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michel kohlhaas

Yabon Nonosse
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Messages postés par michel kohlhaas

  1. il y a 12 minutes, Pragmatique a dit :

    C'est le seul problème avec "l'immigration" est  la volonté de revanche/domination de certaines peuplades (pas toutes, juste certaines, généralement celles dont le bilan n'est pas brillant et l'histoire pas reluisante en terme de droits humains dont ils se prévalent à leur profit exclusif).
     

     

    Qui instille cette culture de la haine ? Les immigrés, leurs enfants et ou les intellectuels occidentaux décolonialistes ? Qui a honoré Edward Saïd comme un des prophètes des universités US ? On fait porter trop de poids sur les épaules des immigrés.

  2. il y a 18 minutes, Rübezahl a dit :

    ama, il est vain de chercher à battre en brèche par le raisonnement ce qui ne relève pas du raisonnement.

    Pour ma part, il ne s'agit pas de mépriser, mais simplement de ne pas perdre son temps.

     

    C'est un raisonnement. Avec des arguments. Camelia a des arguments. Pauvres et ne résistant pas à une critique rationnelle, mais ce sont des arguments. Le concept "raisonnement" ne nécessite pas un degré d'intelligence spécifique. 

     

    Tu ne perdras pas ton temps, mais une part de ta liberté. Cf les politiques municipales écologistes qui sont idéologiquement proches d'une Camelia. 

     

  3. Ne confondrais-tu pas logique et vérité ?

    Il faut justement "accorder ce statut" à ces théories car tu ne peux pas les combattre sans disséquer leur cohérence interne. Des millions de personnes en occident croient passionnément à la "vérité" de leur vision et de leur combat. Evidemment qu'il y a de la bêtise, de l'envie et, pour quelques uns, un machiavélisme politique et une volonté d'abattre l'héritage européen sous couvert d'antiracisme. Mais, malgré tout cela, ils identifient une logique en toute bonne foi.

    Si tu les rejettes d'un revers de main en les taxant de "charabia", tu fais un peu ce que font les bourgeois US, pardon les démocrates, quand ils entendent les théories non-particularistes.

    Ici, cette logique ne peut être battue en brèche que par un combat idéologique, voire culturel, pas par un mépris intellectuel.

  4. il y a 58 minutes, Rübezahl a dit :

    non, il n'y a aucune logique, à aucune étape.

    La liaison d'une étape à la suivante se fait en employant un "donc" qui n'est jamais justifié, et même contredit.

     


    Si les pays européens blancs ont colonisé, exploité et entravé voire "génocidé" des peuples entiers, alors il est logique de mettre en avant une culpabilité de ces pays, culpabilité que chaque membre natif doit porter en héritage, un peu comme les allemands portent en héritage (de moins en moins mais tout de même) tonton Adolf. D'ailleurs si ces théories ont tant d'adeptes, c'est bien qu'elles recèlent une logique facile à saisir. Qui recouvrent évidemment les pulsions malsaines dont tu parles (et surtout une insondable bêtise) mais il ne faut pas nier l'efficacité de cette logique. Les procès de Moscou étaient eux aussi porteurs d'une logique interne indéniable.

     

  5. Il y a 1 heure, Vilfredo Pareto a dit :

    Justement je trouve que c’est l’absence de logique du racisme. Les hommes blancs sont considérés par des gens comme responsables de trucs, donc ils doivent s’en excuser. Tu dois t’excuser de tout ce qu’on te met sur le dos , limite t’excuser d’exister 

     

    Leur logique est idiote, certes, mais limpide.

    Les civilisations "blanches" ont colonisé et fait des horreurs. Des armées d'intellectuels puis l'EN leur ont appris cela. Pire, elles ont pratiqué cela du fait de leurs valeurs, marquées par le racisme. Donc tous les porteurs de ces cultures ont intériosé, malgré eux, un ethos raciste (pour parler pompeusement). Donc tu dois t'excuser non pas d'exister mais d'exister en tant que blanc.

