Aller au contenu

Jeff Van Planet

Utilisateur
  • Compteur de contenus

    215
  • Inscription

  • Dernière visite

Messages postés par Jeff Van Planet

  1. Ca l'a beaucoup intéressée. Elle compte continuer à lire.

     

    Par ailleurs, elle a déjeuné avec un fournisseur hier qui lui a fait remarquer que les procédures étaient un peu longues dans l'administration, à quoi elle a répondu qu'elle le savait très bien, que c'était l'horreur, que personne ne foutait rien et qu'on pourrait dégager la moitié des effectifs, au moins.

     

    Je crois que je tiens une bonne candidate à la conversion là.

     

    Merci de ton intérêt. ;)

     

    Il faut continuer en lui faisant lire SEK III et son Manifeste néo-libertarien. http://agorism.info/docs/LeManifesteNeo-Libertarien.pdf

  2. J'ai suivi cette méthode avec une collègue dont je viens de faire la connaissance et qui, chose exceptionnelle dans l'administration, a la tête tout à fait dans le bon sens (faut dire qu'elle a atterri là par hasard, par erreur plutôt d'ailleurs). Du coup, après quelques jours de discussion intense sur l'état de déliquescence du pays et sans jamais prononcer le mot "libéralisme", j'ai fini par lui écrire l'adresse du blog d'h16 sur un post-it en lui disant qu'elle se sentirait moins seule en le lisant. Là, elle part en vacances. Elle regardera tranquillement chez elle.

    Je vous dirai si ça a marché.  :icon_wink:

     

    çà fait presque un mois, elle doit être revenue de vacances votre collègue.

    Alors? Elle à jeté un coup d’œil? qu'en à-t-elle pensé?

    (ouais je suis curieux^^)

  3. Ils ont raison. Hollande n'a pas encore parler de limiter les salaires, l'accumulation de capitale, de nationalisations massives ou autre collectivisation totale.

     

    Là, on est en plein dans la social-démocratie : il y a soi-disant un échec de marché (externalité négative) et le gouvernement veut la corriger pour améliorer le bien-être social. Au passage, on arrose les copains. 

     

    Je comprends bien. Parlant d’externalisées: en disant "social-démocratie" ne risque-t-on pas de les poussés encore plus dans l'extrémisme et le communisme totalitaire(enfin encore lus totalitaire^^)?

  4. Pourquoi on dit capitalisme de connivence et pas social-démocratie ? C'est une question sérieuse. Pour moi c'est une expression qui sent la défaite idéologique.

     

    Bien en faite je dirait que dire sociale démocratie est pire.

    Car les extrémistes genre méluche disent que Fh est sociale démocrate et veulent le socialisme.

     

    Mais personellement j'essaye aussi souvent que possible de dire interventionnisme de façon générale et (ultra)Keynésianisme(sauvage) si on parle de la monnaie.

     

     

    Sinon, merci pour ces images.

    Je pense utiliser les points libéraux. Et peu être les points filoches.

     

    Edite:

    désolé, j'ai envoyé mon message avant de m'être rendu compte qu'il y avait plus de pages.

  5. Je me demande quand-meme a quel point l'absence (et l'interdiction) d'éclairage sur les autoroutes joue sur le cliché.

     

    C'est très juste. On remarque qu'en France, en Espagne, et au Portugal(qui n'est pas complet sur la carte) les Autoroutes ne sont pas éclairées. çà joue certainement par addition aux éclairages des villes/village alentours.

     

     

    Là tout de suite je viens de remarquer sur la carte la Loire le Rhône et la Garonne. C'est amusant de voir que les gens se sont installés il y à des millions d'années sur les bords des fleuves et que nous, leurs descendants, y sommes toujours.

     

     

    PS: nonossage, c'est le nom que l'on donne ici pour un blâme/avertissement?

  6. f6WthJQ.jpg

     

    Quelqu'un a les chiffres de la densité de population par pays en Europe?

