h16 Posté 27 avril 2017 Signaler Posté 27 avril 2017 Il y a 2 heures, Tramp a dit : La loi précise que la creation par l'Etat de nouvelles licences n'est pas un prejudice. Pas question de les racheter, les règles sont claires depuis le début. Tout à fait. Il devrait même menacer d'ouvrir le robinet des licences immédiatement, ce qui calmerait immédiatement les connards qui font des actions violentes. 3
Sanson Posté 27 avril 2017 Signaler Posté 27 avril 2017 La stratégie adoptée semble être de laisser mourir la profession sans bruit. On verra bien avec le nouveau gouvernement.
Rincevent Posté 27 avril 2017 Signaler Posté 27 avril 2017 il y a 30 minutes, Sanson a dit : La stratégie adoptée semble être de laisser mourir la profession sans bruit. On verra bien avec le nouveau gouvernement. Oh, étonné je suis. Ça ne ressemble pas du tout à la stratégie de l'État en France pour la moitié des problèmes (les autres problèmes étant gérés par l'ouverture silencieuse d'un sprinkler à pognon). 1
Sanson Posté 27 avril 2017 Signaler Posté 27 avril 2017 Au contraire, ce serait parfaitement logique. Les taxis ne proposent pas de solution acceptable, car la population est divisée. Le projet du gouvernement qui avait été esquissé l'année dernière a été très mal reçu, et par ailleurs couterait extrêmement cher, et quoi qu'on en dise ici l'Etat essaie vraiment de limiter son endettement, dans une certaine mesure. Donc l'Etat actuellement a le choix entre prendre le risque de mettre en place une usine à gaz qui coutera une blinde et provoquera des conflits, et attendre alors que le temps est de son côté.
Neuron Posté 27 avril 2017 Signaler Posté 27 avril 2017 Il y a 7 heures, h16 a dit : 200K€ l'unité, sur Paris. Ailleurs, moins. Ca fait dans les 8 Md€ pour le total à la louche. A ceci prêt qu'il y a deux cas : - les licences détenues par les entreprises. Elles sont largement rentabilisée car employées H24-7/7. Les chauffeurs salariés ne s'endettent pas car n'achètent ; - les licences des indépendants. Eux mettent plus de temps à les rembourser et doivent les revendre. Seul cette dernière population doit faire l'objet d'une action pour mettre fin à la crise. Je je ferais la chose suivante : - un petit pécule par artisan. 30k ? - une voir deux licences gratuites par indépendant. Il y a 7 heures, h16 a dit : 200K€ l'unité, sur Paris. Ailleurs, moins. Ca fait dans les 8 Md€ pour le total à la louche. A ceci prêt qu'il y a deux cas : - les licences détenues par les entreprises. Elles sont largement rentabilisée car employées H24-7/7. Les chauffeurs salariés ne s'endettent pas car n'achètent ; - les licences des indépendants. Eux mettent plus de temps à les rembourser et doivent les revendre. Seul cette dernière population doit faire l'objet d'une action pour mettre fin à la crise. Je je ferais la chose suivante : - un petit pécule par artisan. 30k ? - une voir deux licences gratuites par indépendant.
NoName Posté 28 avril 2017 Signaler Posté 28 avril 2017 Le 27/04/2017 à 16:45, h16 a dit : Tout à fait. Il devrait même menacer d'ouvrir le robinet des licences immédiatement, ce qui calmerait immédiatement les connards qui font des actions violentes. une solution pour faire passer la pilule ne serait elle pas de faire de l'inflation de licences ? En augmentant la masse totale de licences de 30% par an par rapport à l'année d'avant sur 5 années, on ferait combien de licences en + ?
Tramp Posté 28 avril 2017 Signaler Posté 28 avril 2017 En allégeant les contraintes réglementaires sur les VTC et sur les taxis et en baissant les charges pour les deux (au hasard la TICPE), je pense qu'il y aura suffisamment de VTC pour pouvoir lâcher du lest sur la question de la licence en elle-meme.
