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poney

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Tout ce qui a été posté par poney

  1. Je ne sais pas moi-même comment je dois articuler ça et si je vis un immense principe de dissonance cognitive à titre personnel mais autant je suis libéral notamment parce que je suis optimiste sur l'avenir du genre Humain, autant je pense que l'après crise sera exactement comme celui d'avant et que toutes les théories sur "l'après" exposent plus les envies des gens qui les propagent qu'un réel changement possible. La social démocratie est encore plus inertique que l'administration.
  2. poney

    Le Coronavirus en Afrique

    Alors, je ne demande pas que tu effaces ton message, je m'en fiche, mais il faut avouer que ta dernière phrase est un édit.
  3. poney

    Le Coronavirus en Afrique

    Et sans doute ailleurs. Le plus grand biais d'analyse et la plus grande erreur des post-coloniaux c'est de s'imaginer que l'histoire de l'Afrique se confond avec celle du colonialisme et qu'elle était un paradis avant et que tout ce qui arrive de mal après est la faute du colonialisme. Le plus grand biais d'analyse et la plus grande erreur des anti post-coloniaux c'est de s'imaginer que l'histoire de l'Afrique se confond avec celle du colonialisme, qu'elle était un enfer avant que tout ce qui est arrivé après 1960 n'a plus de rapport avec la choucroute. L'un des problèmes africains est un poison intellectuel afro/panafricain, qui a certes une légitimité historique (une forme de résistance intellectuelle à l'emprise et à la violence coloniale) mais qui 70 ans plus tard est devenu une grille de lecture totalement contreproductive basée sur un ressentiment "contre les Blancs" (qui peuvent être asiatiques et même africains noirs s'ils ont passés trop de temps en France par exemple, les "bounty"). C 'est un des effets du colonialisme et pas le meilleur. La critique et la "raison nègre" de l'entre deux guerres est devenu une piposophie de comptoir chez l'africain moyen, et ça débouche sur la ligue de défense des noirs et autres bêtises. Le covid exacerbe ce sentiment (le racisme quotidien aussi ceci dit).
  4. C'est pour ça que ça s'appelle une revolution et pas une évolution
  5. poney

    Le Coronavirus en Afrique

    Surtout qu'il semble que ça soit un enième feu a cause de l'electricité foireuse : https://punchng.com/breaking-fire-outbreak-in-dugbe-ibadan/
  6. Encore une fois personne n'a parlé d'excuse, expliquer n'est pas excuser. Si le système empêche les bonnes décisions de se prendre, il n'y a meme pas besoin de savoir s'il faut excuser ou non, ce n'est pas le sujet. Le sujet c'est changer le système pour que sa réponse soit adaptée la prochaine fois. Excuser ou pas excuser est une question à la con et une perte de temps inutile. edit : pour le dire autrement je pense que, du moins pour le système français ou belge, pour reprendre une des expressions favorites du forum, it's not a bug, it's a feature. C'est peut-etre différent pour la bureaucratie allemande (je dois encore lire "libre d'obéir" mais si historiquement la bureaucratie allemande a comme fondement la flexibilité des décisions administratives et se constitue ouvertement contre le centralisme français, on peut penser que ça a joué jusque sur cette crise). Y a bureaucratie et bureaucratie et la culture locale l’imprègne toujours (Crozier). Partant de là, si l'échec est un bug et que le système aurait permis de bien réagir, donc que l'échec est a imputer aux personnes, alors, on peut encore aller gueuler "hou les nuls", à la limite, ça ne m'interresse pas personnellement (ce qui m’intéresse c'set que l'état se désengage de toutes les merdouilles ou il ne sert à rien, pas les personnes, le problème de pointer des personnes et non un système c'est qu'on risque de penser que d'autres personnes auraient mieux fait) mais je comprends la logique. Par contre si c'est un feature et que de toute façon les décisions des personnes sont prises dans un tel carcan systémique que ça n'aurait pas pu aboutir sur autre chose, non seulement ça ne m’intéresse pas de pointer du doigt des responsables (d'abord parce qu'à leur place, je serais sans doute arrivé au même résultat, je ne me considère pas comme un surhomme) mais en plus je pense que ça ne sert strictement à rien, puisque la faute repose sur la manière dont sont organisées nos administrations (et là, Tocqueville toussa, meme la révolution française n'a pas participé à casser la dynamique). C'est donc purement culturellement français (et belge pour pleins de raisons), du coup on est tous responsables, ça n'a plus d’intérêt de dire ça. Bien sur y aura toujours les héros randiens libéraux pour dire "ah mais pas moi", mais bon, vu le pourcentage qu'ils représentent, encore une fois, pas d'intérêt.