    C'est stupide et fondamentalement raciste mais il y a une logique assez nette.

  6. il y a 44 minutes, fm06 a dit :

    La démographie est un des ingrédients de la puissance politique et culturelle.  L'Asie est déjà largement dominante (environ 4 milliards sur 7) et son développement économique est engagé depuis un bon moment.  L'Afrique a du retard sur le plan éco et c'est encore le bazar sur le plan politique. Elle dominera peut-être plus tard?

     

    Son développement économique n'est pas lié à sa démographie mais bien à l'adoption de la technologie occidentale et de son modèle économique, le capitalisme. Adoption rendue possible par des structures politiques fortes et, surtout, par une tradition culturelle qui s'est montrée capable d'assimiler ces éléments étrangers. La démographie n'a rien à y voir.

    D'où ma remarque sur l'Afrique. C'est désormais un géant démographique, qui va le devenir de plus en plus, mais sa puissance aura du mal à décoller du fait de ses traditions culturelles moins adaptées au capitalisme (sans aucun jugement sur la valeur intrinsèque desdites traditions, précision obligatoire désormais).

     

    il y a 37 minutes, Pragmatique a dit :

    Les anciens de gauches investissent liborg (ex tendance marxiste traditionnel ou soc-dem - trotskyste?)

     

    Tu m'adresses cette remarque ? Si oui tu te trompes (gravement :D)

    il y a 37 minutes, Pragmatique a dit :

    l'Asie comme l'Afrique c'est grand. de l'Iran au Japon... C'est surtout le trio Chine-Japon-Corée qui domine.
    L'Inde.... est un peu l'Afrique de l'Asie.

     

    C'est toute l'Asie qui se développe. De la Thailande à la malaisie, de l'Inde au Vietnam, bon nombre d'autres pays que les trois que tu cites voient leur influence augmenter. L'ascension de la Corée depuis 60 ans est remarquable. Et constater ce qu'à fait Lee Kuan Yew à Singapour en 30 ans de "règne" est prodigieux.

     

    il y a 37 minutes, Pragmatique a dit :

    L'Africain dominera peut être le monde en remplaçant les occidentaux suicidaires et autres. L'Afrique pas sûr.

     

    Je suis d'accord avec ça.

     

    il y a 37 minutes, Pragmatique a dit :

    Sur l'Islam inquiétudes partagées (ou autre religion invasive, c'est juste que le christianisme est en état de mort cérébrale depuis le XVIIIème, et qu'il est globalement plus laxiste depuis bien avant celà) ça posera problème. A Terme les musulmans cesseront de l'être ( sécuralisme hardcore) avec de la chance. Sinon ça sera alternativement au mieux l'Algérie ou l'Ouighour Chinois.

     

    Dans les années 60, Nasser, le grand raïs du monde arabe, faisait une conférence de presse où il se moquait d'une nouvelle confrérie, les frères musulmans, qui, disait-il en rigolant, voulait masquer leurs femmes. Et tous les journalistes présents de s'esclaffer en mode "on n'est pas des sauvages". C'était il y a 3 générations. Huntington, dans son grand livre le choc des civilisations, pense que l'Islam devrait se pacifier avec l'aplatissement des courbes démographiques et il parle de 2035 environ. Je suis assez sceptique désormais (le livre date de 1995 je crois). L'époque est plutôt à l'hystérisation des identités qu'à leur pacification.

    Ceci étant dit, le problème de l'Europe ce n'est pas l'islam c'est la perte de confiance en ses valeurs. J'ai du mal à voir comment les réaffirmer. D'ailleurs, on assiste plus à l'émergence de nouvelles valeurs, essentiellement collectivistes, écologistes. J'espère me planter.

  7. il y a une heure, fm06 a dit :

    ?

    Sur les valeurs issues de Lumière et le déclin relatif de l'occident: ne nous voilons pas la face.  La démographie est impitoyable.  L'Asie domine désormais le monde (voir ici) et au rythme où elle se développe c'est là que se joue l'avenir.

