0100011 Posté 24 novembre 2016 Signaler Posté 24 novembre 2016 C'est le pizzagate des mathématiques ... Dans quel monde sommes nous arrivés avec les interweb ?
TODA Posté 24 novembre 2016 Signaler Posté 24 novembre 2016 pour expliquer le truc à un gamin de 10 ans: tout suppose l'arrêt de la série à un nombre, le dernier , ce qui est contradictoire avec l'idée de suite infinie (indéfinie) (N tel que (N+1 n'existe pas)) n'existe pas
Rincevent Posté 29 novembre 2016 Signaler Posté 29 novembre 2016 TIL que l'île de Java était aussi peuplée que la Russie.
Gilles Posté 30 novembre 2016 Signaler Posté 30 novembre 2016 TIL que la nouvelle mode est de se prendre en selfie à poil. Le créateur de cette mode est un génie.
Stuart Tusspot Posté 30 novembre 2016 Signaler Posté 30 novembre 2016 Nous avons de l'eau sur Terre grâce à Jupiter.
h16 Posté 1 décembre 2016 Signaler Posté 1 décembre 2016 Nous avons de l'eau sur Terre grâce à Jupiter.Lien ?
Neomatix Posté 1 décembre 2016 Signaler Posté 1 décembre 2016 Lien ? Apart from focusing attention on the Moon’s formation, the isotopic match between Earth and lunar water and carbonaceous chondrites supports a startling theory about the evolution of the inner Solar System, Saal says. According to this theory2, known as the 'grand tack' model, the youthful planet Jupiter temporarely migrated into the inner Solar System, destabilizing the orbits of water-rich carbonaceous chondrites, which originally resided farther out than the birthplace of Jupiter and Saturn. As a result, some of the bodies could have fallen inwards and become part of the raw material for making Earth and its neighbours. http://www.nature.com/news/common-source-for-earth-and-moon-water-1.12963
Jesrad Posté 1 décembre 2016 Signaler Posté 1 décembre 2016 Pas seulement des astéroïdes, mais surtout les grosses comètes. Certaines ont ainsi contribué à surélever le niveau des océans sur Terre d'un bon 150m en tout, paraît-il.
Jesrad Posté 1 décembre 2016 Signaler Posté 1 décembre 2016 Nous sommes en train de gagner la guerre contre le Cavalier de la Peste:
Stuart Tusspot Posté 1 décembre 2016 Signaler Posté 1 décembre 2016 Lien ? J'ai pas de lien, ça vient d'un cours. En gros : Il y a les planètes telluriques qui sont les plus proches du Soleil ( Mercure, Venus, Terre, Mars) et les joviennes qui sont plus loin ( Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune). A la formation du système solaire la protoétoile qui allait devenir le Soleil était beaucoup plus chaude que notre soleil actuel, donc presque tout ce qui en était proche s'est désintégré (y compris les particules d'eau). Seules les particules très solides ont tenu le coup et ont formé les planètes telluriques comme la Terre : aucune trace d'eau. Un peu plus loin la température est logiquement plus clémente et beaucoup plus de particules survivent : elles forment les deux géantes gazeuses que sont Jupiter et Saturne. Encore plus loin l'eau est disponible en très grande quantité et forme les deux géantes de glace : Uranus et Neptune. Jupiter se situe donc dans la zone ou l'eau est encore présente en quantité correcte, notamment sous forme de comètes de glace qui tournent autour du soleil selon un orbite légèrement plus grand que celui de Jupiter. - Jupiter est légèrement plus proche du soleil que ces comètes, elle tourne donc plus vite qu'elles. - Jupiter est énorme (100 fois plus grosse que la terre) elle a donc une énorme force d'attraction. A chaque fois que Jupiter va dépasser une comète de glace, la trajectoire de cette comète sera légèrement modifiée vers l’intérieur du système solaire, mais Jupiter étant plus rapide, elle s'en va et la comète continue sur un axe qui est alors dévié. A force de ses passages, Jupiter va modifier l'axe de comètes contenant de l'eau jusqu'à les envoyer dans le système solaire interne. Certaines vont se ramasser sur la Terre et y apporter l'eau. Selon le prof, a mesure d'un impact par an pendant ces millions et millions d'années, on explique la totalité de l'eau sur terre. Il y en a donc également eu sur Mars (on le sait d'ailleurs de nos jours) et il en reste peut être sous la surface. Il n'y en a pas sur Mercure et Venus tout simplement car elles sont trop proches du soleil et donc bien trop chaude.
h16 Posté 1 décembre 2016 Signaler Posté 1 décembre 2016 Nous sommes en train de gagner la guerre contre le Cavalier de la Peste: Et comme par hasard, on n'en entend presque jamais parler. Ca vaut le coup d'un billet, ça.
