Aller au contenu

miniTAX

Utilisateur
  • Compteur de contenus

    1 001
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par miniTAX

  1. Laponche est un anti-nucléaire professionnel, s'il ne fiche pas assez la trouille, il risque de ne pas être payé.Sinon, Greenpisse a finalement publié une carte Google de ses mesures de radioactivité autour de Fukushima. Vu les valeurs, pas étonnant qu'il n'a pas envie de trop s'appesantir là-dessus. Les faits et les mesures pour les nucléophobes, c'est comme l'ail pour les vampires, c'est bio-incompatible.
  2. Ce hoax nucléophobe est usé jusqu'à la semelle, et il suffit de deux secondes pour le vérifier. Ca devient lassant de le voir répété encore et encore !Le rapport 2006 de l'OMS est précisé là : http://www.who.int/ionizing_radiation/chernobyl/en/ Les noms des scientifiques est listé ainsi que toutes les publis sur lesquelles ils s'appuient pour rédiger le rapport. Donc pas la peine de poser de fausses questions. Selon le term of reference des rôles respectifs, l'AIEA fait l'évaluation des impacts environnementaux et l'OMS fait l'évaluation sur la santé, c'est l'OMS (quelle surprise !), donc l'histoire que l'OMS ne fait que les reprendre les chiffres de l'AIEA est grotesque. Les anti-nucléaires sont obligés de mentir et encore mentir, en battant la carte de la conspiration de l'AIEA et du lobby nucléaire qui-nous-cachent-tout, tout simplement parce que niveau argument rationnel pour soutenir leur phobie, ils ont nada, que dalle.
  3. l'eau liquide, c'est par opposition à l'eau vapeur, dans les tours de réfrigération.Plus de la moitié des centrales nucléaires sont sans tour de réfrigération (de mémoire Blaye, Paluel, Gravelines et bien sûr Tchernobyl, Fukushima…) donc pas d'évaporation massive. Mais encore une fois, les tours de réfrigération, ce n'est absolument pas une exclusivité du nucléaire, c'est exactement le même principe dans une centrale au charbon. D'ailleurs, la partie turbine vapeur est la même dans les deux, il y a juste la chaudière qui change. Rapport de force ??? Je ne vois pas de rapport de force, juste de la paranoïa…
  4. Centrale nucléaire de Mühleberg, aucune trace d'évaporation massive, comme toutes les centrales qui se refroidissent à l'eau liquide (en bord de mer, au bord d'un lac…). De toute façon, une tour d'évaporation, ce n'est pas propre à une centrale nucléaire ! http://www.wikimapia.org/#lat=46.969048&am…amp;l=2&m=b Au passage, on peut comparer "l'empreinte écologique" de la centrale à une éolienne de 2 MW, qui produit 200x fois moins, une électricité sporadique. Comme on dit, ya pas photo.
  5. Oui, sur le nucléaire, les gens qui parlent beaucoup sont toujours ceux qui savent le moins.
  6. S'il n'y avait que la hiérarchisation des infos ! Il y a surtout beaucoup d'ignorance, plein de spéculations qui vont toujours dans le sens de l'exagération et du sensationnalisme. Il s'agit de piscines de barres de combustibles de 15 m de profondeur remplis d'eau qui sont secouées par le séisme, d'où le débordement de l'eau faiblement radioactive : la piscine est ouverte, vous pouvez vous promener autour sans prendre un seul uSv, donc la "fuite d'eau radioactive" ne fera pas plus d'effet, sauf celui de pouvoir ficher la trouille à la populace. Ensuite, le haut des barres de combustibles sont sous au moins 3 m d'eau (si c'est immergé aussi profond, c'est justement pour enfermer la radioactivité), donc si le journaliste avait la moindre idée de ce qu'il raconte, il n'aurait pas pondu des insinuations stupides dans le genre "La baisse du niveau d'eau dans ces piscines de refroidissement est une source d'inquiétude car, si elles ne sont pas suffisamment immergées, les barres de combustible usagé provoquent des rejets radioactifs dans l'atmosphère". C'est comme ça qu'on fabrique l'hystérie anti-nucléaire (ou anti-ogm, anti-capitaliste…). On larde les quelques maigres faits totalement anodins avec des spéculations, toujours catastrophistes, ça évite la fatigue d'aller se renseigner et recouper les infos, ça ne mange pas de pain et ça pemet de brasser du vent. Et en plus, il y a plein qui gobent ! Aucune ??? http://www.google.fr/search?q=nuclear+insu…lient=firefox-aConstruction possible seulement via l'état ? Tepco, Exelon… ça vous dit quelque chose ?