  7. A quel moment est-ce que j'ai excusé ou même dit le contraire de ton message ? J'ai pourtant précisé dans mon premier post sur le sujet que je me basais sur mes connaissances en sociologie du management et mon expérience personnelle pour essayer de comprendre où ça avait bugé et pourquoi. Je me fiche d'excuser ou non, je suis actuellement payé pour conseiller trois directeurs administratifs sur la meilleure manière de gérer 200 personnes de terrain au contact du public et de la maladie, j'essaie juste de chercher les meilleurs explications des échecs pour ne pas les répéter, j'essaie de comprendre comment fonctionne la machine qui m'emploie, pas l'excuser. D'ailleurs un autre biais que soulève Sibony en fin de son "cours" à HEC et que je trouve assez juste est l'une des conséquences du biais rétropesctifs. Comme il n’y a rien de plus facile que regarder dans le retroviseur et tirer des leçons à postériori, le cerveau humain est incapable d’imaginer le contre factuel, ce qui n'est pas arrivé. On est incapable de penser à ce qui serait arriver, on a donc le sentiment a postériori que ce qui est arrivé était inévitable, les bonnes décisions sont évidentes et ceux qui ont pris les mauvaises sont des imbéciles finis qui auraient dû prendre les bonnes décisions. En fait il est possible d'imaginer que ce qui apparaît comme "les dirigeants qui ont mieux manoeuvrés" se sont largement plantés aussi et qu'on aurait pu faire beaucoup mieux encore.
  8. Je n'ai aucune idée de ce dont vous parlez, mais ça a l'air comique.
  9. Le principe d'un biais cognitif, faut-il le rappeler, c'est qu'il ne s'applique pas pour autant mécaniquement, 100% du temps chez 100% des gens hein. Les humains ne sont pas des ordinateurs, faut arrêter de réfléchir comme un ingénieur, y a un a truc qui s'appelle les sciences sociales et sciences psychologique, c'est pas parce que la moitié sont pété du cerveau de gauchisme qu'il faut faire comme si ça n'existait pas pour autant.
  10. La vidéo de Sibony qui a été linkée quelque part sur le forum il y a déjà plusieurs jours, j'ai mis le time code au bon endroit :
  11. Ce n'est pas la même chose de savoir calculer à l'école une log et de l'avoir sous les yeux. Tu crois que les 8 grands épidémiologistes aux US ne savent pas calculer une échelle log ? Les échelles logarythmique sont (du moins en Belgique) au programme commun de la plupart des études universitaires, y compris sciences politiques (cétait ma fac, donc je suis bien placé pour le savoir). Ce n'est pas une question de ne pas "savoir" ce qu'est une échelle log. C'est la meme différence, a peu près, qu'entendre et écouter.
  12. J'ai regardé 2 minutes avant d'abandonner, il confond la critique libérale des rentiers, y compris en économie et la distinction "gestionnaire / entrepreneur" (au profit des seconds) que ça soit chez Hayek ou Schumpeter, pour en déduire que le libéralisme n'aime pas les premiers et que donc on peut etre libéral (pro entrepreneur) et anti-capiliste (anti-rentier gestionnaire non entrepreneur). Evidemment c'est très con, dans le genre demi-habilisme, ça se pose là.
