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Dniz

Yabon Nonosse
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Messages postés par Dniz

  1. Il y a beaucoup de choses beaucoup plus discutées que le RCA ici, mais elles sont sur de grands nombres de fils, voilà tout.

    Et la guerre contre la vérité s'intensifie, avec l'interdiction de la conf de Singer par Van Ypersele, la démission de Wagner parce que son journal a pulbié un article scientifique sur la question, et l'article en réponse qui a été publié (visé par les pairs et tout) en 6 semaines (!) alors que les articles scientifiques sur la question prennent deux ans.

    C'est faux. La revue dont vous parlez (GRL) publie des "letters", à savoir des articles courts qui sont rapidement publiés. C'est le fonctionnement de cette revue qui veut que le temps entre la soumission et la publication soit court. Vérifiez par vous-même, et vous verrez que l'article dont vous parlez n'a pas été particulièrement plus rapide que la moyenne.

  2. Peu importe : je constate que travailler en Suisse est très intéressant, mais que ce n'est pas de déferlante qu'on parle, tant et si bien que justement les salaires des caissières et autres sont encore très très favorables.

    S'il y avait déferlante, ces salaires auraient déjà baissé depuis longtemps.

    Entre le 2e trimestre 2010 et le 2e trimestre de 2011, le nombre de frontaliers étrangers (étrangers travaillant en Suisse et résidant à l'étranger) a augmenté de 6.6%. Il y a eu une augmentation de 1.3% entre le 1er et le 2e trimestre.

    Et les salaires se sont maintenu, entre autres, parce que dans bon nombre d'entreprise les salariés ont accepté de travailler plus pour le même salaire…

    En 2007 l'euro était encore à plus de 1.60, et il s'est maintenu longtemps dans la zone des 1.30 - 1.40. Ce n'est que depuis 6 mois que le marché a essayé des niveaux sous les 1.20 et même la parité… Et sur ces 6 derniers mois, il y a eu un ralentissement de l'activité,

  3. Sérieusement, la Pologne, la Tchéquie, la Roumanie, la Bulgarie et d'autres ne sont pas loin de France. Et on n'assiste pas à une déferlante de balayeurs genevois en France non plus.

    Eh si ! Les suisses se ruent sur les hyper marché Français pour faire leur course:

    http://www.tdg.ch/fr…ards-2011-07-03

    Accessoirement, l'argument général ne vaut pas tripette, sinon les Suisses auraient alors tout intérêt à recruter des balayeurs français payés une misère pour un balayeur suisse. Certes, les visas ne sont pas simples à obtenir, mais une entreprise spécialisée dans le nettoyage d'entreprise aurait vite fait de faire le calcul.

    Mais c'est bien ce qui est déjà en train de se passer… Les entreprises paient leur frontalier en euro et recrutent des français. Et ça fait des années qu'il n'y a plus de visa entre l'Europe et la Suisse: libre circulation. Tu trouves du boulot en Suisse, tu es engagé, pas plus difficile. C'est bien pour ça que je dis que la situation est très préoccupante. Parce que la pression sur les salaires est à la baisse, mais les les loyers (une large majorité des suisses sont locataires), eux, ne vont pas forcément baisser aussi vite…

    Autrement dit, comme on n'assiste pas à une déferlante de plombier polonais en France et de balayeurs français en Suisse, on en déduit que cet argument … n'est pas valable.

    A la parité CHF-euro, les écarts de salaire Suisse-France sont énormes… vous n'avez pas l'air de vous rentre compte de cet abîme. Une caissière à 3600euro par mois, un enseignant au niveau primaire à 7000euros, un ingénieur à 10000 euros, un cadre moyen à 12000euros…

  4. Le premier balayeur français venu a le pouvoir d'achat d'un cadre supérieur algérien dès qu'il prend l'avion… et pourtant c'est viable à moyen terme.

    Là réside toute la différence…

    Je ne voudrais pas être médisant mais…. moyen terme, ca veut dire après les élections…

    Manière bien franco-française de voir les choses… Un politicien élu en Suisse vit avec une opposition puissante et permanente: le peuple ! Il ne peut pas se dire "bon, je suis élu, j'ai les coudées franches pour x ans"

  5. C'est à dire?

    Au final, quel est l'interêt de conserver un taux de change fixe par rapport à d'autres devises?

    Quel est l'avantage du cours forcé par rapport au cours flottant?

    A la parité euro / CHF, le premier balayeur genevois venu a le pouvoir d'achat d'un cadre français dès qu'il passe la frontière (j'exagère à peine). Ce n'est pas viable à moyen terme…

    C'est un pb purement politique : ça enquiquine tes producteurs locaux dans le court terme. Mais dans le long, il faut voir que ces producteurs locaux vont finir par acheter aussi des matières premières. Et là, évidemment, une monnaie forte, c'est chouette.