  7. D'où est ce que vous tenez svp que "les études officielles se basent sur la radioactivité moyenne" ??? La radioactivité, moyenne ou pas, ne constitue qu'une infime partie des risques en tout cas impossible à attribuer étant donnée les faibles doses et l'effet hormésis. Le risque le plus important vient de la contamination (par les aliments, par la respiration poussières de particules radioactives…). Ca m'étonnerait donc que les gens de l'OMS qui ont rédigé le rapport (en se basant sur des centaines d'études aux approches différentes) confondent l'irradiation et la contamination et n'étudient que l'impact de l'irradiation. Fait qui rend la réalité encore plus compliquée, quand on regarde dans la base global cancer, le taux d'incidence du cancer corrigé de l'âge (en supposant que les chiffres soient fiables) est beaucoup plus… FAIBLE en Ukraine (<200 par 100.000) qu'en France (300 par 100.000) ! Donc en toute logique, si la radioactivité de Tchernobyl fait mourir les Ukrainiens, c'est par quelque chose mais pas par le cancer. Cette vérité qui dérange, on ne risque pas d'entendre les nucléophobes la crier sur les toits. Ils préfèrent annoncer des théories simplistes, faciles à accepter et fausses.
  8. Le chiffre de 4000 morts n'est pas celui de l'AIEA (qui s'est chargé de l'étude environnementale, pas médicale) mais de l'OMS et a été rédigé par des dizaines de médecins et experts en radioprotection, en se basant sur des centaines d'études publiées dans des revues internationales à comité de lecture. C'est dans le rapport de 2006, tout (nom, source, référence…) est indiqué là : http://www.who.int/ionizing_radiation/chernobyl/en/ Donc belle tentative de persifflage conspirationniste mais ça ne vaut pas un clou. Quant à "l'étude de l'académie des sciences de New York", il suffit de 2 secondes de vérif pour savoir que ce n'est pas une "étude" mais un livre compilé par un activitiste anti-nucléaire, donc non revu par les pairs et qui n'a jamais été approuvé par l'académie des sciences de New-York. Mais qu'importe, avec la propagande anti-nucléaire, il suffit de répéter assez souvent des mensonges pour que ça devienne Vérité.
  9. La centrale nucléaire d'Oganawa, encore plus près de l'épicentre du méga-séisme est pourtant intacte et abrite en ce moment … quelques centaines de sinistrés du tsunami ! Il y a aussi de la centrale de Fukushima Daini (n°2) qui est restée intacte (même séisme, même tsunami, même vague de 14m) ainsi que la centrale de Tokai, que les nucléophobes préfèrent balayer sous le tapis. Alors oui, habiter à côté d'une centrale nucléaire OCCIDENTALE est beaucoup plus sûr qu'à côté d'un barrage (celui de Fukushima, à un jet de pierre de la centrale nucléaire a rompu aux premières heures en emportant des dizaines d'habitations !), beaucoup plus sain en terme de pollution de l'air qu'une centrale au charbon, beaucoup moins risqué en terme d'explosion ou d'incendie qu'une centrale au gaz ou au fioul, beaucoup plus silencieux qu'un champ d'éoliennes. D'ailleurs, faire l'amalgame entre une centrale occidentale et la centrale soviétique, entre un accident déclenché par une catastrophe naturelle majeure et un accident déclenché par l'incurie communiste montre que soit vous êtes de très mauvaise foi, soit vous ne connaissez rien du sujet. Au sujet des conséquences de l'accident, un journaliste est allé voir dans la zone d’évacuation avec un compteur Geiger (là où il y a « mille corps abandonnés », par peur de contamination) : beaucoup d’animaux errants, 100 uS/h à 1,5 km de la centrale, et toujours pas de vache à 3 cornes ou de chiens fluorescents, ni de carottes géantes. Et vu le niveau de radiation, si jamais il y a prochainement une zone d'interdiction, elle sera minuscule et basée sur beaucoup de populisme et très peu de science.
