Fadior Posté 16 février 2016 Signaler Posté 16 février 2016 Les charges d'une école portent en gros sur la location/achat d'un bâtiment, sa mise aux normes et l'embauche du personnel. Les enseignants sont généralement des salariés de l'association alors que le directeur de l'école est parfois bénévole, il peut à ce titre être membre du board. Il peut aussi être salarié de l'asso mais dans ce cas il n'appartient pas au bureau. Je penses que tu peux partir avec une base de ~4K€ brut par mois et par enseignants. Avec une classe de 20 élèves sur 20 jours, ça fait 10€ par jour et par élève. Là dessus s'ajoute les charges pour le bâtiment (variables).
Flashy Posté 16 février 2016 Signaler Posté 16 février 2016 Je ne connais pas les seuils relatifs aux bâtiments (établissements accueillant du public + dispositions spéciales pour les établissements scolaires).Idée : le télétravail. A mon avis, le présentiel risque d'être obligatoire (à vérifier), mais en maximisant le "télétravail" des élèves -on serait donc à mi-chemin entre éducation dans les familles et dans l'établissement-, on peut optimiser l'occupation des locaux.Exemple : tu as cinq classes de 20 élèves. Avec un jour de présentiel, tu peux faire tourner les cinq classes d'élèves dans une seule salle de cours de 20 places. NB : je ne me positionne pas sur la légalité de la chose. Je n'ai pas étudié la question.
Fadior Posté 16 février 2016 Signaler Posté 16 février 2016 Idée : le télétravail. A mon avis, le présentiel risque d'être obligatoire (à vérifier), mais en maximisant le "télétravail" des élèves -on serait donc à mi-chemin entre éducation dans les familles et dans l'établissement-, on peut optimiser l'occupation des locaux. Exemple : tu as cinq classes de 20 élèves. Avec un jour de présentiel, tu peux faire tourner les cinq classes d'élèves dans une seule salle de cours de 20 places. Cette idée de roulement est intéressante, pour ma part j'avais imaginé des classes en ligne pendant les 3 ou 4 heures de la matinée, moment ou l'attention est à son maximum. Une classe en ligne pouvant accueillir un grand nombre d'élèves, on pourrait ainsi avoir une formule à 1€ l'heure de cours sans que l'enseignant y perde au change. Le reste du temps les élèves resteraient chez eux ou se retrouveraient en dehors pour des activités payantes et à la carte, ou des activités gratuites, pourquoi pas, et à leur initiative, avec un système d'organisation de sorties à thème.
Escondido Posté 16 février 2016 Signaler Posté 16 février 2016 Le télétravail avec des enfants de quel âge ?
Hayek's plosive Posté 16 février 2016 Signaler Posté 16 février 2016 Les gosses resteraient chez eux et travailleraient de manière autonome. Vous êtes fous.
FabriceM Posté 16 février 2016 Signaler Posté 16 février 2016 http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1377461-je-suis-enseignante-les-eleves-sont-intenables-leur-niveau-est-accablant-c-est-l-enfer.html Témoigne d'une maitresse de CM2. Ca fait vraiment flipper.
Neomatix Posté 16 février 2016 Signaler Posté 16 février 2016 De l'intérêt d'envoyer des gosses à l'école... Lire, écrire, compter, concept des opérations basiques et c'est tout. Confer citation de Tramp dans la signature de Hayek. Envoyer de force un gamin qui se fera chier 8h/jour 200j/an à l'école en cours magistral, ce qui a de fortes chances de le dégoûter de l'accumulation de savoir et de lui fermer plein de portes professionnelles (en plus du risque quasiment certain de ne pas trouver sa voie) est une aberration économique sans nom. Toutes les matières après la fin de la primaire ne sont qu'une garderie améliorée, les enseignements qui y sont délivrés ne serviront jamais à l'immense majorité des élèves, ces derniers n'en retiennent qu'une infime partie de toute façon, c'est une perte de temps incommensurable. Alors que par l'exercice professionnel ces enfants pourraient assimiler ce qu'est le travail, trouver là où ils sont les meilleurs et vraiment produire quelque chose pendant ce temps, au lieu de consommer des ressources phénoménales. L'avenir c'est la professionnalisation à 10 ans, 8 ans pour ceux qui apprennent vite. Child labour laws are ruining this country.