    Le problème en Suisse, c'est que c'est un pays exportateur qui produit des marchandises à très forte valeur ajoutée, dépendant de la main d'oeuvre qualifiée bien plus que des matières premières.

  6. http://www.zerohedge…mmediate-effect

    Je résume : beaucoup de papier, le CHF va descendre, comme l'Euro. L'or va continuer de s'apprécier.

    la BNS possède 45millard de CHF d'or dans son bilan. Hélas les pertes de change risquent d'être bien plus grandes que les gains sur l'or…

    Sinon, la Suisse continue de fourguer ces dettes à court terme à taux négatif:

    http://www.snb.ch/fr/mmr/reference/claims_res/source/claims_res.fr.pdf

  7. Ce sont des noobz.

    L'oncette d'or partage mon avis, elle :icon_ange:

    +100 CHF par once, boom!

    Les goldeux suisses pourront faire un barbecue ce week-end.

    Remarquez qu'en théorie, rien n'empêcherait la BNS d'acheter de l'or avec les dizaine de milliards d'euros qu'elle à eu gratuitement suite à l'impression de dizaine de millards de CHF qui ne lui coûte rien à "fabriquer"… De l'or gratuit, quoi :-). Le problème dans tout ça, c'est l'inflation en Suisse, mais il n'y a aucun signe d'inflation, parce que les nouveaux CHF ne s'y dépensent pas (encore :-) ). Le risque d'inflation en Suisse, le marché n'y croit pas, parce que si il y croyait, ben il arrêterait d'acheter des CHF…

  8. Pour info, la Suisse a une balance commerciale positive envers la Chine: elle exporte plus vers ce pays qu'elle n'importe.

    Pour reprendre l'image de la chemise chinoise, au lieu de se lamenter, faites comme les Suisses: vendez des machines-outils pour fabriquer des métiers à tisser, des colorants haute performance pour soie, des montres pour les nouveaux riches chinois qui ont fait fortune dans le commerce de la chemise, accueillez ces mêmes nouveaux riches dans vos palaces, et finalement gérez leur argent !

  9. Or les gags graves dans le réseau US sont légions, si ce n'est la norme. Certains se sont essayé à faire un bilan planétaire des erreurs thermométriques.

    Pourquoi présentez-vous les rapports et pas l'article paru dans une revue à comité de lecture ? Il vient d'être publié, du reste…

    http://www.agu.org/pubs/crossref/2011/2010JD015146.shtml

    "Analysis of the impacts of station exposure on the U.S. Historical Climatology Network temperatures and temperature trends"

    En fait, pour les USA, aucune différence dans la tendence multi-décénale n'a été détectée entre les "bonnes" et les "mauvaises" stations.

  10. J'en connais qui échafaudent des théories sur la capacité des hommes à réchauffer la terre,[…] Des aliborons ânonnant sans relâche des théories fumeuses, il en existe à tous les coins de rue, et il en a toujours existé.

    Le pire est, que la plupart du temps, ces braves décérébrés émettent des accusations qui sont effectivement gravissimes, et appellent à l'action du peuple ou des politiques pour contrer la marche —et l'inéluctable finalité destructrice— de l'objet de leur paranoïa. Des réchauffistes aux anti-islamistes, tous demandent que des décisions soient prises au plus haut niveau possible pour stopper le réchauffement climatique, […] Certains préconisent même l'action violente.

    Eh oui… Et y'en a un qui pense un peu comme vous !:

    You might know them as environmentalists, enviro-communists, eco-Marxists, neo-Communists or eco-fanatics. They all claim they want to save the world from global warming but their true agenda is to contribute to create a world government lead by the UN. […] They are using our trust and faith in science to spread lies and hysteria that will allow Marxists to implement socialist ―solutions to a problem that never actually existed.

    Anders Behring Breivik

  11. C'est exactement ce que c'est que j'ai dis. Le mot "principal", c'est capital parce que c'est le premier argument des réchauffistes utilisé sciemment et de manière répétée pour justifier leur théorie et leur alarmisme.

    Plus précisément, la phrase exacte du Résumé pour Décideur, c'est "Most of the observed increase in global average temperatures since the mid-20th century is very likely due to the observed increase in anthropogenic greenhouse gas concentrations" http://www.ipcc.ch/publications_and_data/a…anding-and.html

    Or cette affirmation est totalement gratuite. Elle n'a absolument aucune base scientifique, aucune, tu ne trouveras dans le rapport scientifique dont elle est sensée découler rien qui puisse l'étayer. Absolument rien. Pourtant, c'est repris et décliné en de multiples versions par les réchauffistes et non uniquement par les médias. C'est ainsi que tu entends expliquer que "principal", c'est plus de 50% ou que "very likely", c'est une certitude de 90%, etc… Certains n'hésitent même pas à déformer ça en "l'homme est responsable à plus de 90% du réchauffement" (copyright Borloo), sans qu'il y ait le moindre début d'interrogation d'où proviendraient ces chiffres, quelle source exacte, par quel auteur… Donc une des hypothèse de base du RCA est clairement de l'exagération médiatico-politique qui repose sur du vent.