h16 Posté 1 décembre 2016 Signaler Posté 1 décembre 2016 J'ai pas de lien, ça vient d'un cours. En gros : Il y a les planètes telluriques qui sont les plus proches du Soleil ( Mercure, Venus, Terre, Mars) et les joviennes qui sont plus loin ( Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune). A la formation du système solaire la protoétoile qui allait devenir le Soleil était beaucoup plus chaude que notre soleil actuel, donc presque tout ce qui en était proche s'est désintégré (y compris les particules d'eau). Seules les particules très solides ont tenu le coup et ont formé les planètes telluriques comme la Terre : aucune trace d'eau. Un peu plus loin la température est logiquement plus clémente et beaucoup plus de particules survivent : elles forment les deux géantes gazeuses que sont Jupiter et Saturne. Encore plus loin l'eau est disponible en très grande quantité et forme les deux géantes de glace : Uranus et Neptune. Jupiter se situe donc dans la zone ou l'eau est encore présente en quantité correcte, notamment sous forme de comètes de glace qui tournent autour du soleil selon un orbite légèrement plus grand que celui de Jupiter. - Jupiter est légèrement plus proche du soleil que ces comètes, elle tourne donc plus vite qu'elles. - Jupiter est énorme (100 fois plus grosse que la terre) elle a donc une énorme force d'attraction. A chaque fois que Jupiter va dépasser une comète de glace, la trajectoire de cette comète sera légèrement modifiée vers l’intérieur du système solaire, mais Jupiter étant plus rapide, elle s'en va et la comète continue sur un axe qui est alors dévié. A force de ses passages, Jupiter va modifier l'axe de comètes contenant de l'eau jusqu'à les envoyer dans le système solaire interne. Certaines vont se ramasser sur la Terre et y apporter l'eau. Selon le prof, a mesure d'un impact par an pendant ces millions et millions d'années, on explique la totalité de l'eau sur terre. Il y en a donc également eu sur Mars (on le sait d'ailleurs de nos jours) et il en reste peut être sous la surface. Il n'y en a pas sur Mercure et Venus tout simplement car elles sont trop proches du soleil et donc bien trop chaude. Merci. Tu as bien retenu ton cours. C'est très bien. Tu auras une bonne note
Cortalus Posté 1 décembre 2016 Signaler Posté 1 décembre 2016 J'ai pas de lien, ça vient d'un cours. En gros : Il y a les planètes telluriques qui sont les plus proches du Soleil ( Mercure, Venus, Terre, Mars) et les joviennes qui sont plus loin ( Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune). A la formation du système solaire la protoétoile qui allait devenir le Soleil était beaucoup plus chaude que notre soleil actuel, donc presque tout ce qui en était proche s'est désintégré (y compris les particules d'eau). Seules les particules très solides ont tenu le coup et ont formé les planètes telluriques comme la Terre : aucune trace d'eau. Un peu plus loin la température est logiquement plus clémente et beaucoup plus de particules survivent : elles forment les deux géantes gazeuses que sont Jupiter et Saturne. Encore plus loin l'eau est disponible en très grande quantité et forme les deux géantes de glace : Uranus et Neptune. Jupiter se situe donc dans la zone ou l'eau est encore présente en quantité correcte, notamment sous forme de comètes de glace qui tournent autour du soleil selon un orbite légèrement plus grand que celui de Jupiter. - Jupiter est légèrement plus proche du soleil que ces comètes, elle tourne donc plus vite qu'elles. - Jupiter est énorme (100 fois plus grosse que la terre) elle a donc une énorme force d'attraction. A chaque fois que Jupiter va dépasser une comète de glace, la trajectoire de cette comète sera légèrement modifiée vers l’intérieur du système solaire, mais Jupiter étant plus rapide, elle s'en va et la comète continue sur un axe qui est alors dévié. A force de ses passages, Jupiter va modifier l'axe de comètes contenant de l'eau jusqu'à les envoyer dans le système solaire interne. Certaines vont se ramasser sur la Terre et y apporter l'eau. Selon le prof, a mesure d'un impact par an pendant ces millions et millions d'années, on explique la totalité de l'eau sur terre. Il y en a donc également eu sur Mars (on le sait d'ailleurs de nos jours) et il en reste peut être sous la surface. Il n'y en a pas sur Mercure et Venus tout simplement car elles sont trop proches du soleil et donc bien trop chaude. C'est passionnant. Merci pour ces explications !