Adrian Posté 16 février 2016 Signaler Posté 16 février 2016 " Classe primaire difficile du 94 ". A quand des écoles primaires classés en REP ?
FabriceM Posté 17 février 2016 Signaler Posté 17 février 2016 Ca parle justement de gamin en primaire, qui ne maitrisent pas la langue, et ne veulent pas la maitriser, ni maitriser des connaissances basiques. L'avenir c'est la professionnalisation à 10 ans, 8 ans pour ceux qui apprennent vite. Child labour laws are ruining this country.
Fadior Posté 17 février 2016 Signaler Posté 17 février 2016 Les gosses resteraient chez eux et travailleraient de manière autonome. Ca se fait déjà dans certaines régions rurales d'Australie et des Etats-Unis. Et aussi plus près de chez nous, en France, avec le CNED et ses polycopiés qu'on renvoie toujours par voie postale... http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1377461-je-suis-enseignante-les-eleves-sont-intenables-leur-niveau-est-accablant-c-est-l-enfer.html Témoigne d'une maitresse de CM2. Ca fait vraiment flipper. "Les quatre élèves qui s’en sortent mieux que les autres" Sur une classe de 30 ça fait 26 retardés à vie. 86% des élèves. CPEF
Neomatix Posté 17 février 2016 Signaler Posté 17 février 2016 Ca parle justement de gamin en primaire, qui ne maitrisent pas la langue, et ne veulent pas la maitriser, ni maitriser des connaissances basiques.Il faudrait peut être commencer à se poser la question de la méthode et de l'uniformité des cours alors.No I'm not. I've given it a great deal of thought and legitimately believe this.
FabriceM Posté 17 février 2016 Signaler Posté 17 février 2016 Il faudrait peut être commencer à se poser la question de la méthode et de l'uniformité des cours alors. Il n'y a rien d'autre à dire que : tu es à côté de la plaque. No I'm not. I've given it a great deal of thought and legitimately believe this. Eh bien, il est tout à fait urgent de partager ces réflexions.
Neomatix Posté 17 février 2016 Signaler Posté 17 février 2016 Il n'y a rien d'autre à dire que : tu es à côté de la plaque.Allons, 7 ans d'enseignement pour 87% d'échec. Et tout va bien du côté de la méthode ?Eh bien, il est tout à fait urgent de partager ces réflexions.Demain, là je vais dormir. Cependant mon commentaire visait la discussion d'avant ton post, tu as posté alors que j'écrivais. Ce n'est donc pas une réponse à l'article.
FabriceM Posté 17 février 2016 Signaler Posté 17 février 2016 Allons, 7 ans d'enseignement pour 87% d'échec. Et tout va bien du côté de la méthode ? Ce n'est vraiment pas pour défendre l'éducation nationale mais dans le cas présent, la source n°1 de l'échec des enfants, c'est visiblement l'abscence totale d'implication des parents, voir leur irresponsabilité totale.
Tramp Posté 17 février 2016 Signaler Posté 17 février 2016 La structure générale de l'Ednat n'est pas trop problématique. Le problème c'est que c'est bien trop one size fits all et que la gestion des ressources humaines est totalement delirante.