    Prétendre d'un côté, avec force propagande, qu'on a identifié la cause principale du réchauffement et puis quand ça ne colle pas à la réalité, justifier le décalage en disant que finalement, ce n'est pas le principal puisque la variabilité naturelle a pris le dessus (variabilité naturelle qui comme par hasard est juste évoquée quand ça se refroidit, pas quand ça se réchauffe, ou seulement pour dire qu'on sait la dissocier du forçage anthropique grâce aux modèles !), c'est du double langage typique de toute escroquerie intellectuelle. Donc c'est même pas la peine de faire semblant de capituler sur le bienfondé scientifique de la chose pour s'attaquer uniquement aux choix politiques et financiers issus du RCA (approche choisie par des ignares en science tel que Lomborg) : la base scientifique elle-même du RCA est pourrie et on en a déjà une multitude de réfutations. Faire croire que la justesse de la démarche scientifique n'a pas d'importance est une insulte à la science.

    Quand même un peu :icon_up:

    http://www.ipcc.ch/publications_and_data/a…en/ch9s9-7.html

  12. Bah si, il y a bug. Si tu as la source principale de bénéfice qui augmente, tu ne peux pas avoir de perte, ne serait qu'une seule année, surtout en partant d'une situation de bénéfice. Si tu as une source principale de réchauffement qui augmente, tu ne peux pas avoir refroidissement, c'est mathématiquement impossible. "Principal", dans le sens précisé par les promoteurs du RCA, càd >50%.

    C'est de la logique de base, si tu ne peux pas l'admettre, toute discussion rationnelle est impossible. Si les réchauffistes continuent de nier une réfutation aussi évidente par des rhétoriques oiseuses, c'est bien parce que ça n'a rien à voir avec la science.

    Pour reprendre mon analogie avec les variations intra-annuelles (qui est tout à fait le même problème sur une échelle de temps plus courte, avec de plus importantes fluctuations en jeu), ce que vous dites c'est que parce que l'irradiation solaire sous nos lattitudes augmente constament entre le 21 décembre et le 21 juin, il ne peut en aucun cas avoir jours moins chaud qui succèdent à des jours plus chaud… Vraiment ?

    Pire encore, le refroidissement de ces dernières années avait été prédit parfaitement par Landscheidt depuis 2000 avec la théorie solaire et celle du barycentre astronomique. De même, la théorie des oscillations océaniques, notamment celle de la PDO de période 55 à 70 ans a prédit également ce refroidissement qui va se poursuivre pour au moins 2 décennies, j'en avais déjà parlé dès 2006, bien avant les 3 derniers hivers pour confirmer mes dire. Ce n'est pas comme si des théories "alternatives" avec un bien meilleur pouvoir prédictif n'avaient pas existé, comme voudraient le faire croire les carbocentristes. Preuve que les modèles GCM sont à la ramasse, ses promoteurs publient maintenant de nouveaux modèles pour justifier après coup les hivers froids qu'on constate (cf par ex Cattiaux ou Pethoukov d'il y a quelques semaines et pour dire que oui, le RC est la cause des hivers froids. Tu parles d'une science !

    Quel refroidissement ? entre 2008 et 2010, la tendance au réchauffement est énorme, http://www.woodfortrees.org/plot/uah/from:…t/uah/from:2008 . Vous me direz: c'est trop court pour se prononcer… bah oui, c'est justement ce qu'on se tue à vous dire !

  13. J'ai jamais "sous-entendu" que le nombre de stations a diminué, c'est vous qui inventez des crasses permanentes en guise de réponse, c'est franchement pénible.

    J'ai dit que le nombre de stations utilisées pour compiler la température globale a diminué, de 2/3. Ce qui est, selon votre logique, d'autant plus impardonnable si comme vous dites, le nombre de stations disponibles a augmenté.

    Encore une fois, les données sont disponibles, donc tout un chacun pourrait invalider les reconstructions "officielles" dans grandes institutions… Avec les exités comme vous qui s'intéresse à la question, pourquoi ce genre de reconstruction qui montrerait la "fraude" de l'évolution des température globale à cause d l'abandon de stations de mesure n'est jamais sortie ? La réponse est que tout simplement, ce problème de diminution du nombre de stations est un faux problème étant donné la manière dont est reconstruit l'anomalie de température globale. Vous restez dans l'hypothèse et l'accusation sans preuve. De mon côté je vous ai montré plus haut qu'une reconstruction avec plus de stations ne montraient pas de différence siginificative.