     

    Quel rapport entre la démographie et le déclin de l'occident ou la domination de l'Asie ? D'ailleurs l'Asie connaît un début de déclin démographique (très prononcé à Singapour par exemple, mais pas uniquement). L'Afrique va donc dominer le monde ?

  8. Il y a 1 heure, SanAntonio a dit :

    - Bien que la France ne constitue pas le terreau le plus propice qui soit au libéralisme, l’Occident et les valeurs issues des Lumières m’en semblent être une condition nécessaire. C’est pourquoi les dynamiques civilisationnelles actuelles, notamment la poussée de l’Islam (radical) me semblent constituer une grande menace pour la liberté individuelle. Quel position adopter là-dessus ? Car, si être libéral c’est aussi ne pas intervenir dans la détermination des valeurs et des modes de vie individuels, on devrait pratiquer un laisse-aller qui conduirait, je le crains, par une simple logique démographique, à la disparition de ce terreau nécessaire au libéralisme que sont les valeurs issues des Lumières.

     

     

     

     

    Bonjour !

     

    Ta question est pertinente. J'aime la poser d'une façon qui introduit toujours un malaise : "tu penses quoi de l'idée d'une France composée de 51% de musulmans" ? Je conseille de balancer ça en soirée, vraiment. Blague à part, la problématique que tu poses c'est le rapport entre culture et idée, voire philosophie, politique. Certains pensent que la culture n'existe pour ainsi dire pas ou si peu qu'une bonne éducation l'efface, d'autres pensent qu'elle est toute puissante. Va savoir Charles.

  9. il y a 8 minutes, Bisounours a dit :

    Osef, en fait. C'est comme si avec la grippe saisonnière le monde s'arrêtait de vivre. Moi qui suis un bibelot, même vacciné, je fais gaffe. C'est mon problème et celui de mes proches, de prendre soin de moi.

    C'est une honte de sacrifier des millions de personnes et leur bien-être pour protéger une infime partie de la population qui n'en demande pas tant.

     

     

    Je suis bien d'accord. Cela prouve par l'absurde l'aspect irrationnel, hystérique même, du moment présent.

    La rationalité suggère qu'à partir du moment où le vaccin est présent ET que tout le monde y ait accès, alors les restrictions deviennent inutiles puisque le non-vacciné aura fait son choix de citoyen libre.

    Sauf que l'idée de liberté individuelle devient non seulement obsolète, ringarde mais même suspecte. D'égoïsme, de non-partage, d'irresponsabilité. Donc, le logiciel ne varie pas : vacciné contagieux = urgence débordée = masque et restrictions. La notion de choix est évacuée au bénéfice de l'être humain-statistique.

     

  10. il y a 10 minutes, Bisounours a dit :

    Si le covid est une déclinaison du coronavirus grippal saisonnier bien connu qui revient sous une forme modifiée chaque automne, allons-nous vivre dans le confinement et les couvre-feux jusqu'à la nuit des temps ?

    Le vaccin-grippe annuel est loin d'être efficace à 100 %, pourquoi le vaccin-covid le serait-il si il mute régulièrement, comme ça semble être le cas ?

     

     

    C'est La question que l'on doit se poser. Est-ce que le cirque va s'arrêter avec le vaccin ? J'entends pas mal d'experts médiatiques expliquer que le masque ne disparaîtra pas avec le vaccin, qu'on ne sait pas le degré de contagiosité du vacciné etc

    Il paraît acquis que septembre soit une date minimale de retour à la normale. 9 mois après la vente des premières doses de vaccin.

    Autre question : les services d'urgences sont régulièrement débordés en période de pic grippal. Nous confinerons-nous chaque année pendant un mois ou deux ?