  13. Hahaha, l'Opinion, ce rat médusé qui prétend etre le porte voix du libéralisme et du pro business en France. T'aurais du mettre ça dans tweet rigolos.
  14. Je ne pensais pas spécialement à toi, mais je quand je vois sur fb ou dans mon entourage le nombre de gens qui auraient mieux fait et qui sachaient, j'ai des envies de baffes qui se perdent.
  15. Je penche sur l'incompréhension totale du phénomène exponentiel, le 3 mars peu de monde ne comprennait ça. Quand on a demandé mi-Mars aux 8 plus grands experts épidémiologistes des USA combien de personnes seraient touchées, ils sont tombé sur une moyenne de 19.000 cas. Deux semaines plus tard, il y avait aux USA 140.000 cas. Donc, ils se sont tous planté d'un ordre de grande de presque 10 ! Les plus grands spécialistes, et ces chiffres ont déjà plusieurs jours donc ils se sont probablement planté d'un ordre de grandeur de 20 ou 30. Alors un cabinet ministériel ? Imagine...rempli de mecs avec un diplome en science politique. Ils se sont logiquement dit qu'il y a aurait assez de tests et puis, bim, il y a eu 10x plus de cas qu'imaginé. Pas besoin de penser qu'ils mentent, même l'incompétence n'explique que mal, ou alors les plus grands épidémiologistes us sont tous incompétents, mais alors, on est tous incompétents et si on est tous incompétents, alors il n'y a plus d'incompétents. Il faudra voir à la fin si l'Allemagne s'en est réellement mieux tirée et pourquoi, il peut y avoir beaucoup d'explications, à commencer par un meilleur décentralisation, des procédures plus simples et pour connaitre l'administration, je suis presque prêt à parier qu'il existe une espèce de "marché stock" (un marché de biens ou services pré-établis avec des entreprises privées pour l’administration sans connaitre le nombre de trucs nécéssaires au préalable, pour faire des achats au fil des besoins) qui permettait directement de valider des tests rapidement. Les procédures sont sans doute beaucoup plus simples en Allemagne, le poids de l'industrie chimique et pharma beaucoup plus important et a peut être joué sur la législation différemment (on peut etre crony de différentes façons). Il y a beaucoup de paramètres a regarder avant de dire "ah, incompétents, les autres sont meilleurs". Après moi je veux bien qu'on tombe Abraracourcix sur nos élites mais je ne pense pas qu'en analysant mal un problème on trouvera les bonnes solutions. Sur l'administration pure oui, mais il peut aussi y avoir un manque de moyen, ou une mauvaise allocation des moyens, au niveau hospitalier ou ailleurs. Amha, sur la question de la santé publique, l'état peut avoir un role à jouer, ne fut-ce qu'en terme de cadre législatif, sur le reste non et une épidémie à ceci de compliqué que c'est à la fois une question de santé publique et à la fois une question de santé générale. Mais c'est justement parce que la santé publique a une approche de prévention qu'elle ne peut etre prévoyante, donc l'état seul c'est sur que non (et les pays ou ça marche plus ou moins bien on montré l’exemple, comme en Asie).
  16. Ce n'est pas simplement la question de l'inertie de l'administration, d'abord le confinement ce n'est pas l'administration, c'est le gouvernement : un ministre peut prendre une décision rapidement. Par ailleurs une administration aussi selon le niveau de pouvoir et l'enjeu., mais pour le reste il y a une procédure et toute une hierarchie à mettre en branle. Il n'y a pas de procédure à mettre en branle pour décider le confinement, il faut juste un arrêté ministériel. Ce n'est pas administratif, c'est gouvernemental. Il y a des procédures, des marchés publics, des validations, .... pour un test ou un médicament. Ce n'est pas un truc qui se décide "comme ça". C'est proprement administratif. L'inconnu sans procédure particulière (le confinement) n'est pas une décision problématique (j'entends par là "problématique à prendre", elle peut être totalement foireuse) ; l'inconnu qui suppose une procédure (nouveaux tests et médicaments) dans des circonstances particulière (confinement et épidémie) est une grosse poignée de sable jetée dans le mécanisme. C'est ça qu'il faut comprendre, c'est ce que je disais quand il faut voir comment travail un cabinet et qu'on a pas de ministres "yolo" qui ne respectent pas les procédures.