     

    J'aimerais comprendre pourquoi la France est aussi peu éclairée (a part le fait que les francais se prennent pour des Lumieres, evidemment).

    Centralisation, concentration de population, interdiction d'éclairer les autoroutes...

    1 cinquième des Français vivent en Îles de France. et donc les 4/5 se répartissent sur le reste du territoire. Voilà pourquoi le reste est plutôt peu éclairé(à par les côte d'azur et Lyon)

  7. Bonjour,

     

    J'ai deux liens qui aident à comprendre que l'état est derrière cette crise:

    http://ordrespontane.blogspot.fr/2013/08/bale-et-les-defaillances-du-marche.html

    De Guillaume Nicolaud

    et

    http://www.dantou.fr/crisefinanciere5_fichiers/v3_document.htm

    en diapos.

     

    Mais bon, même en montrant çà, les gens continuent à dire que c'est l'ultra méga néo capitalisme libéral sauvage qui aurait provoqué la crise.

  8. Il s'agit d'un litige à plusieurs centaines de millions. Initialement, Noga a fournie du blé à la russie contre du pétrole. Le blé a été livré pas le pétrole. Noga a gagné l'arbitrage international, 

     

    Fort de cette décision, elle a essayé de bloquer quelques avoir en France (notamment une expo avec des toiles russes issue de l'ermitage). Décision cassée très rapidement par la justice francaise. A ma connaissance Noga a fait faillite.

     

    Oui d'accord!

    Quand j'ai parlé de tribunal arbitral, c'est uniquement en me positionnant en anarchie. Puisqu'il n'y aurait plus d'état, il n'y aurait plus de tribunaux d'état.

     

    Un autre cas similaire(?) serait l'affaire tapie et son arbitrage dénoncé par les instances publiques.

     

     

    Je ne comprend vraiment pas ta position.

     

    Je fais un prêt de 1000 euros et je m'engage à le rembourser à raison de 100 euros par mois pendant 1 an. Et puis finalement non, je ne paye => tans pis pour le préteur.

     

    Je fais un prêt de 1000 euros et je m'engage à le rembourser à raison de 100 euros par mois pendant 1 an et je gage en plus ma voiture. Et puis finalement non, je ne paye => Et la pouf - par miracle - la force publique est avec mon créancier et il peuvent venir saisir ma voiture. Même si je l'ai vendu ou donnée a quelqu'un d'autre ?

     

    Il me semble bien plus simple que la force publique soit avec le créancier dans le premier cas.

     

    J'ai la même interrogation.

  9. henriparisien, (le) 27 Oct 2013 - 12:05, a écrit :snapback.png

     

    Ce qui se dit sur ce fil est effectivement un peu n'importe quoi. 

     

    Pour Métazét, une promesse n'est pas un contrat et faire un parallèle entre une discussion libre entre une mère et son enfant et un engagement contractuel, c'est du n'importe quoi.

    exactement.

     

     

    Un contrat ses obligations entre chacune des parties et le choix d'un tiers en cas de litige. Pour que cela soit efficace, il faut que ce tiers est la capacité à contraindre les parties. C'est à dire en dernier recours à l'usage de la force. En son absence, le contrat n'a plus de sens.

     
    tout à fait.

    Que se soit pour une vente, un gage ou un loyer non payé.

     

     

    Alors bien sûr, avant ce recours la force il peut y avoir des étapes intermédiaires. La mise au ban de la partie défaillante par exemple. Et dans certain milieu, cela suffit. Mais pas toujours. D'une part parce qu'il n'est pas toujours clair en cas de litige de savoir qui a foiré, d'autre part parce que le viol de certains contrats est une récompense suffisante pour le voleur : comment réglez-vous le cas du locataire qui ne paye plus son loyer si vous ne pouvez pas l'expulser ou le copropriétaire qui ne paye plus ses charges ?