    Et ce que vous ne semblez pas comprendre, c'est que le fait d'augmenter le nombre de stations récentes ne change strictement rien au problème quand il s'agit de suivre l'évolution sur 1 siècle.

    La diminution du nombre de stations dont vous parlez est celle, récente, des années 80-90. Vous parlez là d'un autre problème, celui du manque de stations au début du XXe siècle. SVP, arrêtez de changer de sujet…

    L'important, c'est d'avoir des séries homogènes sur la durée de mesure histoire de ne pas comparer pommes et mesures. Le fait de raccorder, d'homogénéiser, de reconstruire et le tout sans méta-données et par des agences tenues par des activistes réchauffistes déclarées, c'est de la cuisine.

    Encore une tentative de changer de sujet, et une théorie du complot en prime.

    C'est comme si une entreprise pharmaceutique faisait elle-même sa propre procédure de test d'efficacité de son médicament, procédure différente de celle des autres, choisissait les résultats qui lui plaisent de manière totalement arbitraire (on a un exemple typique avec la manière dont les stations françaises ont été choisies et excluses dans les stations utilisées par le GISS), avoue qu'elle a perdu des données brutes (c'est le cas de Jones) ce qui interdit toute tentative de réplication, puis établit un indice selon des procédures statistiques jamais validées par la communauté des stastiticiens, indice qui évidemment va dans le sens de l'entreprise. Dans le cadre d'une entreprise privé, c'est un problème évident de conflit d'intérêt, c'est contre toutes les lois commerciales mises exprès en place et c'est même passible du pénal. Mais visiblement, avec un indicateur qui est susceptible d'influer la politique énergétique, industrielle voire géo-stratégique de toute la planète, aucun souci. Cherchez l'erreur…

    Hors sujet et plein de contre-vérité: le code GISTEMP est répliqué de manière indépendante et ouvert au publique. Le GISS n'a aucune influence sur l'inclusion des stations dans la base GHCN.

    Hors sujet là encore, décidément, vous ne comprenez rien à rien, c'est désespérant. Le problème n'est pas de faire une pondération des données qui est hyper-simple. Le problème, c'est la signifiance statistique de cette pondération et ça, en l'absence de méta-données et donc de réplication des intervalles d'incertitudes validée par les VRAIS statisticiens dans des revues de statistiques, c'est impossible de savoir.

    Etes-vous sûr qu'aucun article scientifique n'est sorit sur le sujet ? Une simple recherche sur google scholar montre plusieurs articles…

    http://www.agu.org/pubs/crossref/2001..…1GL012877.shtml

    http://www.geog.ox.ac.uk/~mnew/teaching/On…es_GRL_2001.PDF

    http://journals.ametsoc.org/doi/pdf/10.117…LS%3E2.0.CO%3B2

    http://www.st-andrews.ac.uk/~rjsw/papers/B…n-etal-2006.pdf

    Pur mensonge. La NIWA avait viré Sallinger, un des initiateurs de la magouille et a fini par reconnaître officiellement que sa compilation de température n'est plus valide et a demandée à la BOM australienne de s'en occuper. Bref, la Nouvelle Zélande n'a pour l'instant PAS de température officielle. Et tout ça seulement parce que les sceptiques ont porté l'affaire devant la justice, sans quoi, la plaisanterie aurait duré longtemps. C'est une affaire parfaitement documentée, il suffit de 10 s de Google pour vérifier et vous réussissez à raconter une version totalement opposée , dans un révisionnisme éhonté. Ce n'est même pas du mensonge, c'est de la stupidité tellement c'est facile à démonter. Tout le reste de votre salade est du même tonneau, mensonge, tromperie et foutage de gueule, je vais arrêter de répondre à un escroc.

    Vous savez faire autre choses que d'insulter les gens ? Et le rapport que je vous ai mis en lien, c'est quoi ?? Il vient du site de la NIWA,

    J'ai déjà répondu ce qu'il y a à répondre pour la température stratosphérique. Je n'ai pas à répondre à des trollages débiles.

    Vous voulez que je liste toutes les questions que vous avez évitées pour essayer de détourner le sujet dès que vous vous faites coincer avec vos gros mensonges ?

    Non… Vous avez balancé une figure sans aucun commentaire. Les incertitudes et les biais de mesures semblent vous préoccuper tout particulièrement, pourquoi n'en parlez vous pas à propos de cette figure ??

    Argument débile, typique du prêt-à-penser des bigots réchauffistes. Si je dis que l'astrologie ou la danse de la pluie ou l'anti-ogmisme, c'est de la foutaise, il faudrait que JE publie des articles scientifiques ? Et des centaines de scientifiques de renoms qui sont sceptiques et des centaines de publis critiques du RCA, vous en faites quoi, ils n'existent pas ?