Romy Posté 11 mai 2017 Signaler Posté 11 mai 2017 En Europe, Uber pourrait bientôt être soumis aux mêmes règles que les taxis Citation Selon l'avocat général de la Cour de justice de l'Union européenne sollicité sur le sujet, Uber est une société de transport et pas du numérique. Un coup dur pour l'entreprise américaine, qui pourrait, si cette affirmation se confirme dans le futur verdict judiciaire, être obligée d'obtenir des licences alors qu'elle est poursuivie dans plusieurs pays d'Europe pour concurrence déloyale vis-à-vis des taxis. Bon, en France ça ne devrait pas changer grand chose mais cet acharnement...
Tramp Posté 11 mai 2017 Signaler Posté 11 mai 2017 Comme quoi, savoir raisonner n'est pas le premier critère pour etre juriste.
h16 Posté 14 mai 2017 Signaler Posté 14 mai 2017 Le 11/05/2017 à 22:18, Tramp a dit : Comme quoi, savoir raisonner n'est pas le premier critère pour etre juriste. On n'arrête pas de le dire.
Bézoukhov Posté 26 mai 2017 Signaler Posté 26 mai 2017 Mmmmhhh. Vraiment, ça sert à rien d'embaucher des gens au marketing. A rien du tout. 300m€ pour le wifi à bord, c'est pas du délire ? Il doit y avoir grand max (et je pense être large) 600 rames concernées. 500k par rame, ça fait beaucoup. Enfin, ça doit être compliqué si on veut du bon débit. 1
Adrian Posté 26 juin 2017 Signaler Posté 26 juin 2017 Le Conseil d’Etat libère le coavionnage en France 1
Romy Posté 27 juin 2017 Signaler Posté 27 juin 2017 Le 26/06/2017 à 17:43, Adrian a dit : Le Conseil d’Etat libère le coavionnage en France Citation Bien que la réglementation européenne n'impose par d'obligations en la matière, les sites de coavionnage exigent déjà une expérience minimale de la part des pilotes - 100 heures de vol chez Wingly - et quelques garanties complémentaires comme le recours à un centre de maintenance certifié. L'étape suivante pourrait être la mise en place, avec la fédération de l'aviation générale (FFA), d'une validation par des instructeurs agréés de la capacité du pilote à faire du coavionnage. « Nous allons travailler avec la fédération française d'aéronautique afin d'intégrer le coavionnage de façon intelligente et sécurisée dans les aéroclubs français », confirme Youssef Oubihi, le fondateur du site Coavmi. Une forme d'autorégulation souhaitée par l'EASA, mais plutôt inhabituelle dans un domaine aussi surveillé que l'aviation en France. Des garanties en matière de sécurité sans l'intervention de l’État qui est le seul à même de nous protéger? Cela n'existe pas voyons 3
Neuron Posté 1 juillet 2017 Signaler Posté 1 juillet 2017 A propos de la politique des transports de la nouvelle mandature, quelques pistes : http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2017/07/01/97002-20170701FILWWW00155-macron-priorite-aux-transports-du-quotidien.php
Tramp Posté 12 juillet 2017 Signaler Posté 12 juillet 2017 Il faut libéraliser la gestion des places de stationnement : Drivers waste billions on parking searches, overpayments - studyhttp://uk.reuters.com/article/uk-autos-parking-idUKKBN19X0N6
Adrian Posté 12 juillet 2017 Signaler Posté 12 juillet 2017 Comment ça ? Je me souviens de cette article à Chicago (Je l'avais en stock depuis un moment celui la) : https://nextcity.org/daily/entry/infrastructure-projects-p3-contracts-chicago-parking
Tramp Posté 12 juillet 2017 Signaler Posté 12 juillet 2017 Et bien la gestion des parcmètres pourrait être privatisée et on pourrait avoir de vrais prix de marché pour les places de parking, plus précisément modulées en fonction du lieu, de l'heure et de la durée de stationnement, et on mettrait fin à la pénurie de places. Il faudrait aussi mettre fin au fait que Velib, Autolib et les bus de la RATP bénéficient gratuitement de places de stationnement. Un emplacement vélib c'est au moins 40 000 euros de pertes de revenus en stationnement - dont le coût de gestion marginal est quasi nul. 1
Adrian Posté 12 juillet 2017 Signaler Posté 12 juillet 2017 il y a 12 minutes, Tramp a dit : modulées en fonction du lieu, de l'heure et de la durée de stationnement, Ce n'est pas déjà le cas ?
