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Tout ce qui a été posté par Miss Liberty
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Je Raconte My Life 3 - The Return Of The Come Back
un sujet a répondu à Miss Liberty dans La Taverne
Moi itou. Je serais allée me baigner quelques mètres plus loin, juste assez près en cas de pépin et assez loin pour profiter de l'eau et lui donner envie de me rejoindre. Après, s'il ne vient pas, tant pis pour lui. Il aura raté quelque chose de sympa et sera passé pour une poule mouillée devant tout le monde. Il apprendra plus tard, ça n'est pas une catastrophe de ne pas se baigner. Mais je pense que l'orgueil suffit à motiver n'importe quel gamin si on agit comme si y aller était la chose la plus naturelle du monde au lieu d'en faire tout un plat (qui justifie sa peur) -
Garde le. Tu pourras le revendre cher à des collectionneurs dans vingt ans. Comme les premiers ordinateurs personnels ou les vieux appareils photos.
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corrigé Non mais sérieusement, c'est quoi cette idée tout d'un coup que tu es investi d'une mission scientifique sous prétexte que tu alignes des chiffres en leur faisant dire ce qu'il te chante? Tu es devenu sociologue?
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On s'est mal compris. Pour moi aussi c'est un seul et même problème, je souscris à ton analyse.
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Pour une femme, se défendre passe mieux. J'ai une amie, particulièrement jolie, qui se ballade avec un taser dans sa poche (la plus accessible). Ça lui est arrivé plusieurs fois que les flics tombent dessus, ils ne l'ont pas emmerdée. Par contre je ne sais pas si ça passera si elle s' en sert et qu'il y a des séquelles. Je suis d'accord que le problème ne serait réglé qu'avec un front commun de la majorité, si les gens venaient au secours les uns des autres au lieu de se réfugier derrière la police. Mais ça supposerait qu'on leur en laisse la possibilité en ne pénalisant pas le mec qui s'est défendu un peu violemment. C'est pour ça que je crois en l'instauration d'une société libertarienne comme solution.
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Oh mais je vous rassure tout de suite, je ne prends ni bus de banlieue ni noctilien seule. Je ne suis pas suicidaire. Si je vais dans certains endroits, je mets un pantalon et des chaussures plates, et je parle leur langage, pas un langage châtié de bourge. Et si je ne suis pas équipée, je fais un détour. Le souci, c'est que les racailles étendent leur territoire, se déplacent. Si je prends le train entre Paris et chez moi, je passe par Mantes la Jolie, il y a parfois des spécimens (ça reste rare). Si je fais un changement dans les transports parisiens à Chatelet, je les croise. Et puis comme le dit f.mas, il faut éviter d'agir comme si c'était à nous de nous adapter à leur tyrannie. Je préférerais que les gens aient le réflexe de ne pas se laisser marcher sur les pieds.
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Une racaille ne se ballade pas seule. Ou alors c'est qu'elle est en pause Précision : je suis une femme, blanche, souvent habillée en jupe, de 24 ans. Donc la solution "je dis ce que je pense de façon ferme et polie", moyen. Ma solution c'est de mettre mes propres écouteurs et de me plonger dans un bouquin : m'extraire de leur monde et les ignorer. Mais c'est humiliant de ne pas pouvoir dire quelque chose.
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Ah et pourquoi? Ça n'est pas chez eux, le transport est public et j'ai payé le même prix mon billet (s'ils en ont un) : pourquoi je dois subir leur loi?Vu que les racailles sont du genre à embrouiller un mec pour un regard ou un type d'habillement, non, je ne crois pas que ce soit sans risque de l'ouvrir. Si ce sont des racailles. Jusqu'à nouvel ordre, un grand black seul, ça n'est pas une racaille.
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Je suis d'accord avec neuneu2k. On notera que c'est comme encore comme ça dans certains coins des États-Unis. Si tu ne vas pas au mauvais endroit et que tu n'embrouilles pas les mauvaises personnes, tout va bien. Sinon, tu risques la mort. Mais les gens ont la gentillesse de te prévenir, même si tu es un parfait inconnu pour eux. C'est un pote musicien qui me l'a expliqué au retour d'une tournée là-bas.
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Il y avait des vigiles, ils n'ont pas réussi à maîtriser les agresseurs : trop nombreux
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Tout à fait free jazz : la violence est moins grave, mais plus quotidienne et plus gratuite.
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Et bien non, si tu écoutes les médecins en question, ceux qui sont partis, et les jeunes qui ne veulent pas s'y installer, le problème est particulier. Mais comme tu dis, pourquoi chercher à convaincre quelqu'un qui ne veut pas l'être, même face à des cas concrets.
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@ chitah Tiens, par exemple : refais ton calcul en prenant 30% des cas rapportés à la population d'île de France uniquement... ça donne pas le même chiffre. C'est chiant cette manie des statistiques chez toi, alors même qu'on peut leur faire dire tout et n'importe quoi.
