Fagotto

ça confirme que les alt-righteux sont des gros fragiles qui ont peur de paysans qui habitent à 10.000km de chez eux.

On n'a pas réduit l'Alt-Right au nazisme (ni dit que les nazis vont conquérir le monde), maintenant il semblerait qu'il y ait porosité entre les 2 parfois (cf. Milo). On parle de points précis sur l'Alt-Right, qui a une influence sur la politique US, si ton point c'est lez nazis n'ont pas d'influence, c'est bien mais c'est une diversion puisque ce n'est pas le coeur du sujet.

Non mais j'ai pas dit que c'est le seul point, maintenant encore une fois on est dans l'affect parce que les attentats ça reste epsilonesque et Sarsour c'est bien gentil mais c'est aussi pas mal gonflé par les réseaux sociaux des deux cotés. D'un point de vue identity politics pure les latinos devraient être l'obsession n°1 largement avant les muz, ce n'est pas le cas il me semble (je ne dis pas qu'ils n'en parlent pas aussi).

D'où d'ailleurs peut-être l'obsession pour l'Islam? qui est plus un "problème", point de vue démographique (qui est le point clé du mouvement, le seul point qui compte d'ailleurs selon Coulter elle-même), pour l'Europe que pour les US. La photo a été posté parce que toi tu disais "j'en ai jamais vu". Donc voilà maintenant tu en as vu.

Certains articles de Contrepoints sont pourtant pas très gauchistes... Comme je disais il est évident que, en général, l'affect disons "tribal" est plus fort que l'affect "liberté + foutons la paix aux autres", donc il est 'logique' que des libertariens partent vers l'alt-right si ils se laissent dominer par ça.

Dis ça à Lancelot et Rincevent et autres, pas à moi, regarde qui a ramené les sjw sur ce sujet. Personne ici n'a menacé leurs droits individuels, on veut juste les décrire pour ce qu'ils sont, ça met en cause leurs droits?

En gros le débat est parti de "c'et pas bien de dire que l'Alt-Right/lite/brol c'est des fachos parce que les sjw traiteraient de fachos les libertariens". 1/ On a prouvé que les soi-disant "modérés" ont des rèves de déportation de populations entières qui leur vaut bien ce qualificatif (et qu'il passe leur temps à discuter avec les "non-modérés) 2/ le rapport entre les sjw et les libertariens est un non-sequitur dans le débat, certains ramènent toujours le débat sur le sujet, et en profitent pour dévier tout débat sérieux sur les alt-righteux 3/ tout ce qui a été dit est que les alt-righteux sont des ennemis politiques, pas qu'il faut les priver de leurs droits individuels

Bill les avait baissé (un petit peu, vs le PIB, avec l' "aide" du Congrès Rep). Avec la Fed qui rachète la dette de toute façon, ça n'a pas l'air de leur faire trop peur. La théorie (friedmanienne je crois) de l'attrition de l'Etat par baisse de ses recettes a été mise en échec depuis Reagan.

C'est le passage obligatoire des Reps depuis Reagan, baisser les impots, et augmenter la dette, pour la baisses des dépenses ce ne sera pas facile avec 51-49 au Sénat + volonté d'augmenter les dépenses militaires, +élections fin 2018 (=ne pas couper des subventions pour les électeurs potentiels)...

Les sjw ripoublicains ont été triggered par la présence de Rokhaya Diallo, le ministre a backpédalé et du coup le comité a explosé, effectivement ce n'est que partie remise (et on ne sait toujours pas à quoi sert ce comité...).

Non mais je ne parle pas seulement de ce qu'on apprend à l'école qui est déjà très succint et dont la plupart des gens ne retiennent pas grand-chose si ce n'est pas réactivé matériellement plus tard, via par ex. un film, une émission télé, une référence dans les journaux, dans un discours politique, un débat etc... de ce point de vue la guerre de 70 c'est pas grand-chose.

Bof pas tant que ça, et surtout très peu dans les oeuvres récentes, incomparable avec les 2 WW (bon la 2e surtout). Si on est pas de la région, pas tant que ça, désolé...

Sans faire mon Marshall McLuhan, j'ai vraiment l'impression que twitter rabaisse le niveau de reflexion des gens qui s'en servent, tu vois des gens normaux balancé des énormités.

Y a des discussions sur par ex. le big pharma qui bloquerait le cannabis pour pouvoir vendre des opoides (créant la vague de décès actuelle aux US), mais ce n'est pas très clair, je ne sais pas s'il y a une analyse complète de cette crise de ce point de vue.

Il parait que dans d'autres pays les filières "littéraires" sont bien mieux acceuillis dans le privé mais j'ai jamais vérifié. (après en France y a des profils comme MAcron qui font sciences po/ENA après une khagne/master philo, qui intéressent les crony banques par ex.).

La guerre de 70 n'est pas très connue, on n'en entend presque jamais parlé dans les médias/oeuvres ça ne me choque pas du tout que des élèves ne connaissent pas.

Bon après sur les résolutions sur Israël, ça a presque toujours été le cas. Sinon Haley est vraiment une pét*sse.

J'aime bien Noël.

Si on parle des mascus type alt-righteux, ils ne sont pas spécialement homophobes officiellement au moins, afin de distinguer des sauvages intolérants (muz si possible). Y a d'autres mécanismes en jeu, même si y en a qui doivent assumer (type Milo machin).

Y avait un article dans The Atlantic qui expliquaient que les ados baisaient moins depuis la sortie du 1er iphone, je vous retrouve ça quand j'ai le temps.

Deux classiques du western: "Warlock" de Oakley Hall "Butcher's Crossing" de John Williams Sans parler de Cormac McCarthy (moins 'classique').

Et sinon pour participer, en lecture now: - In the dust of this planet d'Eugene Thacker, livre métaphysico pessimiste sur les rapports entre horreur et philosophie, je débute ça a l'air très lisible et original - L'Abominable Tisonnier de John McTaggart Ellis McTaggart et autres vies plus ou moins brèves de Jacques Roubaud, recueil de 'vies' (plus ou moins imaginaires visiblement) par un oulipien bien connu. -Mort en Arabie de Thorkild Hansen, récit historique d'une expédition danoise au Yemen, trouvé dans la liste des livres préférés d'Emmanuel Carrère

Effectivement, le féminisme type suprémaciste encourage/promeut l'homoséxualité. Du coup pourquoi coté homme on ne voit pas le même phénomène?

Je dirais que la définition du racisme sur une base 'structurelle' n'est pas inintéressante en soi, ça permet de sortir d'une vision trop purement "morale" ou d'une simple description d'affect individuels. Mais ça échoue notamment par les limitations du "structuralisme" trop déterministe, et aussi par le manque effectivement de prise en considération de dynamique telles que les "minorités dominantes" (ou même simplement non-défavorisé structurellement). Sans compter bien sur le fait que ce qui aurait du être une vision non-morale/sentimentale a fini par le devenir complètement (mais ce n'était pas le but au départ je pense).

C'est souvent le cas quand on expérimente de nouvelles choses, mais il faut penser au plaisir qui s'en suit.