  10. Tu as déjà introduit une notion totalement hors sujet, c'est assez absurde, pas besoin que tu en ajoutes d'autres ! Donc non, ça ne m'intéresse pas le nombre de carottes par habitant, ni l'intensité énergétique parce que ça n'a rien à voir avec la quantité de CO2 anthropique envoyé dans l'atmosphère, ce dont il était question avant que tu balances tes inepties.Cette quantité envoyée dans l'atmosphère dépend de la quantité de CO2/habitant et la variable $ dans l'intensité énergétique n'a rien à y faire, si ce n'est dans un rapport indirect très lointain, en quoi d'autres faut-il t'expliquer ? C'est comme si je parle de l'influence des chevaux-moteurs sur l'accélération max d'une voiture et tu débarques pour dire "n'importe quoi, regarde la hauteur du train-roulant". Bah non, PAS n'importe quoi. Ce qu'il faut, c'est ne pas comparer pommes et poires. Pour ça, il suffit de regarder l'évolution dans le temps de l'intensité énergétique d'un pays, la Chine, le Japon, la France… peu importe (tu fais glisser le curseur des années et tu constateras cette décroissance pour chaque pays). Et c'est un fait que plus un pays s'enrichit, plus son intensité énergétique baisse. Or plus un pays s'enrichit, plus il émet de CO2(même si comme toujours, il y a des exceptions), donc ça montre bien que l'indicateur "intensité énergétique", que tu as introduit comme un cheveu dans la soupe, n'a rien à faire dans une discussion sur la "vertu écologique" ou non d'un pays (en se basant bien sûr sur le critère réchauffiste que cette non-vertu serait proportionnelle à la quantité de CO2 émise). Et quel rapport avec la chouchroute ? Tu cherches à me contredire sur quelque chose que je n'ai pas dite ?
  11. Je parlais de niveau d'émission, càd en kg CO2/habitant. Ce qui n'a rien à voir avec l'intensité énergétique en kgCO2/$ où chacun devrait savoir qu'elle est proportionnelle à la pauvreté d'un pays (plus le pays est pauvre, plus sont intensité énergétique est élevée, càd médiocre). Donc ton argument, valide ou pas est hors sujet. Mais merci quand même de ta non-réponse.
  12. Même se chauffer au bois "pollue" énormément, si si C'est une des premières causes de mortalité infantile au monde. Exemple cocasse de la situation dans la quelle la confrérie écochondriaque nous a menée : une compagnie d'électricité, Global Ampersand, vient de se prendre une amende de … 800 millions $ (0,8 milliards !) pour cause de pollution dans 2 de ses centrales, une des amendes les plus élevées dans l'histoire de la Californie. Petit détail, ces deux centrales sont tout ce qu'il y a de plus écologiques puisqu'elles produisent de l'électricité exclusivement à partir de… biomasse. Eh oui, avec les Khmers verts, il n'y a plus de limite à connerie, même les produits réputés NATURELS polluent. S'ils pouvaient mettre une amende à Mère Nature pour tempêtes de sable, inondations, incendies de forêt et éruptions volcanique (les pollutions humaines à côté, c'est de la gnognote), ils l'auraient fait.
