Miss Liberty

C'est quoi la question? J'en ai vu pas mal, des questions.

Toutes les dernières soirées liborg que j'ai faites, il y avait toujours des femmes... En plus de moi bien sûr. Et j'ai dû en faire une par mois depuis l'été dernier...

Toi, tu ne fréquentes pas les bonnes soirées liborg...

Je passais par là, je vois que vous vous débrouillez très bien tous seuls votre discussion biba de plusieurs pages, je ressors sur la pointe des pieds.

C'est José qui tient absolument à ce que ça ait un rapport et qui donne des chiffres de ratio hommes femmes et d'âge moyen du mariage.Moi je me contenterais de remarquer une chose qui relève du bon sens : quand on te cache en permanence le moindre bout de chair et qu'on t'interdit des gestes elementaires de tendresse en public, cela crée un manque qui se manifeste à n'importe quoi sortant un peu de l'ordinaire. C'est le mécanisme de base du désir, n'importe quel être humain comprend ce balancier désir / satisfaction.

Pourquoi est-ce que tu t'obstines à faire le lien entre mariage et frustration sexuelle? C'est idiot de considérer que toute personne mariée a une vie sexuelle satisfaisante pour le restant de ses jours. À 35 ans, entre un serial Don Juan et un homme marié depuis dix ans avec quatre enfants, je ne crois pas que l'homme marié soit automatiquement plus satisfait... Même sans prendre en compte le fait que sa religion lui interdit tout un tas de trucs avec sa femme et que les seules femmes qu'il peut voir en vrai sont couvertes des pieds à la tête...

Et alors? Chaque jour dans ma vie depuis que je suis née, j'ai vu devant moi la partie visible de l'iceberg "Etat", j'ai fréquenté les établissements publics, les conservatoires municipaux, les musées nationaux... Je suis devenue libérale, tendance anarcho-capitaliste. Serait-ce que les gens sont dotés d'un cerveau et qu'ils peuvent l'utiliser pour réfléchir sur ce qu'ils voient? Ça n'est pas le fait que l'État existe et soit visible qui endoctrine, c'est le fait de ne pas réfléchir sur la question. Rien à voir avec le fait de travailler, toi personnellement, pour l'État.

En sixième et cinquième, j'ai fait campagne, j'ai eu deux ou trois voix. En quatrième, je n'ai pas fait campagne, je suis venue avec des bonbons pour tout le monde le matin d'élection, j'ai été élue suppléante. Après je ne me suis plus jamais présentée.

D'ailleurs, c'est vrai quoi, tous les parents de France qui n'ont pas tous leurs enfants dans des établissements privés hors contrat ou à défaut en homeschooling sont des collabos étatistes aussi. L'argument "c'est pas facile, il faut qu'ils bossent pour les nourrir et c'est cher et impraticable de créer sa propre école" n'est pas recevable.

La population locale a tout à fait essayé de se défendre et de protester. Mais c'est un peu compliqué à un contre vingt.

Moi ça m'intéressait la politique au collège. C'est vers la 4ème / 3ème que je suis devenue anti-démocrate et monarchiste de façon un peu moins gamine que mes sentiments royalistes de début collège. Du coup les cours d'histoire fait par mon prof coco m'énervait au plus haut point. Lui m'aimait bien, je crois qu'il appréciait avoir une élève intéressée par ses cours et qui les comprenait un minimum... Je me souviens que je parlais avortement avec mes camarades aussi.

Quand on est mature et honnête avec soi-même, je pense qu'on sait très bien quand on a fait une connerie vis à vis d'un autre, que ce soit blesser quelqu'un ou ne pas respecter un engagement envers son conjoint (engagement sexuel ou non). Pas besoin de le lire sur le visage de l'autre pour le savoir et s'en vouloir. Mais tu as raison, ça doit dépendre des gens.

Personnellement je ne demande pas l'honnêteté de l'aveu, mais l'honnêteté de la fidélité. Une fois la faute commise, qu'il y ait aveu ou non ne relève plus de l'honnêteté mais de la façon de gérer l'après et de réparer la relation. Pour ma part, j'ai une préférence pour l'attitude suivante de la part du trompeur : s'en vouloir en silence, tout faire pour réparer la relation en s'assurant de travailler sur ce qui a pu faciliter la faute, et tout faire pour ne pas recommencer. En fait, je considère que l'aveu crée une souffrance supplémentaire et donc un obstacle supplémentaire à surmonter. La tromperie en elle-même abîme déjà suffisamment le couple comme ça...

+1 Ça commence à merder quand on ne partage plus sa vie avec l'autre, qu'on donne toute la place à des personnages censés être secondaires mais avec qui on partage beaucoup plus, consciemment et sans chercher à rétablir l'équilibre. Laisser une relation se détériorer comme ça, c'est le prélude au moment où on bafoue ses engagements...

La nana de rue89, je ne vois plus trop en quoi elle est en couple avec son officiel... Forme-t-on vraiment un couple quand on se satisfait de sms pour chercher le pain et qu'on garde le partage de ses passions et de ses projets pour quelqu'un d'autre???

On peut. Dans mon cas c'est exactement l'inverse. Les moments de honte et de colère contre moi-même sont les moments où je régresse et je rechute, avec rapidement un effet de cercle vicieux. En revanche, rester conscient de ses propres faiblesses, c'est-à-dire ne pas oublier, c'est nécessaire pour s'améliorer. Si le pardon consistait à oublier, ça serait bien simple... Rendre sa confiance et son amour, malgré la reconnaissance de la faute qui reste en mémoire, c'est bien plus difficile que d'être amnésique.

http://www.marianne.net/Lara-Logan-reporter-violee-place-Tahir_a206037.html

Moi aussi. Tout arrive.

Flashy, je ne vois pas en quoi reconnaître qu'on a merdé gravement, sans possibilité de réparation, et chercher à s'améliorer pour l'avenir seraient incompatibles avec le fait de se pardonner...

J'ai pas compris : les migrants sont une armée d'occupation, c'est ça?

Ça n'est pas ce qui s'est passé. Mais je ne chercherai pas à vous le faire comprendre, je parle à des murs.

C'est bien ce que je dis. Quoi qu'il soit démontré sur cette histoire, vous refuserez de la voir comme autre chose qu'un fait divers et d'en tirer des conclusions. Vous avez peur de chercher les conclusions au cas où elles ne vous plairaient pas, alors que pourtant ça n'a rien de raciste ou liberticide de reconnaître qu'on est face à un phénomène nouveau et inquiétant. C'est triste d'avoir peur de son ombre comme ça, la bien pensance fait vraiment des ravages.

Les "agressions sexuelles" décrites comme "j'ai senti un doigt dans chaque orifice de mon corps, ils se relayaient pendant que d'autres me tenaient", pour moi, c'est du viol en réunion. Et quand en plus on entend de la part de la police que c'était coordonné et que certains étaient venus juste pour ça, on voit bien la différence avec des milliers de personnes à un même endroit juste pour faire la fête et UN gars au milieu qui déconne. Franchement, je ne comprends même pas votre motivation à vouloir nier que les deux phénomènes sont incomparables... De quoi avez-vous peur? Pourquoi refuser la réalité avec autant de violence et d'acharnement?

Quel esprit diabolique.

Refus total et définitif de la procréation en fait. Je crains fort que le cas "il ne me touche jamais" ne marche pas. L'argument "elle s'est fait ligaturer les trompes sans même me prévenir avant le mariage" me paraît beaucoup plus facile à présenter sur ce motif, par exemple. Parce que le "refus définitif et absolu de la fécondité", il faut bien le chercher...