    Je vous demande des publications et des preuves sur les points précis que vous avancez, comme "La troisième source d'erreur, c'est la suppression des 2 tiers des stations depuis les années 1980 pour compiler la température globale, ça n'a rien d'aléatoire". Je vous ai montré que visiblement celà n'introduisait pas de biais. Vous insistez: mais où est votre preuve ??

    Du bla bla, encore du blabla. Je parle de la température globale de surface, pas par les satellites et tel que c'est calculé par le GISS, NOAA et HadCRU, c'est la simple moyenne arithmétique de la température de l'hémisphère nord et de l'hémisphère sud, ce qui est d'une débilité sans nom, vu l'énorme différence de capacité calorifique due au % d'océan. C'est comme dire que la température de la maison est de 20°C en faisant la moyenne entre les toilettes à 25°C et le salon à 15°C. Mais visiblement, vous êtes prêt à gober et à régurgiter n'importe quelle saloperie réchauffiste, on n'en est plus à ça près.

    GISS, NOAA et HadCRU font des estimations "terre + océan"…

    C'est plutôt vous qui êtes incapable de suivre un enchaînement logique simple. Non, je ne détourne jamais le sujet pour passer à autre chose, contrairement à vous qui faites constamment diversion avec des fatuités. Alors ne projetez pas vos tares sur les autres.

    Le lecteur sera juge…

  14. Le réseau GSOD n'a des données que depuis les années 70. Et il n'a jamais été utilisé pour compiler la température globale jusqu'à présent, donc votre histoire de nombre de stations qui a augmenté, c'est du grand n'importe quoi.

    Ce que vous sous-entendiez, c'est que PHYSIQUEMENT, le nombre de stations a diminué. Or c'est faux: il y a de plus en plus de stations qui mesurent la température. Les données sont libre d'accès, tout un chacun peut les utiliser.. La pondération spatiale de ces données est relativement simple, à tel point que de nombreux amateurs ont fait leur propre reconstruction… Voilà un vrai boulot de sceptique: constructif !

    Même si c'était utilisé, ce qui n'est pas le cas, les données qui n'existent que depuis les années 70 ne peuvent rien dire quoi que ce soit sur un réchauffement depuis 1 siècle.

    Elles permettent de valider la base GHCN sur ces 30 dernières années… c'est déjà pas mal. Si c'est correct sur ces 30 dernières années, on peut supposer que l'estimation est correcte pour le XXe siècle. Mais là encore, toutes les données sont disponibles… Les services météo nationaux de nombreux pays mettent à disposition des données climatiques. Il existe de nombreuses tentatives pour prendre en défaut le travail de collecte et d'homogénéisation des météorologues, mais force est de constater qu'ils font du bon boulot. La dernière nouvelle en date, c'est le service météo néo-zélandais, violemment attaqué pour ses soit disant "manipulation" qui a refait tous ses calculs et totalement documenté le processus, pour un résultat identique !

    Votre intervention est typique du bluff d'un bigot réchauffiste, des demi-vérités, de l'exagération et de la simplification et dès qu'on vous pose des questions précises, vous vous défilez lamentablement. Si vos arguments étaient si solides, vous n'auriez pas eu besoin de manips aussi grossières. C'est bien essayé, mais ça ne marche pas avec moi.

    ça c'est VOTRE tactique de discussion ! Vous n'avez même pas répondu à mes questions de ma première intervention sur les températures stratosphériques… J'ai posé des questions simples et précises, pas de réponse de votre part… c'est qui qui se défile ?

    Et d'où vous sortez que l'erreur est aléatoire, de votre chapeau ?

    La première source d'erreur, c'est l'effet de bulle de chaleur urbaine, ça n'a rien d'aléatoire.

    La deuxième source d'erreur, c'est les déplacements de stations, ça n'a rien d'aléatoire.

    La troisième source d'erreur, c'est la suppression des 2 tiers des stations depuis les années 1980 pour compiler la température globale, ça n'a rien d'aléatoire.

    La quatrième source c'est le passage sur 80% des stations US du thermomètres à mercure aux stations MMTS avec des capteurs électroniques avec un biais reconnu mais pris en compte de la manière la plus atroce qu'on puisse imaginer, ce qui rend toute tentative de réplication (un des piliers de la méthode scientifique) impossible.

    Et je peux en lister comme ça des dizaines de sources d'erreur, tandis que vous contentez de troller comme un porc en suggérant sans un moindre début de trace de preuve que les erreurs seraient aléatoires, non mais faut arrêter le délire.

    Bien bien.. il vous reste à documenter tout ça… vous savez, des données, des preuves, des articles scientifiques, le B.A BA de la recherche, quoi !