  13. Le mensonge est de dire que la France serait "un étendard" de l'écologitude en se basant sur ses émissions de CO2 (parce que pour ce qui est de la pollution des fleuves, des rejets industriels, de l'étendue des forêts, de la diversité et de la population des espèces sauvages, on peut aller se coucher en comparaison à la Suisse ou la Scandinavie). Ce qui est bien sûr au mieux une aberration surtout si vous y croyez réellement, au pire un mensonge éhonté. Parce que d'un, le CO2 n'est PAS un polluant, il n'a jamais été classé comme polluant dans aucun manuel de toxicologie, de médecine, de science, jamais ! Et il y a une bonne raison à ça vu que c'est scientifiquement le gaz le plus écologique qu'on puisse trouver puisqu'il est à la base de la vie sur Terre (on en injecte dans les serres pour accélérer la croissance des plantes, un champ de maïs en plein soleil consomme tout le CO2 à 1m au dessus de lui en moins de 10 min et se retrouve systématiquement en manque de nutriment pour la photosynthèse s'il n'y a pas assez d'advection d'air !). Donc ce serait plutôt le pays qui émet le plus de CO2 qui serait le plus écolo et non le contraire. Et de deux, si le niveau d'émission de CO2 était le critère pour se qualifier-selon vous-"d'étendard de l'écologie mondiale", ceux qui seraient sur le podium serait le Zimbawé ou la Somalie, voire l'Inde ou la Chine, certainement pas la France. Bref, c'est bien de se bomber la torse, mais c'est mieux de vérifier avant qu'il y ait un peu de pectoraux.
  14. Bref, il faut mentir quoi <–< Au passage, pour ne pas casser l'ambiance, faut surtout penser à ne pas dire que la France en premier, l'Europe en second (l'autre "étendard" de l'écologie mondiale) maintient ce beau symbole de l'écologie qu'est le parlement de Strasbourg en doublon avec Bruxelles, des fois que l'écolo bobo se mette à calculer (on peut toujours rêver) l'empreinte carbone que représentent un méga-bâtiment chauffé qui sert 5 semaines pleines par an, une noria de camions qui fait la navette sur 400 km pour transporter les dossiers des bureaucrates à chaque session à Strasbourg et les bien sûr frais associés d'avions, trains, hôtels, bouffe, p.tes pour nos champions auto-proclamés de l'écologie. Eh oui, la meilleure argumentation en écologie, c'est de montrer les faits qu'on n'a pas et de ne pas montrer les faits qu'on a.
  15. C'est exactement ce que c'est que j'ai dis. Le mot "principal", c'est capital parce que c'est le premier argument des réchauffistes utilisé sciemment et de manière répétée pour justifier leur théorie et leur alarmisme.Plus précisément, la phrase exacte du Résumé pour Décideur, c'est "Most of the observed increase in global average temperatures since the mid-20th century is very likely due to the observed increase in anthropogenic greenhouse gas concentrations" http://www.ipcc.ch/publications_and_data/a…anding-and.html Or cette affirmation est totalement gratuite. Elle n'a absolument aucune base scientifique, aucune, tu ne trouveras dans le rapport scientifique dont elle est sensée découler rien qui puisse l'étayer. Absolument rien. Pourtant, c'est repris et décliné en de multiples versions par les réchauffistes et non uniquement par les médias. C'est ainsi que tu entends expliquer que "principal", c'est plus de 50% ou que "very likely", c'est une certitude de 90%, etc… Certains n'hésitent même pas à déformer ça en "l'homme est responsable à plus de 90% du réchauffement" (copyright Borloo), sans qu'il y ait le moindre début d'interrogation d'où proviendraient ces chiffres, quelle source exacte, par quel auteur… Donc une des hypothèse de base du RCA est clairement de l'exagération médiatico-politique qui repose sur du vent. Prétendre d'un côté, avec force propagande, qu'on a identifié la cause principale du réchauffement et puis quand ça ne colle pas à la réalité, justifier le décalage en disant que finalement, ce n'est pas le principal puisque la variabilité naturelle a pris le dessus (variabilité naturelle qui comme par hasard est juste évoquée quand ça se refroidit, pas quand ça se réchauffe, ou seulement pour dire qu'on sait la dissocier du forçage anthropique grâce aux modèles !), c'est du double langage typique de toute escroquerie intellectuelle. Donc c'est même pas la peine de faire semblant de capituler sur le bienfondé scientifique de la chose pour s'attaquer uniquement aux choix politiques et financiers issus du RCA (approche choisie par des ignares en science tel que Lomborg) : la base scientifique elle-même du RCA est pourrie et on en a déjà une multitude de réfutations. Faire croire que la justesse de la démarche scientifique n'a pas d'importance est une insulte à la science.