  17. Il faut se méfier de ce genre d'article qui tombe assez biais dans le biais rétrospectif. Il y a deux trois trucs qui me semblent évident si je mélange ce que je sais de la littérature sur la sociologie des organisations et du management ; mon expérience personnelle avec l'administration ; et ce qu'on a vu surgir, plus ou moins bien analysé, depuis 3 mois et le covid. De manière générale les administrations occidentales et leur culture ne sont pas équipées pour réagir à l'inconnu, en particulier si l'inconnu se comporte de manière exponentielle. J'aimais bien l'idée de cet anthropologue français du LAS dont le nom m'échappe là tout de suite mais j'ai la flemme de googler son nom bien que le temps d'écrire cette phrase j'aurais pu le faire, et qui disait que les système de santé français ou européen en général faisait dans la prévention (vacciner une population pour prévenir une épidémie connue) mais étaient incapables de faire dans la prévoyance comme les systèmes de santé asiatiques (notamment parce qu'ils avaient connu des épidémies inconnues). Je pense que c'est très juste, je l'ai dit ailleurs, et je crois que tout ceux qui ici bossent ou ont bossés dans une administration, il faut se rendre compte à quel point c''est une grosse machine plus ou moins bien huilée pour gérer le quotidien connu et prévisible. Tant qu'on reste dans les clous ça marche plus ou moins bien, l'administration ne fonctionne, si on peut le dire, qu'à l'équilibre. Sauf que rien n'est jamais totalement comme ça, qu'il s'agisse de l'économie, de la sécurité routière, de la santé ou même de la culture, il y a toujours des choses imprévisibles de part le fait qu'on ne peut prévoir les réactions de tous les humains (c'est fondamentalement je dirais la question de la présomption fatale mais dans un sens plus large, il me semble). Et quand la nature s'y mêle avec des virus mutant des animaux aux humains (meme si, pour parler comme Latour, un tel virus est plutôt un hybride) et ben c''est foutu. Il faut rajouter à ça que le mot d'ordre pour les fonctionnaires a été la semaine précédent le confinement de prester 2 a 3 jours de télétravail (soit un jour sur deux) puis de rester à la maison sauf si service sur place important pour faire tourner le service public. Or, et j'en ai témoigné pas mal dans le sujet ad hoc, les premiers jours, disons les 2 premières semaines, ça a été un fiasco, tous les services tournaient au ralenti (je pense que ce n'est pas propre au public du reste) ; la bureaucratie à distance c'est compliqué. Aujourd'hui de mon coté ça tourne à plein régime mais il a fallu 3 semaines pour que tout se huile bien, que les gens prennent des habitudes, comprennent comment faire, ... Cela veut dire qu'au moment où il fallait prendre des décisions rapides et cruciales il y a eu un alignement de planètes défavorables : un système d'organisation bureaucratique qui au départ n'est pas fait pour et pas à l'aise avec ça (pas les bonnes procédures, pas de marché public, pas de concertation avec experts durant des plombes, pas la mentalité des gens qui y travaillent, pas la culture d'entreprise meme si on parle du public) ; un problème inconnu, imprévisible, qui ne rentre pas dans le format de travail standard sous formes de gestion de projets ; des managers qui ne savent pas comment réagir ; un culture de l'attente des ordres d'en haut ; des gens d'en haut qui en fait décident après feed-back des gens d'en bas ; gens d'en bas brusquement cloîtrés chez eux et qui sont perdus dans leurs méthodes de travail. Bref au moment où il fallait accélérer et simplifier le système, il s'est ralenti et complexifié. Le blocage administratif qui en découle est à mon avis presque prévisible parce que c'est la manière dont le système fonctionne et qui n'est pas fait pour. Je sais que ça parait incompréhensible si on ne l'a jamais vécu de l'intérieur mais c'est strictement impossible pour une bureaucratie moyenne (et le système belge de santé l'est totalement) de prendre une décision "comme ça". Il aurait alors fallu imaginer que le ministre de la santé soit un genre de YOLO qui ne respecte pas les procédures mais j''ai dans l'idée qu'une telle personne ne serait jamais arrivé à un tel niveau de responsabilité dans un système administratif comme la Belgique (ou la France par ailleurs). Il faut fréquenter des "cabinetars" pour s'en rendre compte.
