Tramp

L'État et l'allocation des ressources...

Franchement, c'est assez simple. Tu as 3 (4 aux USA) essais pour avancer de 10 verges. Dès que la balle touche le sol, l'action est finie. La défense peut faire tout ce qu'elle veut pour bloquer l'attaque. Quand tu as la balle, tu peux choisir de faire une passe ou de porter le ballon pour avancer. En général, au 3ème essai (4ème aux US), tu bottes la balle pour faire reculer la future ligne adverse. Je préfère la version canadienne avec 3 essais que la version américaine avec 4. Le football commence à bien partir et à se masculiniser en Amérique du Nord.

Le quota de Français au Québec est déjà atteint . Mais on peut faire exception pour une femme.

Ça se passe aussi comme ça pour les matchs de foot de mon université : tailgate (bbq + bière) à partir de 10h et match à 13h. J'aime bien le foot plus que le baseball ou le basket.

Le TGV c'est hors de prix.

Le président peut relever le plafond de la dette sans passer par le Congrès. Après le coup du mandat individuel, tout est permis.

Les stades américains sont d'ailleurs très ergonomiques. C'est pas comme en France où on ne sait pas où mettre ses jambes ou sa bouffe.

Y en a même qui font/ont fait de la politique.

Je devine très bien l'interprétation de la SCOTUS.

Ma proprio, émigrée Vietnamienne :

Non jamais. J'ai jamais compris ce que les Américains y trouvaient non plus. Rester tout un après-midi dans un stade pour regarder du baseball, je me tirerais une balle.

C'est fortement probable vu qu'il faut être un minimum organisé (+les relais parlementaires) pour pouvoir en mettre en place.

Oui, il a deux équipes qui tournent. Celle qui lance et reçoit et celle qui batte. Je crois qu'il peut y avoir des co-équipiers du batteur, qui ont battus avant lui, qui peuvent aussi tourner autour des bases.

Ce que je lis, c'est que le 14ème amendement précise que la dette fédérale doit être approuvée par la loi, et donc le Congrès. Après, les voies du droit constitutionnel sont impénétrables.

Le receveur (?) a renvoyé la balle à la troisième base avant que le batteur n'y arrive, du coup, il marque pas de points.

Hollande s'engage sur le referendum d'initiative populaire.

Il y a le reste du réseau. Les autoroutes ne vont pas ailleurs que les nationales. De toute façon on va pas s'amuser à construire plusieurs autoroutes les unes à côté des autres. Pour de vrai en France, le gros problème des transports c'est le contrôle des prix des autoroutes et du réseau public, la SNCF, les taxes, le secteur aérien et pas vraiment l'oligopole autoroutier.

Premières victimes de l'intransigeance d'Obama. Le socialisme tue. http://www.leparisien.fr/laparisienne/sante/etats-unis-le-traitement-experimental-de-patients-cancereux-menace-02-10-2013-3189587.php

En même temps, le plafond de la dette est atteint dans deux semaines. Je n'imagine aucun élu de Congrès aller jusqu'au défaut américain. En plus du farm bill et du budget de la défense, medicare et les pensions de retraites sont des sujets sensibles pour le GOP.

On se demande ce que fout Colbert au milieu de tout cela.

C'est un mécanisme décidé par le gouvernement. Il y a pas tant de monopole que cela sur les autoroutes : le reste du réseau est "gratuit" + le train + l'avion + le co-voiturage etc. Il faudrait que le gouvernement laisse les sociétés d'autoroutes fixer leur prix, même si on n'a pas le droit de construire de nouveaux autoroutes. Il y aurait moins de bouchons.

Tactique classique. Dès qu'on commence à réduire les dépenses publiques on dit aux gens qu'il n'y aura plus de profs, plus d'infirmières et plus de policiers quand bien même c'est pas vraiment très important dans le budget.

D'un point de vue libéral, le gros problème c'est que les entreprises n'ont pas le droit de signer de contrats mettant en place des cartels.

C'est pour cela que la réforme de la formation professionnelle qui est pourrie et coûte un bras, c'est pas pour demain.

Ben non, mais choisir la combinaison de gamète qui arrive à ce résultat, ce n'est pas un crime non plus. Il n'y a pas de victime. L'enfant qui va naître n'est pas victime de sa naissance.