  16. Bah si, il y a bug. Si tu as la source principale de bénéfice qui augmente, tu ne peux pas avoir de perte, ne serait qu'une seule année, surtout en partant d'une situation de bénéfice. Si tu as une source principale de réchauffement qui augmente, tu ne peux pas avoir refroidissement, c'est mathématiquement impossible. "Principal", dans le sens textuellement précisé par les promoteurs du RCA, càd >50%.C'est de la logique de base, si tu ne peux pas l'admettre, toute discussion rationnelle est impossible. Si les réchauffistes continuent de nier une réfutation aussi évidente par des rhétoriques oiseuses, c'est bien parce que ça n'a rien à voir avec la science. Pire encore, le refroidissement de ces dernières années avait été prédit parfaitement par Landscheidt depuis 2000 avec la théorie solaire et celle du barycentre astronomique. De même, la théorie des oscillations océaniques (probablement liée à la théorie solaire), notamment celle de la PDO de période 55 à 70 ans a prédit également ce refroidissement qui va se poursuivre pour au moins 2 décennies, j'en avais déjà parlé dès 2006, bien avant les 3 derniers hivers pour confirmer mes dire. Ce n'est pas comme si des théories "alternatives" avec un bien meilleur pouvoir prédictif n'avaient pas existé, comme voudraient le faire croire les carbocentristes. Preuve que les modèles GCM sont à la ramasse, ses promoteurs publient maintenant de nouveaux modèles pour justifier après coup les hivers froids qu'on constate (cf par ex Cattiaux ou Pethoukov d'il y a quelques semaines et pour dire que oui, le RC est la cause des hivers froids. Tu parles d'une science !
  17. Allez, tu racontes n'importe quoi, ça devient du délire. Ils ont raison sur quoi ??? Ton chiffre de 5°C, tu le sors du chapeau. L'estimation de l'impact d'un doublement de CO2, c'est entre 1,5°C et 4,5°C, ça à dire que la théorie du RCA ne sait même pas quantifier sur quoi elle est d'accord et que cet intervalle d'incertitude, c'est ce qu'avait déjà trouvé le rapport Charney il y a plus de 30 ans ! La science, c'est tout dans le détail. Tu ne peux pas prétendre raisonner et plus encore, dire que ça n'a pas d'importance en te basant sur des généralités et des chiffres qui tombent du ciel. Bien sûr que l'explication par des variations chaotiques invalide la thèse de l'origine humaine du réchauffement. Mais tu ne réponds toujours pas à la question. Quand le GIEC parle de cause principale du réchauffement, ça veut dire précisément que ça dépasse les fluctuations chaotiques. Ca voudrait dire qu'un refroidissement naturel ne peut pas masquer ce réchauffement, sans quoi, ce ne serait pas une cause principale. C'est exactement comme si une entreprise dit que la cause principale de ses bénéfices, c'est la cocotte minute. Or les ventes de cocottes minutes ont augmenté régulièrement et pourtant, l'entreprise perd de l'argent pendant 8 ans. Tu vois bien qu'il y a un bug ! C'est si dur pour toi de comprendre une logique de cause à effet aussi élémentaire ? Faut pas 100 ans de mesures pour vérifier les modèles ! Tu sors encore des trucs de ton chapeau. Les modèles sont à la rue pour reconstituer la température et surtout les précipitations régionales, cf par ex. les synthèses des prédictions publiées par Koutsoyiannis. Les modèles ne peuvent pas prédire le climat, même ses géniteurs l'ont reconnu et écrit clairement dans les rapports du GIEC, j'en ai cité un exemple.