     


     

  11. Il y a 4 heures, poney a dit :

     

    En trois jours, je t'ai vu évoquer trois fois l'idée de nécessaire "introduction à l'épistémologie" pour ton interlocuteur (dont une fois pour ton auguste serviteur), manifestement une sorte de point godwin chez toi.  L'argument d'autorité ("je suis intelligent j'ai raison, pas toi") n'a pourtant jamais été très efficace. Bizarre.

     

    • Yea 1
  12. il y a 46 minutes, Rolanddezar a dit :

    En fait, la Science serait une discipline exemptée de tous les vices humains, une sorte de 4ème dimension... où la politique, le capitalisme de connivence, la bureaucratie .. n'auraient aucune influence...

     

    La Science reste un formidable outil de légitimation politique. Le problème est qu'à trop l'instrumentaliser, cette légitimité diminue. Ce qui en soi est dangereux puisque la "Science" est synonyme de rationalité dans nos sociétés.

    Abaisser la légitimité de la Science revient à abaisser la légitimité de la rationalité dans la prise de décision publique. Et ça, ça craint.

    Un autre processus dangereux est la métamorphose des "experts" scientifiques en conseiller politique voire homme politique. Juvin qui pense à la présidentielle ou tel autre expert donnant ses conseils politiques. Le nombre de chef de service d'hôpitaux parisiens qui ont des certitudes sur qui doit ou non travailler est proprement effarant

    • Yea 1
  13. il y a 56 minutes, poney a dit :

    Disons que le capitalisme est devenu tellement efficace qu'il peut s'accommoder de 60% de prelavement sans crever. 

     

    D'ailleurs les socdem l'ont bien compris. 

     

    Les socdem n'ont rien compris. Ils ne comprennent pas, ils revendiquent. Ils ont vu qu'il y a du pognon à prendre, ont habillé leur envie du masque de la justice. Mais comme, contrairement à ce qu'ils pensent, le pognon n'est pas infini, des lendemains difficiles les attendent.

     

    Citation

     

     Et je pense d'ailleurs que c'est pour ça que je ne vois pas d'autres horizons réalistes que la social democratie. Et que le libéralisme ne gagnera plus rien et est cantonné a un rôle de garde fou.

     

    L'éventail des régimes politiques est quasi-infini. Je prends le pari que dans 50 ans la social-démocratie sera un objet d'histoire uniquement. Et je suis d'accord, il est difficile d'imaginer le libéralisme dans une dynamique de conquête. Même de garde fou. Surtout si les fous deviennent majoritaires.

    • Nay 1
  14. il y a une heure, Rübezahl a dit :

    En fait, livré à lui-même, cet accroissement générerait encore plus d'accroissement.

    Mais le mode de fonctionnement du monde occidental actuellement, n'est pas suffisamment favorable aux entrepreneurs pour cela.
    Il y a comme formation d'un bouchon.

    Tout ce qui n'est pas investi (vers le futur) est accumulé ou consommé instantanément ou flambé.

     

    La question est moins productive que morale. Comment gérer les conséquences d'une vie moins rude, moins tragique aussi ? Où l'homme dispose d'un temps littéralement libre inédit ? Comment une espèce intrinsèquement conflictuelle peut survivre à une aussi longue période pacifique ?

    L'entrepreneur n'est pas traité de façon optimale c'est certain. Toutefois, on ne peut nier que le libre marché existe encore, même si trop entravé. Le problème de l'état providence est un problème moral avant d'être économique.

     

    • Yea 1
  15. La capacité des sociologues à réinventer l'eau tiède est sans fin. Avoir une maman qui lit Nietzsche te donne plus de chances qu'avoir une maman illettrée. Merci.

    Sur la question, les résultats viennent évidemment de l'investissement d'une culture dans l'éducation. Que certaines cultures invoquent leur incapacité à s'insérer pour obtenir une créance sur ceux qui font cet investissement est une inégalité systémique en soi. Qu'ils plaident plutôt pour une école autoritaire qui obligera leurs enfants à lire Nietzsche en cours de philo.