    L'anomalie de température globale par les satellites auraient un sens parce que c'est des mesures homogènes (et encore, il faut voir les problèmes que ça a, c'est loin d'être triste quand on soulève le capot du bouzin au lieu de se contenter de brasser du vent). L'anomalie de température de la Suisse a un sens parce que c'est fait avec sérieux, avec toutes les données et méthodes disponibles.

    Par contre, l'anomalie de température globale de surface ou de la température de l'Afrique, l'Asie, l'Amérique du Sud ou même de la France telle que c'est salopée par le CRU, la NOAA et le GISS, où on fait une moyenne de grandeur intensive sans aucune précaution (la température globale est calculée par ces agences comme la moyenne de l'HN et de l'HS alors que la surface de l'océan varie dans un rapport de 1 à 4 d'une hémisphère à l'autre, c'est pas beau ça ?), non ce n'est pas valide et on a la preuve que ce n'est pas valide.

    Tous les instituts majeurs qui fournissent les anomalies de température globales (GISS, NOAA, HadCRU, RSS, UAH) font une évaluation "land + ocean"… votre remarque est nulle et non avenue.

    On dispose de série de mesures bien plus robustes, bien moins sujet aux perturbations telle que les bulles de chaleur urbaine ou les mauvais placements de stations et d'une grandeur extensive : les précipitations. Or en terme de climatologie et de son impact sur la biosphère, les précipitations sont une variable bien plus importante que la température. On meurt rarement d'une température trop haute, on s'y adapte même très facilement, même sans technologie et sans énergie. Mais par contre, on meurt massivement de faims dues aux sécheresses, d'inondations, de glissement de terrain… Et pourtant, les réchauffistes font une fixette sur une hausse de température ridicule et ne parlent jamais des mesures de précipitations (qui comme je vous le dis existent bien) dans leur propagande médiatico-politique. Pourquoi d'après vous ?

    Bref, vous essayez de parler d'autre chose… comment dites-vous déjà ? "ça ne marche pas avec moi" :icon_up:

  15. Déjà, le nombre de stations n'a pas augmenté depuis 1980, il a été divisé par 3 ! Ensuite, ta conclusions est la version prémâchée que tu te contentes de répéter.

    Non, je vous ai mis sous les yeux le compte des stations du réseau GSOD... Si le manque de station GHCN vous dérange, vous pouvez utilisez ces données et les plus de 10'000 stations recensées à travers le monde pour reconstruire la température globale… La couverture est excellente depuis le début des années 70.

    Les méta-données des stations n'existent pas. Ce qui veut dire qu'il est impossible de calculer ou de répliquer l'incertitude sur les données, ni de vérifier le bien fondé des homogéinisations qui sont tous différents d'un auteur à l'autre (compare la méthode de Hansen à celle de Jones ou de notre Mestre national et tu verras, et pourtant, tous affirment que la sienne est meilleure que celle de l'autre). Donc tu peux conclure n'importe quoi avec ton "ça ne change rien", c'est de la pseudo-science.

    Les jeux de données GHCN et GSOD sont disponible en version non-homogénéisée…

    Quand à l'incertitude des données, si l'erreur est aléatoire, il n'introduit pas de biais: le grand nombre de stations permet d'estimer une moyenne valable.

    D'ailleurs, déjà le fait d'afficher des courbes aux variations infimes par rapport aux amplitudes réelles (quand on monte de 1000m, la température chute de 6°C, la différence entre Dijon et Montpellier, c'est >2°C !) sans les intervalles d'incertitude, ça aurait dû t'inquiéter si tu étais un vrai scientifique. Et quand on affiche la même incertitude pour les mesures de ces dernières années que par rapport à il y a 30 ans alors que le nombre de stations a été divisée par 3, ton alarme anti-foutage de gueule aurait dû monter encore d'un ton.

    Mais visiblement, plus c'est gros, mieux ça passe.

    On travaille sur des moyennes mensuelles et annuelles, et en utilisant les anomalies de température (déviation par rapport à une période de référence), pas sur les températures brutes. Vos différences de températures absolues entre station et en fonction de l'altitude n'entre absolument pas en ligne de compte…

    Or si on regarde ces dernières années, l'anomalie prédite par Hansen est autour de +0,8°C alors que la température réelle est autour de 0,5°C. Et c'est pour le scénario B, pour le scénario A (d'après le papier de Hansen : "scenario A assume an annual growth rate of emissions of 1,5%") qui est plus proche de la réalité, l'erreur des modèles est pire : autour de 1°C au lieu des 0,5°C réel.

    C'est quoi "réel" pour vous ?? Puisque vous ne croyez pas que la mesure de l'anomalie de température globale est valide ?