  18. Si 8 ans n'est pas significatif, combien d'années faudrait-il ? D'après le GIEC, les GES issus de l'activité humaine est la cause principale du réchauffement. Quelle est ton explication de l'absence de réchauffement depuis 8 ans alors que la cause principale s'est accentuée ? Explication logique et rationnelle stp, pas des effets de manche à la Dniz
  19. J'ai jamais "sous-entendu" que le nombre de stations a diminué, c'est vous qui inventez des crasses permanentes en guise de réponse, c'est franchement pénible.J'ai dit que le nombre de stations utilisées pour compiler la température globale a diminué, de 2/3. Ce qui est, selon votre logique, d'autant plus impardonnable si comme vous dites, le nombre de stations disponibles a augmenté. Et ce que vous ne semblez pas comprendre, c'est que le fait d'augmenter le nombre de stations récentes ne change strictement rien au problème quand il s'agit de suivre l'évolution sur 1 siècle. L'important, c'est d'avoir des séries homogènes sur la durée de mesure histoire de ne pas comparer pommes et mesures. Le fait de raccorder, d'homogénéiser, de reconstruire et le tout sans méta-données et par des agences tenues par des activistes réchauffistes déclarées, c'est de la cuisine. C'est comme si une entreprise pharmaceutique faisait elle-même sa propre procédure de test d'efficacité de son médicament, procédure différente de celle des autres, choisissait les résultats qui lui plaisent de manière totalement arbitraire (on a un exemple typique avec la manière dont les stations françaises ont été choisies et excluses dans les stations utilisées par le GISS), avoue qu'elle a perdu des données brutes (c'est le cas de Jones) ce qui interdit toute tentative de réplication, puis établit un indice selon des procédures statistiques jamais validées par la communauté des stastiticiens, indice qui évidemment va dans le sens de l'entreprise. Dans le cadre d'une entreprise privé, c'est un problème évident de conflit d'intérêt, c'est contre toutes les lois commerciales mises exprès en place et c'est même passible du pénal. Mais visiblement, avec un indicateur qui est susceptible d'influer la politique énergétique, industrielle voire géo-stratégique de toute la planète, aucun souci. Cherchez l'erreur… Hors sujet là encore, décidément, vous ne comprenez rien à rien, c'est désespérant. Le problème n'est pas de faire une pondération des données qui est hyper-simple. Le problème, c'est la signifiance statistique de cette pondération et ça, en l'absence de méta-données et donc de réplication des intervalles d'incertitudes validée par les VRAIS statisticiens dans des revues de statistiques, c'est impossible de savoir. Pur mensonge. La NIWA avait viré Sallinger, un des initiateurs de la magouille et a fini par reconnaître officiellement que sa compilation de température n'est plus valide et a demandée à la BOM australienne de s'en occuper. Bref, la Nouvelle Zélande n'a pour l'instant PAS de température officielle. Et tout ça seulement parce que les sceptiques ont porté l'affaire devant la justice, sans quoi, la plaisanterie aurait duré longtemps. C'est une affaire parfaitement documentée, il suffit de 10 s de Google pour vérifier et vous réussissez à raconter une version totalement opposée , dans un révisionnisme éhonté. Ce n'est même pas du mensonge, c'est de la stupidité tellement c'est facile à démonter. Tout le reste de votre salade est du même tonneau, mensonge, tromperie et foutage de gueule, je vais arrêter de répondre à un escroc. J'ai déjà répondu ce qu'il y a à répondre pour la température stratosphérique. Je n'ai pas à répondre à des trollages débiles.Vous voulez que je liste toutes les questions que vous avez évitées pour essayer de détourner le sujet dès que vous vous faites coincer avec vos gros mensonges ? Argument débile, typique du prêt-à-penser des bigots réchauffistes. Si je dis que l'astrologie ou la danse de la pluie ou l'anti-ogmisme, c'est de la foutaise, il faudrait que JE publie des articles scientifiques ? Et des centaines de scientifiques de renoms qui sont sceptiques et des centaines de publis critiques du RCA, vous en faites quoi, ils n'existent pas ? Du bla bla, encore du blabla. Je parle de la température globale de surface, pas par les satellites et tel que c'est calculé par le GISS, NOAA et HadCRU, c'est la simple moyenne arithmétique de la température de l'hémisphère nord et de l'hémisphère sud, ce qui est d'une débilité sans nom, vu l'énorme différence de capacité calorifique due au % d'océan. C'est comme dire que la température de la maison est de 20°C en faisant la moyenne entre les toilettes à 25°C et le salon à 15°C. Mais visiblement, vous êtes prêt à gober et à régurgiter n'importe quelle saloperie réchauffiste, on n'en est plus à ça près. C'est plutôt vous qui êtes incapable de suivre un enchaînement logique simple. Non, je ne détourne jamais le sujet pour passer à autre chose, contrairement à vous qui faites constamment diversion avec des fatuités. Alors ne projetez pas vos tares sur les autres.
