J'ai découvert aujourd'hui avec grand intérêt François Gervais, mentionné un peu plus haut dans ce fil. Dans la foulée je viens juste d'acheter son dernier bouquin. Agacé depuis pas mal de temps déjà par le discours millénariste ambiant très peu scientifique (c'est peu dire), par cette sorte de mauvaise foi qui attribue quantité d'effets négatifs au CO2 et minimise systématiquement les effets positifs (verdissement de la terre par exemple), je suis en train de devenir climatosceptique. Là où j'ai encore du mal, et pourtant ce n'est qu'argument de quantité et d'autorité, c'est le côté vertigineux de la chose: comment tous ces gens (je ne parle pas de Cotillard & Co bien sûr, mais plutôt du calibre d'Aurélien Barrau qui a fait parler de lui récemment sur le sujet) avec les connaissances scientifiques accumulées et l'expérience de l'histoire, pourraient-ils à ce point se fourvoyer ?