    Pas peur des contractions, visiblement ! :icon_up:

  16. Tu n'as pas besoin de la littérature scientifique pour CONSTATER qu'il n'y a pas aucune station rurale continue sur 1 siècle en Afrique, que le nombre de stations a été divisé par 3 depuis 1980, etc. Tout ça est facilement vérifiable dans les bases de données publiques. L'argument d'autorité de la "littérature scientifique" est irrecevable, surtout quand on sait qu'il y a un fort biais à ne pas publier ce qui cloche et ce qui risque de mettre en danger sa carrière et son budget de recherche. Ce qui ne veut pas dire que la littérature scientifique sur ces problèmes de mesure de température n'existent pas, il y en a à la pelle.

    Strawman… La question n'est pas de savoir si on a ou pas de station rurale continue en Afrique, mais de savoir si on arrive à reconstruire un "signal climatique" (j'entens par là une tendance multi-décénnale) global avec les stations à disposition…

    Ensuite, les stations de mesure n'ont pas été divisée par 3 depuis 1980. La base de données GHCN manque en effet de sations récentes, mais d'autres bases de données, comme la GSOD en ont bien plus, et ne montrent pas de résulatat fondamentalement différente des reconstruction baséee sur les données GHCN:

    Evolution du nombre de stations GSOD:

    LandSeaGSODSStats.jpeg

    Evolution du nombre de stations GHCN:

    LandSeaGHCNStats.jpeg

    Faire une reconstruction en utilisant les 2 bases de données (même méthodologie), ça donne ça:

    LandSea.jpg

    Bref, plus de station, et dont le nombre augmente depuis 1980, ça ne change rien dans le résultat final…

  17. Ah bon, première nouvelle! Alors pourquoi est-ce que certains s'escriment à le modéliser. Bon, grâce à Randian shithead fin du thread, fin de la polémique sur le réchauffement climatique, on remballe et on ferme : le climat est un phénomène chaotique. Un admin peut-il fermer ce fil et proposer Randian au prix Nobel ?

    La variabilité interannuelle est chaotique, et donc impossible à prévoir… mais pas impossible à modéliser ! Car on oublie que quand on parle de chaos, c'est de chaos déterministe dont il s'agit . Les modèles simulent les oscilliations océaniques, leur couplage avec l'atmosphère, et l'effet sur la température globale, mais ils sont incapables de dire avec certitude qu'en 2024 il y aura un épisode El-Nino et qu'en 2048 un puissant El Nina. Mais par contre, en plus de cette variabilité interannuelle, il y a une tendance au réchauffement sous-jacente qui se modélise très bien, et qui a un fondement physique basé sur les propriété radiatives (et convectives) de l'atmosphère auquel on ajoute des GES.

    Pour prendre une analogie plus proche de la réalité quotidienne: il est impossible de prévoir le temps qu'il va faire jour après jour jusqu'en juillet prochain. Mais on est tous à peu près convaincu qu'il va faire bien plus chaud à cette date qu'aujourd'hui (certains, même, planifient leur vacances à cette date pour profiter de la chaleur, les inconscients ! :icon_up::doigt: ), on a une variabilité journalière importante, mais la physique nous dit que le rayonnement solaire incident va augmenter inexorablement sous nos latitudes jusqu'au 21 juin, ce qui va FORCEMENT réchauffer nos régions !

  18. Ca, tu n'en sais rien du tout, tu te contentes d'affirmer.

    En France, les données avant 1950 sont considérées par MF comme non utilisables. D'ailleurs, dans la base de données GHCN qui sert à compiler la température, il n'y a pas une seule station française continue sur 1 siècle, PAS UNE SEULE. Un exemple pour dire à quel point c'est pourri : il n'y a aucune donnée mensuelle pour JFM 1991. Et c'est pour la France, patrie du système métrique, alors je ne t'explique pas pour la Mongolie intérieure ou l'Afrique. D'ailleurs, pour toute l'Afrique, tu ne trouveras pas une seule station rurale qui ait des données sur 1 siècle. Ce qui veut dire qu'il est impossible de comparer à la précision prétendue du 1/10°C la température de la première moitié du 20e siècle (où il y a eu un réchauffement rapide aussi au moment où les GES n'avaient jamais été un problème) avec le réchauffement entre 1970 et 2000. C'est d'autant impossible à comparer que le nombre de stations de mesures qui servent à la compilation de la température globale a été divisée par 3 depuis les années 1980 et qu'on en est à tout juste 2000 stations maintenant.

    Là où il y a un maximum de données homogènes et de longue durée, c'est aux USA (qui pour 3% de la surface terrestre, concentre plus de 80% de toutes les stations mondiales). Et devine quoi, il n'y a aucun réchauffement statistiquement significatif aux USA sur le 20e siècle. D'ailleurs, le réchauffement dans les années 30 avait été tel qu'il y avait le dust bowl, qui n'existe pas alors qu'on est sensé subir un réchauffement sans précédent ces dernières décennies.