Escondido Posté 17 février 2016 Signaler Posté 17 février 2016 De l'intérêt d'envoyer des gosses à l'école... Lire, écrire, compter, concept des opérations basiques et c'est tout. Confer citation de Tramp dans la signature de Hayek. Envoyer de force un gamin qui se fera chier 8h/jour 200j/an à l'école en cours magistral, ce qui a de fortes chances de le dégoûter de l'accumulation de savoir et de lui fermer plein de portes professionnelles (en plus du risque quasiment certain de ne pas trouver sa voie) est une aberration économique sans nom. Toutes les matières après la fin de la primaire ne sont qu'une garderie améliorée, les enseignements qui y sont délivrés ne serviront jamais à l'immense majorité des élèves, ces derniers n'en retiennent qu'une infime partie de toute façon, c'est une perte de temps incommensurable. Alors que par l'exercice professionnel ces enfants pourraient assimiler ce qu'est le travail, trouver là où ils sont les meilleurs et vraiment produire quelque chose pendant ce temps, au lieu de consommer des ressources phénoménales. L'avenir c'est la professionnalisation à 10 ans, 8 ans pour ceux qui apprennent vite. Child labour laws are ruining this country. Les enfants Montessori adorent l'école. Pas parce que les programmes sont légers, mais parce qu'ils ont une relative liberté dans le choix de leurs activités pédagogiques.Sous le régime de l'EdNat, tu n'apprends pas la division avant le CM1/2. Chez Montessori, à 4 ans les enfants savent compter jusqu'à 100 000 et effectuer les divisions euclidiennes.
Rübezahl Posté 17 février 2016 Signaler Posté 17 février 2016 Ce n'est vraiment pas pour défendre l'éducation nationale mais dans le cas présent, la source n°1 de l'échec des enfants, c'est visiblement l'abscence totale d'implication des parents, voir leur irresponsabilité totale. ... et cette déresponsabilisation, elle s'est fait comment ?
Tremendo Posté 17 février 2016 Signaler Posté 17 février 2016 Les enfants Montessori adorent l'école. Pas parce que les programmes sont légers, mais parce qu'ils ont une relative liberté dans le choix de leurs activités pédagogiques. Sous le régime de l'EdNat, tu n'apprends pas la division avant le CM1/2. Chez Montessori, à 4 ans les enfants savent compter jusqu'à 100 000 et effectuer les divisions euclidiennes. J'ai une amie qui poste des trucs sur facebook sur une ecole Montessori que sa sœur a monté en Alsace mais je pige toujours rien à ce que c'est concrètement. Quelqu'un peut-il expliquer?
Tremendo Posté 17 février 2016 Signaler Posté 17 février 2016 Ce n'est vraiment pas pour défendre l'éducation nationale mais dans le cas présent, la source n°1 de l'échec des enfants, c'est visiblement l'abscence totale d'implication des parents, voir leur irresponsabilité totale.En fait, que ce soit à l'école ou à la maison, l'instruction implique l'engagement des parents pour que cela réussisse j'ai l'impression. Peu importe la méthode, encore qu'il faudrait l'adapter un minimum à l'enfant tout de même
Mathieu_D Posté 17 février 2016 Signaler Posté 17 février 2016 D'où les haussements d'épaules que provoquent les partisans du elearning pour les enfants de niveau primaire.
Calembredaine Posté 17 février 2016 Signaler Posté 17 février 2016 Il n'y a rien d'autre à dire que : tu es à côté de la plaque. Pour une fois je suis pleinement d'accord avec FabriceM. La méthode n'est nullement en cause. Cependant il faut avoir des enfants scolarisés pour avoir conscience du problème. Mon épouse enseigne, ça aide aussi pour en avoir conscience. Quand un élève se prend une mauvaise note, les parents débarquent, parfois sans rendez-vous sont très agressifs. Aucun respect ni pour la fonction, ni pour la personne. Ce n'est pas un problème d'effectif comme le dit la prof de l'article, mon épouse a enseigné à l'étranger avec des classes de... 100 élèves. Difficile de suivre les élèves individuellement mais il n'y avait pas de problème de discipline.