    Oui avant d'en arriver à la force, il faut bien sûr déjà demander, si çà ne marcher pas, là il faut donner un préavis(ultimatum?) et puis, si çà ne marche pas, là effectivement il faut le déloger par la force.

     

     

    Quant au recours à un tribunal d'arbitrage, c'était à la mode dans les années 80. Depuis, on en est un peu revenu quand même : regardez le cas Noga versus Russie sur Google par exemple.

     

     

    Si j'ai bien compris(je n'ai regardé qu'un seul lien, le premier)  il s'agit d'une compagnie de crédit(Suisse) qui à un désaccord de plusieurs millions avec "l'état" russe.

    La compagnie veut récupérer son dû et les Russes ne veulent pas. C'est çà?

     

    Non, ça menace les échanges avec les non-civilisés, rien de plus, et pour le coup, ne pas échanger avec des voleurs, c'est un peu le but...

     

    Donc ne faite c'est comme l'état: vous acceptez le "pacte social"(ou républicain suivant les versions) qui vous pousse à agir de la façon la plus consensuelle.

    C'est çà?

     

     

     

    Par la force, aucun probleme, je ne vois pas le rapport entre expulser par la force un type d'un lieu dont on est propriétaire et lui prendre par la force quelque chose dont IL est propriétaire.

     

    Et dans le cas d'un nom payement à la banque, d'un vol, ou d'un viol, là vous acceptez l'usage de la violence en dernier recours?

     

     

    Une dette, c'est une dette, si le débiteur ne paye pas, le créditeur reste propriétaire de la dette, il n'y à pas de vol.

     

     

    Une dette qui ne vaut rien(puisque la chose qui fait la valeur d'une reconnaissance de dette est la capacité à rembourser) et qui vaudra encore moins car des intérêts courent dessus.

     

     

    Si vous voulez vendre un truc contre un payement futur, il vous suffit de ne pas transferer la proprieté en avance (ou d'imposer la mise en gage de la proprieté en question), c'est un faux probleme.

     

     

    Si après conciliation le débiteur refuse de rendre le bien et/ou de rembourser la dette, et que l'on ne peut pas dans ce cas, utiliser la violence(en dernier recours) etc'est une fausse solution.

     

     
     
     

    Je trouve ça drole d'avoir d'un coté des milliers de gens au quotidien qui gèrent du risque de contrepartie sans gros problemes, et de l'autre des gens qui prétendent que si le risque de contrepartie existe, c'est la fin du monde.

     

    Alors tout dépend à quel niveau on met ce risque.

    Si on va jusqu'au point de dire qu'une promesse de payement peut, si le débiteur le souhaite, ne pas être payé et laisser le créditeur sans aucun recours, là çà devient ingérable.

  10. Jeff Van Planet, (le) 27 Oct 2013 - 10:16, a écrit :snapback.png

    Loi me fait penser à un bigot qui se soumet à dieux. Sauf que là il change "dieux" par "loi".

     

     

    A partir du moment où tu fais le choix de vivre en societé, oui tu te soumets à la loi.

     

    Heureux de te l'apprendre.

     

    Sauf que tu fais partie de la société, et tu "t'y soumets" autant que les autres membres de la société se "soumettent" à ta volonté.

     

    Tu es de ceux qui pensent être une possession de la société(1), or la société t'appartient.

     

    donc j'en conclue qu'ils ont tous raison en te traitant de raclure communiste ou de pourriture de nazi :)

     

     

    (1)encore faudrait-il définir société

  11. Entre deux atomes, qui ne savent rien de l'autre, qui ne savent pas d'ou ils viennent, qui n'ont pas de tiers de confiance, oui évidemment, c'est grave, ça menace la civilisation ?

    Franchement, c'est flippant, les gens ont perdu toute notion de risque avec les "garanties" de l'état...

     

    que çà menace la civilisation, je n'irait pas jusque là, mais que çà menace la partie économique(échanges) de la civilisation, là oui.

     

    Pourquoi l'état? et les compagnies privées de sécurités?

×
×
  • Créer...