  20. Le réseau GSOD n'a des données que depuis les années 70. Et il n'a jamais été utilisé pour compiler la température globale jusqu'à présent, donc votre histoire de nombre de stations qui a augmenté, c'est du grand n'importe quoi.Même si c'était utilisé, ce qui n'est pas le cas, les données qui n'existent que depuis les années 70 ne peuvent rien dire quoi que ce soit sur un réchauffement depuis 1 siècle. Votre intervention est typique du bluff d'un bigot réchauffiste, des demi-vérités, de l'exagération et de la simplification et dès qu'on vous pose des questions précises, vous vous défilez lamentablement. Si vos arguments étaient si solides, vous n'auriez pas eu besoin de manips aussi grossières. C'est bien essayé, mais ça ne marche pas avec moi. Et d'où vous sortez que l'erreur est aléatoire, de votre chapeau ?La première source d'erreur, c'est l'effet de bulle de chaleur urbaine, ça n'a rien d'aléatoire. La deuxième source d'erreur, c'est les déplacements de stations, ça n'a rien d'aléatoire. La troisième source d'erreur, c'est la suppression des 2 tiers des stations depuis les années 1980 pour compiler la température globale, ça n'a rien d'aléatoire. La quatrième source c'est le passage sur 80% des stations US du thermomètres à mercure aux stations MMTS avec des capteurs électroniques avec un biais reconnu mais pris en compte de la manière la plus atroce qu'on puisse imaginer, ce qui rend toute tentative de réplication (un des piliers de la méthode scientifique) impossible. Et je peux en lister comme ça des dizaines de sources d'erreur, tandis que vous contentez de troller comme un porc en suggérant sans un moindre début de trace de preuve que les erreurs seraient aléatoires, non mais faut arrêter le délire. Aucun rapport avec ce que je disais. Je parlais de l'absurdité de l'hystérie climatique basées sur des variations infimes de températures, infimes comparées aux fluctuations que subit la Terre à chaque endroit. L'anomalie de température globale par les satellites auraient un sens parce que c'est des mesures homogènes (et encore, il faut voir les problèmes que ça a, c'est loin d'être triste quand on soulève le capot du bouzin au lieu de se contenter de brasser du vent). L'anomalie de température de la Suisse a un sens parce que c'est fait avec sérieux, avec toutes les données et méthodes disponibles.Par contre, l'anomalie de température globale de surface ou de la température de l'Afrique, l'Asie, l'Amérique du Sud ou même de la France telle que c'est salopée par le CRU, la NOAA et le GISS, où on fait une moyenne de grandeur intensive sans aucune précaution (la température globale est calculée par ces agences comme la moyenne de l'HN et de l'HS alors que la surface de l'océan varie dans un rapport de 1 à 4 d'une hémisphère à l'autre, c'est pas beau ça ?), non ce n'est pas valide et on a la preuve que ce n'est pas valide. On dispose de série de mesures bien plus robustes, bien moins sujet aux perturbations telle que les bulles de chaleur urbaine ou les mauvais placements de stations et d'une grandeur extensive : les précipitations. Or en terme de climatologie et de son impact sur la biosphère, les précipitations sont une variable bien plus importante que la température. On meurt rarement d'une température trop haute, on s'y adapte même très facilement, même sans technologie et sans énergie. Mais par contre, on meurt massivement de faims dues aux sécheresses, d'inondations, de glissement de terrain… Et pourtant, les réchauffistes font une fixette sur une hausse de température ridicule et ne parlent jamais des mesures de précipitations (qui comme je vous le dis existent bien) dans leur propagande médiatico-politique. Pourquoi d'après vous ?