  18. Et dans la livraison à domicile
  19. Ah oui ? J'en étais resté là moi.
  20. Bon j'ai arrêté ce docu à la con après une heure quart pour finir, 45 minutes de litanie contre l'industrie des soda, que je ne porte pas particulièrement dans mon coeur et dont je ne suis pas consommateur, ça va bien cinq minutes. Quel aveuglement quand même, s'ils se rendaient compte qu'une baguette standard de 250gr c'est grosso modo 150gr de glucide soit l'équivalent de 4 à 5 canettes de coca tant houspillées, mais non. A force de vouloir taper sur les multinationales et le marketing, ils oublient l'éléphant dans la pièce.
  21. 1,84
  22. Oui, pour moi c'est evident je bosse dans l'administration la plus prog du pays.
  23. Bon j'en suis à 20 minutes mais en fait c'est plutot bien, y a Jason Fung, le merdoiement de l'état us est bien expliqué ("les industriels ont fait ce qu'on leur a demandé de faire", haha, paie ta société libérale quand meme) et puis toute la mécanique glucide-insuline-stockage du gras est très bien expliquée. Après on a quand meme droit à du ouin-ouin sur Nestlé et Coca Cola et la phrase "le moteur de l'obésité est la chasse aux profits"... M'enfin, du journalisme quoi. Bref voilà le lien :
  24. Han bordel, je veux regarder pour occuper ma soirée "Un monde obèse" de ARTE et à 2 min (2 minutes !) ça ne loupe pas : "et si l'obésité n'était pas un problème individuel mais global, le symptome d'une société LIBERALE qui déteste le gras mais fabrique des gros, une société obèsogène". PUTAIN, je vais aller au bout mais c'est plus fort que le journalisme français de base : c'est mal, c'est libéral. edit : et le pitch vient après "il faut combattre les multinationales" et les industries de la malbouffe... Oui, alors c'est pas pour faire comme si le "lobby du sucre" n'existe pas mais je sens qu'on va avoir la moitié de l'histoire
  25. Moi je suis passé au low carb vers 2015 Ou 2016, faudrait que je retrouve mes premiers échanges en PM avec Jesrad. Ceto y a 2 ou 3 ans mais sans avoir jamais été strict plus de 3 semaines (pas strict veut dire que ça m'arrive de prendre un dessert ou manger un sandwich quand j'ai pas le temps de me casser la tête pour autre chose mais que sinon, je mange low carb tout le temps). Intermittent fasting depuis 2 ans, n'ayant jamais été un fan du déjeuner, sauf les dimanche de match. Souvent je mets un peu de lait dans mon café, donc pas If strict. Je peux te jurer que la faim je la sens toujours et que mon appétit ne diminue pas. Jnai toujours été un ogre et je le suis resté, je suis parfaitement capable de manger le double d'une personne normale. J'ai pas l'impression que le low carb ou l'if ait changé quoi ce soit. Si, je suis capable de faire des Omad et des jeunes de 24h ou plus alors qu'avant j'aurais tué si je passais 6h sans manger. Mais ça reste un petit combat avec des pics de faim.
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