Rübezahl Posté 17 février 2016 Signaler Posté 17 février 2016 ... Aucun respect ni pour la fonction, ni pour la personne. En décidant d'absolument tout, unilatéralement, (du fait de son monopole) l'institution ednat est de facto initialement dans une posture d'irrespect des familles, et donc des parents. Et l'irrespect finit naturellement par engendrer l'irrespect. Evidemment, ce sont surtout les personnes au front qui trinquent le plus.
Tremendo Posté 17 février 2016 Signaler Posté 17 février 2016 En décidant d'absolument tout, unilatéralement, (du fait de son monopole) l'institution ednat est de facto initialement dans une posture d'irrespect des familles, et donc des parents. Et l'irrespect finit naturellement par engendrer l'irrespect. Evidemment, ce sont surtout les personnes au front qui trinquent le plus. Je me demande réellement quelle part d'irrespect envers l'ednat conduit à ce comportement des parents et quelle est la part simplement de sagouinerie ? Il y a un peu des deux à mon avis.
Calembredaine Posté 17 février 2016 Signaler Posté 17 février 2016 En décidant d'absolument tout, unilatéralement, (du fait de son monopole) l'institution ednat est de facto initialement dans une posture d'irrespect des familles, et donc des parents. Et l'irrespect finit naturellement par engendrer l'irrespect. Evidemment, ce sont surtout les personnes au front qui trinquent le plus. Oui. Mais pourquoi cela "marchait" il avant? Parce que les parents n'avaient pas leur mot à dire, que les punitions corporelles existaient et que les élèves qui ne suivaient pas redoublaient ou étaient orientés manu-militari vers des structures (soit disant) adaptées ou vers la porte. Attention! Je ne souscris pas, je dis que le monopole implique toutes ces brutalités sinon il ne peut pas fonctionner.Une solution est évidemment la liberté. Liberté pour les établissements de foutre dehors les élèves "turbulents" et liberté pour les parents de choisir l'école de leurs gosses. 1
Rübezahl Posté 17 février 2016 Signaler Posté 17 février 2016 Je me demande réellement quelle part d'irrespect envers l'ednat conduit à ce comportement des parents et quelle est la part simplement de sagouinerie ? Il y a un peu des deux à mon avis. oui, oui. il y a des 2. Mais l'ednat, en tant qu'institution, a largement sa part de responsabilité dans cette situation. Je parle en tant que parent de gamins qui ont fait public/homeschooling/privé, et j'en ai vu des parents gonflés par l'EN. Et pas les plus racailles. Après, chaque couple de parents a sa façon de réagir à ce mépris concret de l'institution. Du courrier sympa à l'attrapage de collet. L'institution EN s'en fout puisque ce sont les petits soldats qui prennent le retour clientèle.
Rübezahl Posté 17 février 2016 Signaler Posté 17 février 2016 Oui. Mais pourquoi cela "marchait" il avant? entre autre tout simplement parce que les résultats de la machine étaient bien meilleurs.
