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Je Raconte My Life 3 - The Return Of The Come Back

Invité

Par Invité
dans La Taverne

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free jazz

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D'ailleurs pour te faire plaisir, un petit manifeste de l'eau dace.   

 

1. Nous voulons chanter l’amour du risque, l’habitude de l’énergie et de la témérité.

2. Le courage, l’audace et la révolte seront les éléments essentiels de notre poésie.

3. La littérature ayant jusqu’ici magnifié l’immobilité pensive, l’extase et le sommeil, nous voulons exalter le mouvement agressif, l’insomnie fiévreuse, le pas gymnastique, le saut périlleux, la gifle et le coup de poing.

4. Nous déclarons que la splendeur du monde s’est enrichie d’une beauté nouvelle : la beauté de la vitesse. Une automobile de course avec son coffre orné de gros tuyaux tels des serpents à l’haleine explosive … une automobile rugissante qui semble courir sur la mitraille est plus belle que la Victoire de Samothrace.

5. Nous voulons chanter l’homme qui tient le volant dont la tige idéale traverse la Terre, lancée elle-même sur le circuit de son orbite.

6. Il faut que le poète se prodigue avec chaleur, éclat et prodigalité, pour augmenter la ferveur enthousiaste des éléments primordiaux.

7. Il n’y a plus de beauté que dans la lutte. Pas de chef d’œuvre sans un caractère agressif. La poésie doit être un assaut violent contre les forces inconnues pour les sommer de se coucher devant l’homme.

8. Nous sommes sur le promontoire extrême des siècles ! … A quoi bon regarder derrière nous , du moment qu’il faut défoncer les vantaux mystérieux de l’Impossible ? Le Temps et l’Espace sont morts hier. Nous vivons déjà dans l’absolu, puisque nous avons déjà créé l’éternelle vitesse omniprésente.

9. Nous voulons glorifier la guerre - seule hygiène du monde -, le militarisme, le patriotisme, le geste destructeur des anarchistes, les belles Idées qui tuent et le mépris de la femme.

10. Nous voulons démolir les musées, les bibliothèques, combattre le moralisme, le féminisme et toutes les autres lâchetés opportunistes et utilitaires.

11. Nous chanterons les grandes foules agitées par le travail, le plaisir ou par la révolte ; les ressacs multicolores et polyphoniques des révolutions dans les capitales modernes ; la vibration nocturne des arsenaux et des chantiers sous leurs violentes lunes électriques ; les gares gloutonnes avaleuses de serpents qui fument ; les ponts aux bonds de gymnastes lancés sur la coutellerie diabolique des fleuves ensoleillés ; les usines suspendues aux nuages par des fils tordus de fumée, les paquebots aventureux flairant l’horizon ; les locomotives au grand poitrail, qui piaffent sur les rails tels d’énormes chevaux d’acier bridés de long tuyaux et le vol glissant des aéroplanes dont l’hélice a des claquements de drapeaux et des applaudissements de foule enthousiaste.
 

 

Nihiliste frustré

Nihiliste frustré

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Presque tous les fumeurs quotidiens de cannabis que je connais on une consommation raisonnable et leur manque augmente avec le temps quand ils n'en n'ont pas. Dans mon cas, c'est l'inverse : je suis vraiment en mode boulimique tant qu'il m'en reste, gros manque (et déprime) les 3 ou 4 jours de sevrage (avant c'était un, puis deux jours...), et puis je peux m'en passer ensuite pendant une durée indéterminée. Je précise que je fume au final de plus grosses quantités que les consommateurs réguliers que je côtoie, depuis plusieurs années.

Sur les capacitées intellectuelles, je me sens de moins en moins performant (j'ignore la part exacte du cannabis mais rasoir d'Ockham..). C'est ça qui me fera arrêter un jour.

Tramp

Tramp

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La mémoire, l'élocution c'est ce qui m'avait frappé. Oublier ce que tu veux faire au bout de 5 minutes c'est assez chiant. 

 

 

 

je suis vraiment en mode boulimique tant qu'il m'en reste, et puis je peux m'en passer ensuite pendant une durée indéterminée.

 

Je connais ça. Tant que j'ai de l'herbe, il faut que je la fume. Quand je rentre en France où je n'ai pas de dealer, j'arrête sans problème.

poney

poney

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Ce jour là, il sera sans doute trop tard. Je ne sais pas si les neurones repoussent (bon, c'est sans doute plus compliqué que ça).

 

Je suis assez content de ne pas avoir un corps qui semble prompts aux addictions.

 

J'ai un peu fumé adolescent, deux ou trois paquets de cig' par semaine, j'ai arrêté du jour au lendemain. J'ai vécu en colloc avec un dealer et j'ai testé pas mal de trucs, mais ça n'a jamais dépassé le côté récréatif du vendredi soir. A la limite, la descente infernale durant 2 jours ensuite était plutôt un bon antidote au speed. Bon. La beuh, j'en ai fumé pas mal, pareil, j'ai jamais ressenti de manque. Maintenant, je partage un joint avec plaisir de temps en temps (hier soir, par exemple), c'est marrant, mais je sais que je ne fumerai probablement pas avant deux ou trois semaines et c'est très bien comme ça.

 

L'alcool ou le café, c'est pareil. Je carbure à raison de 3 ou 4 cafés minimum par jour, quand je suis en Afrique, vu qu'on ne trouve que du Neslé de merde en poudre, je n'en bois plus une tasse pendant des mois. L'alcool, j'ai jamais testé être sobre pendant plusieurs mois, mais je peux passer une semaine sans boire une bière sans aucun souci ou manque (à part l'envie de boire une pils à un comptoir, mais c'est pas un manque).