    Des exemples de la galerie d'horreur de cette température dite "globale", je peux t'en citer des centaines. Eh oui, la science climatique est aussi mauvaise que ça. Alors ouais, "faut pas déconner" comme tu dis.

    Des exemples tirés de la littérature scientifiques ? J'attends de voir…

    En effet, la couverture globale du globe pour la mesure de la tendance multi-décénnale n'est pas parfaite, surtout pour le début du XXe siècle. Mais la vrai question est: combien de station de mesure est nécessaire pour capter un "signal climatique global" ? On peut facilement tomber d'accord qu'en cas de profond boulversement climatique (du sytle, soyons fou, le soleil qui déconne et qui diminue de moitié son rayonnement), l'effet sera tel qu'un seul thermomètre quelque soit son emplacement sur terre suffira à mesurer un changement, ou, corrolaire, que tous les thermomètres mesureront un effet d'amplitude comparable…

  19. La constance n'est pas plus signifiante statistiquement que l'augmentation. Tu nous explique toi-même que la variance est hénaurme.

    Si tu veux utiliser l'argument des 15 dernières années, tu ne dois pas estimer l'augmentation de température, mais la différence entre l'augmentation prédite par les modèles réchauffistes et l'augmentation observée, puis montrer que cette différence est statistiquement significative.

    Ça c'est le bon raisonnement.

    Le mauvais raisonnement, c'est de faire un truc tordu du genre :

    - regardez il y a un réchauffement, mais beaucoup de variance

    - donc il n'y a pas de réchauffement

    - donc les modèles réchauffistes se sont plantés

    Comme je ne connais pas les prédictions établies par les modèles des années 80, je ne peux pas faire cette comparaison.

    Par contre ce que je constate, c'est que le "plateau" ne sort pas du tout de la variance qu'on a pu observer au cours du 20ème siècle.

    Un bon graphique vaut souvent mieux qu'un long discours:

    trendtest-UAH-2000-20.png

  20. Tu te contentes de répéter la propagande, sans même regarder ce qu'il en est réellement alors qu'il suffit de 5 secondes pour vérifier. Si on regarde la température de la stratosphère (graphique TLS), on constate qu'il y a effectivement refroidissement, mais par 2 paliers provoqués par 2 éruptions massives, el Chichon et le Pinatubo et le reste du temps, il a plutôt tendance à se réchauffer.

    Attribuer cette évolution à un forçage par le CO2, qui est monotonique, c'est irrecevable. A ma connaissance, ce marronnier est tellement peu crédible qu'il n'y a plus que les réchauffistes de l'IPSL, Jouzel et Masson-delmotte qui le ressortent encore, et seulement face aux journalistes crédules.

    sc_Rss_compare_TS_channel_tls_v03_2.png

    Vous avez l'air de vous y connaître.. pouvez vous SVP nous donner la référence de l'effet refroidissant à long terme des éruptions volcaniques massive au niveau de la stratosphère ?

    Je serais également intéressé de connaître l'influence des cycles solaires sur la température de la stratosphère.. A mon avis il y a une fluctuation visible (maximum autour de 2003) Des publications là dessus ?

    Ensuite, vous nous montrez un graphique "TLS": comment est-ce mesuré ? La mesure est-elle fiable ? Quel biai peut entacher cette mesure ? Est-ce bien dans la couche mesurée que le réchauffement induit par le CO2 est attendu ?

    Un peu de documentation serait le bienvenu pour étayer tout ça, parce que l'on tient là un sérieux arguments pour enterrer le RCA !! :-)

  21. Ce qu’il ne faut pas oublier, et que les gens oublient souvent dans la société moderne, c’est que les règles de transmission de patrimoine partent du principe qu’une part majeure du patrimoine est immobilier et provient de l’héritage des le départ, que les gens ne sont pas des atomes mais font partie d’une famille, d’une lignée.

    Par conséquent, on a un devoir moral envers ses ancêtres qui nous l’ont légué et envers sa famille qu’on se doit de préserver des catastrophes, la donation n’est pas nécessairement complète et sans conditions.

    Cette réflexion ne mêne-t-elle pas de facto à la justification de l'existence de l'Etat ? "Devoir moral envers les ancêtres" ? "Devoir envers la mère patrie " ?

  22. Ben moi je suis aussi étudiant à Paris X, mais j'ai découvert il y'a 6 mois que mes ancêtres suisses me permettent d'être naturalisé suisse grâce à la toute nouvelle loi du retour de 2006, donc dès que je serai suisse, je me taillerai les amis…

    D'ailleurs j'ai déjà retourné ma veste en matière de foot.

    Quel avantage à devenir Suisse ??

    Aucun obstacle à l'immagration en Suisse pour les Européens: tu y trouves du travail, tu viens t'installer.

    Par contre, si tu te naturalises avant 20ans et que tu viens t'insaller… Tu risques fortement de devoir y faire ton service militaire…

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