Fadior Posté 17 février 2016 Signaler Posté 17 février 2016 Ce n'est pas un problème d'effectif comme le dit la prof de l'article, mon épouse a enseigné à l'étranger avec des classes de... 100 élèves. Le besoin en effectif dépend énormément de la méthode utilisée. Par exemple le modèle d'enseignement mutuel utilisé par des hospices français au XIXème siècle pour instruire des enfants orphelins avait pour seule limite du nombre d'élèves la superficie du bâtiment. Les témoignages de l'époque rapporte des "classes" allant jusqu'à 800 ou 1000 élèves. Dans l’école mutuelle, l'organisation est totalement différente des méthodes d'enseignement simultané qui prévalaient alors : un seul maître est nécessaire pour faire fonctionner une école jusqu'aux limites d'ordre architectural concernant la capacité d'accueil du bâtiment (jusqu'à plus de 800 élèves). Ce système peut fonctionner à plusieurs étages, avec des moniteurs généraux, des moniteurs intermédiaires etc., jusqu'au niveau le plus bas des élèves débutants, tout le monde apprenant à son niveau et enseignant au niveau inférieur. Ainsi «Un enfant y trouve par définition toujours une place qui correspond à son niveau… Les moniteurs ne sont que provisoirement les premiers dans le précédent exercice de la même matière »2, et non pas les meilleurs élèves ou les plus âgés comme il sera de règle par la suite.Le maître unique, juché sur son pupitre commande toute cette organisation, les élèves étant installés sur de longs pupitres mobiles, organisés en configuration variables suivant les matières et les groupes de niveau. La méthode introduit une innovation capitale : l'apprentissage concomitant de la lecture et de l'écriture, et fait appel à des outils pédagogiques encore peu usités, comme l'ardoise qui économise le papier ou les tableaux muraux autour desquels les groupes font cercle au moment prescrit. https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89cole_mutuelle http://www.inrp.fr/edition-electronique/lodel/dictionnaire-ferdinand-buisson/document.php?id=3249
poney Posté 17 février 2016 Signaler Posté 17 février 2016 Les profs ont aussi été fortement déclassés dans la hiérarchie sociale en 30 ans. Donc le respect se perd aussi par là. Puis les ados frustrés de ces collèges pourris d'il y a 20 ans sont parents. Ils ont une revanche a prendre. Je partage avec eux une haine profonde de l'école qui fut un calvaire sans nom et sans fin pour moi jusqu'à la délivrance de l'Université. Sauf que je serai assez malin pour ne pas que ça retombe sur mes enfants. Ils iront probablement dans un truc privé adapté. Comme Montessori ou autre.
Tremendo Posté 17 février 2016 Signaler Posté 17 février 2016 oui, oui. il y a des 2. Mais l'ednat, en tant qu'institution, a largement sa part de responsabilité dans cette situation. Je parle en tant que parent de gamins qui ont fait public/homeschooling/privé, et j'en ai vu des parents gonflés par l'EN. Et pas les plus racailles. Après, chaque couple de parents a sa façon de réagir à ce mépris concret de l'institution. Du courrier sympa à l'attrapage de collet. L'institution EN s'en fout puisque ce sont les petits soldats qui prennent le retour clientèle. Quand des parents engueulent les profs devant leur gosse ce n'est pas correct, il faut mieux une rencontre et éviter de dire à son enfant de répondre au prof. Après je suis d'accord avec toi sur le fait que l'institution a perdu du respect, j'ai pas mal de remords envers pas mal de profs, et mon père qui est un conservateur de droite, ancien militaire qui filait droit, qui respectait pas mal les professeurs de son temps a eu maille à partir avec un ou deux profs quand nous étions gamins je m'en rappelle, en particulier sur les contenus au collège et au lycée. Et je raconte ça c'était au début des 90's.
Rübezahl Posté 17 février 2016 Signaler Posté 17 février 2016 Quand des parents engueulent les profs devant leur gosse ce n'est pas correct, il faut mieux une rencontre et éviter de dire à son enfant de répondre au prof. Après je suis d'accord avec toi sur le fait que l'institution a perdu du respect, j'ai pas mal de remords envers pas mal de profs, et mon père qui est un conservateur de droite, ancien militaire qui filait droit, qui respectait pas mal les professeurs de son temps a eu maille à partir avec un ou deux profs quand nous étions gamins je m'en rappelle, en particulier sur les contenus en Histoire ou en éducation civique au collège et au lycée. absolument. On cause de ce qu'on voit, les parents qui cognent des profs, mais les profs qui prennent (à tort et à raison) des parents de haut, et leur font bien voir, ça c'est des milliers de fois tous les jours. Mais bon, il est évident qu'il y a aussi des parents racailles. C'est entendu. Mais c'est bien trop court et trop facile de réduire le problème à ça. Les racines du problème sont profondes et structurelles.
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