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Prix nobel de la paix à 3 femmes


Tremendo

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Le prix Nobel de la Paix décerné à trois femmes

La présidente du Liberia Ellen Johnson Sirleaf, et deux militantes des droits de l'homme, la Libérienne Leymah Gbowee et la Yéménite Tawakkul Karman, sont récompensées «pour leur lutte non-violente pour la sécurité des femmes».

Le prix Nobel de la paix a été conjointement attribué vendredi, pour la première fois de son histoire, à trois femmes: deux Libériennes, la présidente Ellen Johnson Sirleaf -actuellement en campagne- et la militante Leymah Gbowee. La troisième est une Yéménite, la journaliste Tawakkol Karman.

Première femme arabe à recevoir la prestigieuse récompense, la Yéménite a été la première à réagir. Elle a immédiatement dédié son prix au «printemps arabe», cet élan de révolte populaire qui a renversé ou ébranlé plusieurs régimes autoritaires en Afrique du Nord et au Moyen-Orient cette année.

Les trois lauréates sont récompensées «pour leur lutte non violente en faveur de la sécurité des femmes et de leurs droits à participer aux processus de paix», a déclaré à Oslo le président du comité Nobel norvégien, Thorbjoern Jagland.

Ellen Johnson Sirleaf, première présidente élue d'Afrique

Première femme à être démocratiquement élue à la tête d'un pays africain en 2005, Ellen Johnson Sirleaf, 72 ans, a oeuvré pour la reconstruction d'un pays ravagé par 14 ans de guerres civiles, qui ont fait quelque 250.000 morts et laissé une économie exsangue. Elle reçoit le Nobel quatre jours seulement avant une élection présidentielle incertaine au cours de laquelle elle brigue un second mandat. «Depuis son investiture en 2006, elle a contribué à assurer la paix au Liberia, à promouvoir le développement économique et social, et à renforcer la places des femmes», a fait valoir Thorbjoern Jagland.

Décerner un prix nobel à une candidate dont la probité n'est pas vérifiée à quatre jours d'une élection présidentielle c'est osé et très clairement politique.

Décerner un prix nobel à une journaliste parce que soi-disant elle a lutté pour la paix et les femmes durant le printemps arabe alors que bien d'autres le méritaient davantage c'est un peu foutage de gueule.

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Pas forcément vrai. Ils l'ont donné à Sadate et Rabin, Kissinger.

C'est vieux. Ah le bon temps où Kissinger recevait le Nobel…

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Si l'on pouvait le donner aux morts, je suppose qu'il aurait fallu le décerner au jeune homme s'étant immolé par le feu en Tunisie. Qu'en pensez-vous ?

Moi, je lui décernerais le prix nobel de la lutte contre le socialisme.

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Le prix Nobel le confirme : il faut trois femmes pour valoir un homme :mrgreen:

C'est Lucilio qui va être content :D. Et si c'était des flamandes, il en aurait fallu 6…

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Ridicule

Ridicule de couper le prix en 3 : ces 3 personnes n'ont jamais collaboré

Ridicule de le donner à une candidate en campagne électorale

Ridicule de ne pas le donner à Mohammed Bouazizi ou à la psychiatre syrienne

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Ridicule de couper le prix en 3 : ces 3 personnes n'ont jamais collaboré

C'est pourtant la procédure normale lorsque 2 personnes font la même découverte de façon indépendantes.

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C'est pourtant la procédure normale lorsque 2 personnes font la même découverte de façon indépendantes.

Quelle découverte, en l'occurrence ?

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