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ANT1

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Messages postés par ANT1

  1. TVR n'aurait jamais du se mettre à faire ses moteurs, dans les 90's, c'était un des plus gros vendeur de sportive au monde, ils ont refourgé des milliers de Chimeara. Je suis vraiment triste de sa disparition.

    Moi, ça ne me dérange pas d'avoir une telle voiture au garage la plupart du temps. Je ne sais pas encore ce que sera ma prochaine voiture, mais ça sera plus que surement une voiture de WE. Si tout se déroule selon "le plan", je serai la semaine à Bruxelles et je rentrerai une partie du WE chez mes parents, principalement pour rejouer dans mon club de hockey et voir ma famille. Et eux, ont la place pour stocker une voiture, dedans ou dehors. Pour avoir une voiture que je n'userai que le dimanche et quelques longs WE de sortie par an, c'est le genre de véhicule que je recherche. Une voiture à Bxl est totalement inutile, sauf quelques (rares) exceptions. Sans compter le risque de se la faire griffer par une clé ou se la faire emboutir. Puis payer un parking à l'année ou un garage....

    J'ai une liste de 10 voitures potentiellement intéréssantes pour du WE, entre 5 et 10k. La TVR vient de faire une entrée fracassante. Je ne suis pas du tout pressé, l'horizon, c'est 2014 ou 2015, le temps de voir quelques modèles rentrer dans la catégorie (une Z4 peut-être) et de bien en comprendre les prix.

    On a une Chimaera dans la famille depuis qq annees (en 4,0l v8), c'est franchement pas mal. Beaucoup de qualites mais pour public averti seulement (c est un peu viril, ergonomie speciale et il faut faire attention). La fiabilite ca va mais il faut un exemplaire parfait... Et ca aime pas trop la ville ( ca chauffe, embrayage...), ca consomme beaucoup...

    Mais les prix en Angleterre sont tres attractifs, c est certain.

  2. Faillite d'une nouvelle banque au Danemark:

    http://www.rte.ie/news/2011/0627/denmark-business.html

    Danish bank shares fell today on concerns about the health of the country's small lenders after Fjordbank Mors became the latest to fail over the weekend.

    Fjordbank Mors is the nineth Danish bank to collapse following the 2008-2009 financial crisis and the second to trigger a state-managed closure in which senior bondholders as well as shareholders will bear part of the losses.

    The failure of Amagerbanken in February set a precedent in the European Union by making unsecured senior creditors liable for bank losses, highlighting the Danish government's resolve to shield taxpayers from the costs.

    Shares in Danske Bank, Denmark's biggest financial institution and the owner of National Irish Bank here, were down 4% toay, while shares in several small banks plunged.

    Fjordbank Mors said after the market closed on Friday that it would ask state administrators to take it over and wind up its business as it no longer met the Financial Supervisory Authority's (FSA) increased solvency requirement.

    The bank and FSA reached agreement at the weekend on the state takeover by Finansiel Stabilitet, the state company that manages and winds up distressed banks.

    The transfer of Fjordbank Mors to a subsidiary of Finansiel Stabilitet takes place under rules that took effect on October 1 last year. It involves no immediate financial risk to the state because depositors' and creditors' losses are covered by a deposit guarantee fund financed by the banking sector.

    The Danish system contrasts with bank bail-outs across Europe, including Ireland.

    'We will not be involved with state aid,' Minister for Economic and Business Affairs Brian Mikkelsen said on Danish television. 'We think that it is not reasonable to give state crowns to banks that are run badly and have got themselves involved in risky businesses and lost money on that,' Mikkelsen said.

    'It is not us as Danes that should pay for that,' he added.

    Mikkelsen said that banks would continue to pay the costs of government bank aid packages.

    Payment for Fjordbank Mors' assets was set at a preliminary 7.8 billion Danish crowns ($1.48 billion), corresponding to about 74% of unsecured senior liabilities, the FSA said in a statement.

    'Creditors, including depositors with deposits exceeding €100,000 in Fjordbank Mors must therefore anticipate losses of approximately 26% as the bank closes,' the FSA said.

    L'etat n'intervient pas. Autre pays, autres moeurs.

  3. De même, j'avais pensé à quelque chose de comparable (peut-être sans l'aspect sexe tarifé), mais au global c'est plausible.

    Je pense aussi qu'il s'agit de la théorie la plus probable.

    Ceci dit les ragots que j'ai entendu font tous état d'un complot pour non respect du pacte "le FMI en échange de quoi tu ne te présenteras pas aux présidentielles". Bien que moins probable, la machination reste possible.

