment là se posera un autre problème, celui de garder notre identité. La plupart des grands mouvements politiques l'ont perdue en grandissant.

Notre identité anarcap?

Libéral de gauche?

Libéral conservateur?

Luciliesque?

Posté

Notre identité anarcap?

Libéral de gauche?

Libéral conservateur?

Luciliesque?

A mon humble avis, la trahison idéologique des libéraux de gauche sera la porte d'entré du libéralisme dans la vie politique.

Pour les libéraux conservateurs, il est très difficile d'expliquer qu'ils ne tenteront pas d'imposer leur vision conservatrice au reste de la population. On trouve encore beaucoup aujourd'hui le paradigme du "je vais tout faire pour rendre obligatoire ce que j'estime être le bien, et faire interdire ce que j'estime être mal"

Quand a libertaire, cet adjectif est je pense beaucoup trop entachée par les communistes, les anarchos autonomes et consort pour garder une crédibilité suffisante pour la vie politique.

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A mon humble avis, la trahison idéologique des libéraux de gauche sera la porte d'entré du libéralisme dans la vie politique.

Pour les libéraux conservateurs, il est très difficile d'expliquer qu'ils ne tenteront pas d'imposer leur vision conservatrice au reste de la population. On trouve encore beaucoup aujourd'hui le paradigme du "je vais tout faire pour rendre obligatoire ce que j'estime être le bien, et faire interdire ce que j'estime être mal"

Quand a libertaire, cet adjectif est je pense beaucoup trop entachée par les communistes, les anarchos autonomes et consort pour garder une crédibilité suffisante pour la vie politique.

Ergo, on fera comme je dis.

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