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Tu commets la même erreur que d'habitude, chitah : tu dilue sur l'ensemble de la France et de la population. Si tu concentres à certains endroits et que tu prends en compte le fait que les personnels soignants sont peu nombreux, voir seuls pour une opération, tu comprends que ça tombe toujours sur les mêmes. Sinon comment expliquer que le personnel de l'hôpital en question dit avoir des problèmes tous les jours sans exception? Et que des villes entières soient privées de médecin car celui-ci en avait marre de son climat de travail? En plus si tu crois que les médecins n'ont que ça à foutre de leur temps d'aller porter plainte, et que les policiers noteraient la plainte en question (des insultes et intimidations, au mieux ils enregistreront une main courante)...
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Pas vraiment, en fait. Je pensais plus au cas d'incivilités comme ce fait divers, où les gens ne savent plus attendre et traitent les médecins comme des chiens. Ils hurlent, insultent, menacent quand il y a de l'attente, mais se ramènent à 4 pour une consultation, avec le cousin et la belle-mère. Ils veulent qu'on leur distribue des médicaments comme si c'était des bonbons mais tapent une crise en pharmacie si on leur demande un centime.En fait les gens ne sont plus éduqués, ils traitent le personnel soignant, qui a des responsabilités et des compétences infiniment respectables, comme s'ils étaient leurs esclaves personnels. Ça vaut aussi pour les caissières, les chauffeurs de bus, les personnels de guichet, qui ont tous un métier bien précis et n'étaient pas traités avec aussi peu de politesse et autant de mépris il y a trente ou quarante ans. Et je ne limite pas ça aux quartiers auvergnats... c'est un problème général je trouve. Ils ont juste des sources de conflit spécifiques (fraudes la sécu face à un médecin, refus de la mixité face à un employé de piscine), et peut-être plus fréquents ; l'attitude et le manque d'éducation, lui, se retrouve un peu partout.
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Je crois qu'il voulait parler d'insécurité dans les hôpitaux, d'agressions sur du personnel soignant (ou même des médecins généralistes en dehors des hôpitaux, courant aussi aujourd'hui, à tel point que les médecins fuient certains quartiers)
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Apparemment, oui. 1.250.000 d'après l'annexe 3.
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Cela s'éloigne un peu du sujet, mais pour les curieux je vous livre un recensement des persécutions contre les chrétiens dans le monde (bien sûr, vous m'objecterez que c'est fait par une association pour le moins partiale puisque c'est une ONG qui se donne pour but d'aider les chrétiens persécutés). C'est pour répondre (partiellement) aux posts argumentant que les pays d'Amérique du Sud sont les pires. Le passage sur l'Egypte dans le recueil sur l'année 2012 :
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Hum. Je ne suis pas sûre qu'ils soient tous désarmés. Certains des retranchements où l'armée est allé les chercher étaient des caches d'armes, et il y a beaucoup de morts dans les rangs des policiers pour des gens qui ne combattent que des manifestants désarmés. Cela n'empêche pas les militaires d'être des salauds assassins. Disons qu'il y a des salauds assassins des deux côtés.
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En parlant de communistes, les Chinois font très fort aussi quand il s'agit de persécuter les chrétiens. Mais ça n'est pas le même cas de figure : c'est différent d'habiter un pays où l'Etat emprisonne et exécute des chrétiens ou un pays où une partie de la population les prend comme boucs émissaires sans être réprimandée. Il ne me viendrait pas à l'idée de comparer. Ca serait un peu comme comparer l'antisémitisme en France au XIXème et la déportation des juifs dans l'Allemagne nazie. En Amérique du Sud, ça doit être encore un autre cas de figure : la violence des gangs et des autres fléaux de ces pays avec une criminalité très développée doit toucher beaucoup le clergé qui s'implique auprès des populations touchées. Pour ta dernière phrase : je ne sais pas pour la partie en italique, mais pour ce qui est de la séparation entre l'Eglise et l'Etat, je rejoins ton analyse.
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La population a très bien pu changer d'avis en un an et découvrir que la solution était plus mauvaise que prévue.
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Je ne sais pas non plus si c'est l'effet de l'impunité ou des directives. Le résultat est le même.
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Je ne parle pas de journalistes, je parle plutôt de réseaux d'entraide chrétiens et d'associations ou de communautés religieuses sur place. (Eh oui, on se parle entre nous, fou non?) Donc l'hypothèse de faire du tapage médiatique est peu probable. Il n'y a pas besoin de donner des ordres directs. Il suffit de ne pas insister sur les dossiers, de ne pas réprimander des affaires non résolues. Personne ne donne d'ordre au juges pour être plus cléments avec les locataires quand les socialistes sont au pouvoir, et pourtant ils y arrivent bien tous seuls.
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Une question comme ça : comment ça se fait que l'Égypte soit rangée dans le Moyen Orient? C'est pas un peu trop en Afrique pour ça?
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Oui.Et oui, si tu admets les témoignages de coptes relatant leurs plaintes sans suite lors d'enlèvements et mariages forcés de leurs filles ou lors de commerces ou lieux de culte saccagés, d'agression dans la rue. Alors bien sûr il faut croire sur parole les victimes. Mais je ne vois pas trop l'intérêt qu'auraient ces gens à inventer des torts à la police, ça serait se la mettre à dos gratuitement.