    • Yea 1
    • Haha 1
  16. il y a 34 minutes, Bézoukhov a dit :

    Non. Il y a 30 ans, il existait une forme de consensus issu de la réussite de Reagan et de la chute de l'URSS.

    Ce n'est pas la politique de diversité du parti démocrate, qui est ancienne, qui l'a fait disparaître, mais le mécontentement des classes moyennes et populaires de l'Amerique "périphérique" sous l'effet de leur appauvrissement matériel et culturel.

     

     

    Le consensus autour du Crédo américain a volé en éclat à partir des années 60, sous Johnson, notamment par le militantisme actif de la cour suprême. La lettre (et l'esprit) de la constitution stipule que tous les citoyens sont égaux en droit. Lettre bafouée par les politiques de discrimination positive, qui ont beau être "positives" n'en restent pas moins des discriminations, cad un traitement différencié des droits selon certains critères.

    On voit d'ailleurs monter ces jeunes politiciens, ces "bébés Sanders", qui vont jusqu'à afficher leur "socialisme", attitude qui aurait paru folle il y a encore 20 ans. Ocasio-Cortez est le symbole de cette nouvelle gauche américaine (elle se revendique du "socialisme démocratique") européanisée, alignée sur les positions de la gauche européenne, n'ayant que les mots justice sociale, gratuité des biens collectifs et anti-capitalisme à la bouche. Je prends les paris qu'elle finira présidente.

    Donc non le consensus n'explose pas à cause des "affreux" dénoncés avec élégance par Clinton (dans un rare accès de sincérité).

     

     

     

     

     

    • Yea 1
  17. il y a 15 minutes, Rübezahl a dit :

    Le sujet/acteur de cette explication est "le peuple" (fort ou amolli).

    Il me semble qu'un des enseignements de l'histoire c'est que c'est vraiment le dernier suspect plausible quoi qu'il arrive.

     

    Je remplace "peuple" par "culture" si tu préfères. Histoire que tu n'entendes pas derrière "peuple" la dichotomie contemporaine du gentil "peuple" contre les méchantes "élites" ou "bourgeois" etc.

    Un peuple n'est pas, dans mon propos, divisé en différentes parties.

    Et je ne cherche pas de "suspect" (ou des coupables), j'essaie de comprendre ce qui se passe aujourd'hui. Je maintiens que la cancel culture, abhorrée sur un forum libéral ce qui semble cohérent, est le fruit d'une déception, d'une quasi désillusion sentimentale d'une partie de l'occident envers lui-même, ET aussi d'un amollissement des peuples européens ou des cultures européennes, ce qui dans ce propos revient exactement au même.

    Dire cela n'est pas rêver à un stupide "cétaitmieuavant" ou exalter la virilité (ou la gravitas) romaine.

    On ne peut que constater que l'occident est en train d'abandonner les idéaux universalistes, rationalistes et libéraux des Lumières qui ont fait son honneur. Peut-être de façon conjoncturelle, peut-être pas. Mais ne pas voir la mutation de valeur en cours aujourd'hui me paraît sidérant. Il faut donc la comprendre et l'expliquer.

     

  18.  

     

    il y a 36 minutes, Rübezahl a dit :

    Mais, en attendant de tomber sur un os sérieux, ce mouvement peut parfaitement foutre en l'air une bonne partie du monde occidental correct que nous connaissions. Pour l'instant, le succès est au rendez-vous.

     

    Le monde occidental, comme d'autres avant lui, n'arrive pas à gérer l'accroissement insensé du confort et du luxe en son sein. Entre autres choses.

    Selon moi, ce progressisme hystérique est plus un symptôme qu'une cause de décadence. Un peuple fort ne laisserait pas s'installer une telle idéologie victimaire et tribale. Le problème étant que l'Europe a été amolli par ce confort + a été coupé, depuis 1945, de toute conscience tragique (ce qui est une bénédiction en soi mais entraîne forcément des conséquences négatives).

     

     

     

     

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