Tramp Posté 12 juillet 2017 Signaler Posté 12 juillet 2017 il y a 1 minute, Adrian a dit : Ce n'est pas déjà le cas ? À peine. Hildalgo a mis d'ailleurs fin au fait que le prix à la minute soit modulé en fonction du temps de stationnement.
NoName Posté 13 juillet 2017 Signaler Posté 13 juillet 2017 Déjà le confier au privé aiderait sans doute à pousser au remplacement des parc mètres antediluviens qui ne prennent que les pièces de monnaies.
Hayek's plosive Posté 13 juillet 2017 Signaler Posté 13 juillet 2017 Ça n'existe plus depuis que les roumains les ont pillés. Mankagagner et béchamel.
Marlenus Posté 13 juillet 2017 Signaler Posté 13 juillet 2017 D'ailleurs je n'aime pas les nouveaux où il faut l'utiliser pour avoir l'heure.
Neuron Posté 16 juillet 2017 Signaler Posté 16 juillet 2017 Un rapport d'experts internationaux sur la SNCF est sorti : http://www.lefigaro.fr/societes/2017/07/15/20005-20170715ARTFIG00049-la-sncf-doit-encore-faire-des-efforts-en-termes-de-ponctualite.php Cette entreprise que le monde nous envie. 1
G7H+ Posté 27 juillet 2017 Signaler Posté 27 juillet 2017 Je poste ça ici mais ce fil n'est peut-être pas adéquat. Voilà un thème intéressant pour une campagne libérale/libertarienne locale/municipale : la suppression des dos d'ânes (ne riez pas) https://www.thesun.co.uk/news/4107359/speed-bumps-could-be-removed-cut-pollution/?utm_source=TWITTER&utm_medium=social&utm_campaign=SprnklrSUNOrganic&UTMX=Editorial:TheSun:TwImageandlink:Statement:News
Tramp Posté 28 juillet 2017 Signaler Posté 28 juillet 2017 Pas un mot sur les peages : Le Monde - Formation, records, solutions : tout comprendre aux embouteillages sur les routes Samedi 29 juillet, Bison futé prévoit une journée noire, avec des pics d’embouteillages sur la plupart des grands axes. http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2017/07/28/formation-records-solutions-tout-comprendre-aux-embouteillages-sur-les-routes_5165922_4355770.html
Bisounours Posté 7 septembre 2017 Signaler Posté 7 septembre 2017 Macron va s'attaquer aux régimes spéciaux, dont la SNCF, préparez vous à être bien emmerdés sous peu Ce matin j'entendais un délégué Sud Rail proférer quelques âneries comme "le boulanger aussi, il ne paie pas le pain qu'il mange" https://www.challenges.fr/economie/social/sncf-les-syndicats-vent-debout-contre-la-reforme-du-regime-special-des-cheminots-voulue-par-macron_497641
Romy Posté 23 octobre 2017 Signaler Posté 23 octobre 2017 http://www.numerama.com/tech/299969-les-seabubbles-abandonnent-la-seine-pour-aller-voler-en-suisse.html Même quand c'est écolo, que ça vole sur l'eau (et que c'est subventionné), ça ne veut pas de la France. Bon, le contribuable suisse va mettre la main à la poche mais on voit là que la lourdeur administrative fait capoter les projets voulus par la mairie. C'est peut-être pas plus mal diront certains vu que je doute que cela puisse être rentable sans subvention publique.
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