 

 

Elphyr

Elphyr

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Je m'attendais à franchement plus.

Je suis déception.

:(

Je suis parsuadé que ce commentaire vient d'ici : 

 

"Que de poncifs et quel abécédaire de la pensée des autres, et vous M. Jose López Martínez, votre avis personnel dans tout ce galimatias (car dans ce texte on ne sait plus…) ?

Vous en êtes tout de même à prétendre ce que prétendent les autres, droit dans votre toge de libéral et d’évidence vous avez les clés du bon, pur, vrai libéralisme; après l’évangile selon St Mathieu, voici le libéralisme psalmodique selon Jose López Martínez.

Vous pourriez avoir juste que s’en est inaudible et surtout terriblement insultant."

 

Eriul

Eriul

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Dans mon cas, il suffit de surdoser la "drogue" en question pour que la moindre addiction disparaisse.

Cuite désastreuse, bad-trip, etc.

NoName

NoName

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Oh mon Dieu, tous ces articles de Lucilio sur Vomigorax dont je n'avais jamais entendu parler  :jaifaim:

Couplé au fait qu'aujourd'hui je n'avait pas cours, je me risquerais à dire que c'est une merveilleuse journée.

NoName

NoName

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Le ratio de certains articles explique tout. le fait qu'il a eu 36 articles modérés négativement (donc non acceptés je suppose) aussi.

Nihiliste frustré

Nihiliste frustré

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Ce jour là, il sera sans doute trop tard. Je ne sais pas si les neurones repoussent (bon, c'est sans doute plus compliqué que ça).

 

Je suis assez content de ne pas avoir un corps qui semble prompts aux addictions.

 

J'ai un peu fumé adolescent, deux ou trois paquets de cig' par semaine, j'ai arrêté du jour au lendemain. J'ai vécu en colloc avec un dealer et j'ai testé pas mal de trucs, mais ça n'a jamais dépassé le côté récréatif du vendredi soir. A la limite, la descente infernale durant 2 jours ensuite était plutôt un bon antidote au speed. Bon. La beuh, j'en ai fumé pas mal, pareil, j'ai jamais ressenti de manque. Maintenant, je partage un joint avec plaisir de temps en temps (hier soir, par exemple), c'est marrant, mais je sais que je ne fumerai probablement pas avant deux ou trois semaines et c'est très bien comme ça.

 

L'alcool ou le café, c'est pareil. Je carbure à raison de 3 ou 4 cafés minimum par jour, quand je suis en Afrique, vu qu'on ne trouve que du Neslé de merde en poudre, je n'en bois plus une tasse pendant des mois. L'alcool, j'ai jamais testé être sobre pendant plusieurs mois, mais je peux passer une semaine sans boire une bière sans aucun souci ou manque (à part l'envie de boire une pils à un comptoir, mais c'est pas un manque).

Comme je t'envie ! Je tire une seule barre sur un joint et le démon s'empare de mon cerveau. Quant à passer 24 heures sans café, c'est simplement inenvisageable. Heureusement que j'ai compris ça assez jeune pour m'interdire d'essayer le reste (ce qui doit aider à prendre position pour la légalisation de toutes les drogues).

Tramp, pourrais-tu être plus précis à propos de l'élocution ?

Tramp

Tramp

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Tramp, pourrais-tu être plus précis à propos de l'élocution ?

 

Je m'étais mis à bégayer un peu.

Miss Liberty

Miss Liberty

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C'est là que je me rends compte que j'ai vraiment du bol de n'être accro à aucune de ses saloperies. Ca ne me rend pas riche pour autant, mais qu'est-ce que ça serait si je devais engloutir des fortunes là-dedans.

Tramp

Tramp

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 saloperies. 

 

N’exagérons rien.

 

J'aurais sûrement apprécié dépenser moins d'argent mais je ne regrette pas d'avoir fumé.

Miss Liberty

Miss Liberty

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Paske le chocolat, ça compte pas peut-être !?

Je ne suis pas accro au chocolat.

 

Bon, ceci dit, au sucre et aux bonbons, je ne dis pas. Mais c'est moins cher, et à part faire grossir ça n'a trop d'effets secondaires.

Eriul

Eriul

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Haha, les commentaires sur les articles de Lulu sur Vomigorax  :icon_jump:

 

"Le mythe de la surpopulation" est un must dans le domaine.

 

Et les réponses de Lulu sont excellentes. :lol:

NoName

NoName

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"Le mythe de la surpopulation" est un must dans le domaine.

 

Et les réponses de Lulu sont excellentes. :lol:

pylotrene ou je sais pas quoi avec un avatar de kermitt est juste magique dans le genre. Tout dans l'ad hominem, aucun argument, que des conneries. Quelle bande de gros bouffons.

 

En attendant, je me demande comment Lucilio faisait pour garder son calme.

 

Oh God, commentaire épique  :icon_ptdr:

L’auteur n’a pas lu Naomi Klein... Et compare naïvement dettes des ménages, des entreprises à celles de l’Etat.. Bon, un petit recyclage économique serait bienvenu sourire.png

Mais quelle bande de gros bouffons  :icon_mdr:

Ultimex

Ultimex

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Oh God, commentaire épique  :icon_ptdr:

 

 

 

L’auteur n’a pas lu Naomi Klein... Et compare naïvement dettes des ménages, des entreprises à celles de l’Etat.. Bon, un petit recyclage économique serait bienvenu sourire.png

 

 

Mais quelle bande de gros bouffons  :icon_mdr:

 

i-dont-want-to-live-on-this-planet-anymo

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