  21. Bah si ! Non seulement il est faux, mais en plus il est dangereux parce qu'il peut mettre sur une mauvaise piste, surtout quand ses promoteurs font croire qu'il n'y a aucun autre outils décisionnel. C'est typique des modèles de la Met Office qui ont prédit un hiver doux depuis 3 ans et qui ont fait exclure par le gouvernement britanniques les autres prévisions saisonnières qui se sont révélées bien plus fiables comme celle de Corbyns ou de Bastardi. Résultat, une grosse pagaille due à l'impréparation face à la neige et un coût de plusieurs milliards pour l'économie juste pour le mois de décembre.D'ailleurs, c'est bien d'affirmer en l'air mais vous avez un exemple de modèle pas prédictif et qui ne serait pas faux ? Un seul ?
  22. On est en 2010, donc il s'agit de savoir si les prédictions faites en 1988 se réalisent maintenant ou non. Parler comme tu le fais de tendances sur 25 ans permet de minimiser l'erreur puisque on dilue l'erreur de ces dernières années dans les prédictions forcément meilleures des premières années. C'est une rhétorique délibérée typique des propagandistes de Realclimate et évidemment, tu es tombé en plein dans le panneau. Or si on regarde ces dernières années, l'anomalie prédite par Hansen est autour de +0,8°C alors que la température réelle est autour de 0,5°C. Et c'est pour le scénario B, pour le scénario A (d'après le papier de Hansen : "scenario A assume an annual growth rate of emissions of 1,5%") qui est plus proche de la réalité, l'erreur des modèles est pire : autour de 1°C au lieu des 0,5°C réel. Donc oui, les modèles ont incontestablement exagéré le réchauffement, il te faudrait quoi d'autre comme preuve ? D'ailleurs, je te signale que même les réchauffistes savent que c'est exagéré et que certains ont même commencé le rétropédalage pour se couvrir avec des modèles qui prédisent quelques décennies de refroidissement devant nous, par ex. Keenlyside ou Wilson. Mais de toute façon, le climat est chaotique donc impossible à modéliser, alors bon, faudrait savoir ce que tu veux…
  23. T'inquiètes, avec des trolls dans ton genre, j'ai l'habitude, il m'en faut plus pour me chauffer.Quant à la théorie du complot, j'attends toujours que tu montres précisément où j'en ai parlé. Le fait qu'il y ait un biais dans la littérature scientifique, ce n'est pas une nouveauté, ni un complot, c'est un fait établi, renseigne toi, au moins tu aurais appris quelque chose dans la journée.
  24. Déjà, le nombre de stations n'a pas augmenté depuis 1980, il a été divisé par 3 ! Ensuite, ta conclusions est la version prémâchée que tu te contentes de répéter. Les méta-données des stations n'existent pas. Ce qui veut dire qu'il est impossible de calculer ou de répliquer l'incertitude sur les données, ni de vérifier le bien fondé des homogéinisations qui sont tous différents d'un auteur à l'autre (compare la méthode de Hansen à celle de Jones ou de notre Mestre national et tu verras, et pourtant, tous affirment que la sienne est meilleure que celle de l'autre). Donc tu peux conclure n'importe quoi avec ton "ça ne change rien", c'est de la pseudo-science. D'ailleurs, déjà le fait d'afficher des courbes aux variations infimes par rapport aux amplitudes réelles (quand on monte de 1000m, la température chute de 6°C, la différence entre Dijon et Montpellier, c'est >2°C !) sans les intervalles d'incertitude, ça aurait dû t'inquiéter si tu étais un vrai scientifique. Et quand on affiche la même incertitude pour les mesures de ces dernières années que par rapport à il y a 30 ans alors que le nombre de stations a été divisée par 3, ton alarme anti-foutage de gueule aurait dû monter encore d'un ton. Mais visiblement, plus c'est gros, mieux ça passe.
×
×
  • Créer...