  4. Son bilan au FMI?:

    http://www.atlantico.fr/decryptage/dominique-strauss-kahn-fmi-bilan-modeste-vieilles-recettes-crise-dette-bureaucratie-plethorique-99910.html

    ublions la situation personnelle de DSK et intéressons-nous plutôt à ce qu'il a fait du FMI. Il est généralement loué pour avoir redynamisé cette institution et l'avoir placée au coeur de la crise financière mondiale depuis 2008. Cet activisme qui servait sa notoriété personnelle, contrastait avec la discrétion de ses prédécesseurs français comme Michel Camdessus et Jacques de Larosière. Ceux-ci avaient réorienté le FMI de sa fonction ancienne de prêteur aux Etats menaçant ruiné vers un nouveau métier de conseil aux gouvernements. Avant DSK, le FMI avait donc cessé d'être le pompier chargé d'éteindre les incendies et de prêter à fonds généralement perdus : s'inspirant des théories monétaristes, les économistes du FMI convertissaient peu à peu les dirigeants des pays pauvres à mieux gérer leurs finances en amont, en particulier grâce à la création de banques centrales indépendantes. Le décollage des pays pauvres, Afrique incluse, dans les années 1990, dut beaucoup à ces bons conseils qui firent quasiment disparaître l'hyperinflation de notre planète. Naguère contesté dans son rôle de prêteur de dernier recours à des chefs d'Etat peu fiables (Boris Eltsine, Moubarak), le FMI avait gagné l'estime générale dans cette nouvelle fonction de conseiller. Au désespoir tout de même d’un grand nombre des fonctionnaires du FMI, environ dix mille, privés d'utilité réelle. Kenneth Rogoff, qui fut l'économiste en chef du FMI, avant l’ère DSK, estime quel'organisation a, en réalité, besoin de trois cents économistes qualifiés, guère plus.

    DSK, au contraire, a choisi d’en revenir au passé : il s'est attaché l'affection du personnel en restaurant le FMI comme vaste bureaucratie internationale. Crise ou pas crise, et politicien avant tout, DSK voyait grand. La crise fut une aubaine : DSK essaya de positionner le FMI en gouvernement économique mondial. Bloqué par les Américains, les Chinois et les Allemands, il n'y parvint pas mais, grâce à un lobbying actif, il obtint le renforcement de ses ressources. Sous DSK, le FMI prospéra. Au bénéfice de qui ? De lui-même et de son Directeur général. Mais contribua-t-il à résoudre, voire à limiter, la crise financière mondiale ? DSK aurait voulu prêter tous azimuts aux pays en difficulté : à l'exception de petits pays comme la Hongrie, cela lui fut justement refusé par le G8 et le G20. Les gouvernements se sont opportunément souvenus que les prêts du FMI sont rarement remboursés et qu’ils perpétuent donc les causes foncières de la faillite.

    Faute de prêter directement, DSK aura beaucoup encouragé les gouvernements et les banques centrales à secourir les pays les plus mal gérés, la Grèce en particulier. Or, on savait au FMI depuis des années que les comptes grecs étaient truqués : sauver les Etats voyous par des prêts de faveur, ce fut la politique du FMI dans les années 1980, avec laquelle DSK voulait bizarrement renouer. Certes, le FMI posait des conditions à ses prêts mais ces conditions n'étaient jamais respectées (sauf par des gouvernements très sérieux comme la Corée du Sud) et le FMI n'avait aucun moyen de les imposer.

    Au total, on comprend comment le management du FMI par DSK servait DSK et sa bureaucratie : on ne voit pas en quoi il conduisait vers un régime financier mondial plus rationnel ? Et DSK, politique oblige, n'osa jamais s'attaquer aux manipulations du Yuan par le gouvernement chinois, bien qu'il s'agisse là d'un facteur essentiel des déséquilibres mondiaux.

    Si Milton Friedman était encore des nôtres, il rappellerait comme il le faisait déjà dans les années 1970, que le FMI fut créé en 1945 pour empêcher les dévaluations compétitives des années 1930 : près d'un siècle plus tard, ce problème n'existe plus et le FMI est avant tout une bureaucratie en quête désespérée d'une mission. Après DSK, doutons que le FMI soit réduit aux trois cents économistes souhaités par Rogoff : mais espérons que cette grenouille cesse d'enfler.

  5. Celle la etait passee inapercue:

    http://www.lefigaro.fr/automobile/2010/11/…iste-t-elle.php

    Son origine remonte à la fin de 2008, quand l'article 75 de la loi de finances rectificative de 2008, créant l'article 1011 ter du Code général des impôts, instaure un nouveau malus automobile. À la différence du malus à l'achat, payé une fois pour toutes, cette taxe est à vie et payable annuellement. Elle se monte à 160 euros et concerne les voitures émettant «plus de 250 grammes de CO 2 au kilomètre» ou « de plus de 16 chevaux-vapeur (sic) ».

    Une discrimination légale ?

    Elle s'applique, précise le texte, aux «véhicules immatriculés pour la première fois en France à compter du1 er janvier 2009». «Immatriculés pour la première fois en France.» Tout tient dans ces sept mots. Ils signifient, pour rester dans l'automobile britannique, qu'une vieille Jaguar Type E du début des années 1970, achetée à l'étranger, sera soumise à ce malus annuel alors que la même voiture, mais d'origine française, en sera exemptée !

    Elle s'appliquerait donc a toutes les voitures neuves assez puissantes?

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