Rübezahl Posté 1 décembre 2016 Signaler Posté 1 décembre 2016 J'ai pas de lien, ça vient d'un cours. En gros : Merci pour ces explications. (je vais louer Jupiter à mon prochain bain )
0100011 Posté 1 décembre 2016 Signaler Posté 1 décembre 2016 TIL que las canciones de la granja ont 331 millions de vues : c'est à dire trois fois plus que mais c'est aussi plus que est ce que c'est le meilleur retour sur investissement en termes de vues sur Youtube ? Je veux dire l'animation est vide et les chansons sont des reprises de vieilles chansons latino (donc investissement max de 1000 €, plus le temps de le faire, pour réaliser les vidéos horrifiques de canards sur fond immobile).
NoName Posté 1 décembre 2016 Signaler Posté 1 décembre 2016 J'ai pas de lien, ça vient d'un cours. En gros : Il y a les planètes telluriques qui sont les plus proches du Soleil ( Mercure, Venus, Terre, Mars) et les joviennes qui sont plus loin ( Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune). A la formation du système solaire la protoétoile qui allait devenir le Soleil était beaucoup plus chaude que notre soleil actuel, donc presque tout ce qui en était proche s'est désintégré (y compris les particules d'eau). Seules les particules très solides ont tenu le coup et ont formé les planètes telluriques comme la Terre : aucune trace d'eau. Un peu plus loin la température est logiquement plus clémente et beaucoup plus de particules survivent : elles forment les deux géantes gazeuses que sont Jupiter et Saturne. Encore plus loin l'eau est disponible en très grande quantité et forme les deux géantes de glace : Uranus et Neptune. Jupiter se situe donc dans la zone ou l'eau est encore présente en quantité correcte, notamment sous forme de comètes de glace qui tournent autour du soleil selon un orbite légèrement plus grand que celui de Jupiter. - Jupiter est légèrement plus proche du soleil que ces comètes, elle tourne donc plus vite qu'elles. - Jupiter est énorme (100 fois plus grosse que la terre) elle a donc une énorme force d'attraction. A chaque fois que Jupiter va dépasser une comète de glace, la trajectoire de cette comète sera légèrement modifiée vers l’intérieur du système solaire, mais Jupiter étant plus rapide, elle s'en va et la comète continue sur un axe qui est alors dévié. A force de ses passages, Jupiter va modifier l'axe de comètes contenant de l'eau jusqu'à les envoyer dans le système solaire interne. Certaines vont se ramasser sur la Terre et y apporter l'eau. Selon le prof, a mesure d'un impact par an pendant ces millions et millions d'années, on explique la totalité de l'eau sur terre. Il y en a donc également eu sur Mars (on le sait d'ailleurs de nos jours) et il en reste peut être sous la surface. Il n'y en a pas sur Mercure et Venus tout simplement car elles sont trop proches du soleil et donc bien trop chaude. Super intéressant !
NoName Posté 1 décembre 2016 Signaler Posté 1 décembre 2016 Et comme par hasard, on n'en entend presque jamais parler. Ca vaut le coup d'un billet, ça. +1
SilenT BoB Posté 2 décembre 2016 Signaler Posté 2 décembre 2016 Mais LOL !! En 1820, le génie allemand des mathématiques Carl Friedrich Gauss fut l’un des premiers à décrire une méthode permettant de contacter les êtres intelligents qui pourraient vivre sur la Lune. Dans une partie de la toundra sibérienne, les hommes pouvaient construire une figure géante, preuve géométrique du théorème de Pythagore, dans laquelle les éléments, un triangle à angle droit et trois carrés, seraient si grands qu’ils pourraient être vus depuis la Lune.
NoName Posté 3 décembre 2016 Signaler Posté 3 décembre 2016 ça me rappelle les expériences que voulait tenter Snow.
Cortalus Posté 3 décembre 2016 Signaler Posté 3 décembre 2016 TIL que Necker se prononce "nekre". Merci liborg.
Neomatix Posté 4 décembre 2016 Signaler Posté 4 décembre 2016 Scuse nous, on n'était pas tous à Klèbre.
Tramp Posté 4 décembre 2016 Signaler Posté 4 décembre 2016 Personne là-bas ne sait comment ça se prononce
Anton_K Posté 4 décembre 2016 Signaler Posté 4 décembre 2016 Moui, tout dépend de comment les français entendent la manière de prononcer les dernières consonnes dans les noms germaniques. Dans certains dialectes/régions des pays germanophones ça peut même être écrit "Neckr" ou ou Schneidr" ou encore "Gödl", et à l'oreille c'est difficile de savoir si tu vas écrire le "e" avant ou après la dernière consonne, en tout cas à l'oral c'est vrai que la vocalisation doit être très courte.
Tramp Posté 4 décembre 2016 Signaler Posté 4 décembre 2016 Oui enfin à Strasbourg, la plupart des gens que j'ai entendu prononcent aussi Broglie "Brouglie". Savent pas parler stou.
Neomatix Posté 4 décembre 2016 Signaler Posté 4 décembre 2016 Cela dit Broglie (la ville) est prononcé comme ça s'écrit.
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